Monique Henin-kinésiologue

Monique Henin-kinésiologue Je vous accompagne pour un mieux-être en toute confidentialité.

✨COMBIEN ÊTES-VOUS DANS VOTRE COUPLE? Question bizarre… Il m’arrive parfois en séance kinésio d’aider la personne à y vo...
10/09/2025

✨COMBIEN ÊTES-VOUS DANS VOTRE COUPLE? Question bizarre…
Il m’arrive parfois en séance kinésio d’aider la personne à y voir plus clair, à faire le tri entre ce qu’elle souhaite conserver et lâcher pour guérir ( g*i rire 😊)
Alors voici quelques réflexions…

« Lorsque deux personnes forment un couple, ils ne sont jamais que « deux ». Chacun d’entre eux a son histoire, ses blessures, ses résistances, ses peurs, ses attentes, ses déceptions passées, ses trahisons même. Chacun porte en lui le souvenir du couple formé par ses parents et qui a été sa première image de couple.

Chacun porte aussi le souvenir de ce que sa mère pensait de son mari et des hommes en général et de ce que son père pensait de son épouse et des femmes en général. Nous gardons tous le souvenir de ce que nous voyions, entendions et sentions du climat conjugal lorsque nous étions petits.

Dans un couple, chacun arrive aussi avec un sac rempli de la somme de toutes ses expériences amoureuses passées, les bonnes, les moins bonnes et les catastrophiques! Parfois aussi avec les souvenirs d’une merveilleuse relation amoureuse passée, qui pose la barre encore plus haute pour la nouvelle relation en naissance.

Et puis, il y a notre caractère aussi qui intervient, nos défauts, nos qualités, nos habitudes… Notre trop grande souplesse ou notre trop grande rigidité. Notre immense besoin d’attention ou notre immense peur de l’attachement.

Parfois aussi, les parents de chacun sont encore trop présents dans la vie du couple : qu’ils soient vivants ou décédés, bien des personnes fonctionnement à partir des attentes de leurs parents qu’elles ont intégrées ou qu’elles se font rappeler constamment. Des parents qui portent un jugement sur le nouveau conjoint s’insèrent dans une dynamique qui ne leur appartient pas et qui rendra plus difficile la fluidité de la relation dans le couple. Des parents interventionnistes compliqueront davantage la nature même du couple qui cherche à se bâtir ou à se rebâtir.

Alors il est facile de comprendre qu’un couple qui se forme n’est jamais seulement la somme des deux personnes qui le composent : c’est la somme de leur histoire et de celles des générations familiales qui l’ont précédé aussi. Nous portons toutes les couleurs de nos histoires et de celles des couples de nos ancêtres.

Dans cette optique, nous ne sommes jamais seuls dans notre couple!
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’en prenant conscience de tout ce qui compose notre histoire, nous pouvons faire le tri de ce que nous voulons conserver de notre histoire et de ce dont nous ne voulons plus parce que nous avons évolué, parce que cela ne nous appartient pas, parce nous sommes ailleurs ou que nous avons soigné nos blessures, nous avons guéri nos traits de personnalité restrictifs ou surtout, parce que nous savons maintenant ce que nous voulons et ce que nous ne voulons plus. »

Vu sur Diane Gagnon
www.dianegagnon.com

Savez-vous que la kinésiologie peut se voir de l’extérieur ?Elle permet de libérer certains blocages et rend possible un...
28/08/2025

Savez-vous que la kinésiologie peut se voir de l’extérieur ?

Elle permet de libérer certains blocages et rend possible un travail en profondeur en agissant au niveau du corps , lui-même considéré comme « un sismographe émotionnel ».
Elle amène chez la personne une énergie qui lui permet de rayonner autrement. Et cela se voit dans sa posture, son regard.

Combien de séances sont nécessaires ?

🌟Si l’objectif est ciblé et lié à un besoin précis et ponctuel => 1 à 2 séances

🌟Pour un travail de fond ( traumatismes, schémas répétitifs,…)=> 3 séances ou plus en fonction de l’évolution de la personne.

Mais de manière générale, la kinésiologie est une approche assez brève.
La motivation et le désir de la personne de modifier son mode de fonctionnement sont les meilleurs atouts. 😊✨

Une réflexion que j’ai envie de vous partager. Elle n’est certes pas une vérité absolue et ne dispense pas des soins pré...
13/08/2025

Une réflexion que j’ai envie de vous partager. Elle n’est certes pas une vérité absolue et ne dispense pas des soins précieux apportés par la médecine. Mais c’est un constat que je fais à travers ma pratique. Écoutez votre corps, il ne ment jamais ✨✨

« Quand le corps dit non à notre place.

