Centre Dialogue

Centre Dialogue Centre pluridisciplinaire pour enfants, adolescents et adultes

Centre pluridisciplinaire pour enfants, adolescents et adultes
Services proposés :
- Logopédie
- Psychologie
- Neuropsychologie
- Kinésithérapie
- Ostéopathie
- Psychomotricité
- Diététique
- Acupuncture
- Coaching scolaire et parental

Qu'est-ce que l'aphasie ? 🧐 C'est un trouble du langage qui affecte la capacité d'une personne à communiquer et qui surv...
05/08/2025

Qu'est-ce que l'aphasie ? 🧐 C'est un trouble du langage qui affecte la capacité d'une personne à communiquer et qui survient brusquement, notamment après un AVC...

Pour mieux se rendre compte des difficultés au quotidien, voici un témoignage émouvant d'une jeune femme aphasique...

En 2011, à 30 ans, Olive a survécu à une rupture d’anévrisme cérébral sévère. Aujourd’hui, elle partage avec nous son parcours de vie.Un témoignage sans filt...

08/07/2025
🚀✨ Prêts pour le décollage ?Le stage AstroNeuro embarque vos enfants pour une aventure spatiale incroyable… à l’intérieu...
16/06/2025

🚀✨ Prêts pour le décollage ?
Le stage AstroNeuro embarque vos enfants pour une aventure spatiale incroyable… à l’intérieur de leur cerveau 🧠🌌 !

🌟 Au programme : missions intergalactiques, activités ludiques et défis cognitifs pour booster les fonctions langagières et cognitives.

👩‍🚀 Encadré par une équipe bienveillante de logopèdes, neuropsychologues et ergothérapeutes, ce stage s’adresse aux enfants qui ont besoin d’un petit coup de pouce… tout en s’amusant comme de vrais astronautes 🛸🎯

📞 Pour toute info complémentaire, cliquez sur le lien ci-dessous ou appelez-nous sans hésiter !

🗓️ Places limitées – on vous attend pour le grand voyage ! 🌠

https://docs.google.com/forms/d/19l9Kx9mCAJILqT7osvf2FfWpcdd3_M69xo-UIIfqXEI/edit

12/06/2025
Toute l’équipe du centre Dialogue vous souhaite une merveilleuse année 2025 ! ✨Que cette nouvelle année soit synonyme de...
04/01/2025

Toute l’équipe du centre Dialogue vous souhaite une merveilleuse année 2025 ! ✨

Que cette nouvelle année soit synonyme de santé, de réussite et de moments partagés.

Nous sommes ravis de continuer à vous accompagner et restons à vos côtés pour prendre soin de vous.

Merci pour votre confiance, et à très bientôt ! ✨

15/11/2024

Soirée Jeux de société au centre Dialogue 🥳🥳🥳

Le centre Dialogue vous convie à sa soirée découverte de jeux de société le 14 novembre ! N'hésitez pas à venir nous voi...
23/10/2024

Le centre Dialogue vous convie à sa soirée découverte de jeux de société le 14 novembre !

N'hésitez pas à venir nous voir😊 Nous sommes à votre disposition si vous avez la moindre question !

13/10/2024

SEMAINE DE LA SANTE MENTALE - JOUR 6 : Mon enfant consulte des écrans, dois-je contrôler ?

𝙴𝚝𝚊𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚕𝚒𝚎𝚞𝚡 𝚍𝚎 𝚕𝚊 𝚌𝚘𝚗𝚜𝚘𝚖𝚖𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍’𝚎́𝚌𝚛𝚊𝚗𝚜 𝚌𝚑𝚎𝚣 𝚕𝚎𝚜 𝚎𝚗𝚏𝚊𝚗𝚝𝚜 𝚎𝚝 𝚊𝚍𝚘𝚕𝚎𝚜𝚌𝚎𝚗𝚝𝚜

Il est fréquent d’entendre parler des écrans comme quelque chose de « néfaste » ou « mauvais » pour nos enfants 👎🏻. Qu’en est-il vraiment ?

