Kinésiologue Natacha

Kinésiologue Natacha Méthode douce et naturelle d'investigation du corps qui permet de déceler et lever les blocages ou stress qui nous empêchent d'utiliser tout notre potentie

Les mères narcissiques:Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).Il y a des mères qui pre...
07/08/2025

Les mères narcissiques:

Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).
Il y a des mères qui prennent toute la place.
Qui font tourner le monde autour d’elles.
Qui pleurnichent, se plaignent, se victimisent.
Et qui, derrière leurs larmes, manipulent.

Ce sont celles qui ne laissent jamais leurs enfants devenir adultes.
Elles vivent à travers eux.
Elles attendent qu’on serve leur égo, qu’on les écoute, qu’on les rassure.

Et si un enfant ose vivre pour lui-même, il sentira la culpabilité.
Ces mères-là ne veulent pas que leurs fils deviennent des hommes.
Elles veulent qu’ils restent leurs petits garçons, obéissants, loyaux, disponibles, à leur service.
Pas des hommes libres avec une vie à eux.
Pas des maris ni des pères autonomes.
Juste des fils dociles qui n’existent que pour elle.

Et leurs filles ?
Elles les envient, les écrasent ou les utilisent.
Elles les critiquent, les comparent, les rabaissent subtilement.
Trop ci, pas assez ça.
Elles voient en elles une rivale à contrôler ou une réplique à façonner à leur image.
Elles contrôlent, critiquent, comparent.
Et elles appellent ça AMOUR.

Elles exigent qu’on les mette au centre, à chaque repas,
chaque appel, chaque décision.
Elles surveillent, elles piquent, elles retournent les rôles.
L’enfant devient le parent.
Le parent devient l’enfant blessé qu’il faut réparer.
Et ça peut durer toute une vie.

😞 les conséquences de la manipulation, de la castration ? Elles sont silencieuses, mais profondes.
L’enfant devient un adulte angoissé, perfectionniste, contrôlant, incapable de se détendre.
Toujours à vouloir bien faire. À ne pas déranger. À faire plaisir.
Il a peur de mal faire, de décevoir, de ne pas être “assez”.
Il se coupe de ses besoins, de ses émotions, de sa liberté.
Il n’a pas appris à vivre pour lui.
Il a appris à survivre… pour elle.

✂️ Mais un jour, on ouvre les yeux.
On comprend que ce n’est pas de l’amour.
Que ce n’était pas normal.
Que ce n’était pas juste.
Et ce jour-là, une autre vie devient possible.
Ce n’est pas facile.
Mais c’est libérateur.

F Poulmarch

Oui… j’ai été l’homme qui a volé le sommeil de ta femme.J’ai été la raison derrière ses absences justifiées.J’ai été le ...
30/06/2025

Oui… j’ai été l’homme qui a volé le sommeil de ta femme.
J’ai été la raison derrière ses absences justifiées.
J’ai été le message qui faisait naître un sourire quand elle consultait son téléphone.
J’ai réveillé en elle quelque chose qu’elle croyait endormi.

Et je ne le dis pas avec fierté, je le dis avec sincérité.
Ne me déteste pas.
Je ne viens pas me moquer.

Je viens te poser une question que, peut-être, tu ne t’es jamais posée :
Qu’est-ce qui s’est passé pour qu’elle cherche quelqu’un comme moi ?
Qu’as-tu cessé de faire pour qu’un autre prenne ta place ?

Je ne suis pas arrivé dans sa vie par hasard.
Elle avait un vide. Et je l’ai vu.
Elle avait quelque chose de brisé… et moi, je l’ai écoutée.

Je l’ai traitée avec douceur, avec attention, avec de belles paroles,
avec ces mêmes choses que toi, un jour, tu lui avais données…
mais que tu as ensuite cessé de protéger.

Ce n’était pas juste du désir.
C’était une connexion.
C’était de l’attention.
C’était se sentir vue, appréciée… vivante.

Elle savait que c’était mal.
Elle me le disait dans chaque étreinte.
Elle se sentait coupable, déchirée entre le devoir et le désir.
Et pourtant, elle revenait.
Parce que personne ne peut supporter des années à être invisible sans se briser de l’intérieur.

