Goût de miel officiel

Goût de miel officiel Vivez la passion par la lecture....
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A BON ENTENDEUR !Bonsoir cheres toutes et tous!La question la plus récurrente qui m'est adressée après les dix mois pass...
13/06/2025

A BON ENTENDEUR !

Bonsoir cheres toutes et tous!

La question la plus récurrente qui m'est adressée après les dix mois passés sans me poindre au soleil de l'érotisme est belle et bien

Ou étais-tu passé ?

J'avoue que la question est pertinente et la réponse est d'autant plus spéciale.

Pendant les dix mois j'ai pris une année sabbatique ou j'étais sous l'ombre de l'amour et de l'affection pour produire une attestation de fin de formation.

En effet je suis devenu un expert agrégée en voyeurisme avec une des spécialités les plus rares qu'est la FESSOLOGIE,. J'admire telle une loupe la cadence des fesses pour en apprécier la fréquence et en déterminer la teneur en séduction vitaminale.

Agrégé, je reviens plus déterminé et requinqué pour rendre vous temps plus agréable et vos lectures plus palpitantes.

Retrouvez moi très bientôt en bon serviteur de Dieu derrière la soutane du Père Guy.

En attendant bon weekend à vous et au plaisir.

Goût de miel...

12/06/2025

Prochaine histoire érotique:
La soutane du Père Guy
Prenez le rdv

Bonjour chers fidèles lecteurs et lectrices Il y a bien longtemps qu'on ne s'est plus revu sur cette merveilleuse platef...
12/06/2025

Bonjour chers fidèles lecteurs et lectrices

Il y a bien longtemps qu'on ne s'est plus revu sur cette merveilleuse plateforme. Merci à ceux et celles qui ont pris de mes nouvelles. Merci beaucoup à ceux qui sont restés dans l'espérance de me relire un jour et ne se sont pas déconnectés.

Enfin je suis là, de retour avec plus d'innovations après 10 mois de disparition furtive.

Ensemble pour plus de récits, plus de funs.

Gout de miel...

Merci à tous
22/08/2024

Merci à tous

SÉRIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes ( la gouvernante)Après ce bon moment, je me suis rendu compte que la femme au bo...
30/04/2024

SÉRIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes ( la gouvernante)

Après ce bon moment, je me suis rendu compte que la femme au bout du fil était Carine. Celle qui m'a froidement bloqué et grâce à la main bénie de Dieu, je rencontrai Olga.

Olga étonnée, voulu mieux comprendre. Je lui racontai ma mésaventure jusqu'à notre rencontre. Elle était touchée. Elle me dit qu'elle devrait faire quelque chose. Carine était sa cliente. Elle venait souvent se ravitailler. Olga était tellement touchée qu'elle me dit:

-"t'inquiète tu vas la limer ici dans cette maison. Garde ton calme et suis mon Plan"

Qui a dit que les bontés de Yahvé ne se renouvellent pas chaque matin ?

J'avais le cœur en joie. Je voulais arborer un large sourire et esquisser quelques pas de danses mais je ne le fis pas. Il fallait que je donne cette mine de malheureux blessé pour qu'Olga puisse bien me secourir.

Je m'empressai donc de prendre congés d'elle pour mieux savourer ma joie.

En quittant la pièce, le temps que la maîtresse des lieux me rejoigne à la véranda. Je vis la gouvernante. Cette fille qui nous epiait et savourait notre ébat amoureux sans qu'on l'ait invité. Bref je la regardai longuement et elle aussi me regardait furtivement malgré qu'elle était occupée à essuyer les baies vitrées. Elle était troublée par mon regard et je sentais que son cœur battait.

Sa patronne m'a rejoint et me raccompagna au portail. A la maison, je pris une bonne bière et je laissai mon imagination s'envoler. Je dansai à la gloire du Dieu de la v***e et des orphelins. J'étais dans cette espérance quand je me souviens encore de cette gouvernante et de la rondeur de ses fesses. Il faut que je fasse quelque chose.

Quatre jours plus t**d, alors qu' Olga m'avait dit au téléphone deux jours plutôt qu'elle devrait être en déplacement en cette matinée dans une autre ville, je me pointai à son portail et l'appelai.