Il existe, à l’heure actuelle, peu de consensus quant aux réels impacts des écrans. Pour une première raison, déjà, qui est l'importance de distinguer les TYPES d’écrans concernés. En effet, les impacts d’une consommation de jeux vidéo (et encore, il s’agirait de distinguer lesquels) seront évidemment différents de la consommation des réseaux sociaux.

En 2020, le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) en France a été mandaté pour une analyse des données scientifiques sur les effets de l’exposition aux écrans chez les enfants et les jeunes. S’il reste encore compliqué d’atteindre un consensus entre les études (en raison, notamment, d’un manque de données), en voici en bref résumé :

AU NIVEAU DE LA SANTE PHYSIQUE 🩺 : si des risques sont suspectés sur différentes variables comme la vision, l’audition et l’hygiène alimentaire, l’impact néfaste sur le sommeil est plus largement documenté ; on constate un impact en fonction du temps passé sur les écrans et sur les horaires de consultation. Rappelons que le sommeil est un facteur associé à de très nombreuses variables de santé physique et mentale.

AU NIVEAU DU DEVELOPPEMENT COGNITIF 🧠 : les analyses suggèrent des effets nuancés sur le développement cognitif, et parfois même, des effets positifs (par exemple, des jeux vidéo dans une certaine mesure), dans le cadre bien sûr d’un usage réfléchi, encadré et accompagné.

AU NIVEAU PSYCHOLOGIQUE 👥 : dans une certaine mesure, le recours aux écrans peut avoir des effets positifs (émotions, isolement) ; cet effet positif ne doit pas masquer les conséquences négatives, surtout d’un usage excessif, sur la santé mentale de certains jeunes ; une méta-analyse plus récente (Santos et al., 2023) suggère un effet négatif sur l’anxiété et la dépression des adolescents de l'usage des réseaux sociaux et des smartphones, mais pas tant de la télévision ou des jeux vidéo (dans certaines conditions).

AU NIVEAU SCOLAIRE ✏️: à nouveau, l’effet est dépendant de la vulnérabilité de base de l’enfant ET des objectifs d’utilisation des écrans (par exemple, consulter les écrans pour le travail scolaire serait plutôt positif).

𝙳𝚒𝚜𝚌𝚞𝚜𝚜𝚒𝚘𝚗 𝚜𝚞𝚛 𝚕𝚊 𝚗𝚘𝚝𝚒𝚘𝚗 𝚍𝚎 « 𝚝𝚎𝚖𝚙𝚜 𝚍’𝚎́𝚌𝚛𝚊𝚗 »

Si la section suivante aborde les recommandations formulées en termes de consommation d’écrans chez les enfants, il est important de rappeler que, après la pandémie de Covid-19 🦠, l’usage des écrans a énormément changé chez les jeunes comme les moins jeunes.

Une méta-analyse récente (Madigan et al., 2022) révèle une augmentation de 52 % de l’usage des écrans chez les enfants et adolescents pendant la période Covid. Dans ce contexte, les études sur le sujet prennent de moins en moins en compte le TEMPS ⏱️ d’écran consulté, mais mettent le focus sur d’autres variables : le TYPE d’écrans consultés, l’OBJECTIF poursuivi lors de la consultation des écrans, la COMMUNICATION et l’EDUCATION parentale autour des écrans, et même l’ENDROIT où l’enfant consulte (par exemple, télévision dans la chambre, smartphone personnel).

𝚁𝚎𝚌𝚘𝚖𝚖𝚊𝚗𝚍𝚊𝚝𝚒𝚘𝚗𝚜 𝚘𝚏𝚏𝚒𝚌𝚒𝚎𝚕𝚕𝚎𝚜 𝚎𝚗 𝚖𝚊𝚝𝚒𝚎̀𝚛𝚎 𝚍’𝚎́𝚌𝚛𝚊𝚗𝚜 𝚌𝚑𝚎𝚣 𝚕𝚎𝚜 𝚎𝚗𝚏𝚊𝚗𝚝𝚜

En Belgique et en France, on retrouve sur de nombreuses ressources les recommandations suivantes, basées sur les repères 3-6-9-12 :

❌ Pas d’écrans avant 3 ans

❌ Pas de jeux vidéo avant 6 ans (les études recommandent d’éviter les images en 3D avant 5 ans)

❌ Pas d’internet seul avant 9 ans

❌ Pas de smartphone et réseaux sociaux avant 12 ans

Ces repères sont accompagnés d’une série de recommandations, portant à la fois sur le temps d’écrans, mais aussi sur les types d’écrans qui sont consultés par les enfants et sur l’endroit où ils sont consultés. Les recommandations mettent également un point d’honneur à l’éducation de son enfant vis-à-vis des écrans : l’informer des risques et des implications d’internet, ouvrir une discussion sur les éventuels dangers, ou encore s’intéresser à ce que consulte son enfant/ado.

