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1✓Ce type de fumée,selon vous contient quel type de Xénobiotique? 2✓ Quels sont les macromoléculaires possible susceptib...
24/02/2022

1✓Ce type de fumée,selon vous contient quel type de Xénobiotique?
2✓ Quels sont les macromoléculaires possible susceptible de produire une interactions avec ce Xénobiotique ?
2✓ Ce Xénobiotique peut-il avoir une réponse sur le système immunitaire, un effet spécifique sur les tissus et une toxicité génétique ?
3✓ Citez quelques tissus qui peuvent avoir des effets spécifiques

14/10/2021

Il existe combien de façons d'exprimer le risque à partir des valeurs toxicologiques de référence (VTR) :?

“dosis  sola  facit  venenum”Paracelsus
05/09/2021

“dosis sola facit venenum”

Paracelsus

Un pesticide commun pourrait contribuer à la survenue de l'obésitéUne étude menée sur des souris affirme que le pesticid...
01/09/2021

Un pesticide commun pourrait contribuer à la survenue de l'obésité

Une étude menée sur des souris affirme que le pesticide chlorpyrifos perturbe le fonctionnement d'un type de cellules adipeuses, ce qui a pour conséquence de ralentir la combustion de calories et ainsi de favoriser l'obésité. substance interdite en Europe, mais toujours présente sur les marchandises importées.

En toxicologie environnementale et en milieu de travail, comment caracterisons ces déchets ?
31/08/2021

En toxicologie environnementale et en milieu de travail, comment caracterisons ces déchets ?

un petit cadeau à tous les chers biologistes ici 💛
31/08/2021

un petit cadeau à tous les chers biologistes ici 💛

Après un traitement, l'essentiel des ppp(produits phytosanitaires) aboutit dans les sols où ils subissent plusieurs phén...
02/06/2021

Après un traitement, l'essentiel des ppp(produits phytosanitaires) aboutit dans les sols où ils subissent plusieurs phénomènes:
-des phénomènes de transformation (métabolisme par les microorganismes, photolyse, catalyse...) ;
-des phénomènes de rétention, soit par absorption par les végétaux ou la microflore du sol, soit par adsorption par la matière humique du sol.
-des phénomènes de transport par lixiviation,lessivage ou ruissellement ce qui pourra conduire à la contamination des eaux de drainage, des eaux de surfaces ou des nappes phréatiques.

Une patiente âgée de 23 ans est ramenée aux urgences pour ingestion volontaire de 10 comprimés d'atarax 25 mg (hydroxysi...
15/05/2021

Une patiente âgée de 23 ans est ramenée aux urgences pour ingestion volontaire de 10 comprimés d'atarax 25 mg (hydroxysine) et 20 comprimés d'equanil 400mg (méprobamate); elle arrive trois heures après l'ingestion.
L'examen à l'arrivée trouve une patiente somnolente mais réveillable (GCS évalué à 13), une pression artérielle à 94/43, une fréquence cardiaque à 104 et le reste de l'examen est sans anomalies. Un remplissage vasculaire est entamé et la patiente est admise en réanimation et a nécessité l'administration de catécholamines à faible dose. L'évolution est favorable et la patiente est sortante après 72 heures.
Deux particularités à signaler pour l'intoxication par le méprobamate:
1) Le collapsus est dose dépendant, d'abord une hypovolémie par vasoplégie, puis pour des doses plus importantes c'est un choc cardiogénique.
2) Ce produit peut former des conglomérats gastriques et donner ainsi un tableau clinique avec alternance de phases de réveil et de réapparition de coma...

06/03/2021

UN RAPPORT ALERTE SUR LES EFFETS NOCIFS DU PLASTIQUE SUR LA SANTÉ TOUT AU LONG DE SON CYCLE DE VIE
Dans un rapport publié en février 2019, le Center for International Environmental Law (CIEL) alerte sur l'impact sanitaire du plastique.
Dans ce rapport, intitulé «Plastique et santé : le coût caché d’une planète plastique », le CIEL détaille l’impact global du plastique sur la santé humaine par une analyse précise de chaque étape de son cycle de vie, aussi bien en amont qu’en aval. Le résultat est alarmant : le plastique représente un risque sanitaire à l’échelle mondiale car il a un effet néfaste aussi bien lors de sa fabrication que lors de son utilisation, de son traitement en tant que déchet ou encore de sa dispersion dans l’environnement. Le CIEL invite donc à repenser l’utilisation du plastique en adoptant une approche préventive de réduction à la source pour mettre fin à cette menace sanitaire et environnementale.

