Clinique Médicale Sèdégbé

Clinique Médicale Sèdégbé Structure sanitaire privée situé a zogbadjé, le centre médical sédégbé est à votre disposition pour tous vos problèmes de santé.

Nos professionnels de santé sont à votre disposition pour vous offrir des soins de qualité.

16/06/2023
12/12/2022





Marie : quand nous vivions encore notre union à l'insu de ma mère, Je t'avais parlé d'un projet sur lequel je travaillais, l'insémination artificielle. Tu n'y croyais pas mais mes recherches avançaient... Après notre séparation à cause de ma trahison, la menace de ma mère de me prendre Emanuela après sa naissance me faisait tellement peur que je ne me voyais pas tomber enceinte une prochaine fois. Quand j'ai bataillé jusqu'à avoir ma fille à mes côtés, Je voulais avoir plus d'enfants. Il me fallait des semences d'un homme et à l'époque, tu étais là pour dire au-revoir à tes proches. C'est en ce moment que l'idée de prendre ta semence m'est venu en tête pour ma première expérience. J'avais appris ta liaison avec une fille et c'était Karine. il fallait que je fasse l'insémination sur elle pour que vous pensiez qu'il s'agissait de votre enfant. Elle était Vagabonde pendant les nuits alors je l'avais fait kidnapper, droguer et j'ai fait l'insémination sur elle.

Père Thomas : non... Non... Tu n'as pas pu faire ça, Marie. Qu'es-ce que tu es devenue ? Mariiiieee....

Marie : cinq ans plus t**d tu es revenu pour tes vacances. Pendant ces cinq années j'étais à l'académie pour continuer ma formation et mes recherches, donc je ne savais pas réellement comment Karine traitait l'enfant mais à travers ton compte je lui envoyais de l'argent. Quand j'ai su que tu étais à nouveau là, j'ai décidé de faire un autre enfant et donc une autre insémination. Après ça je me suis installé dans le quartier pour être proche et c'est là que je me suis rendu compte de la manière donc elle les traitait. C'était affreux...

Père Thomas : pourquoi moi? Comment est-ce que je ne m'en suis jamais rendu compte ?

Marie : prélever ta semence n'était pas bien difficile. Il suffit de...

Père Thomas : pourquoi moi ? Pourquoi ?

Marie : toi et moi avions des projets ensemble mais tu as préféré aller à l'église.

Père Thomas : tu m'as trompé avec cet homme de la mafia que tu étais sensé envoyer en prison... Marie c'est toi qui a détruit tous nos projets.

Marie : je t'ai supplié de me pardonner... On devait partir ensemble, j'étais prête à quitter l'Académie mais pour toi mais tu m'as annoncé un beau jour que tu allais devenir prête. Comme si ça ne suffisait pas, j'ai découvert ta relation cachée avec Karine...

Père Thomas : assez! Va-t-en... Va-t-en Marie ! PARS... PARS D'ICI...

Marie : je voulais juste avoir des enfants de toi parceque je t'aimais malgré l'erreur que j'avais commise... Je...

Père Thomas : tu l'as fait par vengeance et par jalousie, c'était de la pure méchanceté. Tu aurais pu trouver n'importe qui là dehors pour te faire des enfants.

Marie : je n'en voulais que de toi, Thomas... Que de toi.

Le père Thomas quitta le confessionnal sans se retourner en récitant le notre père du fond de son cœur, suppliant de ciel de lui pardonner ses erreurs.

Les jours s'étaient écroulés, les semaines et bientôt 6 mois. Les enfants se faisaient former bien que le comportement de kaila était encore difficile à appréhender. Elle avait une force dans les muscles qui était inestimable mais son caractère faisait d'elle une personne crainte de partout. Elle n'accordait du respect qu'à Dame Damas qui rien que par ses mots arrivait à la dompter. Mais une peur subsistait toujours, celle de voir l'arme de guerre que l'Académie voulait qu'elle devienne se retourner contre eux-mêmes.

Pendant ce temps, les sœurs Damas pourchassaient d'autres trafiquants de drogue à travers le monde en attendant que leurs ennemis prioritaires préparent le prochain coup.

