Chloé De Smet - Nutrition & Diététique

18/11/2025

L’obesité n’est ni une question de volonté, ni un choix personnel!

Sur le plateau d’ , les propos de sur l’obésité infantile ont suscité de vives réactions, mais ils mettent surtout en lumière deux réalités préoccupantes.

➡️Tout d’abord, une méconnaissance profonde de l’obésité. Ce n’est ni un simple manque de volonté ni une affaire de choix personnels ; c’est une maladie complexe, liée à des interactions entre génétique, environnement et facteurs psychologiques. Réduire l’obésité à des jugements simplistes revient à nier l’expérience de celles et ceux qui en souffrent réellement.

➡️ Ensuite, cela rappelle à quel point la prévention en santé et en nutrition est essentielle. Il est indispensable de développer des actions de sensibilisation pour les parents comme pour les enfants. Comprendre l’importance d’une alimentation équilibrée dès le plus jeune âge est fondamental pour la santé future. Pour cela, des formations doivent être conduites par des professionnels de santé. Les associations de patients sont prêtes à contribuer pleinement à cette mission.

Ensemble, nous devons nous engager à lutter contre la grossophobie et à promouvoir une éducation nutritionnelle adaptée et bienveillante. La dignité et la santé de nos enfants en dépendent.

PS : Nous ne voulons pas accabler : nous voulons l’aider. C’est pourquoi nous lui proposons une sensibilisation autour de ce qui sera notre grande cause de l’année 2026 : l’obésité infantile.

En attendant, , vous pouvez toujours faire appel à la Ligue pour effectuer un droit de réponse plus que nécessaire et rappeler que la lutte contre la grossophobie est aussi une lutte pour la dignité.

03/11/2025

Naomi Wolf was 28 when she wrote The Beauty Myth, a book that challenged everything
women were taught to believe about beauty, success, and control. Published in 1990, it argued
that just as women had gained power through education and work, new forms of pressure had
replaced the old chains.
The world told women they were freer than ever but the mirror told another story. Dieting,
cosmetic surgery, and advertising had created what Wolf called a “cultural conspiracy” that kept
women focused on their bodies instead of their potential.
Her words landed like an earthquake. “A culture fixated on female thinness,” she wrote, “is not
an obsession with beauty, it is an obsession with obedience.” That line became a rallying cry for
a generation of women who realized their exhaustion was not personal failure but systemic
design.
Wolf connected the beauty industry to politics, showing how perfection sold as empowerment
was actually control disguised as self-improvement. Critics attacked her. Feminists debated her.
Millions read her anyway.
She went on to write about power, sexuality, and freedom in a voice that combined intellect with
urgency. Whether people agreed with her or not, she forced the world to confront how cultural
ideals were shaping women’s lives and how rebellion could begin with awareness.
Naomi Wolf’s work reminded readers that the most dangerous form of control is the one that
feels like choice. Her words still echo across decades of advertising and social media, warning
that beauty standards are not admiration they are obedience training.
Her story deserves to be told again.