- bonjour belle fleur lui dis-je ? Je suis passé voir ton visage rayonnant comme le soleil.
Elle rit brillamment et me fit comprendre qu'elle n'est pas là mais qu'elle s'apprête déjà pour le retour de bien vouloir l'attendre, qu'elle aurait besoin d'un bain assisté à son retour. J'étais en feu, tellement sa voix glaciale me pénètre et me traverse. Elle raccrocha et le temps de sonner, j'entendis sa gouvernante répondre au téléphone. Elle vint m'ouvrir tout en répondant. C'était Olga qui lui demandait de me passer le téléphone. Au bout du fil, elle me dit de m'installer qu'elle ne t**dera pas.

Sa gouvernante sera mon apéro en attendant qu'elle ne vienne. Elle m'apporte de l'eau et je lui dit que je souhaiterais rester à l'étage où on était resté la dernière fois. Elle me précéda en m'y conduisant. Je pouvais contempler ses fesses dans cette robe.

Dès qu'on m***a, le temps qu'elle allume les brasseurs, je la plaquai contre le mur. J'envoyai directement mes mains entre tes cuisses.
Elle fit échapper une exclamation et je lui rappelai que je l'avais bien vu la dernière fois nous épier et c'est parce que j'attendais ce moment que je n'ai rien dit. Je l'embrassai dans le cou et malaxant ses cuisses et seins. Ma soif de la dévorer était telle que mes mains étaient partout. La robe fut enlevée. Elle avait un complet soutien-slip en dentelle, vraiment joli. Une belle surprise. Je m'engouffrai dans sa poitrine plantureuse. C'était un vrai régal. Des gémissements rocque m***aient déjà. Un doigt cherchait à titiller le c***o, elle mouillait déjà.

Je soulevai sa jambe pour la prendre contre le mur,sa jambe tenue contre mon torse.
Mon sexe lui arrachait du plaisir. Elle était obligée de s'agripper à mon cou. Jaccelerais le rythme de la pénétration profonde. Nous jouissons ensemble.

Un peu épuisé, je me suis retiré pour m'allonger sur le dos en lui demandant de venir me chevaucher.
Elle obéit et ondulait le bassin, on dirait une fée.

C'était si excitant de voir mon engin la rendre f***e.
A nouveau je sentis la jouissance l'envahir et je lui donneai des coups de rein plus accélérés qui finissent par lui arracher un cris de jouissance plus fou que la première.

Elle s'est affaisee sur moi, épuisée par cet orgasme.
Je devais reprendre les choses en mains. Je la plaçai à quatres pattes la tête enfoncée dans les coussins du canapé d'où elle nous observait.

Je lui donnai une claque sur la fesse lui arrachant un petit cri de douleur.
Elle n'eut pas le temps de reprendre ses esprits que déjà mes deux mains lui attrapaient les hanches et que mon thermomètre était à l'intérieur et cognait. M Je pouvais sentir son ventre se fendre en deux comme une tomate.
Elle hurlait, mes mains la retenaient d'une poigne ferme et puissante.
Je la pilonnais sauvagement.
Mes testicules tapaient son c***o.
Ce spectacle amorça mon plaisir, je me mis aussi à gémir.

Elle sentit des jets au fond de son ventre. Après mettre bien vidé, je me suis retiré.

Je me suis assis, j'ai posé mon gland sur ses lèvres tandis qu'une de mes mains lui attrapait fermement la tête et faisait pression.

Elle me donna une bonne pipe.
De mes mains, je la guidais

On descendit tous, moi à la télévision au salon et elle disparue dans la cuisine.

Goût de miel...

Qui est le coupable? Un amant en quête d’amour et de tendresse, ou une épouse fidèle délaissée et humilié après de longu...
19/04/2024

Qui est le coupable? Un amant en quête d’amour et de tendresse, ou une épouse fidèle délaissée et humilié après de longues années de mariage, par un mari qui l’ignore et la ridiculise?

SERIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes ( suite)Elle était dans ses nuages quand je vis rapidement la gouvernante dans l...
16/04/2024

SERIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes ( suite)

Elle était dans ses nuages quand je vis rapidement la gouvernante dans l'angle de la porte. Elle nous epiait. Mais que faisait elle là ?
Dois-je continuer ou m'arrêter ?
Je me souviens qu'elle avait de belles fesses, et ce n'est pas mal de lui donner un avant goût du traitement que je lui ferai.

J'étais dans mon imagination quand je sentis ma braguette s'ouvrir et Olga sortit mon thermomètre tout tendu. Elle le caressa doucement en le contemplant avant d'y poser quelques baisers en le reniflant. Moi je n'avais d'autres réponses que de lui caresser tendrement le cou puis la tête. Ses doigts finissent par descendre vers mes deux testicules et sa bouche empocha lentement ma verge. Et je sentis sa langue me faire voyager au pays des merveilles.

Je vivotais sous cette délicate fellation au point où je ne souhaitais pas que ça s'arrête.

Je me souvins soudain qu'une spectatrice était derrière la porte et regardait dans la direction. Elle était encore là. Sa patronne pouvait pas la voir. Elle est était affairée à me piper. Je décidai de torturer davantage cette gouvernante en lâchant des gémissements rocque pour l'exciter davantage. Je fis arrêter cette pipe qui me fait voir le paradis et je décidai de lui faire un cu*******us à la hauteur de la fellation que je venais de vivre.

Je me m'y donc à renifler son entrejambe bien épilé comme j'aime avec une odeur parfumée. Ma bouche se posa sur cette partie humide et ma langue commença à farfouiller jusqu'à s'immobiliser sur le c***o que jaspirairai longuement avec quelques coups de langue telle un chien au fond. Elle hurlait et se débattait. Elle jouit et la cyprine eclaboussa mon visage.

je délaissais son c***o pour venir l'embrasser à nouveau. Je l'embrassais f***ement pour donner du spectacle à la jeune gouvernante puis de ma main, j'introduis mon gland dans sa forteresse humide.
Olga était si étroite, mais je fini par m'y introduire. Elle lâcha un léger cri. Sûrement qu'elle n'avait plus mangé une banane si dure depuis que son fiancé rêveur est parti aux Etats Unis.

Je commençai à glisser lentement tout en la regardant et contemplant ses beaux yeux. Elle adorait, elle était emportée. Je levai ses jambes les tenant par les chevilles et entamais de très lent va et vient. Chaque mouvement lui arrachait un cri de plaisir. Je me faisais alors plus actif donnant des coups de rein plus francs , la faisant cette fois hurler de plaisir.
Elle jouissait en hurlant lorsque moi toujours en elle, je vivais au rythme de ses contractions vaginale avec un doigt posé sur son c***o et l'autre main malaxant ses seins parfois son visage.

Je lui demandai de se retourner pour que je la prenne en levrette. Elle s'exécuta, je relèvai à nouveau son boubou jusqu'à la hanche et je me plaçai à genoux derrière elle dans le canapé faisant dos à cette vicieuse gouvernante.

Je lui attrapai les hanches et de nouveau on reprit notre plaisir.
La pénétration était plus profonde. Je la limais de manière régulière , gardant le même rythme ce qui la faisait hurler.

Je la fis crier encore plus lorsque j'ai introduit mon pouce dans son a**s la faisant goûter à une pseudo double pénétration.

Elle me sentait coulisser en elle. Mon autre main lui a attrapa les cheveux pendant que je lui donnais des coups de reins cadencés et fois quelques claquettes sur ses pommettes de fesses.
Un nouvel orgasme envahi son corps et elle tremblota avant de s'affaisser dans le canapé.

Elle était visiblement épuisée mais je n'étais pas encore satisfait.

Je me retirai le temps qu'elle souffle un peu, je me levai avec cette forme érection. Je me tournai vers la porte sachant très bien que la gouvernante était derrière. Il fallait qu'elle contemple mon érection et se prépare à toute éventualité. Je m'assis après, je demandai à Olga qu'on devrait monter en chambre. Elle se leva et je sentis la gouvernante disparaître de la porte. Je suivi Olga et elle m'amena dans sa chambre si belle et si vaste.