Les étapes du cycle de vie du plastique et ses conséquences
Le cycle de vie du plastique est constitué de différentes étapes, qui peuvent chacune avoir des conséquences nocives :

L’extraction et le transport de matières premières fossiles (pétrole, gaz, charbon) qui servent à fabriquer le plastique : lors de cette première étape, des substances chimiques et toxiques sont libérées dans l’atmosphère ainsi que dans l’eau et les sols.
La transformation de ces matières premières en plastique : des éléments toxiques et cancérigènes sont alors libérés dans l’atmosphère, en raison des additifs pétrochimiques ajoutés aux polymères vierges. Ces additifs contribuent à donner ses propriétés au plastique (souplesse, transparence, couleur etc.). Durant cette transformation, les accidents sont courants (feux industriels, explosions, rejets chimiques). Ainsi, en 2013, 73 accidents ont été signalés dans l’usine de fabrication de polymère Exxon Mobil, en Louisiane, soit environ 6 par mois. Cela augmente la pollution de l’air et présente un risque pour les travailleurs exposés et les communautés vivant à proximité.
Les additifs
Lors de la fabrication du plastique, de nombreux plastifiants et additifs chimiques sont utilisés afin notamment de donner certaines caractéristiques au produit final : couleur ou transparence, souplesse ou rigidité, imperméabilité à la lumière ou à l’oxygène, retardateurs de flammes, etc. Bien que la toxicité de nombre d’entre eux ait été prouvée, les industriels ne sont pas tenus de rendre publique la liste de ces additifs, qui constituent en moyenne 7 % de la masse des plastiques non fibreux. La majorité d’entre eux n’étant pas fixés solidement au polymère, ils contaminent facilement et durablement l’environnement, c’est-à-dire l’air, l’eau, mais aussi la nourriture ou le corps humain.

L’utilisation du produit plastique et des emballages : celle-ci entraîne l’ingestion et l’inhalation de microparticules de plastique et de substances toxiques associées. L’ingestion peut être due au dépôt de produits chimiques présents dans le plastique sur les produits alimentaires ou à la contamination des eaux tandis que l’inhalation est due à un contact direct avec le produit plastique (vêtements, emballages, jouets pour enfants, etc.). Ainsi, une étude menée par Orb Media concernant la contamination de l’eau du robinet montre que des microparticules de plastique sont présentes dans 81% des échantillons d’eau analysés, partout dans le monde. Dans une deuxième étude portant sur l’eau des bouteilles en plastique, Orb Media a trouvé des microparticules dans 93 % des échantillons, avec en moyenne deux fois plus de microparticules présentes dans l’eau en bouteille que dans l’eau du robinet.
Le traitement du déchet plastique : à la fin de sa vie souvent très courte, le plastique devient un déchet dont le traitement prend trois formes : l’incinération (souvent présentée comme de la valorisation énergétique), le recyclage ou la mise en décharge. Lorsqu’il est traité dans une usine d’incinération, de nombreuses substances toxiques, telles que le cadmium, le plomb ou le mercure, sont relâchées dans l’environnement proche. En 2015, 12 % des plastiques ont été traités de cette manière et seulement 9 % ont été recyclés dans le monde. Les 79 % restants se sont retrouvés dans des décharges ou encore dans la nature, représentant une source de pollution encore plus importante pour l’eau, les sols et l’air.
Au-delà de ces étapes clés, le plastique est à l’origine d’une pollution, présente tout au long de son cycle de vie, due à une diffusion de microparticules provenant du produit d’origine qui contaminent toutes les zones environnementales (air, eau et sol), mais aussi tous les éléments avec lesquels il est en contact (nourriture, peau, etc.).

Des impacts sanitaires déjà identifiés
L’omniprésence du plastique dans notre environnement représente un danger sanitaire pour l’homme. En effet, ce produit est en continuelle interaction avec l’environnement humain et finit par s’infiltrer dans le corps humain, par ingestion, inhalation ou contact direct. Ainsi, de plus en plus de microfibres et microparticules plastiques sont retrouvées dans les tissus humains et le système sanguin.

Les effets sur la santé peuvent être divers : impacts sur le système immunitaire et le système respiratoire, perturbations endocriniennes, baisse de la fertilité, hausse des risques de cancers… Ces effets existent à chaque étape du cycle de vie du plastique et démultiplient donc les conséquences sur la santé. Néanmoins, l’impact de la combinaison de ces effets est encore mal connu et ne peut donc pas être appréhendé correctement.

Ces risques concernent tous les individus mais les personnes exposées de façon prolongée (travailleurs dans le domaine du plastique, riverains d’usines, consommateurs quotidiens de produits plastiques) ainsi que les publics vulnérables (enfants, nourrissons et femmes enceintes) sont tout particulièrement affectés.

La mort programmée de nous populations à travers les boissons sucrées qui pullulent nos pays avec des marques, qui s'ajo...
22/02/2021

La mort programmée de nous populations à travers les boissons sucrées qui pullulent nos pays avec des marques, qui s'ajoutent du jour en jour sans inquiétude des autorités compétentes en charge de ce problématique bien connu de tous. Il revient aux utilisateurs et aux consommateurs de trier et de choisir quelle quantité de vie, ils souhaitent vivre et menée🕳️🕳️🕳️

Boire régulièrement des boissons sucrées, même si ce n'est qu'un petit verre par jour, pourrait favoriser l’apparition de cancers, suggère une étude français...

11/12/2020

La toxicité d'un aliment
La toxicité d'un aliment peut être intrinsèque :
- Intoxication par les aliments végétaux
- Intoxication par les champignons
- Intoxication par les biotoxines marines
La toxicité d'un aliment peut être aussi extrinsèque :
- Contaminants naturels
- Contaminants anthropiques

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