22/08/2025
UN SAGE CONSEIL POUR QUELQU'UN....
J'entends souvent des hommes se plaindre de n'être plus en capacité de manier ce merveilleux troisième pied que Dieu dans sa générosité extrême a donné à l'homme. Les femmes aussi se plaignent que leur partenaire ont une membrane qui dort.
Mais j'estime que c'est plutôt un manque de créativité. La qualité d'une relation sexuelle n'est pas tributaire de la grosseur, de la longueur de ton sexe ou de ton endurance mais de la capacité à faire valoir tous les attributs que Dieu créa.
La femme est un univers de zones sensibles dont l'approche méthodique et chirurgicale peut faire fondre comme une glace🤪.
Les yeux de la femme sont la porte d'entrée de son cœur, l'admirer, la pénétrer du regard et la posséder peut faire fondre toute femme.
L'homme ainsi par ses yeux peut détailler la femme sans mot dire , peut la mettre dans une situation inconfortable, peut même la déstabiliser de l'intérieur.
La peau de la femme si lisse, si captivante est un espace où la main d'un bon homme peut passer et repasser. Mieux avec des huiles menthelées, des glaçons, vous pouvez faire vibrer une femme au point de la faire fuire du lit.
Ainsi avec les doigts, un homme peut rendre irrésistible une femme.
Les lèvres de la femme, ses seins,ses chevilles et son sexe sont des terminaisons nerveuses susceptibles d'être sucer , malaxer et titiller.
Ainsi par la bouche, l'homme bon peut faire râler une femme et la faire j***r de plaisir.
Mieux tout l'être entier de la femme, son cou, ses cheveux, sa colonne vertébrale, ses fesses, ses cuisses et même ses paumes de mains sont des escales obligatoires pour tout homme croyant qui reconnaît la valeur de ce que Dieu créa au sixième jour.
C'est donc en dernier ressort que le bazouzou, le Terminator, le cheval de Troie vient achevé ce que tu as bien commencé.
Bref la femme se valorise même au lit.
Chers hommes, Soyez entreprenants quand les femmes vous donnent accès à ce beau corps qu'elles chérissent sous les pagnes et différents modèles.
Fouillez, ne laissez nul place ou la main ne passe et repasse.
C'était moi goût de miel, l'innocent et l'innofensif