Tu sais ce qui me faisait le plus mal, à moi qui l’aimais en silence ?
C’était de savoir que, même dans le chaos, son cœur continuait à te nommer.
Qu’elle te défendait quand nous parlions.
Qu’elle justifiait tes absences…
alors que c’était moi qui les comblais.

La société juge facilement.
Mais personne ne voit combien de fois une femme s’endort en pleurant,
en espérant que son mari la regarde à nouveau comme avant.
Combien de fois elle attend un « tu me manques », un « j’ai besoin de toi », un « merci pour tout »…
et ne reçoit que du silence.

Je ne suis pas fier.
Parce que la vérité, c’est celle-ci :
Je n’aurais jamais dû être nécessaire.
Un autre n’aurait jamais dû arriver… si toi, tu avais été là.

Ne me déteste pas.
Regarde-toi.
Regarde ton reflet et demande-toi :
Quelle partie de son âme ai-je laissée vide… pour qu’un autre vienne l’habiter ?

✨ Parfois, ce n’est pas un tiers qui détruit une relation.
Il entre…
parce qu’il restait déjà trop de place libre.

Ce n’est pas un simple refus de manger, c’est un message muet que beaucoup d’adultes ne prennent pas le temps d’entendre...
16/06/2025

Ce n’est pas un simple refus de manger, c’est un message muet que beaucoup d’adultes ne prennent pas le temps d’entendre. Un enfant qui rejette la nourriture ne cherche pas le conflit… il tente juste d’exprimer quelque chose qu’il ne sait pas encore formuler.

Peut-être qu’il a peur, qu’il se sent envahi, ou qu’il essaie juste de reprendre un peu de contrôle dans un monde trop grand pour lui. Et plus on le force, plus il se referme, plus ce qu’il ressent s’enfouit profondément.

Ce n’est pas une histoire d’appétit, c’est une histoire d’émotion. Et si on écoutait vraiment, on comprendrait qu’il ne demande pas de manger… mais d’être compris.

La kinesiologie pour comprendre leur ressenti.

FUIR L’AMOUR 💔Lorsque tu n’es pas en paix avec toi-même, tu projettes ton mal-être sur ceux qui tentent de t’aimer. Tu f...
12/06/2025

FUIR L’AMOUR 💔

Lorsque tu n’es pas en paix avec toi-même, tu projettes ton mal-être sur ceux qui tentent de t’aimer. Tu finiras par ruiner ce qu’on t’offre, non pas par manque d’amour, mais parce que tu ne sais pas quoi en faire. Parce que chercher le bonheur chez l’autre, c’est une illusion.

Travaille sur toi, car l’amour d’un autre ne sera jamais un baume sur tes blessures. Ce n’est pas à quelqu’un d’autre de réparer ce que tu refuses d’affronter. Tant que tu portes en toi une colère non résolue, des insécurités que tu ignores, des doutes que tu laisses grandir, tu transformeras inévitablement la douceur en chaos. Une main tendue deviendra une menace, une étreinte sincère se fera étouffante, et tu repousseras l’amour au moment même où il essaiera de t’apaiser.

On pourra t’aimer, te rassurer, te répéter ta valeur encore et encore, mais si toi-même tu n’y crois pas, ces mots résonneront comme des mensonges. Tu rejetteras l’amour, non pas parce qu’il n’est pas authentique, mais parce qu’au fond, tu crois ne pas en être digne. Et quand on pense qu’on ne mérite pas l’amour, on le sabote, on l’étrangle, on le détruit avant même qu’il ait eu le temps d’exister pleinement.

Tu pourras critiquer, rabaisser, faire douter la personne qui t’aime, pas parce qu’elle ne suffit pas, mais parce que tu ressens en toi ce vide que tu refuses de combler. Quelqu’un qui aime sincèrement essaiera d’apporter de la lumière là où il y a de l’ombre, mais si tu refuses d’ouvrir les yeux, tu finiras par l’éteindre aussi.

