Ulrich Eros

Ulrich Eros Histoires érotiques et Conseils de couple

03/03/2025

DÉBAUCHE

Il rencontra la jeune femme dans une réunion de travail et ils éprouvèrent une attirance sexuelle immédiate. Ils firent l’amour dès le premier soir dans sa voiture puis dehors contre la carrosserie. Après cette rencontre passionnée, ils se revirent régulièrement, malgré leurs attachements du moment. Des chambres d’hôtel accueillaient tout d’abord leurs ébats. Seul le plaisir les guidait car leur milieu social était très différent et leurs intérêts, leurs conversations communes limitées, mais le sexe ne les lâchait pas. Ils ne se lassaient pas de leurs étreintes et leurs unions allaient crescendo. Ils s’essayaient à de nouvelles positions, de nouvelles pénétrations, à de nouveaux fantasmes, à des situations chaque fois renouvelées. Depuis qu’il l’avait possédée pour la première fois dans la rue, ils aimaient les étreintes exposées, à la limite de l’exhibitionnisme. Au détour d’un porche ou dans un endroit peu passant, la nuit ou le jour, il l’enlaçait et l’embrassait furieusement, puis il sortait son sexe et lui demandait de se baisser pour le sucer. Elle se pliait à la demande, excitée elle aussi par le risque d’être surprise. Elle s’agenouillait alors et saisissait le pénis dressé entre ses lèvres pour commencer une fellation qu’il terminait en général par une éjaculation sans remords. Elle avalait alors le sperme et se redressait en souriant tandis qu’il se rajustait. D’autres fois il l’emmenait dans les quartiers chauds et ils visitaient les sex-shops où ils passaient dans des cabines projetant des vidéos X. Il aimait se placer derrière elle, et serrés dans l’étroit cagibi il remontait sa jupe, sortait son sexe, et la pénétrait en écartant le slip sur le côté, quand elle en portait un… Elle était déjà mouillée, excitée par les images et la situation. Quand il avait joui en elle, ils ressortaient, les habits froissés et encore dégrafés, et s’amusaient du regard inquisiteur des hommes seuls qui hantaient ces lieux et avaient observé leur manège. Parfois encore ils allaient au restaurant après qu’il lui eut demandé d’enlever son slip et de le mettre dans son sac. Il voulait qu’elle s’asseye sur la banquette la jupe tirée en arrière pour que son sexe, ses fesses et ses cuisses nues épousent la moleskine, comme il l’avait lu dans ‘O’, sa lecture favorite d’adolescent avec Emmanuelle. Là au milieu du repas sous la nappe qui les masquait il lui demandait de le caresser, de dégager son sexe et de le masturber doucement sans alerter les clients. Plusieurs fois, il jouit ainsi, éclaboussant le dessous de la table, et serrant les dents pour ne pas laisser voir son orgasme. Il finit par désirer des rapports plus pervers, faisant intervenir d’autres acteurs. Il lui demanda d’abord de l’accompagner avec une jeune et belle prostituée qu’il avait trouvée dans un bar. Dans une chambre d’hôtel, il les fit mettre toutes deux à quatre pattes sur le lit, lui présentant leurs croupes nues. Il commença à prendre la fille par derrière, puis se retira pour faire l’amour à son amie, et continua à alterner de l’une à l’autre. Il aimait les sensations diverses recueillies dans ces deux vagins qui se refermaient sur son sexe différemment. Il aimait surtout l’idée de posséder les deux femmes en même temps, de disposer de leurs corps au gré de son désir. Il fit retourner sa compagne qui présenta son visage devant lui, toujours dans la même position à quatre pattes, et il pénétra la p**e devant elle. Il se retira d’elle tout gluant et présenta son sexe au visage de son amie pour qu’elle l’enfourne. Elle le suça avec un peu de réticence, et il continua à passer de l’une à l’autre, abandonnant les fesses de la première pour la bouche de la seconde et ainsi de suite. Puis il contourna le lit, et prit la prostituée dans la bouche et ensuite enfila l’autre. Il jouit finalement dans la bouche de la fille qu’il avait payée.

