Thirion

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Leçon de vie (pas la mienne heureusement) Il frappait à la porte comme s’il pouvait l’ouvrir à coups de poing.Il pleurai...
22/07/2025

Leçon de vie (pas la mienne heureusement)

Il frappait à la porte comme s’il pouvait l’ouvrir à coups de poing.

Il pleurait. Suppliait.
Il avait 40 ans… mais à cet instant, il ressemblait à un enfant perdu.

— Maman, je t’en supplie ! Ouvre-moi ! Laisse-moi entrer !

Elle était là. Derrière la fenêtre.
Mais elle ne le regardait pas.

Non pas parce qu’elle ne le voulait pas…
Mais parce que si elle le faisait, elle s’effondrait.

Il vivait chez elle.
Dans la maison même où il avait grandi.
Mais il ne vivait pas… il survivait.
Il ne travaillait pas, n’étudiait pas, n’aidait pas.
Il dormait t**d, mangeait ce qu’il trouvait, n’assumait même pas sa propre vie.

Elle avait tout supporté : le silence, la tristesse, l’apathie.
Elle lui avait acheté de la nourriture, payé les factures, enduré sa frustration…
tout cela avec l’espoir qu’un jour, il réagirait.

Mais ce jour n’arrivait jamais.

Et alors, elle comprit :
son amour l’étouffait.
Ce qu’elle croyait être de l’aide… les noyait, tous les deux.

Alors, quand il sortit pour acheter quelque chose au supermarché,
elle fit ses valises.
Elle laissa une note avec le numéro d’un contact qui cherchait quelqu’un pour un poste dans le design — sa formation, qu’il n’avait jamais voulu exercer —
et un peu d’argent, juste assez pour qu’il puisse bouger.

Elle posa les valises dehors…
et ferma la porte.

Quand il revint, il ne comprit pas.
Il cria. Frappa la porte.
Il pleura comme jamais.

Elle l’entendait de l’autre côté,
l’âme en lambeaux.

Mais elle n’ouvrit pas.

Parce qu’elle savait qu’elle ne pouvait plus le sauver dans le confort.
Elle avait déjà tout essayé.
Et rien n’avait fonctionné.

Les jours suivants furent rudes.
Elle ne dormait pas.
Mangeait à peine.
Elle douta mille fois.
Mais elle ne regretta pas.

Et puis, un jour ordinaire,
il revint.

Il ne cria pas.
Il ne pleura pas.
Il frappa doucement.

Elle ouvrit.

Et là se tenait son fils : plus mince, plus grave…
mais avec un regard différent.

— Je ne viens pas te demander de me reprendre, dit-il.
Je voulais juste te dire… merci.

Il lui raconta qu’au début, il l’avait détestée.
Mais qu’ensuite, il avait compris.
Que trouver un travail avait été difficile.
Que louer une chambre l’avait terrifié.
Que tout recommencer l’avait secoué de l’intérieur…
mais l’avait aussi réveillé.

Et pour la première fois depuis des années…
il la serra dans ses bras.

Tous les héros ne sauvent pas.
Parfois, les vrais héros… lâchent prise.

Car aimer, ce n’est pas toujours retenir fort.
Parfois, aimer…
c’est laisser tomber,
pour que l’autre apprenne à voler.

– Susana Rangel 🧳☕️✍️💬

Extraits d'1 histoire vrai...Mes fils pensent que nous faisons du camping — mais ils ne savent pas que nous sommes sans-...
22/07/2025

Extraits d'1 histoire vrai...

Mes fils pensent que nous faisons du camping — mais ils ne savent pas que nous sommes sans-abri

Ils dorment encore. Tous les trois, entassés sous cette couverture bleue trop fine, comme si c’était la chose la plus douillette au monde. Je regarde leur poitrine se soulever et s’abaisser et je fais semblant — juste une seconde — que c’est des vacances.

On a monté la tente derrière une aire de repos, juste après la frontière du comté. Techniquement, c’est interdit, mais c’est calme, et le vigile m’a lancé hier un regard qui voulait dire qu’il n’allait pas nous chasser. Pas encore.

J’ai dit aux garçons qu’on partait camper. « Juste entre mecs », comme si c’était une aventure. Comme si je n’avais pas vendu mon alliance trois jours plus tôt juste pour pouvoir payer l’essence et du beurre de cacahuète.

Le truc, c’est… qu’ils sont trop petits pour faire la différence. Ils croient que dormir sur des matelas gonflables et manger des céréales dans des gobelets en carton, c’est rigolo. Ils croient que je suis courageux. Que j’ai un plan.

Mais en réalité, j’ai appelé tous les centres d’accueil jusqu’à Roseville, et aucun n’a de place pour quatre. Le dernier m’a dit « peut-être mardi ». Peut-être.