➡️ Pour plus d’infos : https://www.yapaka.be/ecrans

Au Québec, des recommandations similaires ont été formulées, notamment relativement au temps d’écrans : aucun écran avant 2 ans, moins d’une heure et pas plus de 30 minutes d’affilée entre 2 et 5 ans, et moins de deux heures entre 6 et 12 ans. Les recommandations mentionnent également une vigilance pour le contenu, en encourageant bien sûr l’usage éducatif et ludique des écrans.

➡️ Pour plus d’infos : https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/saines-habitudes-de-vie/utilisation-saine-des-ecrans-chez-les-jeunes

Enfin, des recommandations spécifiques en termes horaires sont à rappeler : il est globalement admis que les écrans doivent avoir été éteints 1h avant le coucher (note : pour les adultes aussi 😊).

𝙹𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚙𝚊𝚛𝚎𝚗𝚝, 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎𝚗𝚝 𝚏𝚊𝚒𝚛𝚎 𝚙𝚘𝚞𝚛 𝚛𝚎́𝚐𝚞𝚕𝚎𝚛 ?

Les parents se posent fréquemment cette question, voire culpabilisent à ce sujet. Des divergences d’utilisation d’écrans sont constatées entre les parents, et cela mène à de nombreuses questions sans réponse. Sur base des lectures précédentes, nous pouvons formuler quelques conseils généraux.

✅ Réguler le TEMPS passé sur les écrans, tout en tenant compte de la réalité du contenu consulté par l’enfant : Il sera nécessaire, bien sûr, de contrôler le nombre de minutes que votre enfant passe devant les écrans ainsi que les horaires auxquels il les consulte. On évitera par exemple des écrans tôt le matin avant d’aller à l’école et une heure avant le coucher. N’oublions toutefois pas de rencontrer la réalité de son enfant et d’émettre une discussion avec lui quant à sa consommation d’écrans : on ne coupera pas la TV d’un enfant après 30 minutes si on a accepté qu’il commence un épisode de 40 minutes, et on évitera de couper le courant de la console de son adolescent s’il est en plein milieu d’une partie non-sauvegardée.

✅ Vérifier le CONTENU consommé par l’enfant : comme décrit ci-dessus, il n’est pas recommandé de donner accès à internet sans surveillance avant 12 ans. Si certains logiciels permettent de limiter les pages Web auxquels votre enfant a accès, cela n’est pas si aisé pour les contenus « rapides » ou « instantanés » comme sur TikTok, Instagram, les shorts de YouTube ou Snapchat. S’il existe parfois des versions « kids » des applications, il reste recommandé d’accompagner son enfant dans les vidéos, contenus et épisodes qu’il visionnera. L’accompagnement peut se faire, par exemple, en limitant l’accès à ces applications sur le téléviseur familial, ou sur base d’une vérification en amont du parent. Avant 12 ans, il semble très peu recommandé d’accorder l’accès à des applications fonctionnant sur base d’algorithmes sans version « kids » (bien qu’une vigilance soit aussi recommandée sur ces versions). À l'adolescence, la communication est essentielle.

✅ Surveiller son propre rapport aux écrans en tant qu’ADULTE : si les écrans prennent de plus en plus de place dans la vie des enfants, c’est également le cas pour les adultes. Il est dès lors important de contrôler et réguler sa propre consommation d’écrans pour proposer à son enfant un exemple cohérent et dégager du temps de qualité en famille.

