Caroline Mathieu Vazquez Parras : Psychothérapeute systémique et familiale

Caroline Mathieu Vazquez Parras : Psychothérapeute systémique et familiale * Psychothérapie, thérapie familiale, systémique, hypnose, pleine conscience (enfants, ados, adultes)

Je vous propose :
-Psychotherapie individuelle, familiale (parents, enfants, ados, adultes)
- Accompagnements vers un mieux-être, dès la grossesse, soutien à la parentalité, à la fratrie, aux moments de la vie compliqués (séparation, arrivée d'un bébé, deuil, burnout,...), soutien scolaire (organisation,planification,…)
- Avec des outils, des moyens tels que la thérapie familiale, la systémique,

la thérapie de l'acceptation et du changement, l'hypnose, la pleine conscience, ...
- Cercles de femmes en pleine conscience.
- Groupes de paroles sur thématiques diverses.
- Séances de rencontres enfants-parents en partenariat avec l’One pour pouvoir se rencontrer, que l’enfant se socialise en douceur, pour partager sur les joies et difficultés d'être parents, prendre le temps de se poser en douceur, échanger, ...

Ah les écrans… 🧐
06/08/2025

Ah les écrans… 🧐

Comment accompagner son enfant dans son utilisation des écrans ? Quelles règles établir avec lui ? Pas de formule toute faite ! Voici une ligne de conduite et quelques astuces pour que votre enfant apprenne à utiliser les écrans à bon escient et sans excès.

Bon à savoir
05/08/2025

Bon à savoir

Une école secondaire différente

Le deuil n’est pas que la perte d’une personne ou d’un être cher mais parfois d’autres douleurs dont on n’est pas toujou...
01/08/2025

Le deuil n’est pas que la perte d’une personne ou d’un être cher mais parfois d’autres douleurs dont on n’est pas toujours conscient…
Parfois ça « passe », d’autres fois ça s’accompagne, le fait de prendre conscience, de déposer, … permet d’accueillir, de valider et d’avancer 😉

Beau petit conte reflexif sur l’attachement…Bonne lecture
15/07/2025

Beau petit conte reflexif sur l’attachement…
Bonne lecture

LE PRINCE ET L’HIRONDELLE, UN CONTE SUR L’ATTACHEMENT DANS LE COUPLE
Avec ce conte sur l’attachement dans le couple, j’aimerais que l’on réfléchisse sur les mécanismes de l’attachement incertain, de quelle manière ils nous font souffrir et ils nous affectent quand nous essayons de contrôler et de dominer l’autre, en prenant l’amour comme excuse.

Pensez-y . Quelles différences y a-t-il entre l’amour et l’attachement ? Pourquoi les confondons-nous ? Comment l’attachement dépendant peut agir de manière négative sur nos relations ?

“Quand nos sommes attachés à quelque chose, il y a toujours de la peur, la peur de perdre cette chose; il existe toujours cette sensation d’insécurité”
–Jiddu Krishnamurti-

Un prince passait ses journées à regarder par la fenêtre en attendant que quelque chose se produise.

Il n’avait avec lui plus qu’un domestique qui se chargeait de faire les courses et de faire le ménage dans le château. “Quelle vie ennuyeuse !”, soupirait-il.

Un matin d’avril, une hirondelle se posa sur le rebord de sa fenêtre. “Oh !”, s’exclama-t-il, “Quelle créature petite et délicate !” L’hirondelle lui offrit une brève mélodie et partit. Le prince en resta émerveillé : il trouva que son chant était le plus beau et que son plumage était le plus original du monde. Un être unique !

L’hirondelle revint

À partir de ce jour-là, le prince attendit impatiemment son retour. Ce jour tant espéré arriva et l’hirondelle revint lui chanter une autre chanson.

Il se sentit vraiment chanceux. “A-t-elle froid ?”, se demanda-t-il juste après qu’elle eût pris son envol.

La troisième fois que l’oiseau revint, le prince se demanda si elle avait faim.

Il passa les jours suivants à construire une petite maison pour l’hirondelle.
Il envoya son domestique acheter du bois et des clous et chasser des insectes
Finalement, après plusieurs tentatives malheureuses, il finit par lui ordonner de construire aussi la maison. “Maudit oiseau”, murmura le domestique.