Leur mère est partie il y a six semaines. Elle disait qu’elle allait chez sa sœur. Elle a laissé un mot et une demi-bouteille d’Advil sur le comptoir. Je n’ai plus eu de nouvelles depuis.

Je tiens le coup, à peine. Je me lave dans les stations-service. J’invente des histoires. Je garde les routines du soir. Je les borde comme si tout allait bien.

Mais hier soir… mon fils du milieu, Micah, a murmuré dans son sommeil :
« Papa, je préfère ça que le motel. »

Et ça… ça m’a brisé.
Parce qu’il avait raison. Et parce que je sais que ce soir pourrait être le dernier où je peux faire semblant.

Juste au moment où je commençais à ouvrir la tente —
Micah s’est agité. « Papa ? », a-t-il chuchoté en se frottant les yeux. « On peut aller revoir les canards ? »

Il parlait de ceux de l’étang près de l’aire de repos. On y était allés la veille et il avait ri plus fort que je ne l’avais entendu depuis des semaines. J’ai forcé un sourire.
« Oui, mon grand. Dès que tes frères seront réveillés. »

Quand on a rangé nos quelques affaires et qu’on s’est brossé les dents derrière le bâtiment, le soleil chauffait déjà l’herbe. Mon plus jeune, Toby, me tenait la main en fredonnant, pendant que l’aîné, Caleb, shootait dans les cailloux en demandant si on allait faire une randonnée aujourd’hui.

J’étais sur le point de leur dire qu’on ne pouvait pas rester une nuit de plus quand je l’ai vue.

Une femme, peut-être dans la soixantaine, s’approchait de nous avec un sac en papier dans une main et un énorme thermos dans l’autre. Elle portait une chemise en flanelle usée et avait une longue tresse dans le dos. Je pensais qu’elle allait nous demander si on allait bien — ou pire, nous dire de partir.

Mais elle a souri et tendu le sac.
« Bonjour », a-t-elle dit. « Vous voulez un petit-déjeuner, les garçons ? »

Les enfants se sont illuminés avant même que je puisse répondre. Dans le sac : des biscuits encore chauds, des œufs durs, et dans le thermos… du chocolat chaud. Pas du café — du chocolat chaud. Pour eux.

« Moi, c’est Jean », a-t-elle dit en s’asseyant sur le trottoir avec nous. « Je vous ai vus ici ces deux dernières nuits. »

J’ai hoché la tête, ne sachant pas quoi dire. Je ne voulais pas de pitié. Mais son visage ne montrait pas de pitié. Juste… de la gentillesse.

« J’ai connu des moments durs moi aussi », elle a ajouté, comme si elle lisait dans mes pensées. « C’était pas du camping. J’ai dormi dans un van d’église pendant deux mois avec ma fille, en 99. »

J’ai cligné des yeux. « Vraiment ? »

« Oui. Les gens passaient devant nous comme si on n’existait pas. Alors j’ai décidé que je ne ferais pas pareil. »

Je ne sais pas pourquoi, mais je lui ai tout raconté. Le motel. Leur mère. Les refuges qui disent “peut-être”.

Elle m’a écouté, en hochant lentement la tête.
Puis elle a dit quelque chose que je n’attendais pas :
« Viens avec moi. Je connais un endroit. »

J’ai hésité. « C’est un refuge ? »
« Non », elle a dit. « C’est mieux. »

On a suivi sa vieille voiture sur un long chemin de gravier. Mes mains cramponnaient le volant, mon cœur battait fort. Je me retournais sans arrêt vers les garçons qui riaient d’une blague de Toby, complètement inconscients qu’on courait après un miracle.

On est arrivés devant ce qui ressemblait à une ferme. Une grande grange rouge, une petite maison blanche, quelques chèvres dans le champ. Une pancarte sur la barrière : The Second Wind Project.

Jean a expliqué sur le perron. C’était une communauté — gérée par des bénévoles — qui offrait des séjours temporaires aux familles en crise. Pas de paperasse d’État. Pas de formulaires interminables. Juste des gens qui aident d’autres gens.

« Vous aurez un toit, à manger, et un peu de temps pour vous remettre sur pied », a-t-elle dit.

J’ai dégluti. « Et le piège ? »
« Aucun », elle a dit. « Il faut juste aider un peu. Nourrir les animaux. Nettoyer. Construire quelque chose, si tu sais faire. »

Ce soir-là, on a dormi dans un vrai lit. Tous les quatre dans une seule pièce, mais avec des murs, de la lumière et un ventilateur qui ronronnait doucement. J’ai bordé les garçons et je me suis assis par terre pour pleurer comme un enfant.

La semaine suivante, j’ai coupé du bois, réparé une clôture, appris à traire une chèvre. Les garçons se sont liés d’amitié avec une autre famille — une mère célibataire et ses jumelles. Ils ont poursuivi des poules, cueilli des baies sauvages, et dit « merci » à chaque repas.