La mettant sur le coté, je levai sa jambe pour la prendre ainsi. Sa jambe tcontre mon torse.
Je lui procurait de nouveaux plaisirs. Elle enfouie sa tête dans le coussin pour ne pas hurler. Je finis par faire gicler ma semence en cascade sur ses fesses.

On s'endormit un cour instant puis au réveil, on discuta de tout et de rien. Un appel lui vint, elle décrocha et parla avec enthousiasme. C'était une femme au bout du fil . À la fin , elle dit "au-revoir Carine"

Est-ce la Carine qui m'a insulté et bloqué ?

(Suite...)

Goût de miel....

SÉRIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes...José est le nom que mes parents m'ont donné après neuf mois passé dans le vent...
12/04/2024

SÉRIE ÉROTIQUE : Dieu essuie mes larmes...

José est le nom que mes parents m'ont donné après neuf mois passé dans le ventre de ma mère. Je grandi et je pris goût à la vie. Cette vie si précieuse, si sublime et surtout douce. La vie est merveilleuse par les différentes créatures fantastiques qui y sont.
L'une de ces créatures est la femme. Si belle, si rutilante et charmante, la femme a tout pour capter l'attention.

Son corps de rêve bien ondulé, ses yeux doux et vermeille, ses cheveux longs et séduisants.

Dieu est un bon créateur. Non seulement un bon créateur, mais un bon stratège. Allons tous dans nos lieux de cultes magnifier sa présence.

Il est un bon stratège, car le nombre de femmes dépassent largement ceux des hommes. Je comprends donc l'exclamation d’Adam, lorsqu'il vit Eve. On ne peut avoir de si fabuleuses créatures et mourir. La mort est une mauvaise chose. Je me demande comment certains arrivent à se suicider. Surtout ces hommes qui décident d'abandonner le précieux "trou" pour se suicider. N'a-t-on pas dit dans la bible, qui a trouvé une femme a trouvé le bonheur ?
Ooh! Mort reste très loin de moi ....

Bref, j'ai décidé de magnifier la femme, cette si unique créature, par des approches valorisantes. Complimenter la femme est une manière pour moi de louer Dieu.
Je suis un bon fils du Dieu vivant, candidat pour le paradis sur terre et dans les cieux.

C'est dans cette magnifique œuvre que je me mettais chaque jour. Carine est une de ses beaux visages que je vis au hasard sur Facebook pour laquelle je cliquai sur la demande d'invitation. Elle accepta et je me résolus de lui annoncer la bonne nouvelle de sa fascinante beauté après quelques mots de politesse.

J'enclenchai la procédure et je fus accueilli par une indifférence qui me glaça mais ne me découragea pas. N'a-t-on pas dit que le chemin du bonheur est sinueux et périlleux ?

Je m'armai de courage et j'insistai à d'autres occasions. Je reçu un « bonjour" en réponse. La récolte était maigre mais c'est un bon début.

J'abandonnai donc cette Carine pour d'autres annonces plus florissantes. Des semaines et des mois passèrent et je vis une publication de Carine sur Facebook. Elle venait de changer sa photo de profil. Il me fallut des minutes pour contempler cette belle photo. Au-delà de la parure, elle est d'une beauté tétanisante. Je la contemplai et trouvai une nouvelle motivation. En deux clique j'étais dans son Inbox. Je lui dis innocemment combien de fois je la trouvais séduisante.

Quelques minutes plus t**d, espérant une bonne nouvelle, c'est un message qui me terrifia. Elle me traita de tous les noms d'oiseaux. On dirait que je suis devenu le nouveau hibou de sa famille. Elle me baptisa voyou, impudique et que sais-je encore. Elle me bloqua systématiquement sur Messenger. Je n'ai donc pas la possibilité de me défendre devant ces accusations. Est-ce un crime d'être un écrivain érotique ? Est-ce un peu péché ?

J'ai dû accepter mes nouveaux noms de baptême, voyous, impudique, coureurs de jupons.

Je me tournai vers Dieu, créateur de l'univers visible et invisible. Qu'ai-je fait pour mériter ce traitement alors que je ne fais que ton travail ? Lui dis-je

Je décidai de la supprimer de la liste de mes contacts, j'étais sur le profil quand je vis parmis ses amis une autre créature, Olga. Je parcours rapidement ses photos et je vis que Dieu ne finira jamais de donner aux hommes des sujets de louange.
J'envoie une invitation et je supprime le compte de Carine.

