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SOPK : la sleeve gastrectomie pourrait améliorer la fertilitéLe syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la cause l...
19/06/2024

SOPK : la sleeve gastrectomie pourrait améliorer la fertilité
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est la cause la plus fréquente d’infertilité par anovulation. Chez les femmes qui en sont atteintes, le SOPK altère par ailleurs la santé physique et psychologique, la qualité de vie et il représente un coût économique non négligeable pour la société et le système de soins. Quand l’obésité s’associe au SOPK, elle en exacerbe les complications.
Des travaux préliminaires ont montré que la chirurgie bariatrique pourraient améliorer la régularité menstruelle, augmenter le nombre de cycles avec ovulation et ainsi favoriser la fécondité (1,2). En effet bien qu’il y ait du chemin entre une ovulation et un accouchement, on sait que le taux d’ovulation est l’un de meilleurs critères prédictifs de future grossesse dans le SOPK (3). Jusqu’il y a peu, la chirurgie bariatrique ne faisait pas suffisamment consensus pour être proposée à ces patientes (4).
Des équipes britanniques ont comparé dans un essai randomisé et contrôlé l’innocuité et l’efficacité de la chirurgie bariatrique sur les taux d’ovulation de femmes obèses et porteuses d’un SOPK par rapport à une prise en charge purement médicale associant des modifications comportementales et un traitement médical (5).
Un essai multicentrique randomisé :
Il s’agissait d’une étude multicentrique, ouverte, en intention de traiter et randomisée. Les patientes, âgées de 18 ans ou plus, devaient être obèses (IMC ≥ 35 kg/m2) et porteuses d’un SOPK, défini selon les critères internationaux (4). L’oligoménorrhée ou l’aménorrhée était définie comme une durée de cycle inférieure à 21 jours ou supérieure à 35 jours, ou inférieure à huit cycles au cours des 12 mois précédents, ou aucune menstruation.
Suivant les directives de la British Obesity Metabolic Surgery Society, les patientes ne devraient pas concevoir pendant 12 à 18 mois après la chirurgie bariatrique. La prise en charge médicale correspondait aux critères habituels du NHS au Royaume Uni pour l’obésité associant des interventions médicales, diététiques, psychologiques et chirurgicales.
Deux semaines avant la randomisation, les patientes étaient traitées par progestérone pendant dix jours pour être en début de cycle. Un dosage de Bêta-HCG était réalisé pour écarter toute grossesse. Elles étaient ensuite randomisées 1 : 1 entre gastrectomie verticale ou sleeve (groupe 1) et interventions comportementales et traitement médical (groupe 2).
Dans le groupe 2, les changements de mode de vie étaient contrôlés par des réunions avec des diététiciens, en groupe et en tête à tête, initialement toutes les deux semaines pendant six mois puis tous les mois pendant les six mois restants. Sur le plan médicamenteux, le traitement laissé aux choix des praticiens comprenait metformine (1 gramme per os maximum par jour), orlistat (120 mg per os maximum par jour) ou les deux associés.
La sleeve gastrectomie était réalisée par coelioscopie selon la technique courante. En préopératoire, des réunions de groupe étaient dirigées par des diététiciens, des infirmières et des psychologues, en particulier pour informer les patientes des modifications alimentaires et psychologiques secondaires à la chirurgie bariatrique. En postopératoire, il y avait des entretiens individuels avec une infirmière spécialisée à 10 jours, 6 et 12 mois, ainsi qu’avec un diététicien à 3 mois.
Une attention particulière était portée à une contraception efficace et à la survenue d’éventuelles complications médicales, chirurgicales, nutritionnelles et psychologiques. Régulièrement des tests sanguins étaient réalisés avec en particulier à six mois une épreuve d’hyperglycémie provoquée, un dosage de l’hémoglobine glyquée, une évaluation de l’hyperandrogénie ainsi que des questionnaires portant sur la santé mentale et la qualité de vie.