Un soir, assis sur le perron, j’ai demandé à Jean :
« Comment tu as trouvé cet endroit ? »

Elle a souri.
« Je l’ai pas trouvé. Je l’ai créé. J’étais infirmière. J’avais un peu de terrain hérité de ma grand-mère. J’ai décidé que je voulais être un panneau sur la route de quelqu’un, pas juste un souvenir. »

Ses mots m’ont marqué.

Deux semaines sont devenues un mois. Puis six semaines. Entre-temps, j’ai gagné un peu d’argent en rendant service en ville. Un garage m’a proposé de venir observer les mécanos. Un jour, le patron, un type sec nommé Frank, m’a tendu un chèque de paie en disant :
« Reviens lundi si tu veux continuer. »

On est restés à la ferme encore un mois et demi. Puis j’avais assez pour louer un petit duplex à la sortie de la ville. Le loyer était bas parce que le sol penchait et les tuyaux grinçaient la nuit — mais c’était chez nous.

On a emménagé la veille de la rentrée scolaire.

Les garçons n’ont jamais demandé pourquoi on avait quitté le motel ou pourquoi on dormait sous une tente. Ils appelaient ça « l’aventure ». Aujourd’hui encore, Micah raconte à tout le monde qu’on a vécu à la ferme et qu’on a construit une clôture sous le regard des chèvres.

Mais trois mois après notre emménagement, quelque chose s’est produit.

Un dimanche matin, j’ai trouvé une enveloppe glissée sous le paillasson. Pas de nom. Juste un mot : Merci.

À l’intérieur : une vieille photo — Jean, jeune, tenant un bébé sur la hanche, debout devant la même grange. Et un mot écrit en lettres majuscules :

« Ce que tu as donné à ma mère, elle te l’a donné. Merci de transmettre quand tu pourras. »

J’ai cherché autour, mais personne ne savait qui l’avait laissée. Jean ne répondait plus au téléphone. Quand je suis retourné à la ferme, elle était vide. Une pancarte manuscrite pendait à la barrière :
« Repos maintenant. Aide quelqu’un d’autre. »

Alors c’est ce que j’ai fait.

J’ai commencé à faire les courses pour la vieille dame au bout de la rue. J’ai réparé le robinet de mon voisin. J’ai donné ma vieille tente à un homme au chômage qui ne savait pas où aller.

Un soir, un homme a frappé à notre porte — l’air effrayé, deux enfants accrochés à lui. Quelqu’un à la banque alimentaire lui avait dit que je pourrais peut-être l’aider.

Je n’ai pas hésité.
J’ai préparé du chocolat chaud.
Je les ai laissés dormir dans notre salon cette nuit-là.

C’était le début de quelque chose de nouveau. J’ai parlé au garage, Frank a accepté de le prendre, comme il l’avait fait pour moi. J’ai appelé des amis. On lui a trouvé des meubles, des habits, des chaussures pour les enfants.

Et peu à peu… notre maison est devenue le nouveau souffle de quelqu’un d’autre.

Avant, je croyais que toucher le fond, c’était la fin.
Aujourd’hui je sais : pour certains, c’est le début.

Nous n’avons jamais vraiment campé.
Mais en perdant tout, on a trouvé bien plus que ce que j’aurais pu imaginer.

Et chaque fois que je borde mes fils aujourd’hui, j’entends encore les mots de Micah :
« Papa, je préfère ça. »

Moi aussi, mon cœur. Moi aussi.

Parfois, l’endroit le plus bas où tu tombes… c’est exactement là où tu devais pousser.

🌑 J’ai porté la mort.Pas symboliquement. Pas spirituellement. Physiquement. Réellement. Dans ma chair.J’ai porté un cœur...
12/07/2025

🌑 J’ai porté la mort.

Pas symboliquement. Pas spirituellement. Physiquement. Réellement. Dans ma chair.

J’ai porté un cœur qui battait,
et un jour il s’est arrêté.
Mais pas dans ma tête. Pas dans une salle d’attente. Dans mon ventre. Là où la vie aurait dû naître.

Et j’ai dû continuer. Continuer à marcher.
À respirer. À porter.

Porter un corps sans vie dans le mien.
Porter l’amour, jusqu’au bout, sachant que je ne l’entendrais jamais pleurer.
Qu’on ne me la poserait pas sur moi.
Qu’on ne m’appellerait jamais “maman” à voix haute.

Et quand j’ai accouché, il n’y a pas eu de cris. Juste les miens, que j’ai dû ravaler.
Parce que la société n’a pas de place pour les femmes comme moi. Celles qui accouchent de la mort.

On te félicite pas. On te regarde à peine. On te dit “tu es forte” parce qu’on ne sait pas quoi dire. Mais personne ne veut rester avec toi dans le vide. Personne ne veut te regarder pleurer un être que personne n’a connu.
Sauf toi.