C’est pourquoi la guérison est essentielle. Tu ne peux pas verser à partir d’une coupe vide, ni bâtir une relation sur des fondations minées par la peur et le rejet de soi. Apprends à te reconstruire, à t’aimer, à te comprendre, pour que le jour où l’amour frappera à ta porte, tu sois capable de l’accueillir plutôt que de l’effrayer.

Ne laisse pas ton passé faire de toi une arme dirigée contre quelqu’un qui n’a rien à voir avec tes blessures. Prends la responsabilité de ton propre bonheur, pour que personne n’ait à porter le poids de ton cœur en plus du sien. Parce que si tu ne crois pas en toi, même l’amour le plus sincère ne pourra pas combler ce vide.

On peut t’aimer profondément, mais même la personne la plus forte ne pourra pas te sauver si tu refuses de te sauver toi-même. Si tu es brisé, reconnais-le. Si tu es perdu, trouve ton chemin. Si tu es blessé, cherche la guérison.

Ta douleur n’est peut-être pas de ta faute, mais ta guérison, elle, est ton devoir. Personne ne mérite d’être blessé parce que tu n’as pas fait ce travail. L’amour est censé être un refuge, pas un champ de ruines.

Alors, travaille sur toi. Pas seulement pour ceux qui t’aiment, mais pour toi-même. Aime-toi assez pour devenir quelqu’un qui sait recevoir l’amour au lieu de le fuir.

Francis Machabée

Tu t’es dit que c’était pour ton enfant.Que si tu partais, tu le briserais.Que si tu restais, tu le protégerais.Alors tu...
07/06/2025

Tu t’es dit que c’était pour ton enfant.
Que si tu partais, tu le briserais.
Que si tu restais, tu le protégerais.
Alors tu as tenu bon.
Tu as avalé des insultes.
Tu as dormi à côté de quelqu’un avec qui il n’y avait plus d’amour… ou pire : où il y avait des cris, du mépris, de l’humiliation, ou une guerre silencieuse.

Mais ce que tu n’as pas vu, c’est que ton enfant n’a jamais eu besoin que tu restes.
Il avait besoin de voir deux adultes émotionnellement sains… pas deux étrangers remplis de tension, de rancœur et de peur.
Il a grandi avec l’angoisse de ne pas savoir s’il y aurait des cris aujourd’hui.
Ou si tout allait exploser au moment du dîner.
Il a retenu que l’amour, c’est supporter.
Que la tendresse se mélange à l’indifférence.
Que la famille, c’est ça : un endroit où personne ne s’aime mais où personne ne part.

> « Je ne sais pas pourquoi… mais j’ai toujours peur quand ils rentrent à la maison. Quand je les entends parler, ma poitrine se serre. Je ne veux pas être là… mais je ne veux pas non plus qu’ils se séparent. Parce que s’ils se séparent… est-ce que ce sera ma faute ? »
— Regard d’un enfant

Lucía, 13 ans, a commencé à faire des crises d’angoisse.
Elle faisait p**i au lit.
On lui a diagnostiqué une gastrite nerveuse.
Ses parents se hurlaient dessus.
D’autres jours, ils ne se parlaient pas.
Ils dormaient dans le même lit, mais vivaient comme des ennemis.
Personne ne disait rien, mais l’atmosphère criait.
Lucía a seulement dit une phrase en thérapie :
« J’aimerais qu’ils divorcent… au moins on pourrait respirer à la maison. »

Pose-toi cette question avec honnêteté :
« Est-ce que j’élève mon enfant par amour… ou par peur de briser la famille ? »

Et si tu te rends compte que tu es resté(e) pour ne pas le briser…
souviens-toi que tu lui apprends à supporter ce qui te détruit.

Tu ne l’as pas protégé en restant.
Tu l’as laissé grandir au milieu de silences glacés, de tensions lourdes et d’affections brisées.
Tu lui as appris que l’amour, c’est survivre ensemble sans se toucher.
Sans se parler.
Sans s’aimer.

Ton couple peut se briser.
Ce n’est pas ça qui blesse un enfant.
Ce qui le brise…
c’est de vivre dans une maison où l’amour est parti,
et où la peur et la haine sont restées.

