12/04/2024
SÉRIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes...
José est le nom que mes parents m'ont donné après neuf mois passé dans le ventre de ma mère. Je grandi et je pris goût à la vie. Cette vie si précieuse, si sublime et surtout douce. La vie est merveilleuse par les différentes créatures fantastiques qui y sont.
L'une de ces créatures est la femme. Si belle, si rutilante et charmante, la femme a tout pour capter l'attention.
Son corps de rêve bien ondulé, ses yeux doux et vermeille, ses cheveux longs et séduisants.
Dieu est un bon créateur. Non seulement un bon créateur, mais un bon stratège. Allons tous dans nos lieux de cultes magnifier sa présence.
Il est un bon stratège, car le nombre de femmes dépassent largement ceux des hommes. Je comprends donc l'exclamation d’Adam, lorsqu'il vit Eve. On ne peut avoir de si fabuleuses créatures et mourir. La mort est une mauvaise chose. Je me demande comment certains arrivent à se suicider. Surtout ces hommes qui décident d'abandonner le précieux "trou" pour se suicider. N'a-t-on pas dit dans la bible, qui a trouvé une femme a trouvé le bonheur ?
Ooh! Mort reste très loin de moi ....
Bref, j'ai décidé de magnifier la femme, cette si unique créature, par des approches valorisantes. Complimenter la femme est une manière pour moi de louer Dieu.
Je suis un bon fils du Dieu vivant, candidat pour le paradis sur terre et dans les cieux.
C'est dans cette magnifique œuvre que je me mettais chaque jour. Carine est une de ses beaux visages que je vis au hasard sur Facebook pour laquelle je cliquai sur la demande d'invitation. Elle accepta et je me résolus de lui annoncer la bonne nouvelle de sa fascinante beauté après quelques mots de politesse.
J'enclenchai la procédure et je fus accueilli par une indifférence qui me glaça mais ne me découragea pas. N'a-t-on pas dit que le chemin du bonheur est sinueux et périlleux ?
Je m'armai de courage et j'insistai à d'autres occasions. Je reçu un « bonjour" en réponse. La récolte était maigre mais c'est un bon début.
J'abandonnai donc cette Carine pour d'autres annonces plus florissantes. Des semaines et des mois passèrent et je vis une publication de Carine sur Facebook. Elle venait de changer sa photo de profil. Il me fallut des minutes pour contempler cette belle photo. Au-delà de la parure, elle est d'une beauté tétanisante. Je la contemplai et trouvai une nouvelle motivation. En deux clique j'étais dans son Inbox. Je lui dis innocemment combien de fois je la trouvais séduisante.
Quelques minutes plus t**d, espérant une bonne nouvelle, c'est un message qui me terrifia. Elle me traita de tous les noms d'oiseaux. On dirait que je suis devenu le nouveau hibou de sa famille. Elle me baptisa voyou, impudique et que sais-je encore. Elle me bloqua systématiquement sur Messenger. Je n'ai donc pas la possibilité de me défendre devant ces accusations. Est-ce un crime d'être un écrivain érotique ? Est-ce un peu péché ?
J'ai dû accepter mes nouveaux noms de baptême, voyous, impudique, coureurs de jupons.
Je me tournai vers Dieu, créateur de l'univers visible et invisible. Qu'ai-je fait pour mériter ce traitement alors que je ne fais que ton travail ? Lui dis-je
Je décidai de la supprimer de la liste de mes contacts, j'étais sur le profil quand je vis parmis ses amis une autre créature, Olga. Je parcours rapidement ses photos et je vis que Dieu ne finira jamais de donner aux hommes des sujets de louange.
J'envoie une invitation et je supprime le compte de Carine.
Olga répondit à mon invitation et commença à cliquer sur mes écrits érotiques. A la fin de la journée, elle prit l'initiative de m'écrire Inbox pour me dire toute son admiration pour mes œuvres. On échangea quelques banalités et surtout nos contacts WhatsApp.