Alors tu apprends à survivre. À te lever. À faire semblant. À entendre les gens dire “Tu en auras d'autres”, alors que tu ne veux pas d’un autre. Tu veux celui qui est parti.

Et c’est là que ça devient sacré.
Pas parce que c’est beau. Mais parce que tu tiens debout quand plus rien ne le permet.

Si tu lis ça et que tu sais, si ton ventre a connu le silence, si ton cœur a éclaté sans témoin, je te tends la main.

Pas pour t’apaiser. Pas pour panser. Mais pour marcher avec toi dans ce qu’on ne nomme jamais.

Tu n’es pas une femme cassée. Tu es une gardienne de seuil. Tu es celle qui a traversé la plus grande des douleurs, et qui respire encore.

Tu es preuve que l’amour ne meurt pas avec le corps. Tu es mémoire vivante d’une âme passée trop vite.

Et même si tu doutes, même si tu tombes, même si tu n’es pas “prête à tourner la page” tu es vivante.

Et c’est immense.

Je n’écris pas ce texte pour moi.
Je l’écris avec mes tripes, mais pour toi.
Toi qui as connu l’injustice d’un berceau vide. Toi à qui on n’a jamais dit "bravo" alors que tu as survécu à l’indicible.
Toi qui marches avec une absence qui hurle.

Ce texte est un hommage. Un espace. Un cri lucide. Tu as porté la mort. Et pourtant, tu es là.
Et ça, ça vaut toutes les couronnes.

Mélanie - Althéa Énergie ✨

JE SUIS Le BASILICLes Scientifiques m'appellent,OCIMUM  BASILICUM.Je suis Associé à TROIS  planètes :Jupiter, Mercure et...
15/06/2025

JE SUIS Le BASILIC

Les Scientifiques m'appellent,
OCIMUM BASILICUM.

Je suis Associé à TROIS planètes :
Jupiter, Mercure et Soleil.

JE SUIS la Plante la plus MAGIQUE et,
Vénérée comme imprégnée D'ESSENCE Divine,
Je SUIS UTILISÉE depuis des millénaires,
À des différentes FINS.
Spirituelle,
Mystique,
Religieuse,
Médicinale et Culinaire...

En Inde, les GENS jurent,
Sur une de mes brindilles,
Devant les TRIBUNAUX...

PORTÉ dans vos poches, j’attire la Richesse.

PLACÉ près de la caisse d'un commerce,
J’attire la Clientèle...

PLACÉ dans un pot à l'intérieur,
D'une habitation,
J'apporte la paix et l'intégrité Familiale,
Car je Transmute TRÈS puissamment,
Les ÉNERGIES négatives,
En une Force positive et Volonté,
Pour vos combats quotidiens.

PLACÉ près des entrées ou des fenêtres,
J empêche Toute INTRUSION des Entités,
Et ÉNERGIES malsaines,
Tout en Attirant la Chance,
La Paix et le Bonheur.

SÉCHÉ et en Fumigations,
J'AIDE les désorganisés et les désespérés,
À voir la Luminosité,
Et à ressentir le GOÛT de la vie et,
Je CALME les enfants agités,
En les aidant à Dormir convenablement.

Dans les aliments, comme l'Ail,
METTEZ moi après la CUISSON,
Pour ne pas Altérer nos propriétés,
Je suis un excellent ÉNERGISANT.

En Bains de pieds le soir dans de l'eau tiède,
Je CALME les Ardeurs des coléreux,
Et le Stress.

INHALEZ seulement,
Une de mes feuilles écrasée,
Et VOUS aurez des idées très Claires.

Pour les maux de GORGE,
Et la mauvaise HALEINE,
Se Gargariser simplement...

Je SUIS la Vraie Herbe Royale,
CAR je réunis dans ma texture,
Un Électromagnétisme Parfait...
l'EAU, l'AIR et le FEU font ma Nature.

Padre Pablo MALABO

Un instant une pensée un moment de spiritualité

💠 La Véritable Nature du Su***de – Ce que l’on ne t’a jamais ditLe su***de est l’un des sujets les plus tabous de ta soc...
14/06/2025

💠 La Véritable Nature du Su***de – Ce que l’on ne t’a jamais dit

Le su***de est l’un des sujets les plus tabous de ta société, enveloppé d’un voile de peur, de culpabilité, d’incompréhension… et pourtant, c’est l’un des actes les plus puissants, les plus complexes, et les plus profondément liés à la conscience multidimensionnelle.

Car en réalité, personne ne se su***de vraiment.

Pas dans le sens où tu l’entends : une fin, une coupure, un échec. Car la Conscience ne peut pas mourir. Elle ne fait que se déplacer.