Il compliqua l’opération, cette fois avec un couple de leurs amis, qui avait manifesté des tendances échangistes. Ils se retrouvèrent chez ceux-ci et il abandonna sa compagne à l’homme, pendant qu’il emmenait la jeune femme de celui-ci dans une chambre. C’était une petite blonde potelée mais appétissante, qui se déchaîna rapidement entre ses bras. Après l’avoir copieusement baisée, il lui suggéra d’aller voir l’autre couple, qu’ils trouvèrent en pleine activité : l’homme était à genoux entre les cuisses de la femme et lui léchait le sexe, la faisant gémir sous le plaisir. Ils attendirent en vo**ur qu’elle atteigne l’orgasme en observant son corps magnifique étalé sur le lit et ses seins rouler dans les mouvements incontrôlés qui l’agitaient. Il proposa alors aux deux femmes de prendre la position alternée à quatre pattes sur le lit, un homme se présentant de chaque côté et ayant devant lui à sa disposition une paire de fesses ou un visage. Lui se plaça tout d’abord du côté de la croupe de son amie et de la tête de la blonde. Il prit celle-ci entre ses mains et pénétra de sa verge ses lèvres entr’ouvertes, pendant que l’autre homme s’enfonçait dans la bouche de sa compagne. Puis les deux hommes changèrent au gré de leur caprice, passant, en restant du même côté du lit, du palais de l’une au sexe de l’autre femme, revenant au visage de la première, sans se coordonner. Il arrivait qu’une femme soit prise à la fois dans la bouche par l’un et dans son vagin par l’autre, et donc que la deuxième attende, regardant la double pénétration dont l’autre faisait l’objet ; ou bien qu’elles soient toutes deux envahies dans leurs sexes, pouvant j***r en même temps du spectacle, juste à côté de leur visage, de la pénétration de l’autre et du sexe de l’homme qui s’enfonçait comme un piston entre les fesses, dans la vulve ; ou encore qu’elles aient les fesses libres mais leurs deux bouches occupées en même temps par le bâillon de chair virile.

Chacun des deux hommes était dans un état d’excitation incontrôlable qui maintenait leur érection et ret**dait paradoxalement la jouissance. La possibilité qu’ils avaient chacun de prendre un sexe ou une bouche, et en même temps la vue de l’autre homme en face en train de fourrager l’une ou l’autre dans les mêmes or***ces, décuplait leurs forces et exacerbait leur frénésie. Ils vivaient leurs fantasmes et leur cœur battait à se rompre. Le sexe devenait comme il doit l’être un moment sublime de délire.

Ils j***rent enfin au même moment entre les fesses des deux femmes s’arc-boutant à leurs hanches et gémissant ensemble comme des enfants. Ils s’affalèrent sur le lit, foudroyés. Peu après revenant à leur sens et à leur vigueur, ils allèrent encore plus loin. Les quatre corps enlacés sur le grand lit incitèrent à des contacts homosexuels. Les femmes tout d’abord sans doute insatisfaites de la pénétration insatiable des mâles, se mirent à se caresser et montrèrent à leurs compagnons comment elles pouvaient se passer d’eux et se donner du plaisir. Elles se firent j***r à tour de rôle en passant leur langue sur le sexe de leur partenaire. Les hommes les regardaient et le spectacle les excitait à nouveau. Ils bandaient et l’un d’eux se présenta à la croupe de la femme penchée sur le sexe qu’elle léchait. L’autre homme facilita l’intromission en prenant le pénis pour le guider vers l’entrée. Le contact d’un mâle lui procura aussitôt une sensation nouvelle et il se prit d’un fantasme homosexuel à son tour. Il fit signe à son compagnon de se retirer de la femme qu’il commençait à besogner, et quand l’autre s’exécuta, il prit son sexe et commença à le masturber, comme seul un homme peut le faire. L’autre un peu surpris se laissait faire tandis que les deux femmes continuaient à s’occuper d’elles-mêmes. Puis cessant de br***er son ami, il se baissa et commit ce geste inimaginable avant cette soirée de saisir entre ses lèvres la queue bandée, et commencer une lente fellation. Du coup les femmes s’arrêtèrent pour les observer, émoustillées par ce spectacle peu commun pour elles. Il se consacra avec attention à glisser sur le sexe, à aller et venir en le caressant en même temps de sa langue, en le laissant sortir par moment pour le lécher et mieux l’enfourner ensuite jusqu’au fond de sa gorge. L’homme qui n’avait jusque-là été sucé que par des femmes se laissa aller à cette nouvelle forme de plaisir et finit par j***r sans retenue dans la bouche de son compagnon qui reçut le sperme comme une récompense et l’avala sans dégoût. Les femmes applaudirent amusées au moment où elles le virent se raidir et visiblement décharger dans son compagnon. Ils échangèrent leurs positions et ce fut au tour de celui qui venait de j***r de s’agenouiller et d’offrir une fellation, qu’il mena aussi jusqu’à l’orgasme de son partenaire, ce dernier le saisissant par les cheveux au moment où il se gonflait en lui, pour l’éclabousser au fond de sa gorge. Habituellement réticents à aller goûter leur propre sperme entre les lèvres de leur femme où ils venaient de j***r, ils n’hésitaient pas dans ce rôle, non seulement à recevoir tout le sperme d’un autre homme, mais encore à l’avaler, comme ils le réclamaient d’ailleurs des femmes dont ils utilisaient la bouche.