— Make Me Read ©️✍️

22/05/2025
Les addictions : un lien avec les non-dits. Les addictions ne sont pas simplement un manque de volonté ou une mauvaise h...
04/05/2025

Les addictions : un lien avec les non-dits.

Les addictions ne sont pas simplement un manque de volonté ou une mauvaise habitude. Ils sont une tentative désespérée de l'âme pour combler un vide, échapper à une douleur non nommée ou maintenir une loyauté invisible à l'histoire familiale. Chaque addiction a une signification profonde, une racine que souvent on ne voit pas à l'œil nu, mais qui se ressent à chaque répétition, à chaque rechute, à chaque impulsion incontrôlable.

On dit que le mot addiction vient de "non-dit", de ce qui est coincé dans la mémoire du corps et du système familial. Une douleur non résolue, un duel non élaboré, un amour qui n'est jamais venu. Qu'est-ce que quelqu'un tombe dans une addiction cherche à éviter ? Quelle histoire continue de résonner dans sa vie sans que je puisse l'arrêter ?

Les substances, les habitudes, les obsessions... toutes sont des manifestations d'un besoin plus profond.

Drogues (cocaïne, ma*****na, héroïne, etc. ) cherchent à se déconnecter d'une réalité insupportable, à oublier une blessure du passé ou à briser un lien avec l'autorité qui a été vécue comme oppressante.

L'alcool étouffe la peur de ressentir, le besoin d'échapper à la vie, la douleur d'une mère absente ou un amour qui n'a pas pu tenir.

Le tabac cherche à combler un vide maternel, à combler le manque de contact émotionnel ou à générer un sentiment momentané de calme.

Le sucre et le chocolat tentent de compenser l'absence d'amour et de tendresse, la faim de douceur que l'enfance n'a pas pu satisfaire.

Le sexe sans conscience remplace la vraie connexion par une recherche physique constante, confondant désir et amour.

Surtravailler est une course sans fin pour faire preuve de courage, pour sentir que l'on suffit dans un monde où la productivité vaut plus que sa propre vie.

L'exercice compulsif essaie de sculpter un corps qui ne sera peut-être jamais suffisant pour ceux qui ne s'acceptent pas.

Les courses compulsives remplissent des chariots vides comme ceux qui essayent de combler le vide intérieur avec des objets qui ne suffiront jamais.

Les relations toxiques et la dépendance émotionnelle reflètent la lutte pour retenir l'amour, pour ne pas être abandonné, pour ne pas ranimer une blessure déjà trop grande dans le passé.

L'obsession du contrôle est la peur de l'incertitude, la tentative de soutenir la vie avec force pour ne pas tomber dans le chaos.

L'attachement à la souffrance, au drame ou à la tristesse sont souvent une loyauté inconsciente à un destin familial où la douleur était la seule façon d'appartenir.

Chaque addiction est un message caché. Il ne s'agit pas seulement de la quitter, de la contrôler ou de la remplacer par une autre. Il s'agit de regarder sa racine, de se demander courageusement quel vide il essaie de combler et de reconnaître l'histoire qui la maintient.

Guérir une addiction n'est pas une bataille contre l'élan, c'est un processus de réconciliation avec le passé, un acte d'amour envers soi-même et une permission de vivre sans chaînes.

Parce que c'est seulement lorsque nous comprenons que ce que nous cherchons dehors ne pourra jamais combler ce qui manque à l'intérieur que nous pouvons enfin trouver la paix que nous désirons tant.

Aurore Medium

29/04/2025
La blessure de rejet : quand l’enfance façonne l’amour que l’on se refuseLe rejet, lorsqu’il s’infiltre dans le cœur d’u...
23/04/2025

La blessure de rejet : quand l’enfance façonne l’amour que l’on se refuse

Le rejet, lorsqu’il s’infiltre dans le cœur d’un enfant, ne se contente pas d’être une simple expérience douloureuse. Il devient une empreinte indélébile, un prisme à travers lequel il apprendra à se voir lui-même et à interpréter le monde qui l’entoure. Un enfant qui se sent rejeté ne remet pas en question ceux qui le repoussent ; il se remet en question lui-même. Il se dit que s’il n’est pas aimé, c’est qu’il ne le mérite pas. Alors, il tente de compenser, d’être plus gentil, plus obéissant, plus utile… mais toujours avec cette peur sourde au fond de lui : « Si je ne suis pas assez, on me laissera tomber. »

