L'Arbre Soleil

L'Arbre Soleil Contactgegevens, kaart en routebeschrijving, contactformulier, openingstijden, diensten, beoordelingen, foto's, video's en aankondigingen van L'Arbre Soleil, Therapeut, rue Achille D'Anneau 54, Sirault.

Quentin Favier et Anaïs Aliagas :
psychanalyse transgénérationnelle ;
thérapie individuelle ou de couple ;
développement personnel par la créativité (art thérapie);
travail thérapeutique avec le média l'Arbre Soleil le jeu ;
formations et ateliers.

L'Arbre Soleil, le jeu sera sur le devant de la scène demain à 14h lors du 12ème congrès international de l'Association ...
29/08/2025

L'Arbre Soleil, le jeu sera sur le devant de la scène demain à 14h lors du 12ème congrès international de l'Association Européenne de Thérapie Familiale (EFTA) et le 21ème Congrès de la Red Europea y Latinoamericana de Escuelas Sistémicas (RELATES). Nous avons hâte de vivre cette nouvelle expérience. ́rapiesbrèves

🌌 Nos histoires ne disparaissent jamais… elles se rejouent, se transmettent, se transforment.Ces 6 citations, relues à l...
24/08/2025

🌌 Nos histoires ne disparaissent jamais… elles se rejouent, se transmettent, se transforment.
Ces 6 citations, relues à la lumière du transgénérationnel, ouvrent un champ de conscience :
🔑 Quels mythes familiaux rejouons-nous encore et encore ?
👁‍🗨 Quelle mémoire cherche à être reconnue ?
🌳 Quelle clé, enfin, pouvons-nous tourner pour libérer notre lignée ?

Un voyage entre ombre et lumière, là où la vie prend toute sa profondeur.

21/08/2025
Si ça continue comme ça...C’est une petite phrase qui ressemble à une étincelle au bord d’un baril de poudre.Elle sort d...
17/08/2025

Si ça continue comme ça...

C’est une petite phrase qui ressemble à une étincelle au bord d’un baril de poudre.
Elle sort de nos lèvres quand l’inconfort devient trop grand, mais pas encore insoutenable.
C’est une phrase-charnière : elle contient un soupir, une menace, une condition, une promesse différée.

Dire “si ça continue comme ça”, c’est comme regarder l’eau bouillir.
La casserole est sur le feu, les bulles montent, la vapeur s’accumule. On sait que le couvercle va finir par sauter. Mais pas encore. On tient. On attend. On espère que ça va redescendre tout seul.

Dans cette phrase, il y a :

*la nature de l’inconfort : mais lequel exactement ? Les conflits larvés ou ouverts, l’atmosphère du ménage, la pression éprouvée au boulot, l’injustice ...?

*l’histoire de cet inconfort : est-ce la première fois que ça surgit ou une vieille habitude qui devient de plus en plus lourde à supporter?

*le point de rupture redouté : craquer, partir, rompre, tomber malade, exploser, tout autre passage à l’acte...

*le délai qu’on se donne : “encore un peu”, “on verra bien”, “jusqu’aux vacances”, “quand les enfants seront grands”, à la premièré gifle, avant que ceci ou cela n’arrive…

*l’action hypothétique : ce qu’on projette de faire “si ça continue”, mais qu’on ne se permet pas encore, ou que l’on redoute, car on sait ce geste être un point de non retour...

*les résistances : tout ce qui nous empêche d’agir maintenant – la peur, la culpabilité, les loyautés, le confort du connu....

C’est une phrase qui montre à quel point nous sommes capables de nous accommoder du malaise, parfois jusqu’à l’absurde.
Comme si nous vivions avec une pierre dans la chaussure en nous disant chaque jour : “si ça continue comme ça, je l’enlèverai”. Mais nous continuons à marcher, en boitant, parce qu’au fond nous redoutons plus le geste simple d’ôter la pierre que la douleur qui s’installe.

En thérapie, cette petite phrase est un levier extraordinaire. Elle ouvre une brèche. Elle révèle les défenses, les croyances, les empêchements, mais aussi les ressources, les limites, la vision du monde.
C’est une invitation à nommer : qu’est-ce qui continue ? jusqu’où suis-je prêt·e à laisser faire ? qu’est-ce que je crains vraiment ? et qu’est-ce que j’attends pour reprendre la main ?

“Si ça continue comme ça…” est une alarme douce, un avertissement intérieur. Mais elle peut devenir aussi une promesse : celle de transformer son rapport à la vie, de cesser de subir, et d’oser agir avant le trop-plein.