Le couple continua par la suite à s’engager dans “l’enfer du sexe”, multipliant les expériences et les perversions, s’engageant dans des partouzes, jusqu’à ce qu’un beau jour elle lui annonce son départ. Elle le quittait, ayant trouvé un autre homme dont elle fit le père de ses enfants et qu’elle épousa pour mener une vie rangée. Il avança de son côté dans la débauche et devint progressivement blasé. Son excitation était de plus en plus difficile à obtenir, plus grand-chose ne le branchait en matière de sexe, il avait tout fait, tout connu, et se rendait désormais à une partie fine avec autant de lassitude que celle d’un homme marié depuis trente ans qui ba**erait sa femme pour la dix millième fois.

03/03/2025

PREMIERS PAS (2)

Dans ses années d’étudiant il passait régulièrement les vacances d’hiver et de printemps au ski, toujours dans des groupes de divers organismes (Uniclub, OTU, Inter-Europe), d’abord participant puis moniteur grâce à sa maîtrise de ce sport. Cette année là, il fit la connaissance dans un stage de Noël à Davos, d’une jeune américaine, Joyce, étudiante à Paris, qui allait devenir une amie pendant de longues années et une amante épisodique. Mais surtout ce fut l’occasion de rencontrer deux sœurs de 15 et 17 ans, qui avaient la particularité d’avoir pour père le chef de l’armée du salut pour la France. Celui-ci venait de défrayer la chronique dans toute la presse du pays à propos d’une prise de position sur la morale et les bonnes mœurs, qui avait paru, dans ces années 1960 en cours de libération, tout à fait anachronique et ret**dataire. Il préconisait par exemple l’absence de toute relation sexuelle avant le mariage, la fidélité sans faille après, la condamnation de l’union libre, etc.

Au cours des soirées d’après-ski, organisées dans le chalet où ils résidaient durant ces quinze jours de vacances, il avait commencé à flirter avec les deux sœurs qui étaient naturellement maintenues à la maison dans une morale stricte et une ignorance totale des choses de l’amour. Elles étaient totalement innocentes, mais en même temps extrêmement curieuses, et prêtes à commencer leurs expériences. Des ingénues libertines, des Lo**ta à l’innocence perverse qui allaient faire avec lui leurs premières armes. Malheureusement il était lui-même très jeune, sans grande expérience, et manquait du sang-froid ou du cynisme qui lui aurait permis de mener cette initiation jusqu’au bout.