Parfois, ce n’est pas par les mots que la vérité s’exprime. C’est par le corps : une douleur sourde, une fatigue logée entre les omoplates, une tension qui serre la cage thoracique. Comme un langage secondaire. Comme un cri resté trop longtemps en silence.

Le corps n’a pas appris à faire semblant. Il dit ce que nous taisons. Il exprime ce que nous retenons. Il absorbe les tensions que notre esprit rationalise.

➡ Une fatigue chronique peut cacher une lutte intérieure permanente.
➡ Une douleur persistante peut traduire un refus inconscient.
➡ Un symptôme qui résiste peut être le cri d’une partie de nous qui veut qu’on l’écoute enfin.

Et parfois, cette voix du corps surgit quand on n’a plus la force de se mentir.
Car il y a souvent un conflit en soi, une tension entre deux forces : celle qui veut tenir, faire bonne figure, rester dans le cadre et celle qui veut s’échapper, hurler, changer de cap, exister autrement.

Ce conflit est usant. Il se joue en silence. Il épuise sans bruit. Et comme nous n’en parlons pas toujours, c’est le corps qui finit par parler à notre place.

« Et si cette douleur n’était pas un ennemi à éliminer… mais un messager à écouter ?"

On sent qu’on ne va plus dans le bon sens, sans savoir encore lequel serait juste mais on continue. Par devoir, par loyauté, par peur. On tient. Et le corps, lui, encaisse.
Ce n’est pas une faute. Ce n’est pas une faiblesse. C’est un appel.
Un appel à s’écouter autrement. À prendre au sérieux les messages subtils, les malaises devenus familiers, les tensions nichées dans les épaules, la gorge ou le ventre.

Car parfois, c’est la part la plus vivante en nous qui tente de se faire entendre.

Le corps est un baromètre. Un sismographe émotionnel. Une mémoire vivante de nos conflits internes.

Les neurosciences confirment que le corps et l’esprit sont intimement liés : une pensée stressante modifie la chimie cérébrale, déclenche des hormones comme le cortisol ou l’adrénaline, et active le système nerveux autonome.

Ce n’est pas l’événement en lui-même qui détermine notre santé ou notre équilibre, mais la manière dont nous l’interprétons, dont nous le ressentons profondément.
Chaque pensée, chaque émotion génère une cascade biochimique dans le corps :

- une pensée stressante enclenche la production de cortisol,
- une peur chronique dérègle le système immunitaire,
- une croyance négative peut bloquer nos capacités de régénération.

Mais l’inverse est tout aussi vrai.

Des pensées nourries de confiance, des images apaisantes, un sentiment de gratitude ou de sécurité peuvent modifier l’expression de nos gènes, équilibrer notre système nerveux, et améliorer notre santé physique.

Cela ne veut pas dire que « tout est dans la tête », mais que nos états intérieurs influencent puissamment notre biologie.

Le corps est donc à la fois le témoin de ce que nous vivons… et l’acteur de notre transformation, si nous savons l’écouter et le soutenir.

Voici quelques pistes validées, simples et accessibles :

✨ Toucher ou masser une zone tendue : comme pour dire à cette partie « je te vois ».

✨ Respirer profondément par le nez, avec une longue expiration : cela active le système parasympathique, celui du calme.

✨ Faire un ancrage corporel : poser les pieds au sol, se concentrer sur leur contact, visualiser des racines qui descendent…

✨ Fermer les yeux et visualiser un lieu sûr, lumineux, ressourçant : cela libère des endorphines et change notre activité neuronale.

✨ Dire une phrase ressource à voix haute ou intérieurement : « Je suis ici, maintenant. Je suis en sécurité. »

✨ Prendre un instant de silence chaque jour : marcher sans téléphone, contempler un arbre, écouter sa respiration, poser la main sur son ventre.

Ce sont des micro-gestes. Mais ils ouvrent des micro-fenêtres vers soi. Car si nous sommes capables de créer nos tensions par la peur, nous sommes aussi capables d’inviter la paix par la conscience. »

Vu sur Sandrine Gourdy 🌿

Quand la kinésiologie peut vous éclairer sur les modes relationnels mis en place et en comprendre l’origine pour quitter...
06/08/2025

Quand la kinésiologie peut vous éclairer sur les modes relationnels mis en place et en comprendre l’origine pour quitter ce cercle vicieux.
Le triangle de Karpman, vous connaissez ?