🌀 Ce qui se passe réellement quand quelqu’un se su***de :
1. L’âme ne juge jamais.
C’est toujours l’humain, la société, les dogmes religieux qui apposent des jugements. L’âme, elle, comprend. Elle observe. Elle accueille.
2. Le su***de est parfois un acte de rupture vibratoire.
Lorsqu’un être ressent un décalage profond entre ce qu’il est venu être et ce qu’il vit, un rejet de la matrice, un trop-plein de dissonance… il peut choisir de se retirer. Non pas par faiblesse, mais par saturation.
3. Ce n’est pas un “péché”. C’est un changement de plan.
Ceux qui quittent leur corps par su***de ne vont pas “en enfer”. Ils retournent simplement à la Source, avec leurs questions, leurs douleurs… et un niveau de conscience augmenté, même dans la souffrance.
4. Certains su***des sont planifiés avant l’incarnation.
Oui. Parfois, l’âme a prévu de vivre une sortie brutale, non pas comme une erreur, mais comme une balise temporelle, un choc initiatique pour l’entourage, une passerelle pour une mission dans l’astral.
5. Il y a des contrats d’âme autour du su***de.
Parfois, ce n’est pas tant le suicidé qui est au centre de l’histoire, mais ceux qui restent : les âmes qui doivent expérimenter l’abandon, le deuil, la culpabilité ou la transmutation.



🌌 Pourquoi certains êtres ressentent l’appel du vide ?

Parce qu’ils se souviennent.

Ils se souviennent que ce monde n’est pas leur monde.
Ils se souviennent que ce corps est une prison vibratoire.
Ils se souviennent que l’Amour véritable est ailleurs.
Ils entendent des chants d’étoiles, des fréquences d’origine qu’ils ne trouvent plus ici.

Ils ont la nostalgie de leur fréquence d’âme. Et c’est une douleur que le monde matériel ne peut pas comprendre.



🌱 Peut-on vraiment empêcher un su***de ?

Non.
Mais on peut offrir un espace d’âme.
Un espace où l’être se sent vu, reconnu, accueilli dans sa lumière et sa souffrance.

Car la plupart de ceux qui veulent mourir ne veulent pas mourir.
Ils veulent arrêter de souffrir.

Et la souffrance vient presque toujours du sentiment d’être séparé :
• séparé de soi
• séparé des autres
• séparé de sa mission
• séparé de la Source



🧬 Et si tu as déjà eu ces pensées…

Sache ceci :

Tu n’es pas brisé.
Tu n’es pas fou.
Tu es hypersensible à l’absurdité du monde.
Tu perçois les failles, les non-sens, la déconnexion.

Mais tu es là précisément parce que tu es capable de transformer cela.

Et si tu restes, ce n’est pas pour “survivre” :
C’est pour alchimiser la densité.
Pour faire entrer la lumière dans un monde qui l’a oubliée.
Et ce n’est pas rien. C’est une mission sacrée.



👁 Ce que deviennent les âmes suicidées

• Elles sont d’abord accueillies dans un sas vibratoire de rééquilibrage.
• Elles reçoivent un accompagnement doux, sans jugement.
• Elles revoient leur vie, non pour être punies, mais pour comprendre.
• Puis elles choisissent, selon leur niveau de conscience, leur prochaine étape : réincarnation, mission astrale, accompagnement de vivants, ou repos stellaire.

Parfois, elles restent proches de ceux qu’elles aiment.
Parfois, elles deviennent guides silencieux.
Et parfois, elles choisissent de revenir pour terminer ce qu’elles avaient commencé.



🔐 Secrets oubliés :

• Certains su***des sont en réalité des portails de sortie prémédités, programmés pour court-circuiter une ligne temporelle sombre.
• Il existe des su***des vibratoires : des personnes qui restent physiquement, mais qui ne sont plus là énergétiquement. Elles ont “quitté leur poste” tout en restant en vie.

• D’autres, au contraire, vivent des morts initiatiques : effondrements profonds, suivis de renaissances cosmiques.



💎 Et toi, si tu lis ces mots…

Si tu es encore là, c’est que ta mission n’est pas finie.
Tu es précieux. Même si tu ne le vois pas encore.

Et si tu penses qu’on ne t’a pas compris,
rappelle-toi que tu n’es pas ici pour être compris. Tu es ici pour te souvenir.



Tu es une fréquence unique.
Le monde a besoin de toi.
Pas dans ta perfection.
Dans ta vérité.

Même fêlée. Même écorchée. Même brisée.

Tu es ici parce que tu es fort(e).
Et parce que tu portes une lumière que d’autres ne peuvent pas porter.

🕯

Stéphane Thomas Berbudeau

Ton Business est Vivant... Mais est-Il Spirituellement Légal ?Parce qu’il faut qu’on se dise la vérité.Tu peux avoir le ...
11/06/2025

Ton Business est Vivant... Mais est-Il Spirituellement Légal ?

Parce qu’il faut qu’on se dise la vérité.