Le critère de jugement principal était le nombre d’événements ovulatoires confirmés biochimiquement sur 52 semaines. Il était évalué par dosages hebdomadaires de la progestérone sérique. Une ovulation était définie comme une ascension de 16 nmoles/l ou plus de la progestérone sur deux prélèvements successifs. Les critères secondaires d’évaluation étaient anthropométriques, métaboliques, hormonaux et psychologiques.
2,5 fois plus d’ovulations
L’étude a été menée entre décembre 2019 et avril 2023. Parmi les 100 femmes évaluées initialement, 20 étaient finalement exclues (dont 16 qui ne remplissaient les critères d’inclusion et 4 qui choisissaient de ne pas participer). Entre février 2020 et février 2021, 80 patientes étaient enrôlées et 40 réparties dans chaque groupe.
Il y avait sept abandons dans le groupe médical et dix abandons dans le groupe chirurgical laissant une cohorte de 63 patientes (79 %) évaluables à 52 semaines. L’âge médian de l’ensemble de la cohorte était de 31 ans et 79 % des participants étaient des femmes blanches.
A 52 semaines, Le nombre médian d’ovulations était de 6 (IQR 3,5-10,0) dans le groupe chirurgical et de 2 (0,0-4,0) dans le groupe médical. Les femmes du groupe chirurgical avaient 2,5 fois plus d’ovulations spontanées que le groupe médical (rapport des taux d’incidence 2,5 [IC à 95 % 1,5-4,2], p < 0,0007). Entre les deux groupes, il y avait une diminution significative du poids moyen à 52 semaines passant de 125,2 ± 19,5 kg à 89,5 ± 16 kg dans le groupe 1, vs 116,3 ± 19 kg à 118,7 ± 19,4 kg dans le groupe 2.
Des observations similaires montraient un bénéfice significatif à 52 semaines sur le tour de taille, la tension artérielle, la glycémie à jeun, l’insulinémie à jeun, les taux de triglycérides (mais pas de cholestérol), de résistance à l’insuline, de phosphatases alcalines et de transaminase (ASAT) et l’hyperandrogénie biologique.
En revanche, il n’y avait pas de modification concernant l’hirsutisme, l’acné et l’alopécie de type androgénique. Sur le plan de la santé mentale, les questionnaires évaluant l’anxiété, la dépression et la qualité de vie montraient une amélioration significative des scores dans le groupe chirurgical.
Il y avait plus de complications dans le groupe chirurgical que dans le groupe médical, mais sans séquelles à long terme : 24 (66,7 %) événements indésirables dans le groupe chirurgical (dont une cholécystite et cinq infections pariétales) et 12 (30,0 %) dans le groupe médical. Des grossesses étaient observées dans chaque groupe (une dans le groupe 1, deux dans le groupe 2). Il n’y avait aucun décès lié au traitement.
De nouvelles recommandations internationales
La prise en charge des troubles du comportement alimentaire est une des pierres angulaires du traitement du SOPK associé à l’obésité. Les femmes qui ont une perte de poids substantielle et la maintiennent à long terme en tirent un bénéfice en termes de complications métaboliques, reproductives et de qualité de vie du SOPK.
Malheureusement la perte de poids moyenne est généralement modeste. Le traitement médical est lui aussi d’une efficacité limitée mais il est à noter que cette étude a été réalisée avant l’introduction de l’usage large des analogues du GLP-1 au sein du NHS.
Ce travail est la première étude randomisée et contrôlée montrant que la chirurgie bariatrique est plus efficace que les soins médicaux pour l’induction de l’ovulation spontanée chez les femmes atteintes du SOPK et d’obésité. Elle pourrait donc améliorer les perspectives de fertilité spontanée dans ce groupe de femmes. Sans oublier l’efficacité sur les complications inhérentes à l’obésité (métaboliques, anthropométriques, cardiovasculaires, hormonales, psychologiques …) ainsi que des grossesses moins compliquées.
La chirurgie bariatrique vient d’ailleurs d’être recommandée dans le SOPK associé à l’obésité par un consensus international (6). L’absence d’amélioration des signes d’hyperandrogénie clinique suggère que ces anomalies soient résistantes à la perte de poids. Néanmoins, une réévaluation de ces paramètres au-delà de 52 semaines serait intéressante.