Des deux sœurs, la plus âgée était la plus sage, l’autre était plus coquine, plus espiègle. Il commença à “sortir” comme on disait avec l’aînée. Ils se tenaient par la main, skiaient ensemble, étaient toujours assis côte-à-côte au repas ou en boîte et s’embrassaient gentiment. Puis le soir du réveillon du jour de l’an, après avoir un peu bu, bien dansé, ils montèrent dans la chambre des deux filles et ils commencèrent à se frotter l’un à l’autre. Elle était vierge et voulait perdre son pucelage. Lui avait fait l’amour avec une seule fille, peu avant, à Paris, seulement à quelques reprises. Il avait un léger avantage et elle était persuadée qu’il était plein d’expérience… Il l’embrassait en glissant les mains sous son pull et sa chemise, cherchant la peau et le soutien-gorge. Elle se laissait faire dans la chambre surchauffée de la pension suisse, alors que la neige tombait au dehors. Il réussit à ouvrir l’agrafe et dégagea la poitrine. Ses seins étaient petits et fermes et il les prit les entourant de sa paume l’un après l’autre. Elle respira plus vite quand il passa sur les mamelons durcis. Il lui fit enlever ses vêtements du haut et l’allongea sur le lit en embrassant son buste. Son sexe était bandé au maximum et tendait le pantalon, laissant une auréole apparaître. Il s’attaqua à son fuseau et commença à glisser la fermeture éclair sur un slip en coton rose. Il se leva et l’aida à retirer le pantalon. Elle était presque nue maintenant allongée sur le lit. Il se pencha et l’embrassa longuement. Sa main posée sur le slip, caressant à travers l’étoffe la partie bombée, le haut de son sexe. Elle restait inerte, répondant seulement à son ba**er, mais n’osant le caresser. N’y tenant plus, il se dégagea d’elle et ouvrit son pantalon, extirpant le sexe qui s’offrit à elle. Elle regardait le phallus dressé et humide, oscillant devant elle, la fente rouge du gland émettant un liquide luisant. Il saisit sa main et la porta sur son sexe. Elle le prit doucement et ne sut quoi faire avec la masse chaude qui remplissait sa paume. Il entoura la main de la sienne et lui montra le mouvement à accomplir, le va-et-vient sur la hampe, entourant le gland de la peau du prépuce pour redescendre ensuite. Il la laissa faire seule et elle le caressa ainsi, maladroitement, détournant le regard du sexe qu’elle tenait. Malgré l’aspect malhabile de son geste, il sentit le plaisir monter et voyait qu’il allait j***r sur elle. Il l’arrêta et se contint avec peine. En s’allongeant à côté d’elle, il fit baisser son slip et elle l’aida à le retirer complètement. Il retira ses habits et l’enlaça. Nus sur le lit tous deux, maladroits, ils étaient tendus de tout leur être. Enfin il approcha la main de son sexe et entreprit de la caresser. Elle commençait à être humide et il trouva l’entrée du vagin. Il introduisit un doigt et en caressa le pourtour. Impatient, il s’arrêta trop tôt et se coucha sur elle, le sexe pointant à l’entrée du sien. Finalement il commença à la prendre et franchit sans peine la résistance de son h***n. Elle se raidit à peine au passage et lui enfoncé en elle commença à lui faire l’amour, rentrant et sortant dans la fille. Son plaisir vint trop vite et il sentit qu’il allait éjaculer. Il se retira au dernier moment et éclaboussa son ventre par saccade. Elle n’avait pas eu de plaisir, bien sûr, et, complètement innocente, elle lui demanda ce qui s’était passé, ne comprenant rien à son retrait soudain. Il dut lui expliquer qu’il était sorti pour ne pas prendre le risque de lui faire un enfant. Elle réalisa soudain et s’éclaira en le remerciant avec effusion. Tellement soulagée de voir ce risque éloigné, qu’elle se comportait de façon excessive ne voyant pas que c’était la moindre des choses et que le risque était aussi pour lui, peut-être pas aussi grand, mais assez en tout cas pour lui donner des sueurs froides quand il l’envisageait.

03/03/2025

PREMIERS PAS (1)

Elle était tout simplement superbe. Quel âge avait-elle, dix-huit ou dix-neuf ans puisqu’ils étaient tous deux en première année de fac dans les années 1960. Elle habitait près de chez lui dans cette banlieue sud sur la ligne de Sceaux et ils préparaient le même concours pour l’école normale. Ils sortaient ensemble comme on dit et tous les deux inexpérimentés, lui puceau, elle vierge, leurs jeux amoureux se limitaient à des caresses au cinéma, sur des bancs au Quartier latin, de longs ba**ers volés sous des portes cochères ou des entrées d’immeubles. Elle était grande, dans les 1,75 m, un visage à la Bardot, à la fois pur et pervers, un corps plein, de longues jambes, une poitrine opulente, magnifique. Il était fou amoureux, beaucoup plus qu’elle ne l’était de lui.

Et puis il la fit venir chez lui, quand ses parents étaient absents, les après-midi, quand les cours leur en laissaient la possibilité. C’était pratique, les deux appartements étaient à dix minutes, et il pouvait la raccompagner ensuite chez elle, monter parfois, saluer ses parents, aller un moment dans sa chambre sous prétexte de révisions communes, en fait pour continuer à la caresser. Il se souvenait de ses cuisses, des bas à l’époque avec jarretelles, de la peau chaude à la limite du haut des bas, ces quelques centimètres dénudés entre le nylon et la petite culotte.