Et vous… derrière votre “si ça continue comme ça”, qu’est-ce qui bout sous le couvercle ?

« J’ai l’impression de porter une histoire qui n’est pas la mienne… » Et si, en réalité, cette histoire vous appartenait...
06/08/2025

« J’ai l’impression de porter une histoire qui n’est pas la mienne… »
Et si, en réalité, cette histoire vous appartenait ? Par amour et loyauté, vous avez co-construit des éléments du récit familial ; parfois ils se verrouillent et freinent vos choix, vos désirs, vos aspirations.
Le travail transgénérationnel aide à comprendre le mécanisme : identifier les leviers, mobiliser vos ressources et retrouver votre marge de manœuvre. 🔓🌱
👉 Envie d’aller plus loin ? Les inscriptions au Cursus Transgénérationnel de Quentin sont ouvertes !
💬 Commentez “Cursus transgénérationnel” pour recevoir en MP toutes les informations et réserver votre place.
📅 Prochaine session en ligne : Septembre - Octobre 2025
🎓 Avec Quentin Favier – psychanalyste et formateur
🚨 Places limitées – saisissez cette occasion de transformer votre histoire.

30/07/2025
La fin d’un suivi, ce seuil délicat…Quand le symptôme s’apaise, que reste-t-il à faire ?Clore un parcours, c’est plus qu...
28/07/2025

La fin d’un suivi, ce seuil délicat…

Quand le symptôme s’apaise, que reste-t-il à faire ?
Clore un parcours, c’est plus qu’une étape : c’est un moment symbolique, où l’on reconnaît ce qui a été accompli et où l’on ouvre la voie à la suite.
Travailler la demande, accueillir, tout cela s’apprend et s’enseigne. Mais nous apprend on réellement à clore un suivi et accompagner le sujet à traverser ce chapitre de son histoire.

Masterclass “Clôture et Actes Symboliques”
En 6 modules en ligne, L’Arbre Soleil vous propose de :

1. Puiser dans votre posture clinique et les dynamiques de transfert/contre-transfert les matériaux pour accompagner le changement

2. Explorer les lectures systémiques du symptôme

3. Transformer les mandats transgénérationnels en une mission de vie

4. Accompagner le processus de la symbolisation, la réparation du symbole brisé

5. Accueillir l’Ombre, et cartographier les figures archétypales ressources pour favoriser la transformation

6. Apprivoiser le pardon (à soi, à l’autre) et concevoir des rituels thérapeutiques

🗓️ Jeudis 13, 20, 27 nov. & 4, 11, 18 déc. 2025
⏰ 18h30–21h30 • En ligne
💶 449 €

INSCRIPTION : +32 479 259 401 ; anaisali@hotmail.com

👤 Animé par Quentin Favier, analyste transgénérationnel, formateur, concepteur de L’Arbre Soleil, spécialiste des rituels symboliques et de la fin de suivi.










Et si la philosophie nous aidait à mieux choisir ?Pour Kierkegaard, la vie ne se comprend qu’en regardant en arrière, ma...
26/07/2025

Et si la philosophie nous aidait à mieux choisir ?

Pour Kierkegaard, la vie ne se comprend qu’en regardant en arrière, mais elle ne se vit qu’en allant de l’avant.

Il distingue deux manières d’agir :

🔁 La répétition : refaire le même geste, parfois sans même s’en rendre compte.

🔄 La reprise : recommencer, oui… mais avec conscience, avec une transformation intérieure.

👉 C’est le même mouvement, mais porté par une intention nouvelle.

Cette réflexion nous interpelle :
Dans notre vie, faisons-nous des choix par fidélité inconsciente à un passé…
ou parce que quelque chose en nous est prêt à naître autrement ?

En thérapie transgénérationnelle, on appelle mandat cette force invisible qui nous pousse à répéter des histoires qui ne sont pas les nôtres :

reproduire un schéma de couple,

rester dans le manque,

réparer l’humiliation d’un ancêtre,

réussir pour deux…

Mais une fois ce mandat identifié, nommé, éclairé, une autre voie s’ouvre :
celle de la reprise.

Reprendre, c’est ne plus subir ce que l’on rejoue.
C’est mettre du sens là où il n’y avait que du symptôme.
C’est choisir sa vie à partir de ce qui nous a traversé, et non plus en réaction.
✨ La reprise, c’est refaire un geste ancien — mais cette fois avec son énergie propre, déposée consciemment dans l’acte. Le produit du processus alchimique intérieur.
C’est ce qui distingue une répétition qui enferme d’un mouvement qui libère : on n’y rejoue plus le passé, on y engage ce qu’on est devenu, après l’alchimie du doute, de la douleur et du discernement.