Le triangle dramatique de Karpman, est un modèle psychologique très puissant pour comprendre les relations toxiques, les incompréhensions émotionnelles, et les jeux de rôle inconscients.

Inventé par Stephen Karpman (psychologue américain), ce triangle montre que dans certains échanges humains (surtout conflictuels ou déséquilibrés émotionnellement), les personnes peuvent entrer dans un jeu de rôle inconscient, basé sur trois pôles :

Les 3 rôles du triangle :

La Victime "Pauvre de moi..."
Recherche un sauveur ou accuse un bourreau "Pourquoi ça n'arrive qu’à moi ?"

Le Sauveur "Je dois t’aider…" Aide l’autre sans qu’on lui ait demandé "Laisse, je vais m’en occuper."

Le Bourreau "C’est ta faute…" Juge, critique, punit "Tu n’as encore rien fait correctement !"

Ces rôles sont interdépendants : l’existence de l’un appelle les deux autres. Par exemple, une victime cherche un sauveur, ou dénonce un bourreau. Un sauveur finit par être perçu comme envahissant (bourreau), ou frustré de ne pas être reconnu (victime), etc.

Les glissements de rôle : pourquoi le sauveur devient bourreau ou victime?

Souvent le sauveur de la victime passe pour un bourreau et devient lui-même victime.

Et tu as parfaitement résumé ce que beaucoup vivent sans le comprendre.

Pourquoi le sauveur devient bourreau ?

Il donne sans compter, parfois sans qu'on lui ait demandé.
Il attend de la reconnaissance, mais n’en reçoit pas forcément.
Il intervient à la place de l’autre, l’empêche de grandir.

Quand la personne aidée rejette ou résiste, le sauveur peut :

se fâcher,
se montrer dur,
ou poser des limites (perçues comme de la cruauté).

Il est alors vu comme le "méchant", alors qu’il pensait bien faire.

Pourquoi le sauveur devient victime ensuite ?

Parce qu’il se sent incompris, rejeté, accusé à tort.
Il peut dire : « Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Il ressent un sentiment d’injustice, voire de trahison.
Il s'effondre émotionnellement, ou culpabilise.

Ainsi, il passe par les 3 rôles du triangle :
Sauveur ➜ Bourreau (dans les yeux de l’autre) ➜ Victime (dans sa propre souffrance).

Les causes profondes : pourquoi on entre dans ces rôles?

Ces rôles ne sortent pas de nulle part. Ils sont souvent le fruit :

D’un conditionnement personnel :

Le sauveur vient souvent d’un besoin d’être aimé, reconnu, utile.
Il a appris (enfant, souvent) que s’occuper des autres est la seule façon d’être accepté.
Il a pu vivre dans une famille où il fallait « réparer » les choses ou les gens.

D’un manque d’estime de soi :

Aider donne au sauveur une valeur extérieure.
Mais au fond, il ne se sent pas digne sans cette mission.

De blessures d’enfance :

Abandon, rejet, humiliation, injustice…

Ces blessures nous font porter des masques relationnels, comme celui du sauveur, du persécuteur ou de la victime.

Les dangers du triangle dramatique:

Le triangle devient toxique quand il se répète de manière chronique dans une relation.

Pour le sauveur :

Épuisement émotionnel
Sentiment d’être utilisé
Colère refoulée

Perte de son identité hors du rôle d’aidant

Pour la victime :

Dépendance affective
Infantilisation
Incapacité à se responsabiliser

Pour le bourreau :

Isolement
Culpabilité refoulée
Rigidité émotionnelle

Comment sortir du triangle

La clé pour sortir de ce schéma est de devenir conscient du rôle qu’on joue et de le remplacer par une posture saine.

Rôle toxique sain à adopter:

Victime
Responsable "J’ai du pouvoir sur ma vie."

Sauveur
Coach / Supporter "Je t’aide si tu le veux, mais tu es acteur."

Bourreau
Confrontant bienveillant "Je pose mes limites sans agresser."

Pratiques :

1. Observer ses automatismes relationnels (sans jugement).

2. Dire non sans culpabilité.

3. Laisser l’autre vivre ses expériences sans vouloir tout contrôler.

4. Exprimer ses besoins clairement, pas par la manipulation ou le sacrifice.

5. Se reconnecter à soi : Qui suis-je en dehors de mes rôles ?

Chaque rôle contient une lumière cachée :

Le sauveur a un cœur généreux, il doit apprendre à aider sans se nier.

Le bourreau a une force de structure, il doit apprendre à exprimer ses limites sans dominer.