Olga répondit à mon invitation et commença à cliquer sur mes écrits érotiques. A la fin de la journée, elle prit l'initiative de m'écrire Inbox pour me dire toute son admiration pour mes œuvres. On échangea quelques banalités et surtout nos contacts WhatsApp.

J'échangeais depuis quelques semaines avec Olga assez ouverte d'esprit. Nous parlions de boulot, de vie sociale. Elle est dans la vente en ligne, donc toujours connectée.

Nos sujets se sont vite orientés vers le sexe. Elle m'expliquait que son fiancé était aux USA depuis deux ans et qu'il la satisfaisait totalement du point de vue matériel mais que sexuellement, ils le font au téléphone.

J'observais son manque charnel mais je n'osais précipiter les choses de peur d'être bloqué comme Carine. Je lui envoyai un soir en vue unique la photo de mon érection avec comme message, la solitude me tue.

Je m’attendais à une réaction terne, mais elle répondit en s'exclamant

Waaaaaoooo, c'est magnifique. Hummm, une bonne bite !

On échangea sur d'autres points et je lui dis que ma journée était libre. Elle ne trouva pas d'objection à ma visite chez elle. C'était une grande maison avec des articles entreposés et des livreurs qui viennent les chercher. C'est vraiment un travail.

Je la regardais travailler, passer les appels, confirmer, les dépôts et appeler les livreurs.

Elle me demanda de m'installer à l'étage, le temps qu'elle gère les urgences et me rejoigne. Sa gouvernante me servit du thé avec des œufs.

Cette gouvernante avait un postérieur foudroyant mais je me concentrai.
Elle vint et s'assit à côté, prit aussi son petit déj.

Je touchai sa main gauche délicatement comme pour contempler la bague de fiançailles qu'elle a au doigt. Je lui arrachai un sourire au passage.

De douces caresses, pleines de tendresse sur mon bras, le long de mes jambes...
Répondant instinctivement à ses caresses. J’ai, en allongeant la main parcouru sa chevelure, caressé son cou avant de descendre sur sa poitrine pour explorer ses seins au travers de ses vêtements.

Je sentais qu'au fil de la progression de mes doigts, son excitation m***ait. Elle savourait.

Je la caressais lentement surtout et, suivant le guide de mes mains, elle bascula sur mes genoux. Mes doigts se baladaient toujours sagement. Mes mains remontèrent sous sa jupe, le long de ses cuisses au contact direct de sa peau. Mes mains remontèrent le long de son tronc sous mon chemisier et vinrent déloger ses seins du soutien-gorge pour les malaxer fermement tout en pinçant leurs tétons.
Ces gestes, plus marqués, perturbaient visiblement sa concentration.

Elle avait, les yeux rivés sur son portable qu'elle finit par déposer.
Rem***ant sa jupe sur son dos, je pouvais contempler son cul emballé dans un petit string en dentelle rose. Tout cela réactiva mes caresses de plus belle mais cette fois, sur sa croupe charnue.

Mes doigts se mirent à parcourir l'ensemble de son string en s'éternisant à hauteur de son bassin pour lui prodiguer des caresses.

Me sentant encouragé par ses gémissements et, de sa cyprine qui avait très clairement imbibé la dentelle, j'écartais son string, et fourrais d'un geste assuré deux de mes doigts en elle.
Une onde électrique parcourut son corps, alors qu'un cri de surprise s'échappait de sa bouche.

Elle n’était sans doute aucun, consumée par l'envie de me voir poursuivre, et de s'abandonner à mes caresses.

Je prenais ainsi possession d'elle. J'osais la fouiller avec mes doigts pour l'explorer.

Sa respiration était saccadée et je sentais son regard déborder de plaisirs. Ses pupilles se dilataient sous l'action de mes doigts qui, le plus naturellement du monde, s'agitaient dans mon ventre en un mouvement divin.

Mes doigts, sur son point G la firent chavirer au point que ses cris et gémissements ne t**dèrent pas à retentir avec un écho dans toute la pièce.