Karine avait rapidement appris le métier. En six mois, elle devenait la meilleure dans ce domaine. En une semaine, elle réussissait à livrer des cargaisons de stupéfiant à des clients qui étaient à la base inaccessible par les trois frères. Son meilleur atout restait son corps. Il suffisait qu'elle pose son derrière sur les cuisses d'un homme un peu trop excité en lui enfouissant la langue dans l'oreille pour que celui-ci commande des quantités énormes de co.caïne. Elle se faisait tout doucement un réseau dans le dos des frères. Les clients qui étaient à la base les leurs devenaient les siens. Les fournisseurs préféraient désormais traiter avec elle car pour une réduction de 50%, ils avaient droit à un plat de son corps servi à nu. les fournisseurs devenaient peu à peu les siens. En six mois seulement, elle avait réussi à se créer un réseau de distribution qui n'avait rien à voir avec les quantités à vendre que lui donnaient Christian. À croire que c'était sa véritable destinée.

Christian n'avait plus la même attention car son cœur appartenait déjà à une autre femme. Pendant tout ce temps où il n'avait pas reçu sa lady, il pensait à un coup qui pouvait l'attirer vers lui mais tout était calme.

Les talents de Karine lui avaient values autre considération. Pour voilée la face, Christian devait la marier même s'il ne l'a touchait plus. Il savait très bien comment elle faisait pour vendre sa drogue.

C'était une belle femme, élégante et attirante. Pour satisfaire la demande de sa mère qui voulait pour lui une femme dans les mois à venir, Christian avait présenté Karine à la maison sans mentionner à sa mère qu'elle trempait dans le même domaine qu'eux. Karine ne s'était pas prié pour accepter le mariage car chacun y trouvait ses intérêts. Elle avait tout de suite été accepté et accueilli par la famille et surtout par le père.

Don Charles était l'homme à la tête de ce grand Palais de narcotrafiquant. Il avait peu à peu bâtit cet empire élevé sur le sang des innocents et sur la malhonnêteté qui forgeait tout son être. Son épouse n'était pas très différente de lui. Comme quoi tout ce qui s'assemble se ressemble. elle qui a la base n'était pas d'accord avec le choix de vie de son époux avait fini par s'aligner et par devenir sa complice dans tous les coups. Il n'était plus très jeune, il avait déjà pris les coups de l'âge. Sa femme se laisseait aller à quelque chirurgies esthétique pour rester belle mais le temps ne posait de questions à personne. Ses effets ne manquaient d'apparaître sur certains endroits de son visage.

Ce matin, Karine avait eu vend fait que tous les frères ainsi que leur mère avaient fait un voyage à et que le père devait rester à la maison. C'était l'occasion pour elle de concrétiser la dernière idée qu'il y avait dans sa tête. Celle d'avoir la même mise sur le père plutôt que de perdre son temps à séduire les frères qui n'avaient rien lui apporter immédiatement.

L'idée de leur rouler la langue dans la bouche lui était passée lorsqu'elle avait posé le regard sur le manoir de Don Charles. Elle oubliait quelque peu la promesse de fiançailles de Christian et même la promesse de mariage qui allait certainement s'en suivre. Elle était désormais la bienvenue dans ce manoir et les gardes du corps n'avaient plus à lui demander de se présenter avant de l'accueillir. Son style vestimentaire n'avait pas beaucoup changé ou plutôt il avait empiré. Elle n'avait sur elle que cette petite robe qui le couvrait à peine le fessier et qui laissait toute sa poitrine exposée. Ses tétons étaient relevés vers le haut et si on regardait bien, on pouvait en distinguer la couleur à travers sa petite robe blanche.

Lorsqu'elle arriva dans le grand salon, elle se posa devant Don Charles qui était en train de regarder le journal. Celui-ci fut étonné de la voir car son fils n'était pas à la maison. Les trois garçons, lorsqu'ils étaient dans la ville habitaient toujours dans la maison familiale. n'étant pas encore officiellement marié, Karine ne pouvait pas les rejoindre. Christian lui avait acheté un appartement dans lequel elle vivait mais n'y mettait pas les pieds à cause de cet excès d'amour qu'il ressentait pour l'ennemi.

Par galanterie et par respect pour sa future belle-fille, Don Charles l'invita à prendre place.

Don Charles : Christian n'est pas là, ne le savais-tu pas ?

Karine : ce n'est pas Christian que je suis venu voir, c'est vous. J'ai des choses à vous dire et j'aimerais que vous preniez la peine de m'écouter.

Celui-ci en fut étonné et en même temps émerveillé. Il était ce genre de père avec qui il ne fallait pas faire l'erreur de laisser une femme resplendissante. Malgré son âge qui avançait sans cesse, ils se sentait toujours capable de lui bondir dessus et Karine s'en était rendue compte au premier regard.

Il commença à lire dans ses yeux et à comprendre ce qu'elle était venue faire lorsqu'elle fit glisser l'un de ses doigts au milieu de sa poitrine pour relever sa robe qui descendait par moment. C'est alors qu'il claqua des doigts et les gardes qui étaient au séjour allèrent prendre un peu d'air à l'extérieur.