J'échangeais depuis quelques semaines avec Olga assez ouverte d'esprit. Nous parlions de boulot, de vie sociale. Elle est dans la vente en ligne, donc toujours connectée.
Nos sujets se sont vite orientés vers le sexe. Elle m'expliquait que son fiancé était aux USA depuis deux ans et qu'il la satisfaisait totalement du point de vue matériel mais que sexuellement, ils le font au téléphone.
J'observais son manque charnel mais je n'osais précipiter les choses de peur d'être bloqué comme Carine. Je lui envoyai un soir en vue unique la photo de mon érection avec comme message, la solitude me tue.
Je m’attendais à une réaction terne, mais elle répondit en s'exclamant
Waaaaaoooo, c'est magnifique. Hummm, une bonne bite !
On échangea sur d'autres points et je lui dis que ma journée était libre. Elle ne trouva pas d'objection à ma visite chez elle. C'était une grande maison avec des articles entreposés et des livreurs qui viennent les chercher. C'est vraiment un travail.
Je la regardais travailler, passer les appels, confirmer, les dépôts et appeler les livreurs.
Elle me demanda de m'installer à l'étage, le temps qu'elle gère les urgences et me rejoigne. Sa gouvernante me servit du thé avec des œufs.
Cette gouvernante avait un postérieur foudroyant mais je me concentrai.
Elle vint et s'assit à côté, prit aussi son petit déj.
Je touchai sa main gauche délicatement comme pour contempler la bague de fiançailles qu'elle a au doigt. Je lui arrachai un sourire au passage.
De douces caresses, pleines de tendresse sur mon bras, le long de mes jambes...
Répondant instinctivement à ses caresses. J’ai, en allongeant la main parcouru sa chevelure, caressé son cou avant de descendre sur sa poitrine pour explorer ses seins au travers de ses vêtements.
Je sentais qu'au fil de la progression de mes doigts, son excitation m***ait. Elle savourait.
Je la caressais lentement surtout et, suivant le guide de mes mains, elle bascula sur mes genoux. Mes doigts se baladaient toujours sagement. Mes mains remontèrent sous sa jupe, le long de ses cuisses au contact direct de sa peau. Mes mains remontèrent le long de son tronc sous mon chemisier et vinrent déloger ses seins du soutien-gorge pour les malaxer fermement tout en pinçant leurs tétons.
Ces gestes, plus marqués, perturbaient visiblement sa concentration.
Elle avait, les yeux rivés sur son portable qu'elle finit par déposer.
Rem***ant sa jupe sur son dos, je pouvais contempler son cul emballé dans un petit string en dentelle rose. Tout cela réactiva mes caresses de plus belle mais cette fois, sur sa croupe charnue.
Mes doigts se mirent à parcourir l'ensemble de son string en s'éternisant à hauteur de son bassin pour lui prodiguer des caresses.
Me sentant encouragé par ses gémissements et, de sa cyprine qui avait très clairement imbibé la dentelle, j'écartais son string, et fourrais d'un geste assuré deux de mes doigts en elle.
Une onde électrique parcourut son corps, alors qu'un cri de surprise s'échappait de sa bouche.
Elle n’était sans doute aucun, consumée par l'envie de me voir poursuivre, et de s'abandonner à mes caresses.
Je prenais ainsi possession d'elle. J'osais la fouiller avec mes doigts pour l'explorer.
Sa respiration était saccadée et je sentais son regard déborder de plaisirs. Ses pupilles se dilataient sous l'action de mes doigts qui, le plus naturellement du monde, s'agitaient dans mon ventre en un mouvement divin.
Mes doigts, sur son point G la firent chavirer au point que ses cris et gémissements ne t**dèrent pas à retentir avec un écho dans toute la pièce.
Elle sentit ma grosse queue enflée contre son bras et fini par me réclamer.
Elle était dans ses nuages quand je vis rapidement la gouvernante dans l'angle de la porte. Elle nous épiait...
Que faire ? (suite)
Goût de miel