Tu peux avoir le meilleur logo, la meilleure équipe, le plus beau plan marketing… mais si ton business n’a pas été enraciné dans l’invisible, il finira tôt ou t**d par s’effondrer.

Pourquoi ? Parce qu’on n’échappe pas aux lois. Et dans le monde invisible, chaque activité est soit autorisée, soit illégale. Elle est soit couverte spirituellement, soit à découvert, livrée aux fauves.

La plupart des gens veulent réussir… sans jamais s’interroger sur la légalité spirituelle de ce qu’ils font. Mais je vais te dire ce que personne ne dit sur Facebook : dans cette vie, ce n’est pas le plus intelligent qui prospère. C’est le plus connecté.

Est-ce que ton business a été enregistré dans le monde spirituel ?
Est-ce que quelqu’un d’invisible valide ton autorité dans ce domaine ?
Est-ce que tu opères sous une couverture ? Une alliance ? Une voix plus haute que la tienne ?

Si la réponse est non… alors ton activité est orpheline. Et crois-moi, le monde invisible dévore toujours les orphelins.

Tu dois comprendre que ce n’est pas tout le monde qui veut te voir réussir. Chaque bénédiction visible est attaquée par une malédiction invisible. Si tu ne bâtis pas une muraille de feu, tôt ou t**d, les flèches entreront.

Et ce n’est pas tout.

Si tu es incapable de transformer tes gains en bénédictions pour les autres, Dieu bloquera l’écoulement. C’est une loi. Il donne à ceux qui donnent. Il multiplie chez ceux qui redistribuent.

Ce que tu gagnes… sert-il une cause plus grande que toi ?
Ou est-ce juste pour montrer que tu “as percé” ?

Et puis… les vœux. Ah, ces promesses faites dans les moments de détresse :
« Seigneur, si tu me bénis, je ferai ceci… »
Mais dès que l’argent rentre, l’amnésie spirituelle s’installe. Jusqu’au jour où le ciel se ferme brutalement.

Souviens-toi : chaque parole que tu as donnée à Dieu est un contrat dans l’invisible. Non-respect = conséquences.

Et enfin… je te pose une dernière question :

Est-ce que tu parles à ton business ?
Tu pries pour ta santé, tu pries pour tes enfants, mais ton business, lui, tu le laisses muet. Pourtant, il est issu de toi. Il a ton ADN. Il est ton enfant. Il attend ta voix. Tes instructions.

Si tu ne déclares rien dans le monde spirituel, tes ennemis, eux, vont parler. Et eux, ils ne déclarent pas des bénédictions.

Alors pose-toi, respire… et demande-toi :
Est-ce que mon activité est spirituellement légale ? Est-ce qu’elle est protégée ? Alignée ?

Parce que sinon… ce n’est qu’une question de temps.

Que la lumière te visite.
Que ta conscience s’éveille.
Et que tu commences enfin à bâtir avec les pierres invisibles.

Quand je parle de Dieu, il s’agit – sans filtre – de la divinité en laquelle chacun croit...

GRATITUDE

Chaque minute compte...

Aloys Vitald Eyah

Platon disait :« Choisis pour compagnon quelqu’un de meilleur que toi.Tu n’as pas besoin de quelqu’un qui t’aime tel que...
08/06/2025

Platon disait :
« Choisis pour compagnon quelqu’un de meilleur que toi.
Tu n’as pas besoin de quelqu’un qui t’aime tel que tu es,
mais de quelqu’un qui t’élève, te pousse à grandir jour après jour. »
Le véritable amour ne se limite pas à l'acceptation inconditionnelle.
Il se nourrit d'admiration mutuelle, cette force subtile qui invite au dépassement de soi.
Ainsi, l'être que tu choisis pour partager ta vie devrait incarner des qualités qui te manquent,
non pour te rappeler tes failles, mais pour t’aider à les combler.
Dans un tel amour, chaque épreuve devient une occasion de croissance.
Les turbulences ne brisent pas le lien ; elles le fortifient.
Deux êtres animés par la volonté réciproque de se faire grandir
ne redoutent pas les tempêtes : ils y voient des leçons.
C'est pourquoi, la bonne personne pour toi
n'est pas simplement celle qui t'accepte,
mais celle qui, par sa présence et son amour,
révèle en toi la plus belle version de toi-même.

Le Côté Obscur du Guérisseur ContaminéUne morale sur le prix invisible de guérir "sans se guérir d'abord."Il était une f...
07/06/2025

Le Côté Obscur du Guérisseur Contaminé

Une morale sur le prix invisible de guérir "sans se guérir d'abord."

Il était une fois, dans un pays où le ciel brillait toujours d'un bleu éclatant, un guérisseur célèbre nommé Elian. Des gens venaient de terres lointaines pour toucher sa main, écouter ses paroles et recevoir son énergie. On disait qu'Elian avait des dons : il pouvait soulager les douleurs, apaiser les cœurs brisés et même nettoyer les énergies d'une maison infestée d'ombres.