Mais chez lui l’après-midi, la passion érotique et juvénile brûlait, dévorante, et se heurtait à leur maladresse, à l’obstacle de leur inexpérience. Ils s’allongeaient sur son lit et, habillés, restaient ainsi des heures à s’embrasser, à se caresser, à s’exciter sans résultat. Elle ne voulait pas se déshabiller, elle ne voulait même pas au début le laisser caresser ses seins, et gardait bien sûr sa culotte. Elle ne le touchait pas et lui restait aussi habillé. Cependant, chaque nouvelle rencontre faisait avancer un peu les choses. Une fois, debout dans le couloir, enlacés, s’embrassant follement, il réussit pour la première fois à glisser ses mains sous le pull, prendre les seins à travers le soutien-gorge, puis la dégrafer, et s’en saisir à nouveau à nu cette fois. Il ne pouvait se lasser de les sentir dans ses mains, de les caresser, de les soupeser. Mais elle prétendait ne pas le suivre, elle lui disait, sous prétexte qu’il avait pris l’initiative, qu’il l’avait un peu forcée, qu’elle n’avait pas décidé de les lui offrir : “tu es tout seul avec eux…” Cela gâchait un peu son plaisir, mais sur le moment, il n’en avait cure. Cependant après ce jour, il était admis que ses seins ne faisaient plus partie du domaine réservé, qu’il pouvait les caresser librement.

Une autre fois, lui sur une chaise, elle s’était assise par terre à ses genoux, et laissait sa tête reposer sur ses cuisses. Ils étaient habillés tous deux et il avait comme d’habitude une forte érection. Elle fit exprès de rapprocher son visage de son ventre et entrer en contact avec son sexe, à travers l’étoffe. Sa joue reposait sur la verge tendue, et ils faisaient semblant tous deux de ne pas s’en apercevoir. Elle le caressa ainsi déplaçant lentement sa tête contre le sexe. S’il avait été plus mûr, il l’aurait dégagé et lui aurait présenté pour une fellation qu’elle aurait sans doute acceptée. Mais il était trop jeune, sans habitude des femmes, sans avoir jamais fait l’amour. Ils continuèrent ainsi un moment et il sentit qu’il allait j***r, elle continuait son mouvement et bientôt il se raidit et par longues saccades laissa partir la giclée dans le slip et l’étoffe du pantalon.

Enfin, un autre jour, il finit par se déshabiller lui-même. Ils étaient allongés dans le lit, mais elle refusait toujours obstinément de retirer sa jupe et sa culotte, même si elle acceptait d’enlever le haut et de lui laisser sa poitrine à caresser. Renonçant à la convaincre, il retira son pantalon et son slip, dégageant un sexe libre et dur. Elle rit et parla de son “costume d’Adam”. Venant d’une famille très catholique, elle avait sans arrêt des références bibliques de ce type. Il n’osait même pas attirer sa main vers lui, pour qu’elle le masturbe, mais sa seule nudité à côté d’elle l’excitait au plus au haut point. Il se contentait d’être là, nu, le sexe ballant, à l’embrasser et à la caresser, sans oser, comme un jeune idiot qu’il était, lui présenter plus directement. Et elle, trop prude, ne tentait même pas de le prendre, bien qu’elle en eût certainement envie. Bien des années après, repus de sexe et d’aventures diverses, il pensait avec étonnement, combien il avait été plus excité de se trouver là, nu, sans rien faire pratiquement, qu’il ne l’était par les rapports sexuels, même les plus fantaisistes, qu’il avait maintenant.

Elle refusait toujours d’aller plus loin, et il dut se contenter de l’embrasser, de lui caresser les seins, et du contact de l’air autour de son sexe… Elle finit par le laisser tomber pour un autre par qui elle fut déflorée. Il eut une peine d’amour inconsolable pendant des mois et une frustration terrible pendant des années de n’avoir jamais fait l’amour avec elle, à cause de sa propre maladresse, alors qu’elle était comme un fruit mûr sur la branche tout prêt à tomber.

Il la rencontra deux ans après et elle lui fit comprendre, sans doute par une forme de cruauté bien féminine, ce qu’il avait manqué. Elle lui dit à mots couverts sa première nuit d’amour, passée, un comble pour cette jeune fille prude et catholique, non pas seulement avec son amoureux, mais avec deux autres garçons en plus, des amis qui avaient participé à la fête, au dépucelage de la belle. Elle s’était déchaînée, comme il arrive souvent, les plus bridées au départ font les plus grandes amoureuses. Toute sa vie par la suite, il n’avait pu oublier cela, et ce à côté de quoi il était passé. Il imaginait souvent cette nuit où son premier amour était livré aux trois garçons, pour satisfaire tous leurs caprices. L’érotisme de ce qu’il imaginait alors était si fort et si brûlant dans son esprit, que ce qu’il aurait éprouvé en réalité aurait sans doute été moins fort s’il avait eu la chance de l’avoir, de la posséder et de participer à son initiation.