Essai FLOW : Le sémaglutide 1,0 mg démontre une réduction de 24 % du risque d’événements liés à l’insuffisance rénale ch...
09/03/2024

Essai FLOW : Le sémaglutide 1,0 mg démontre une réduction de 24 % du risque d’événements liés à l’insuffisance rénale chez les patients atteints de DT2 et d’insuffisance rénale chronique
Les résultats principaux de l’essai FLOW (Effet du sémaglutide par rapport au placebo sur la progression de l’insuffisance rénale chez les sujets atteints de diabète de type 2 et d’insuffisance rénale chronique) ont montré que l’essai a atteint son critère d’évaluation principal en démontrant une réduction statistiquement significative et supérieure de la progression de la maladie rénale, des événements cardiovasculaires indésirables majeurs (MACE) et du décès de 24 % chez les personnes traitées par le sémaglutide 1,0 mg par rapport au placebo.
Le critère d’évaluation principal combiné comprenait cinq composantes mesurant la progression de l’insuffisance rénale chronique (IRC) et le risque de mortalité rénale et cardiovasculaire. Les composantes IRC et cardiovasculaire du critère d’évaluation principal ont toutes deux contribué à la réduction du risque. De plus, la supériorité du sémaglutide 1,0 mg par rapport au placebo a été confirmée pour les critères d’évaluation secondaires de confirmation.
FLOW était un essai de supériorité randomisé, en double aveugle, en groupes parallèles, contrôlé par placebo, comparant le sémaglutide injectable 1,0 mg à un placebo en complément du traitement standard sur les résultats rénaux pour la prévention de la progression de l’insuffisance rénale et le risque de mortalité rénale et cardiovasculaire chez les personnes atteintes de diabète de type 2 et d’IRC (défini comme DFGe ≥50 et ≤75 mL/min/1,73 m2 et UACR >300 et

La chirurgie est plus efficace que les modifications médicales et de style de vie pour le contrôle et la rémission du di...
05/03/2024

La chirurgie est plus efficace que les modifications médicales et de style de vie pour le contrôle et la rémission du diabète de type 2, selon une nouvelle recherche menée par une école de médecine de l’Université de Pittsburgh.

Dans la plus grande et la plus longue étude de suivi randomisée à ce jour, les chercheurs ont également constaté que la chirurgie bariatrique améliorait les taux de cholestérol et de triglycérides plus efficacement que les modifications médicales et de mode de vie.

« Cette analyse est la preuve la plus solide que nous ayons à ce jour que la chirurgie bariatrique est un outil sûr et efficace pour obtenir le contrôle et la rémission du diabète », a déclaré l’auteur principal, le Dr Anita Courcoulas, professeur au département de chirurgie de Pitt et chef du programme de chirurgie bariatrique mini-invasive à l’UPMC. « Cela indique que les personnes atteintes de diabète de type 2, même celles qui sont en dessous du seuil d’IMC pour la chirurgie bariatrique pour la perte de poids seule, devraient se voir proposer la chirurgie bariatrique comme traitement d’un diabète insuffisamment contrôlé. Ces résultats confirment la nécessité de soins souples et centrés sur le patient, en fonction des problèmes de santé et des objectifs de l’individu.

Les chercheurs ont comparé divers résultats tels que les mesures du contrôle de la glycémie (HbA1c), de la perte de poids, ainsi que de l’utilisation d’insuline et d’autres médicaments contre le diabète pour les participants inscrits à quatre essais cliniques randomisés distincts menés entre mai 2007 et août 2013 (Cleveland Clinic (STAMPEDE), Joslin Diabetes Center/Brigham and Women’s Hospital (SLIMM-T2D), Université de Pittsburgh (TRIABETES) et Université de Washington/Kaiser Permanente Washington (CROSSROADS).