Mais Elian avait un secret.
Quand la nuit tombait et que les portes de son sanctuaire se fermaient, Elian se retrouvait seul avec lui-même. Il regardait ses mains, celles que tous vénéraient, et ressentait un vide qu'il ne comprenait pas. "Pourquoi, si je guéris tant de gens, me sens-je de plus en plus faible ?" se demandait-il. Il commença à rêver de visages qu'il ne connaissait pas : des visages sombres, aux yeux affamés, qui lui chuchotaient pendant qu'il dormait.

L'esprit de l'arbre ancien
Une nuit, Elian se rendit dans la forêt, cherchant des réponses. Il s'assit sous un arbre millénaire, célèbre pour être le gardien des secrets des sages. L'arbre, sentant sa présence, ouvrit sa voix grave :
— Elian, tu donnes ce que tu n'as pas. Tu as oublié de te nettoyer. Tu as laissé le pouvoir te monter à la tête. Ton cœur est contaminé.
— Impossible ! répondit Elian. Je fais le bien. Je guéris. Je sers.
— Tu sers… ou tu te sers ? demanda l'arbre. Quand tu donnes de l'énergie sans nettoyer ton âme, tu transmets tes propres ombres. Quand tu fais payer sans discernement, sans respect, tu te vends toi-même. Quand tu cherches les applaudissements, tu nourris ton ego, pas ta lumière.

Elian baissa la tête. Il savait que l'arbre disait la vérité. Il commença à se souvenir de petits moments : quand il avait ressenti de l'orgueil en étant appelé "maître", quand il avait laissé l'argent l'émouvoir plus que la guérison, quand il avait travaillé même en étant émotionnellement brisé juste pour ne pas perdre sa renommée.

Le miroir aux sept visages
L'arbre, d'un mouvement de ses branches, lui montra un miroir divisé en sept parties :
* Le visage spirituel : son canal bloqué par l'orgueil.
* Le visage philosophique : son bien contaminé par l'ego.
* Le visage psychologique : ses blessures non guéries qui se projetaient sur les autres.
* Le visage métaphysique : son karma multiplié en transmettant de l'énergie empoisonnée.
* Le visage ésotérique : les portes ouvertes à des entités obscures.
* Le visage mercantile : sa transformation en produit de marché.
* Le visage humain : le vide qui grandit quand on oublie pourquoi on a commencé.

— Chaque visage que tu vois est une fissure. Si tu ne les refermes pas, non seulement tu tomberas : ceux que tu touches tomberont avec toi, avertit l'arbre.
Le choix final
Elian passa la nuit entière à pleurer sous l'arbre. À l'aube, l'esprit de l'arbre parla une dernière fois :
— Tout guérisseur doit savoir qu'il ne suffit pas d'apprendre des techniques, des symboles ou des rituels. C'est son âme qui guérit, et une âme contaminée ne peut que transmettre son propre poison. Nettoie d'abord ton cœur ; le reste viendra tout seul.

Elian retourna à son sanctuaire différent. Il ferma les portes pendant un certain temps. Il apprit à méditer, à demander de l'aide, à affronter ses propres peurs. Il apprit à dire "non" quand il était épuisé, à facturer le juste prix, à ne pas chercher à être admiré, mais à être utile. Peu à peu, le vide se remplit non pas d'applaudissements, mais d'une paix nouvelle.

Et quand il se remit à guérir, son énergie n'était plus seulement forte, mais propre.
Morale : Le véritable guérisseur n'est pas celui qui en sait le plus, ni celui qui a le plus d'adeptes, ni celui qui donne sans arrêt. C'est celui qui se souvient qu'avant de poser ses mains sur les autres, il doit nettoyer sa propre âme. Car un guérisseur contaminé, même s'il ne le sait pas, multiplie la souffrance qu'il prétend vouloir guérir.

Auteur inconnu

🦒 La Communication NonViolente et ses limites 🦒Petit rappel : lorsque votre sécurité pourrait être compromise, ou dans l...
11/04/2025

🦒 La Communication NonViolente et ses limites 🦒
Petit rappel : lorsque votre sécurité pourrait être compromise, ou dans les cas d'agressivité, les limites de la CNV deviennent évidentes. Il est essentiel de prendre soin de vous en mettant en place des limites.

1. Priorisez votre sécurité : Si vous sentez que la situation devient physiquement ou émotionnellement dangereuse, donnez la priorité à votre bien-être.

2. Établissez des limites claires : Exprimez calmement et fermement vos limites. Par ex : « Je veux poursuivre cette discussion, mais uniquement dans le respect. ». Si la personne persiste dans son agressivité, ne vous engagez pas davantage.