Il mit dedans des insectes et de l’eau, en plus de toiles en soie qui faisaient office de lit.

Quand il vit comment l’hirondelle se posait sur le rebord, il approcha la petite maison et il prit du plaisir à voir comme elle buvait l’eau et elle mangeait de bon cœur la nourriture qu’il lui avait préparée.

“Tu aimes ces insectes, ma douce hirondelle ?”, lui demanda-t-il. “Je les ai chassés pour toi”, ajouta-t-il. Avec un léger trin, l’hirondelle parut acquiescer avant de s’envoler à nouveau.

L’anxiété l’envahit alors. Et si elle ne revenait jamais ? Et si elle trouvait une meilleure demeure où s’abriter ?

Peut-être que d’autres princes avaient construit de plus belles maisons ou qu’ils chassaient eux-mêmes les insectes. Il ne pouvait pas l’accepter. Il n’existait pas deux hirondelles comme cela dans le monde !

Le prince passa deux jours sans dormir et à ne penser qu’à ça jusqu’à ce qu’il décide d’employer cette attente à fabriquer une porte avec un cadenas pour la petite maison.

L’hirondelle – comme toujours – revint, et quand elle entra pour goûter la nourriture, le prince l’enferma. “Je t’aime“, lui avoua-t-il, “et avec moi, tu ne manqueras plus jamais d’eau ou de nourriture et tu n’auras plus froid.”

Un peu confuse, l’hirondelle se laissa enfermer par le prince par commodité.

Elle appréciait la chaleur de son foyer et le fait de disposer de nourriture à sa portée sans avoir à fureter entre les plantations jusqu’à en trouver.

Le prince plaça la cage sur sa table de nuit pour la saluer tous les matins en lui caressant la tête. “Tu es mon hirondelle, chante-moi une chanson, ma jolie”, lui demandait-il.

“Cette vie n’est pas si mal”, pensait l’hirondelle. Et elle chantait. Mais avec le temps, sa musique se fit de plus en étouffée, jusqu’à ce qu’elle devienne muette.

L’hirondelle perdit sa voix

– Tu ne chantes plus ? – lui demanda le prince, étonné. – J’étais heureux quand tu chantais.

– Mon chant s’inspirait du courant de la rivière, du bruit du vent dans les arbres, du reflet de la lune dans les rochers de la montagne.

Quand j’étais contente, je te faisais écouter mon chant, mais maintenant, dans cette cage, je ne trouve pas d’inspiration.

– Je fais ça parce que je t’aime – dit le prince. – C’est dangereux que tu voles là-bas toute seule. Et si tu as un accident ? Et si tu ne trouves pas de nourriture ? Et si un chasseur te tire dessus ?

– Qui ? Qu’est-ce que c’est qu’un chasseur ? – demanda-t-elle.

– Je prends soin de toi et je te protège. Ici, tu es à l’abri de tous les dangers.

Un jour, le prince se réveilla en sursaut. Il alla caresser l’hirondelle et il la trouva morte.

Pris de colère, il alla chercher son domestique et il le renvoya parce que pour lui, c’était sans doute un des insectes qu’il avait chassés qui était responsable de sa mort.

Le fait d’avoir trouvé un coupable ne réconforta pas le prince, qui se sentit encore plus seul et déshérité qu’avant l’apparition de l’hirondelle.

Jusqu’à ce qu’une autre se pose sur sa fenêtre et lui chante une chanson : la plus jolie qu’il avait entendue de toute sa vie.

Les maisons avec des cadenas ternissent l’amour.
Ce conte parle de la manière dont fonctionne l’attachement dans les relations de couple et il nous montre comment, très souvent, nos peurs et nos craintes prennent le pas sur les désirs et les droits de l’autre.

Il nous raconte un fait : en transformant les personnes que nous connaissons, nous les éloignons souvent de leur essence, de leur bonheur. Tout cela pour elles et sans nous en rendre compte.

Face à une situation de solitude ou de vide, nous pouvons faire preuve de responsabilité pour en sortir par nous-mêmes ou porter la responsabilité sur notre conjoint en établissant une relation de dépendance.