Les quatre essais ont inclus des patients atteints de diabète de type 2 et d’obésité qui ont subi une chirurgie bariatrique ou ont participé à un programme médical et de style de vie basé sur des interventions établies dont il a été démontré qu’elles réduisaient le risque de diabète. Les chercheurs ont ensuite regroupé les données dans une étude achevée en 2022. Les résultats à long terme ont été analysés sept et, si possible, 12 ans après la randomisation.

Les patients du groupe de chirurgie bariatrique avaient systématiquement des taux d’HbA1c plus faibles, ce qui reflète un meilleur contrôle de la glycémie par rapport au groupe médical/mode de vie à chaque point de suivi, malgré le fait que l’étude ait commencé avec des valeurs de base plus élevées.

À la septième année, 18,2 % des participants du groupe chirurgie avaient obtenu une rémission du diabète, comparativement à 6,2 % dans le groupe médical/mode de vie. À la 12e année, la différence était encore plus frappante : aucun patient du groupe médical/mode de vie n’était en rémission du diabète, contre 12,7 % dans le groupe chirurgien. Même chez ceux qui n’ont pas connu de rémission, la chirurgie bariatrique a conduit à un contrôle supérieur de la glycémie avec moins d’utilisation de médicaments contre le diabète que le traitement médical/de style de vie.

Les résultats étaient cohérents dans tous les groupes de catégories de poids, montrant que la chirurgie est également bénéfique pour les patients dont l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur ou supérieur à 35 kg / m2 - le seuil typique pour le traitement de chirurgie bariatrique.

Bien que l’objectif de cette étude soit d’analyser les taux de contrôle et de rémission du diabète, les chercheurs ont également constaté que la chirurgie bariatrique était supérieure aux interventions médicales / de style de vie en termes de perte de poids durable. À la 12e année, les patients opérés avaient subi une perte de poids moyenne de 19,3 %, contre 10,8 % pour les patients du groupe d’intervention médicale/mode de vie.

Les chercheurs n’ont pas trouvé de différences dans la mortalité ou les événements cardiovasculaires majeurs entre les deux groupes. Cependant, l’anémie, les fractures et les symptômes gastro-intestinaux indésirables tels que les nausées et les douleurs abdominales étaient plus fréquents chez les participants ayant subi une chirurgie bariatrique.

Pris ensemble, les essais ont inclus 355 patients atteints de diabète de type 2. Les essais ont été réalisés avant la disponibilité généralisée des médicaments agonistes du GLP-1 pour la gestion du diabète et la perte de poids. Les interventions médicales et de style de vie dans les quatre sites étaient fondées sur des normes nationales pour la prise en charge intensive du diabète et comprenaient le suivi de l’activité physique et de la nutrition, un engagement accru avec l’équipe de soins de santé, la gestion du stress, des groupes de soutien et des médicaments disponibles au moment de l’inscription aux études. Les procédures de chirurgie bariatrique comprenaient le pontage gastrique Roux-en-Y, la sleeve gastrectomie et l’anneau gastrique réglable.

Les résultats ont été rapportés dans l’article « Résultats à long terme de la gestion médicale par rapport à la chirurgie bariatrique dans le diabète de type 2 », publié dans le JAMA.