La victime a une sensibilité profonde, elle doit apprendre à se relever.

La transformation, ce n’est pas de rejeter ces rôles, mais de les faire évoluer vers la maturité.

Vu sur Le secret des druides

29/07/2025
En congé du 17 au 27 ,je vous reviens dès ce lundi 28 juillet.✨✨
16/07/2025

En congé du 17 au 27 ,je vous reviens dès ce lundi 28 juillet.✨✨

L’impact des circonstances entourant la naissance sur les individus.En séance, il m’arrive régulièrement de cibler l’ori...
14/07/2025

L’impact des circonstances entourant la naissance sur les individus.

En séance, il m’arrive régulièrement de cibler l’origine d’une difficulté à la naissance. Par le test musculaire, le corps de la personne m’indique le moment précis ( le mois de grossesse) ou les circonstances particulières liées à la naissance( cordon autour du cou, accouchement très long ou rapide, forceps,…) où il faudra corriger certains éléments pour permettre au corps de dépasser cet épisode qui s’est inscrit dans la mémoire cellulaire de la personne.
Ces évènements peuvent impacter la vie, le mode de relation des individus mais pas toujours. Toutes les personnes ayant vécu ce genre de naissance ne vont pas nécessairement avoir des difficultés.

Ainsi, une personne me dit se sentir constamment « étouffée » dans ses relations. J’ai pu identifier qu’elle était née avec le cordon autour du cou.

Un enfant a un reflux gastrique et plus particulièrement quand des évènements extérieurs sur lesquels il n’a pas de prise viennent le contrarier. L’accouchement a obligé les soignants à utiliser les forceps, instrument nécessaire mais vécu comme une agression extérieure par cet enfant à ce moment-là.

Une personne semble développer un attachement excessif dans ses relations amoureuses. Cette même personne a été séparée à la naissance de sa maman qui rencontrait des problèmes de santé.

La perte d’un jumeau durant la grossesse ( voir syndrome du jumeau perdu évoqué précédemment sur ma page), phénomène relativement fréquent, peut amener une personne à s’attacher excessivement en amitié, en amour ou même avec un animal de compagnie ou à l’inverse, à éviter tout attachement par peur de l’abandon.

Autant d’exemples pour vous montrer ce qu’il est possible de travailler en kinésiologie, en toute bienveillance…✨✨

https://youtu.be/z33xyz8Vi_I?si=JWgKlnJjWvZTxvsIUn texte tellement fort que j’ai bien envie de vous le partager… Pensées...
04/07/2025

https://youtu.be/z33xyz8Vi_I?si=JWgKlnJjWvZTxvsI

Un texte tellement fort que j’ai bien envie de vous le partager…
Pensées pour tous ceux qui sont comme des éponges dans leurs relations ( amicales, familiales, professionnelles, amoureuses,…).
Belle journée à tous ✨

✨Extrait du livre "Nous nous reverrons" - Fernando D’Sandi, mis en vidéo par mes soins. Eric

Pourquoi ai-je choisi ce logo pour mon activité de kinésiologue?Je suis une fille de la campagne et les arbres m’ont tou...
15/06/2025

Pourquoi ai-je choisi ce logo pour mon activité de kinésiologue?

Je suis une fille de la campagne et les arbres m’ont toujours fascinée. Ils m’apportent la sécurité et l’ancrage dont j’ai toujours eu besoin.

L’arbre de vie est un symbole à la fois d’ancrage et d’élévation. Les deux sont nécessaires : garder les pieds sur terre tout en restant connectés à ce qui nous dépasse. Plus les racines sont solides et plus nous pouvons supporter la tempête.
S’enraciner au plus profond pour nous permettre de nous élever.

Les racines sont invisibles mais vitales pour accueillir la beauté du feuillage nous rappelant avec force l’importance de nos fondations, de nos valeurs et de qui nous sommes réellement. Cultiver la base pour rendre possible cet épanouissement.

Cet arbre représente aussi notre dualité faite de visible et d’invisible. Nous sommes construits de tout ce que nous ne voyons pas. Nous sommes faits d’émotions, d’énergie, de vies qui nous ont précédés : histoires pas toujours exprimées mais inscrites au plus profond de nous, au cœur de nos cellules.
L’arbre, symbole de la généalogie, est en nous et nous invite à explorer cet invisible pour retrouver notre juste place tout en reconnaissant la place qu’a été celle de ceux qui nous ont précédés.