03/03/2025

JEUNESSE

Sophie était venue à la maison travailler avec son amie, comme à l’habitude. C’était l’année du bac… La maison était éloignée et elle y passait le week-end, partageant le lit double de sa copine. Elle prenait les repas et participait à la vie de la maisonnée : le père, sa compagne et les autres enfants du couple. Ce matin-là, il était resté avec elle et tous les autres étaient descendus au village faire des courses. Elle voulait terminer son travail scolaire et lui la préparation de ses cours. À 17 ans, elle semblait peu sûre d’elle, avec sans doute des complexes et quelques problèmes de peau apparemment insolubles, mais jolie néanmoins avec de longs cheveux blonds, des yeux clairs, un corps mince, de longues jambes et une poitrine voluptueuse ayant la fermeté de son âge.

Elle n’avait aucune expérience des garçons et ne semblait se préoccuper que de ses résultats au lycée. Mais le père, lui, avait pensé tout de suite à profiter du départ des autres. En fait cette fille l’attirait depuis longtemps et il avait imaginé souvent de se retrouver seul avec elle pour l’initier. Il entra dans la chambre sans faire de bruit et s’approcha d’elle par derrière pour déposer un ba**er sur ses cheveux. Surprise, elle se retourna violemment et lui fit face avec un regard furieux et effrayé à la fois. Elle vit l’homme immobile qui s’était reculé et la regardait sans expression. Il ne tentait rien et quelques secondes ils restèrent face à face, sans dire un mot. Elle réfléchissait à toute allure et son hostilité se transforma en une peur délicieuse, un vertige qui la saisissait, un serrement de cœur, une bouffée d’excitation… La perspective de connaître enfin et tout de suite ce à quoi elle pensait depuis quelques années la fit tomber dans un désir haletant. Elle baissa la tête, rougit et ne dit rien. Elle tremblait légèrement et attendait… L’homme comprit immédiatement et lui prit la main sans un mot, l’approcha de lui et l’enlaça. Elle chercha ses lèvres et l’embrassa avec fougue. Elle n’avait plus qu’à se laisser faire, se laisser guider, s’abandonner… Elle était devenue en un instant un objet confiant que l’homme pouvait utiliser à sa guise.

Il releva lentement son tee-shirt et découvrit sa poitrine tenue par un soutien-gorge sage. Il fit le tour de son corps et le dégrafa, le retirant doucement vers l’extérieur et découvrant sa jeune poitrine, gonflée, magnifique. Il commença à la caresser délicatement, soupesant les seins et pinçant les tétons qui se raidirent. Elle sentait un bonheur délicieux l’envahir, abandonnant la blancheur de son corps aux mains expertes. Il en approcha les lèvres et la lécha, la suçota comme d’une pure merveille. Puis il glissa les mains vers sa taille et commença à baisser le short qu’elle sentit glisser à terre. Il s’agenouilla ensuite et fit descendre le slip découvrant la blonde toison. Elle serra instinctivement les jambes tandis qu’il effleurait des lèvres ses poils et embrassait la chair tout autour.

Il se redressa, elle était nue maintenant et lui encore tout habillé ; elle se laissa aller contre lui. Il la fit asseoir puis allonger sur le lit et lentement écarta ses cuisses découvrant sa fente toute entière. Il commença à embrasser ses cuisses dans l’intérieur, près du sexe, à l’endroit où la peau est la plus douce. Elle se prit à gémir doucement et ferma les paupières en posant ses bras et ses mains sur la tête de l’homme. Il se mit à lécher son sexe et chercha son cl****is qu’il entreprit de suçoter. Elle se laissa aller au plaisir qui montait par vagues successives, de plus en plus fortes. L’homme arrêta et commença à caresser son sexe humide de la main et enfoncer ses doigts dans le vagin qu’il massait doucement de l’intérieur. Elle respirait de plus en plus fort sans faire attention au bruit. Son excitation montait et il sentit qu’elle devenait incontrôlable.