✅ Utiliser les écrans pour leur aspect SOCIAL et FAMILIAL : les écrans ont bien sûr des aspects positifs et il serait contre-productif de les diaboliser. Dans un souci de passer du temps de qualité ensemble ET de vérifier ce que consulte son enfant, partager un moment ensemble autour d’un écran semble une excellente idée. Il peut s’agir de regarder un film ou un documentaire avec son enfant, ou encore de jouer avec lui à son jeu vidéo préféré.

𝚁𝚎𝚜𝚜𝚘𝚞𝚛𝚌𝚎𝚜

Haut Conseil de la santé publique. (2020). Analyse des données scientifiques : effets de l’exposition des enfants et des jeunes aux écrans. https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=759

Madigan, S., Eirich, R., Pador, P., McArthur, B. A., & Neville, R. D. (2022). Assessment of Changes in Child and Adolescent Screen Time During the COVID-19 Pandemic. JAMA Pediatrics, 176(12), 1188. https://doi.org/10.1001/jamapediatrics.2022.4116

Qi, J., Yan, Y., & Yin, H. (2023). Screen time among school-aged children of aged 6–14 : a systematic review. Global Health Research And Policy, 8(1). https://doi.org/10.1186/s41256-023-00297-z

Santos, R. M. S., Mendes, C. G., Bressani, G. Y. S., De Alcantara Ventura, S., De Almeida Nogueira, Y. J., De Miranda, D. M., & Romano-Silva, M. A. (2023). The associations between screen time and mental health in adolescents : a systematic review. BMC Psychology, 11(1). https://doi.org/10.1186/s40359-023-01166-7

Petit visuel intéressant sur l'addition aux jeux vidéo 🤓
10/10/2024

Petit visuel intéressant sur l'addition aux jeux vidéo 🤓

Semaine de la santé mentale jour 3 : L’ADDICTION AUX JEUX VIDÉO 🎮

Au cours des années, les jeux vidéo se sont installés comme un hobby à part entière dans notre vie quotidienne et nombreuses sont les personnes qui y passent plusieurs heures par jour. Toutefois, cet usage d’emblée ludique peut-il devenir problématique ?

𝕃𝕖 𝕘𝕒𝕞𝕚𝕟𝕘 𝕔𝕠𝕞𝕞𝕖 𝕒𝕕𝕕𝕚𝕔𝕥𝕚𝕠𝕟 ?

Récemment, l’OMS a inclus l’addiction aux jeux vidéo dans sa classification internationale des maladies mentales (CIM-11), la qualifiant ainsi de « gaming disorder ». Le DSM-V l’a également inclue en tant qu'entité provisoire. Ces classifications permettent donc d’établir des critères diagnostiques qui, s’ils sont rencontrés et évalués par un clinicien formé, permettraient d'émettre un diagnostic d’addiction aux jeux vidéo.

L’addiction aux jeux vidéo, dès lors considérée comme "trouble", est définie sur base de différents critères comme une persistance du comportement de jeux, associée à un manque de contrôle sur son jeu et un impact fonctionnel (par exemple, les aptitudes à la vie quotidienne, les interactions sociales, la poursuite de certaines responsabilités) sur une période donnée. Sa prévalence dans la population générale est variable, certaines études l’estimant à 3 ou 5 % de la population. Elle serait plus fréquente chez les hommes et sa prévalence dépendrait de la culture d’appartenance.

ℂ𝕠𝕞𝕞𝕖𝕟𝕥 𝕕𝕚𝕗𝕗𝕖́𝕣𝕖𝕟𝕔𝕚𝕖𝕣 𝕦𝕟 𝕦𝕤𝕒𝕘𝕖 𝕤𝕒𝕚𝕟 𝕕’𝕦𝕟 𝕦𝕤𝕒𝕘𝕖 𝕡𝕣𝕠𝕓𝕝𝕖́𝕞𝕒𝕥𝕚𝕢𝕦𝕖 ?

➡️ La présence de répercussions ❌ : Comme tout trouble, son existence se détermine sur base des répercussions qu’il génère, plus ou moins conscientisées par la personne qui en est victime. Dès lors, on diagnostiquera un trouble lorsqu’on pourrait mettre en évidence un impact fonctionnel, que ça soit vécu personnellement par l’individu (mal-être, échec académique) ou dans son rapport à l’environnement (retrait social, diminution des aptitudes à la vie quotidienne, impact sur les responsabilités).