L’attachement peut nous troubler en exagérant les qualités de l’être aiméet en le transformant à nos yeux en un être unique et irremplaçable, augmentant ainsi l’anxiété en imaginant sa possible perte.

En utilisant l’excuse de sa protection ou de son bien-être, nous pouvons arriver à priver l’autre de sa liberté.

Voilà un conte sur l’attachement, mais c’est aussi un conte sur l’amour.

Aimer, c’est accepter et respecter la manière d’être de l’autre, souhaiter son bonheur avant la satisfaction de nos besoins et le laisser voler quand il le faut, si c’est – comme l’hirondelle – ce qui le rend heureux.

*Conte original de Mar Pastor

Chacun a des forces et compétences à découvrir, à peaufiner et si ce n’est pas par un chemin ce sera par un autre😉. Cour...
04/07/2025

Chacun a des forces et compétences à découvrir, à peaufiner et si ce n’est pas par un chemin ce sera par un autre😉. Courage, patience, bienveillance envers soi-même… et si on n’a pas assez bossé il n’est jamais trop t**d pour rectifier le tir😉. Ça peut se travailler et s’accompagner aussi ce type de besoins🤩. Bon repos aux petits, aux grands et aux parents et proches après ces périodes de stress… Prenez soin de vous🥰

22/06/2025

On en parle souvent en séance de nos moyens d’être dans l’icône et maintenant, de se reconnecter,… @ followers

😉. Belle journée 😉
18/06/2025

😉. Belle journée 😉

14/06/2025
26/05/2025

🦶✨ Et si on laissait les bébés marcher… comme des bébés ?

Sur cette image, on voit les étapes naturelles du développement moteur : l’enfant allongé, qui découvre son corps, puis qui rampe, explore, se hisse à quatre pattes, tente de se lever, puis enfin… marche.
C’est un chemin merveilleux, progressif, riche d’apprentissages. Et il n’a pas besoin d’être précipité, ni perturbé.

👉 Marcher est une compétence que l’enfant acquiert seul, à son rythme. Le rôle de l’adulte est de lui offrir un environnement sécurisé et stimulant, pas de forcer les étapes.

🚫 Pourquoi éviter le youpala (ou trotteur) ?

Bien qu’il soit encore populaire, le youpala entrave le développement naturel :
➡️ Il maintient l’enfant debout avant qu’il n’en ait les capacités musculaires et neurologiques.
➡️ Il limite les expériences au sol, essentielles pour apprendre l’équilibre et la coordination.
➡️ Il peut même ret**der l’acquisition de la marche et augmenter les risques de chutes ou de mauvaises postures.

⚠️ Ne pas asseoir un bébé tant qu’il ne sait pas le faire seul

Cela peut sembler anodin, mais asseoir un bébé qui ne sait pas encore s’asseoir par lui-même peut perturber ses repères corporels :
➡️ Il n’a pas encore la musculature suffisante pour stabiliser sa posture.
➡️ Il risque de rester passif, sans pouvoir explorer librement.
➡️ Cela freine le développement moteur global, notamment la transition naturelle vers le quatre pattes, puis la marche.

👣 Et les pieds nus, dans tout ça ?

Marcher pieds nus est un vrai cadeau pour le développement :
➡️ Renforcement musculaire : les muscles des pieds et des jambes se tonifient naturellement.
➡️ Proprioception : le bébé sent le sol, ajuste ses appuis, améliore son équilibre.
➡️ Coordination : le pied nu favorise des mouvements plus fluides, plus précis.
➡️ Confiance en soi : le lien direct au sol rassure l’enfant, qui gagne en assurance dans ses déplacements.

🎯 En résumé :

✅ On suit le rythme de l’enfant
✅ On privilégie la motricité libre au sol
✅ On évite les aides artificielles comme le youpala
✅ Et on le laisse marcher pieds nus autant que possible

💛 Faisons confiance à leur intelligence corporelle. Ils savent exactement quoi faire… si on leur laisse la liberté de le faire.

23/05/2025

Pour ceux qui cherchent une formation alternative 😉

22/05/2025

N’hésitez pas à donner votre avis😉

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Bd Émile De Laveleye 67
Liège
4020

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