Alors il la fit asseoir sur le bord du lit et debout devant elle, son short à hauteur de son visage, il commença à se dégrafer. Il le fit baisser et déjà son sexe rigide et humide sortait de la fente de son caleçon. Elle regardait le phallus à quelques centimètres de ses yeux, tandis qu’il finissait de se déshabiller. Elle observait la verge dressée, le gland à demi décalotté, le liquide sortant doucement de la fente, les veines sur la hampe et les testicules gonflés. Il prit son propre sexe dans sa main et commença à se masturber lentement devant elle. Puis après une minute de va-et-vient qu’elle observait fascinée, il lui prit la main et la porta sur la verge, lui indiquant de poursuivre le même mouvement. Le contact avec la chair ferme et chaude la fit frémir, et elle commença à manœuvrer de bas en haut en serrant le sexe maladroitement. Il l’arrêta à plusieurs reprises pour lui montrer comment faire, comment enserrer le prépuce pour qu’il recouvre le gland et le découvre dans une caresse régulière, comment limiter la pression et la faire porter sur la partie la plus sensible, la partie supérieure du sexe. Peu à peu elle devenait plus habile et prenait un plaisir extrême à donner la jouissance qu’elle sentait monter instinctivement des reins de l’homme. Celui-ci commençait à haleter, à perdre le contrôle de son plaisir. Il le sentait proche et elle alla plus vite voyant les effets directs de sa caresse. Quant il sentit l’éjaculation venir, il approcha doucement la tête de la jeune fille en la prenant par la nuque et elle se laissa faire de façon à présenter son visage devant la boule rouge et doublée de dimension du gland surexcité. Elle vit tressauter les longs éclairs de la semence qu’elle reçut sur son nez, son front, ses lèvres, ses cheveux… Elle ferma les yeux en se sentant éclaboussée du liquide chaud qu’elle avait fait sortir, fière de contrôler ainsi le plaisir d’un homme. Le sexe finissait de dégoutter le sperme et elle le sentit se dégonfler légèrement. Il desserra sa main d’autour de la verge et vint l’embrasser sur le visage, léchant son propre liquide et cherchant sa bouche pour l’y mélanger entre leurs langues. Elle sentit pour la première fois ce goût sur ses lèvres, et se laissait aller à cette odeur nouvelle de l’amour. L’homme lui indiqua la do**he et s’allongea pendant qu’elle se lavait.

Au bout d’un moment, reposé, il sentit le désir monter à nouveau. Elle s’était allongée près de lui, timide, et il commença à l’embrasser sur ses seins, ses bras, son ventre, puis à nouveau sur ses cuisses et son sexe. Elle s’offrait et ouvrit les jambes, attendant l’homme. Il s’approcha contre elle présentant son sexe devant la fente. De son doigt, il caressa l’entrée du vagin, jusqu’à ce qu’elle soit bien excitée et mouillée. Alors la recouvrant et tenant à la fois d’un doigt le vagin et des autres son propre sexe, il le guida vers elle et la pénétra doucement, laissant seul le gland entrer. Quand elle sentit le sexe de l’homme en elle, elle se mit à pleurer doucement, sentant qu’elle accomplissait là sa destinée physique, qu’elle s’unissait à l’homme et devenait enfin entière.

Alors il continua sa pénétration, sentit l’h***n se briser doucement et l’envahit enfin complètement. Il commença le mouvement immémorial et de plus en plus vite, de plus en plus fort, il sentit qu’elle l’accompagnait, qu’elle prenait un plaisir inouï, tout neuf. Elle se voyait pleine de cet homme, avec l’impression qu’ils ne faisaient plus qu’un. Ils ne sentaient plus leur sexe, ils n’en avaient plus, en fait, il n’y avait plus de différence, il n’y avait qu’une même sensation de plaisir commun. Ils étaient un. Il jouit longuement dans cette vierge qu’il venait d’ouvrir et elle sentit à son raidissement cette seconde forme de jouissance de l’homme, au fond d’elle, qui l’inondait encore de sa semence.

Il resta longtemps couché sur elle, comme mort, et se retira lorsque son sexe tout réduit fut en fait doucement expulsé par le vagin. Cette fois-ci il s’endormit pour de bon, tandis qu’elle se prit à le caresser lentement sur le dos.