L’arbre se modifie au rythme des saisons, du jour,de la nuit . Parfois baigné de lumière, parfois figé par le froid, il nous rappelle que la vie est un cycle. Une vie faite de perpétuels changements, nous laissant entrevoir que lorsqu’une page se tourne, elle reste en nous, et rend possible l’écriture du livre de notre chemin de vie.

Cet arbre, je l’ai voulu doré, précieux, noble, majestueux. Vous comprenez pourquoi maintenant.

Merci à Loïse (qui se reconnaîtra)et qui a su décoder tout cela en moi pour réaliser ce logo 🙏😉✨.

Connaissez-vous le phénomène du microchimérisme foeto-maternel? C’est fascinant et logique en même temps.Une explication...
10/06/2025

Connaissez-vous le phénomène du microchimérisme foeto-maternel? C’est fascinant et logique en même temps.
Une explication biologique des transmissions transgénérationnelles, un sujet qui me tient particulièrement à cœur✨.
Article complémentaire en commentaire.

« Et si je vous disais…
que vos enfants vivent encore en vous ?
Pas seulement dans votre cœur.
Mais dans votre corps. Littéralement.

Quand une femme tombe enceinte,
quelque chose d’extraordinaire se produit.
Silencieusement. Naturellement.
Comme un secret que la vie glisse dans ses cellules.

Le fœtus, cet être minuscule en formation,
n’est pas un simple passager du ventre maternel.
Il devient un visiteur…
et même plus : un hôte permanent.

Car pendant les mois de grossesse,
des cellules du bébé traversent le placenta
et s’installent dans le corps de la mère.
Elles entrent dans son sang.
Voyagent à travers ses organes.
Elles s’accrochent à sa peau, à ses muscles, à ses os.
Certaines vont jusqu’à atteindre son cœur.
Et d’autres… son cerveau.

Ce phénomène porte un nom scientifique méconnu :
le microchimérisme fœto-maternel.

Un mot compliqué
pour dire quelque chose de profondément humain :
le lien entre une mère et son enfant
ne disparaît jamais.
Il ne s’efface pas avec le cordon coupé.
Il reste, dans la chair, dans la mémoire biologique,
comme un tatouage invisible.

Même des décennies après l’accouchement,
les cellules de l’enfant vivent encore dans le corps de la mère.
Comme des petites sentinelles,
dispersées partout en elle.

Et ce n’est pas tout.
Des chercheurs ont fait une découverte encore plus bouleversante.

Ils ont observé que, lorsqu’une mère subit une blessure —
par exemple une attaque au cœur —
les cellules de l’enfant affluent naturellement vers la zone blessée.
Elles s’assemblent, s’activent, tentent de réparer.
Comme si l’enfant, à travers ces cellules,
essayait de protéger, encore et toujours,
celle qui lui a donné la vie.

Même en cas de fausse couche.
Même si la grossesse n’a pas été menée à terme.
Même si l’enfant n’est jamais né…

Il reste une trace.
Silencieuse.
Discrète.
Mais bien réelle.

Ce lien mystérieux n’est pas seulement fait d’amour ou d’émotion.
Il est aussi biologique, cellulaire, immortel.

Alors non…
Les femmes ne portent pas leurs enfants pendant 9 mois.

Elles les portent pour toujours. »

© Ange Ferini Le 19/04/2025

Vu sur la page Sucree.acidulee

Des mots que j’ai envie de vous repartager aujourd’hui. Un texte qui me parle tellement dans mon activité de kinésiologu...
29/05/2025

Des mots que j’ai envie de vous repartager aujourd’hui. Un texte qui me parle tellement dans mon activité de kinésiologue . Merci à tous les patchworks qui m’ont fait confiance 😊. J’espère juste vous avoir permis d’ouvrir la page qui vous fera avancer.
Et si vous avez envie d’être accompagné pour réécrire une page, n’hésitez pas à me contacter. Je reçois toujours chez moi à Wépion.

10/05/2025

Ce samedi, atelier en décodage biologique sur le système digestif avec Véronique Freslon, spécialisée en bio-psycho-généalogie et créatrice de Libres Racines.
Décoder l’origine émotionnelle des maux du corps peut être un complément utile à la médecine, considérant le corps dans son ensemble ( biologique, psychologique, généalogique, énergétique,…).
Je continue de me former pour mieux vous servir💪💪 et je vous raconterai 😊.

https://www.facebook.com/share/1FYZ85JBYp/?mibextid=wwXIfr

Je suis Véronique FRESLON, thérapeute en psycho-bio + transgénérationnel
A l'écoute de votre monde inconscient, puisque votre corps possède l'information dont vous avez besoin pour guérir !

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