➡️ La perte de contrôle 🧠 : Par ailleurs, l’addiction aux jeux vidéo se détermine notamment par la perte de contrôle ressentie par l’individu dans sa consommation. Imaginons par exemple un spécialiste d’e-sport : il peut passer un temps conséquent sur les jeux vidéo, mais, en raison de l’aspect professionnel de cette activité, entretenir un rapport contrôlé et planifié à sa consommation de jeux vidéo.

➡️ Le jeu comme seul moyen de remplir ses besoins psychologiques 🫂 : En outre, tous les hobbies remplissent une fonction psychologique, et les jeux vidéo n’y font pas exception : générer un sentiment de compétence, servir d’échappatoire et permettre d’acquérir une certaine autonomie. S’il n’est en rien problématique que les jeux vidéo servent certains besoins émotionnels, l’addiction peut survenir lorsque les jeux sont une solution systématique et unique pour remplir ces besoins. Par ailleurs, l’addiction aux jeux vidéo n’est pas à prendre comme un processus isolé qui survient uniquement en raison des caractéristiques individuelles : elle peut également être une réponse à des difficultés interpersonnelles ou intrapersonnelles, menant à un sentiment de solitude ou des affects dépressifs.

➡️ La capacité de régulation du temps de jeu ⌛: Enfin, si l’addiction et l’aspect « excessif » de la consommation de jeux vidéo ne tient pas uniquement dans le temps qui est passé dessus, il est important de prendre cette variable en compte et, notamment, lorsque le temps consacré aux jeux interfère significativement avec la routine quotidienne et, surtout, avec les horaires de sommeil. Dès lors, le rapport aux jeux vidéo pourra être considéré comme addictif dès lors que la personne ne parviendra plus à réguler le temps qu’elle passe sur cette activité.

ℚ𝕦𝕖 𝕗𝕒𝕚𝕣𝕖 𝕖𝕟 𝕔𝕒𝕤 𝕕’𝕒𝕕𝕕𝕚𝕔𝕥𝕚𝕠𝕟 𝕒𝕦𝕩 𝕛𝕖𝕦𝕩 𝕧𝕚𝕕𝕖́𝕠 ?

Avant tout, il est important d’être informé sur les risques d’addiction sans culpabiliser les joueurs. Comme toute problématique, elle est à envisager dans son ensemble et les processus qui ont mené à ces comportements addictifs doivent être pris en compte. La thérapie psychologique peut permettre d’aborder ces différents aspects, en collaboration avec les différents acteurs de soins de santé (psychologues, psychiatres).

➡️ Site internet : mdemontyneuropsychologue.com

ℝ𝕖𝕤𝕤𝕠𝕦𝕣𝕔𝕖𝕤 :

Chang, C., Chang, Y., Yang, L., & Tzang, R. (2022). The comparative efficacy of treatments for children and young adults with Internet Addiction/Internet Gaming Disorder: An updated meta-analysis. International Journal of Environmental Research and Public Health, 19, 2612. doi: 10.3390/ijerph19052612

Jo, Y.S., Bhang, S.Y., Choi, J.S., Lee, H.K., Lee, S.Y., & Kweon, Y.-S. (2019). Clinical characteristics of ciagnosis for Internet Gaming Disorder: Comparison of DSM-5 IGD and ICD-11 diagnosis. Journal of Clinical Medicine, 8 (7), 945. doi: 10.3390/jcm8070945

Limone, P., Ragni, B., & Toto, G.A. (2023). Global prevalence of gaming disorder: A systematic review and meta-analysis. Acta Psychologica, 241. doi:/10.1016/j.actpsy.2023.104047

Stevens, M.W., Dorstyn, D., Delfabbro, P.H., & King, D.L. (2021). Global prevalence of gaming disorder: A systematic review and meta-analysis. Australian and New Zealand Journal of Psychiatry, 55 (6), 553-568. doi: 10.1177/0004867420962851.