La chirurgie bariatrique améliore la fonction pulmonaire chez les patients souffrant d’obésité et d’asthme La chirurgie ...
04/02/2024

La chirurgie bariatrique améliore la fonction pulmonaire chez les patients souffrant d’obésité et d’asthme
La chirurgie bariatrique initie « une perte de poids substantielle et améliore la fonction pulmonaire », selon des chercheurs de l’Université du Vermont. Les chercheurs ont également constaté que le plasma post-opératoire prélevé sur des volontaires montrait une réponse inflammatoire réduite des cellules qui tapissent les voies respiratoires par rapport au plasma pré-opératoire. Les résultats de cette étude s’alignent sur la littérature antérieure, qui montrent également les avantages de la chirurgie bariatrique tels que la perte de poids et l’amélioration de la fonction pulmonaire.
« Nos résultats suggèrent que si la perte de poids est bénéfique, les facteurs dérivés de la graisse ne sont peut-être pas les principaux contributeurs à l’asthme obèse », a déclaré le Dr Paola E Peña García, doctorante et auteure principale de l’étude.
Pour cette étude, les chercheurs se sont concentrés sur la compréhension des mécanismes à l’origine de ces améliorations dans l’espoir de développer de nouveaux traitements pour l’asthme obèse. En outre, les méthodes imitant éventuellement les avantages de la perte de poids, y compris l’exercice et les changements de régime alimentaire, peuvent également conduire à de nouvelles thérapies. L’équipe de recherche a entrepris d’apprendre comment l’obésité et la perte de poids affectent les voies respiratoires en ce qui concerne l’asthme. La méthode d’investigation a consisté à utiliser des cellules qui tapissent les voies respiratoires et contrôlent le rétrécissement des voies respiratoires.
Les chercheurs ont utilisé les résultats pour examiner les effets des facteurs circulants dérivés des graisses chez les patients obèses asthmatiques et non asthmatiques subissant une chirurgie bariatrique. Les scientifiques ont recueilli des données sur la fonction pulmonaire, l’indice de masse corporelle et la gestion autodéclarée de l’asthme. Le tissu adipeux a été prélevé lors d’une chirurgie bariatrique. Des échantillons de plasma ont été prélevés avant et à différents stades après la chirurgie bariatrique.
Ils ont constaté que la perte de poids après une chirurgie bariatrique diminue la capacité du plasma à augmenter la sécrétion de cytokines pro-inflammatoires par les cellules épithéliales bronchiques humaines, ce qui implique que les facteurs circulants mais non dérivés des adipocytes sont des modulateurs importants de l’asthme obèse.
« À notre connaissance, cette étude est la première à combler les lacunes dans la compréhension des effets des facteurs circulants et dérivés des adipocytes par l’exposition à des milieux conditionnés par les adipocytes (Ad-CM) sur les facteurs cellulaires pertinents dans l’asthme en utilisant des échantillons d’une étude longitudinale en cours suivant une cohorte de sujets obèses asthmatiques et non asthmatiques au cours de 12 mois après avoir subi une chirurgie bariatrique. « ont conclu les chercheurs. » Les données présentées montrent clairement que la perte de poids a un impact direct et bénéfique sur les réponses des voies respiratoires pulmonaires ; Cependant, le mécanisme exact par lequel cela fonctionne est encore inconnu.
Les résultats ont été présentés dans l’article intitulé « La chirurgie bariatrique diminue la capacité du plasma de sujets asthmatiques obèses à augmenter la production de cytokines pro-inflammatoires des cellules épithéliales des voies respiratoires », publié dans l’American Journal of Physiology-Lung Cellular and Molecular Physiology.

Le Sémaglutide n’est pas associé à une augmentation des pensées suicidairesLe sémaglutide utilisé dans le médicament con...
11/01/2024

Le Sémaglutide n’est pas associé à une augmentation des pensées suicidaires
Le sémaglutide utilisé dans le médicament contre le diabète Ozempic et le médicament de gestion du poids Wegovy n’est pas associé à un risque accru de pensées suicidaires, selon une étude menée par des chercheurs de la Case Western Reserve School of Medicine. Après avoir examiné environ 2 millions de patients atteints de diabète de type 2 ou d’obésité, l’équipe de recherche - dirigée par le professeur d’informatique biomédicale Rong Xu - n’a trouvé aucune preuve pour étayer les inquiétudes de l’Agence européenne des médicaments (EMA) selon lesquelles le sémaglutide peut provoquer des idées suicidaires

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