Lorsqu'il furent tous les deux, Karine se leva de son fauteuil et ella le rejoindre sur le sien.

Don Charles : est-ce que tu sais que tu es la future femme de mon fils ? J'espère que ce que je lis en toi peuvent te porter préjudice.

Karine : tout dépend de ce que vous lisez mais surtout de quel préjudice également. si ce sont des préjudices snsuels, je suis tout à fait d'accord.

Elle baissa complètement sa robe, laissant ses deux boules de seins rebondir à l'extérieur. Don Charles senti qu'il allait exploser sur place. il commençait à se ventiler, tellement il avait transpiré. Il en avait déjà vu mais pas de si beaux et aussi gros.

Comme toujours, elle réussit à se frayer un chemin vers le monde des grands avec son corps. Elle le laissa l'explorer millimètre après millimètre malgré qu'elle le trouvait répugnant tu fait de son âge.

Elle devenint non seulement sa maîtresse, mais elle accepta également d'épouser son fils. Lorsqu'elle ressentait un besoin particulier, elle retournait se donner à un inconnu quelconque dans la rue pour assouvir ses besoins car son mari ne l'avait plus jamais touché depuis cette mission faite au Nord. À croire qu'elle était malade de la nymphomanie.

Pendant des années, elle avait profité des moments de faiblesse de Don Charles pour lui faire signer des documents et s'approprier une bonne majorité des ses biens.

Elle avait su jouer le jeu et ne jamais dévoiler ses cartes jusqu'à ce que donne Charles pousse son dernier soupir du fait de cette potion toxique qu'elle avait reversé dans son verre et celui de son épouse. Les trio était très vite devenu orphelin sans comprendre ce qui s'était passé et sans jamais savoir que c'était un coup de Karine.

elle s'était fait un nom au sein de la mafia : cuisse légère. Elle s'était batti un empire, quitte à devenir l'ennemi juré de son époux et de ses frères qui n'avaient pas digéré sa trahison. Seulement, les retombés divins ne perdaient pas de temps à surgir. Karine avait atteint tous ses exploits en un an seulement.

Ce Matin, Karine avait du mal à se réveiller comme depuis plusieurs jours. Elle ressentait comme un léger étourdissements et une remonté de nausée. Un peu de frissons et une boule de peur s'installa dans son ventre. Elle prenait pourtant très bien la peine de se protéger avec ses amants depuis un bout de temps.

Karine : mince! Pourquoi est-ce que je me sens mal comme ça ? C'est depuis quelques jours que je ressens tout ça. Je crois que je devrais me rendre dans un hôpital. Il faut que je fasse les examens le plus tôt possible et si jamais c'est l'enfant, on enlève ça jusqu'à jusqu'à. J'ai pourtant fait mes derniers examens ça fait deux mois et je n'avais rien. C'est vrai que j'ai un ret**d de règles. En même temps Christian et moi n'avons rien fait depuis... Ce n'est pas un mari là-bas. Avec son père je me protègeait bien, ce vieux fou ne peut pas m'avoir enceinté avant de mourir. Minceee Karine... C'est sûrement le barman de la dernière fois. Le preso s'était déchiré. Mais je n'étais même pas en période d'ovulation... Bon, je pense hein. Bref, je vais à l'hôpital. J'aurai le cœur net une fois là-bas.

Elles sortit du lit et alla rapidement prendre une do**he avant de s'habiller et sortir de l'hôtel. Il y avait une voiture mise à sa disposition avec chauffeur l'appui. Seulement, elle ne voulait pas être conduite par lui car il rapportait tous ses faits et gestes à Christian. Une fois à l'extérieur de l'immeuble où se trouvait son appartement, elle profita de la discrétion de son chauffeur pour se lancer sur le trottoir et prendre un taxi. Ils allèrent ensemble jusqu'à l'hôpital le plus proche et elle posa son problème après avoir fait les consultations préliminaires. On lui fit un prélèvement de Sang et ella patienter dans la salle d'attente.

L'attente fut longue, elle était déjà resté sur place pendant 2 heures de temps et personne n'était venu vers elle. La science avait pourtant déjà tellement évolué qu'un test de grossesse ne prenait plus d'une dizaine de minutes pour que les résultats soient disponible. À bout de patience, elle décida de se rendre dans le bureau de docteur mais une infirmière vint vers elle.

-Karine LEKEUFA?