C’est ainsi que naît la quête infinie de reconnaissance, ce besoin insatiable d’être validé par les autres, non pas par égoïsme, mais parce que l’amour de soi lui a été refusé avant même qu’il puisse l’apprendre. Ce rejet initial devient une racine, s’étendant à chaque relation future. L’enfant grandit en devenant un adulte qui donne tout, qui s’efface, qui s’épuise à vouloir être indispensable pour mériter une place, un regard, une caresse.

Il entre dans des relations où il ne sait pas recevoir, car recevoir implique de croire qu’il en est digne. Alors, il donne sans compter, pense aux autres avant lui-même, endosse le rôle du sauveur en espérant qu’en guérissant les autres, il guérira lui-même. Mais ce qu’il ne voit pas, c’est que ce rôle l’enchaîne. Car en sauvant pour être aimé, il ne s’autorise jamais à être aimé sans condition.

Le rejet, lorsqu’il est inscrit si profondément, fait naître une étrange contradiction : une peur viscérale d’être abandonné, mais une incapacité à réellement se laisser aimer. Car aimer suppose d’être vu, d’être accepté tel que l’on est, et pour celui qui a été rejeté trop tôt, cela semble toujours dangereux.

Alors, comment guérir ? En cessant d’attendre que l’amour vienne de l’extérieur. En osant, pour la première fois, s’accorder ce que l’on a toujours cherché ailleurs. Se choisir. Se respecter. Se donner ce qu’on a tant offert aux autres. Et comprendre, enfin, que l’amour que l’on mérite n’a jamais été conditionnel. Il a simplement été oublié.

Auteur Malvina Mireille

« J’AI PAS LE CHOIX! »Probablement la phrase que j’entends le plus souvent dans ma profession! Une phrase que j’ai dite ...
06/04/2025

« J’AI PAS LE CHOIX! »

Probablement la phrase que j’entends le plus souvent dans ma profession! Une phrase que j’ai dite longtemps aussi » Combien de fois répondons-nous « j’ai pas le choix! » à quelqu’un qui nous donne un conseil ou qui nous propose une solution à l’un de nos problèmes? Souvent, cette phrase est précédée de « Oui mais… » comme dans « Oui mais j’ai pas le choix! »

Cette fameuse phrase est l’argument massue qu’a trouvé notre ego pour éviter de changer quoi que ce soit et ainsi se mettre en danger. En exposant notre problème, il attire l’attention et la compassion, en entendant la solution, il se réfugie dans son rôle de victime qui n’a, selon lui, aucun pouvoir sur la situation, d’où son célèbre « j’ai pas le choix! »

Ces quelques mots nous enferment dans une victimite aigue, dans un immobilisme ankylosant qui fait perdurer le problème, qui nous légitime de nous plaindre, qui gâche notre vie par peur d’oser s’en sortir.

Comprenons bien qu’à chaque fois que nous prononçons ces mots, c’est la victime en nous qui se plaint de son triste sort et qui renonce à vivre une vie meilleure, simplement pour le plaisir sadique de perpétuer sa souffrance.

Oui nous avons toujours le choix : le choix d’accepter ce que nous vivons. Le choix de dire « ça ne me plaît pas mais c’est ce que je vis en ce moment. Ça aussi passera » Le choix de dire « je ne trouve pas la solution pour faire autrement maintenant mais je vais y arriver ». Le choix de dire : « c’est trop difficile pour moi en ce moment, je vais aller chercher de l’aide ». Le choix de dire « Ouf! C’est pénible, mais tout passe, tout change ».

Ainsi, nous reprenons le pouvoir sur ce que nous vivons et surtout, surtout, nous cessons d’agir en victime, l’un des plus grands obstacles à notre bonheur.

Diane Gagnon
Auteur Coach Conférencière

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