Tu ne choisis pas ce que tu as hérité.
Mais tu peux choisir ce que tu en fais.

Et c’est là que commence ta liberté.

Pour celles et ceux qui sentent que "quelque chose se répète", sans savoir pourquoi. Pas besoin de connaître toute votre...
24/07/2025

Pour celles et ceux qui sentent que "quelque chose se répète", sans savoir pourquoi. Pas besoin de connaître toute votre histoire familiale : le corps sait, les professionels accompagnent et le groupe soutient !
L'Arbre Soleil, le jeu et les constellations familiales vous aident à éclairer les schémas invisibles qui freinent votre élan.

🌿 Pourquoi certaines personnes peinent à s'en sortir ? Pourquoi certains symptômes résistent, même après des années de t...
24/07/2025

🌿 Pourquoi certaines personnes peinent à s'en sortir ? Pourquoi certains symptômes résistent, même après des années de travail sur soi ? "Est-ce que je me sabote? Au nom de qui ou de quoi me rattrape la maladie?" Et si ce n’était pas une faiblesse, mais une forme de fidélité ancienne, silencieuse et profondément enracinée dans les dynamiques familiales ?

Dans une lecture à la croisée de la psychogénéalogie, de l’attachement, de la somatisation et des archétypes,
le complexe d’Althéa la Fidèle interroge ces existences partiellement entravées, où ne pas guérir devient un geste d’amour,
et le soin, une prison dorée.

🔎 Une notion clinique à découvrir, pour penser autrement les pactes invisibles et les blessures qui durent.

https://www.l-arbre-soleil.be/le-complexe-d-alt%C3%A9a-la-fid%C3%A8le

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A la Source

“Dans une vie, il est des routes que l’on emprunte et d’autres que l’on laisse de côté. Ces chemins, nous nous en détournons en nous disant qu’ils ne nous attirent pas pour le moment, qu’ils ne nous mèneront pas là où nous le souhaitons. Mais il est des sentiers que l’on se promet- plus ou moins convaincu - de suivre un autre jour, à un autre moment, peut-être même, dans une autre vie. Cette deuxième vie, celle qui nous choisit plus que nous la choisissons, elle se tapit, parfois longtemps, dans l’ombre de nos questionnements, dans les fougères de nos peines, dans les désillusions cruelles qui nous saignent les veines, dans les regards que l’on cherche sans savoir, dans les soirées qu’on ne voudrait jamais voir se finir, dans les mots que l’on nous dépose sur le cœur et qui nous bercent comme une symphonie envoûtante et singulière. En fait, familière. Cette vie, elle attend les bras ouverts et s’agrippe à nous.

Lorsque au détours d’un désarroi qui nous obsède et nous étouffe, il nous est possible de se tourner vers cette existence qui nous connait et que l’on reconnait être nôtre, nous nous appuyons sur le désaveu qui nous délivre enfin de l’artificiel, du superflu, de l’acceptable, du convenu, des semblants. Vient alors l’effroyable. Vient l’heure de regarder dans le miroir. Vient le moment d’observer que le temps ne nous a pas oubliés, mais que les désirs dont nous nous cachions ont, eux aussi, œuvrer sur le reflet.

L’image, de l’autre côté, ne ment pas, ne ment plus. Elle hurle plus qu’elle ne console. Elle désarme plus qu’elle ne sourit. Elle secoue plus qu’elle ne caresse. Elle nous parle vrai. Cette image, c’est tantôt le miroir qui la renvoie. C’est aussi parfois le regard de l’enfant que l’on a serré contre soi dans ses premières secondes de vie et qui pourtant nous est étranger. C’est le sentiment de ne ressembler à personne, de n’appartenir qu’à soi, de ne tenir à aucun fil quand l’univers tout entier semble avoir cousu toutes les autres particules qui le constituent les unes aux autres, nous abandonnant au statut satellitaire. C’est aussi le feu qui nous consume de ne pouvoir expliquer pourquoi tel discours, tel propos, tel signifiant nous enflamme et nous détruit. C’est finalement la répétition, la sur-écriture de cette même histoire rejouée sans fin malgré nous qui vient signer la demande et nous amène à franchir le porte de l’analyste.”