Karine : c'est moi

-suivez-moi s'il vous plaît

Elle suivit la jeune dame aux cheveux roux et ils allèrent jusqu'au bureau du médecin. Elle ne compris pas pourquoi les résultats qu'on était tout simplement sensé lui remettre demandait tant de protocoles. Une fois dans le bureau, le médecin remercia son infirmière et lui ordonna de se retirer. Elle lui donna les résultats et s'en alla en s'excusant.

Karine : excusez-moi docteur, j'ai beaucoup de choses à faire aujourd'hui. Les gens sont venus après moi et ils sont partis depuis longtemps mais moi je suis encore là. pour de simple test de grossesse que je suis venu faire je dois passer toute la journée à l'hôpital ? Non mais il faut revoir votre fonctionnement, d'autant plus que j'ai payé cher pour qu'on me fasse passer avant les autres.

Le médecin ne lui répondait pas, il ne cessait de regarder ses résultats et de regarder la jeune femme. Il la voyait magnifique et radieuse mais le résultat qu'il avait en face de lui, changeait tout.

-madame, je vois là que vous avez 35 ans aujourd'hui. Vous êtes encore bien jeune, vous avez la vie devant vous.

Karine : docteur, si je suis enceinte, dites-moi je vais aller me faire avorter. Peu importe la somme d'argent que vous allez demander pour cela, je vais la débourser. Mais ne me perdez pas plus de temps. plus tôt je serais au courant de ce qui se passe plus tôt je prendrai le traitement en main. Ce n'ai pas une question d'argent, j'ai de l'argent et je peux tout acheter. Si je le veux, je peux même acheter votre hôpital et vous faire virer surtout si vous me faites à perdre patience.

-effectivement madame, vous êtes enceinte mais là n'est pas la question. Vous souffrez d'autres choses 1000 fois plus grave que la grossesse.

Karine sentit comme un hic sur son cœur. Elle écarquilla les yeux pour regarder le médecin en attendant la nouvelle qu'il avait à lui annoncer. Celui-ci avait l'air bien plus triste qu'elle. La tête baissée, c'était toujours difficile pour les médecins d'annoncer ce genre de nouvelles à leur patients. Mais il n'avait pas le choix, le métier l'avait déjà àguéri et préparé à ce genre de situation. Il tebdit les résultats de Karine et elle les pris, commençant à les lire. Elle refusa de comprendre ce qui était écrit et jéta les papiers sur le médecin.

-vous savez madame, nombreux sont les personnes qui aujourd'hui vivent avec cette maladie sans sourcis car l'évolution de la médecine n'a peut-être pas trouvé des traitements mais il est possible de s'en sortir...

Karine : non... Qu'es-ce que vous voulez par là dire? Je refuse... Je vais porter plainte contre votre hôpital. Je vais... Non! Noooooonnnnnn...

-madame, ne vous mettez pas dans cet état. Restons calme, réfléchissons parce que ce n'est que comme ça que nous allons trouver une solution à votre problème. En même temps on n'est pas encore officiel, vous referez les examens dans 3 mois pour avoir confirmation. Croyez-moi, d'ici là... tout peut...

Il ne pouvait pas lui mentir sur ce cas. Les résultats n'allaient jamais changé.

Karine était abattue. Son iris pouvait sortir des orbites tellement elle avait grandement ouvert les yeux. Ces mots sonnaient comme des coups de poignard mais c'était sa réalité et les conséquences de sa vie Vagabonde. Elle éclata de rire.

Karine : Doc les blagues ne sont pas bien hein... Je sais que je t'ai un peu grondé et menacé mais c'était la blague. Est-ce que je peux...

Le docteur n'esquissa aucun sourire. Au contraire, il enleva sa paire de lunettes et les posa sur la table.

-nous avons fait les examens cinq fois dans cinq hôpitaux différents. Les résultats sont les mêmes. Les laborantins ont trouvé le même résultat et... Madame... Je suis navré de vous annoncer que vous êtes atteinte de VIH SIDA presqu'en phase secondaire.

Karine porta les mains sur la tête et glissa de sa chaise pour se retrouver étendue par terre comme si un deuil venait d'éclater. Le plus dur n'était pas de savoir qu'elle était malade, la fardeau était celui de savoir que c'était une maladie incurable qu'elle allait porter en elle À JAMAIS.



Karine Ô jou konsequensi mbangala? Je n'ai pas pu terminer le pdf aujourd'hui comme prévu car c'est trop long mais dès demain ça sera disponible au prix unique de 1500 frs. Ceux qui ont précommandé, vraiment désolée mais c'est demain que vous l'aurez.



Adresse

Abomey-Calavi

Téléphone

+22997202058

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Clinique Médicale Sèdégbé publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Clinique Médicale Sèdégbé:

Partager