Zhou, R., Morita, N., Ogai, Y., Saito, T., Zhang, X., Yang, W., & Yang, F. (2024). Meta-analysis of Internet Gaming Disorder prevalence: Assessing the impacts of DSM-5 and ICD-11diagnostic criteria. International Journal of Environmental Research and Public Health, 21, 700. doi: 10.3390/ijerph21060700

Zhuang, X., Zhang, Y., Tang, X., Kin Ng, T., Lin, J., & Yang, X. (2023). Longitudinal modifiable risk and protective factors of internet gaming disorder: A systematic review and meta-analysis. Journal Of Behavioral Addictions, 12 (2), 375-392. doi:10.1556/2006.2023.00017

À l'approche de cette rentrée scolaire, vous allez commencer à aller chercher la mallette de votre enfant. Voici donc qu...
13/08/2024

À l'approche de cette rentrée scolaire, vous allez commencer à aller chercher la mallette de votre enfant.
Voici donc quelques petits conseils pour que cette dernière corresponde au mieux à votre enfant et pour éviter les problèmes de dos :)

Comprendre la mémoire en 5 infos clés :-)
03/07/2024

Comprendre la mémoire en 5 infos clés :-)

Alléluia ! Les personnes HPI ne sont pas différentes des personnes avec une intelligence dite normale ! Merci Mr Gauvrit...
03/08/2023

Alléluia ! Les personnes HPI ne sont pas différentes des personnes avec une intelligence dite normale ! Merci Mr Gauvrit 😊

🧠 HPI : Mythes et réalités ✅

« Environ 1,7 million de personnes
en France sont des HPI - des « hauts potentiels intellectuels ». Concrètement, ce que cela signifie est simple: leur QI est supérieur à 130.

En neurosciences, on cherche souvent l'origine d'une particularité cognitive dans le fonctionnement du cerveau. Ce qui nous amène à poser la question: qu'a de particulier le cerveau d'une personne à haut potentiel?

Au cours des dernières années, des chercheurs se sont penchés sur le sujet et ont comparé le cerveau des personnes à haut potentiel intellectuel à ceux de personnes situées dans la norme.

Leurs conclusions?
✅ Des différences existent bel et bien.

Elles s'observent aussi bien dans la structure du cerveau, que dans la force de certaines connexions ou la façon dont l'encéphale s'active lorsqu'on réalise des tâches cognitives.

Toutefois, ces différences ne sont pas de type «tout ou rien»: elles sont simplement d'autant plus prononcées que les sujets ont une intelligence élevée.

🧠 Plusieurs études ont ainsi montré que la qualité des connexions entre les régions frontales (à l'avant) et pariétales du cerveau (au-dessus et légèrement à l'arrière) est cruciale pour la bonne réalisation de tâches cognitives complexes et serait en quelque sorte la signature de l'intelligence générale. Les personnes HPI présentent une activité plus soutenue à la fois dans le cortex préfrontal latéral, le cortex cingulaire antérieur et le cortex pariétal postérieur, ce qui indique un réseau pariétofrontal plus actif et plus développé que chez les personnes d'intelligence moyenne.

🧩 Les caractéristiques génétiques sont toutefois exactement les mêmes que dans la population générale. Autrement dit, les mêmes gènes expliquent les variations de QI ordinaires et celles des QI très supérieurs. Ce résultat permet de comprendre qu'au niveau génétique, le haut potentiel n'est pas une caractéristique qualitative, mais simplement l'extrême d'un continuum.

Malgré leur cerveau plus gros et plus puis-sant, en dépit de leur réseau pariétofrontal plus développé, les HPI ne sont donc pas fondamentalement différents du reste de leurs semblables. Il ne faudrait jamais l'oublier. Ils ne présentent aucune « bizarrerie » cérébrale, aucune mutation radicale qui changerait complètement leur mode de fonctionnement mental.

Cette conception, qui tranche en partie avec l'image qu'une partie du grand public peut avoir des HPI (parfois appelés «zèbres», comme pour indiquer qu'ils seraient étranges et ne penseraient pas comme la plupart des gens), aura sûrement son importance pour le regard que l'on porte sur le haut potentiel et pour éviter d'établir des lignes de démarcation artificielles. »

(Nicolas GAUVRIT - Cerveau et Psycho 136)

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