Plus t**d il se réveilla et la trouva tout contre lui. Pas une parole n’avait été échangée depuis le début. La vue de ses jeunes seins gonflés et superbes lui donna à nouveau une érection et il prit sa main pour la porter à son sexe. Elle commença à le caresser mais il voulait sa poitrine. Il la fit s’agenouiller à côté du lit et lui montra comment prendre son sexe entre ses seins et le caresser. Elle s’appliqua à le presser de son corps pendant qu’il montait et descendait entre les globes. Elle voyait le gland sortir sous son visage. Au bout d’un moment il se dégagea et lui prit la tête d’une main, pendant qu’il saisissait son sexe de l’autre, et l’approchait du visage de la jeune fille. Elle comprit que le moment était venu de la caresse suprême, la fellation qu’elle connaissait par ses lectures et les racontars de ses copines. Elle se laissa faire et arrondit ses lèvres pour lui montrer son consentement. Mais il rapprocha d’abord de lui son visage qu’il voulait caresser de sa verge, il se frotta contre ses joues, son nez, ses yeux, jouissant de la mouiller partout. Ensuite il lui mit un doigt dans la bouche et l’entrouvrit pour y pénétrer. Elle se prit au jeu, il approcha alors son sexe, s’enfonça dans sa gorge et commença à y aller et venir. Il s’interrompit pour lui montrer comment faire elle-même et utiliser sa bouche comme un vagin en action. Toujours consentante, elle s’appliquait avec la plus grande douceur. Il se raidit davantage, contemplant avec satisfaction le visage de la jeune fille qui montait et descendait autour de son sexe ; il lui écarta les cheveux pour mieux profiter de ce spectacle inouï : une vierge à peine déflorée qui suçait comme la plus experte des prostituées. Bientôt cette vue, sans parler du contact de la bouche autour du gland, déclencha un spasme et il jouit en courtes giclées. Elle comprit d’elle-même qu’elle devait avaler la semence de l’homme qui était en train de décharger au fond de la bouche. Il lui tenait la tête des deux mains et elle absorbait le liquide blanchâtre sans rechigner. Enfin il retira le sexe encore raide et l’attira à lui pour l’embrasser, il passa sa langue dans sa bouche, contre la sienne, pour y goûter sa propre semence ou ce qu’il en restait.

Il lui restait une entrée qu’il n’avait pas pratiquée. Il avait eu ses mains pour le br***er, et il avait joui sur son visage ; il avait eu son sexe pour la pénétrer, et utilisé sa bouche pour y j***r sans frein. Il voulait maintenant la déflorer dans son or***ce le plus étroit, l’œillet de l’anus et le fourreau du re**um. Mais il était fatigué et remit à plus t**d cette entreprise qui déjà lui promettait de nouvelles sensations fulgurantes.

Ils se séparèrent pour attendre, l’air innocent, le retour des autres. Rien ne fut plus échangé entre eux pendant plusieurs semaines. Ils se voyaient comme avant et personne n’imagina un instant, dans leur entourage, ce qui s’était passé. Enfin, un jour, ils se retrouvèrent seuls à la maison. Elle le regarda avec un air d’attente et il l’attira aussitôt à lui pour l’embrasser tendrement. Mais il voulait lui montrer une autre facette de l’amour, celle de la brutalité feinte, du rudoiement. Il la poussa sur le lit, lui enleva ses vêtements sans ménagement et la retourna pour qu’elle présente sa croupe. Les deux fesses rondes, magnifiques, la taille voluptueuse, les hanches superbes se présentaient à lui. Il commença à caresser son postérieur, flattant les cuisses, le sexe, l’anus, de touches légères. Puis il se leva et se déshabilla, alla chercher un gel dont il enduisit son sexe. La plaquant sur le lit d’une main il lui barbouilla l’anus et tout son pourtour, en faisant pénétrer le produit à l’intérieur des parois resserrées. Elle sentit son cœur battre follement en réalisant que l’homme allait s’attaquer à la dernière entrée intacte de son corps. Elle se raidit, s’attendant à une pénétration progressive et douloureuse. Mais il s’y prit autrement, présentant son sexe glissant devant l’œillet en le guidant devant sa cible, et, d’un seul coup de reins, il s’enfonça violemment jusqu’à la garde, jusqu’aux testicules qui vinrent buter contre sa fente un peu plus bas. Elle eut un haut-le-corps en encaissant cette pénétration rapide et sauvage, mais ne ressentit qu’une brève douleur, le gel facilitant l’entrée de ce corps étranger, une douleur qui se transformait peu à peu en plaisir, qui se mêlait à une jouissance différente, plus fruste et brute que la communion normale. Déjà l’homme, hors de lui, se déchaînait en elle, cognant contre ses fesses, se retirant jusqu’à ce que le gland soit seul à l’intérieur de l’anneau qui le retenait, et se renfonçant d’un coup. Elle appréciait déjà cette sensation nouvelle, différente de tout ce qu’elle avait déjà découvert, la relation des sexes, la fellation, et qui ressemblait en plus fort au plaisir de la défécation. Elle se laissait brutaliser sans protester par l’homme qui ahanait sur elle comme un bûcheron, sentant la verge se raidir encore, gonfler jusqu’à ses limites extrêmes. Finalement, n’en tenant plus, gémissant lourdement, il éclaboussa l’intérieur du cul de la jeune fille d’une écume de sperme qui n’en finissait pas, le cœur battant à grands coups sous l’effet d’un orgasme ravageur. Il s’affala enfin sur elle, maintenant la pénétration au plus profond qu’il pouvait.

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