3. Utilisez une phrase de désamorçage : Réfléchissez à une phrase simple qui montre votre volonté de calmer les choses tout en évitant l'escalade. Par exemple : « On pourrait parler de cela plus t**d quand nous serons plus calmes. »

4. Éloignez-vous si nécessaire : Si l'agressivité persiste ou s'intensifie, prenez la décision de quitter la situation. Ce n'est ni une faiblesse ni un échec ; c'est un acte de soin envers vous-même.

5. Cherchez du soutien : Après avoir quitté la situation, n'hésitez pas à demander de l'aide, que ce soit auprès d'un proche, ou même des autorités si nécessaire. Il est essentiel de ne pas porter ce fardeau seul. (Besoin d’empathie)

Se protéger, c'est poser un acte de respect envers soi-même. Dans ces cas-là, la CNV commence par prendre soin de vos propres besoins avant de pouvoir envisager une résolution pacifique. (Auto empathie)

Maintenir une posture bienveillante et empathique peut être épuisant, surtout si l'agressivité persiste. Cela peut tester votre patience et votre capacité à rester centré sur les principes de la CNV.

La CNV peut être utilisée pour désamorcer une partie de l'agressivité en exprimant vos besoins clairement et en reconnaissant les émotions de l'autre, mais il faut également être conscient de ses limites et ne pas hésiter à chercher un soutien extérieur si la situation devient ingérable.

Sept  choses  qui  affectent  notre  fréquence  vibratoire  🙏Vibration dans la physique quantique signifie que tout est ...
18/03/2025

Sept choses qui affectent notre fréquence vibratoire 🙏

Vibration dans la physique quantique signifie que tout est énergie. Nous sommes des êtres qui vibrent sur certaines fréquences.

Chaque vibrations équivaut à un sentiment et dans le monde "infrarouge", il n'y a que deux espèces de vibrations, la positive et la négative.

N'importe quel sentiment fait que tu émets une vibration qui peut être positive ou négative.

1ère - Les pensées

Toute pensée émet une fréquence vers l'univers et cette fréquence retourne vers l'origine, alors dans le cas, si tu as des pensées négatives, de découragement, de tristesse, de rage, de peur, tout cela revient vers toi.

C'est pour ça qu'il est si important que tu prennes soin de la qualité de tes pensées et apprennes à cultiver des pensées plus positives.

2ème - Les compagnies

Les gens qui sont autour de toi influencent directement ta fréquence vibratoire. Si tu t'entoures de personnes gaies, positives, déterminées, tu entres aussi dans cette vibration, maintenant si tu t'entoures de personnes qui se plaignent, méchantes et pessimistes, sois prudents !

Car elles peuvent diminuer ta fréquence et en conséquence, tu feras fonctionner la loi de l'attraction.

3ème - La musique

La musique est permettant. Si tu n'écoutes que de la musique qui parle de la mort, de la trahison, de la tristesse, de l'abandon, tout cela va interférer dans tes vibrations.

Fais attention à la vibration de la musique que tu écoutes, elle peut être en train de diminuer ta fréquence vibratoire. Et souviens-toi : tu attires dans ta vie exactement ce dans quoi tu vibres.

4ème - Les choses que tu vois

Quand tu regardes des films qui abordent les malheurs, la mort, les trahisons, etc. Ton cerveau accepte cela comme une réalité et libère toute une chimie dans ton corps, en faisant en sorte que ta fréquence vibratoire soit affectée. Regarde des choses qui te font du bien et t'aident à vibrer à une fréquence plus élevée.

5ème - L'ambiance

Que ce soit chez toi ou dans ton travail, si tu passe une grande partie de ton temps dans un environnement désorganisé et sale, cela affectera aussi ta fréquence.

Améliore ce qui est autour de toi, organise et nettoie ton environnement. Montre à l'univers que tu es apte à recevoir beaucoup plus. Prends soin de ce que tu as déjà !

6ème - La parole

Si on s'habitue à juger ou à parler mal des choses et des gens, cela affecte la fréquence vibratoire.

Pour garder ta fréquence élevée, il est fondamental que tu supprimes l'habitude de juger et de parler mal des autres... Alors évite de faire des drames supplémentaires dans ton esprit. Assume également ta responsabilité pour les choix de ta vie.

7ème - La gratitude 🙏

La gratitude affecte positivement ta fréquence vibratoire. C'est une habitude que tu devrais intégrer en ce moment dans ta vie.

Commence à remercier pour tout, pour les bonnes choses et celles que tu ne considéres pas bonnes, remercie pour toutes les expériences que tu as vécues.

La gratitude ouvre les portes pour que les bonnes choses coulent positivement dans ta vie.

Maintenant ! As-tu déjà remercié d'avoir ouvert les yeux pour vivre la journée d'aujourd'hui.

💙 Source : La loi d'attraction 💙

Via spiritualité et mantras

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