Elle sentit ma grosse queue enflée contre son bras et fini par me réclamer.

Elle était dans ses nuages quand je vis rapidement la gouvernante dans l'angle de la porte. Elle nous épiait...
Que faire ? (suite)

Goût de miel

Carême est fini oooh...Les chrétiens et musulmans qui me voyaient comme un obstacle à leur PARADIS, sachez que j'y serai...
11/04/2024

Carême est fini oooh...

Les chrétiens et musulmans qui me voyaient comme un obstacle à leur PARADIS, sachez que j'y serai avant vous.

Bref, demain une nouvelle histoire pimentée...

Titre: Dieu essuie mes larmes....

Venez voir comment Dieu aime les pécheurs ooooh...

A demain...

Goût de miel, votre innocent serviteur fidèle.

03/04/2024

Nous avons tous une "vie publique", une "visite privée ",et une "visite secrète"

Arrêtons de jouer aux SAINTS

31/03/2024

De toute ton apparente perfection, ce qui m'attire le plus ce sont tes vices secrets ...
Joyeuses Pâques

SÉRIE ÉROTIQUE: Un coup de main...(suite et fin)Je pris rapidement la route car un grand vent se mis à souffler, le temp...
30/03/2024

SÉRIE ÉROTIQUE: Un coup de main...(suite et fin)

Je pris rapidement la route car un grand vent se mis à souffler, le temps menace. Dès que je fus sur les lieux, je vis des personnes autour du bus et des mécaniciens qui donnent du cœur à l'œuvre. Je lançai le numéro et c'était occupé. Elle recevait un appel. Je cherchai du regard mais rien. Je lançai à nouveau le numéro et elle décrocha. Je me présentai. Elle était derrière le bus.

Dès qu'on se vit, un sourire illumina nos visages. On s'est reconnu, c'est bel et bien Adélaïde de l'enterrement. On échangea rapidement les civilités et on m***a à bord de ma petite Corolla Drogba.
Elle était encore plus belle avec un visage plus éclatant sûrement à cause de sa nouvelle tresse et sa tenue africaine qui lui allait très bien.
Je la complimentai et elle me remercia avec un large sourire. Je lui propose qu'on aille manger quelques choses mais elle me notifia qu'elle a mangé, il y a quelques instants. On rentra.
Je descendais rapidement les valises tel un docker tellement j'étais enthousiaste. Elle entra et s'assit au salon. Je l'invitai à s'installer dans sa chambre. Une chambre que je n'utilise que pour stocker des vivres. Il y avait un lit et un matelas. J'apportai de nouveau drap pour les mettre mais d'un geste, elle me le prit et promit le faire elle-même.
Elle était plutôt timide et ne répondait à tout que par le sourire.
Mon téléphone sonna et c’était Corinne, je répondais et la rassurai qu'elle est déjà chez moi. Je fis passer le téléphone à Adélaïde qui lui confirma d'une voix glaciale qu'elle est bien installée.
Apparemment Corinne ne se souvient plus qu'on s'était vu à l'enterrement de sa mère chérie. Moi aussi, je ne le lui rappelai pas pour éviter qu'elle me fatigue par la morale qu'elle me fait. Elle me remercia et me dit " prend bien soin d'elle pour moi".
Quelques minutes plus t**d, je suis déjà à la cuisine, il fallait que je lui cuisine quelque chose.
Façon garçon devient travailleur quand il voit une femme. Moi le gros paresseux qui difficilement préparait à manger, me voici à la tâche à cœur et joie. Dieu merci que ma maman me bastonnait correctement pour m'inculquer quelques notions de cuisine, aujourd'hui j'en ai besoin.
J'étais en train de me débattre avec le gaz piquant de l'oignon quand j'entendis toquer. Je répondis, c'était Adélaïde. Elle vient à la cuisine en suivant le son de ma voix.

Waaaaaoooo elle s'est déjà lavée et s'est mis un "sans taille" blanc qui laissait transparaitre le bout pointu de ses seins. Elle était encore plus fraîche mais toujours timide. Je lui dis que j'étais en train de lui faire un petit repas, elle sourit et s’approcha en me demandant de laisser, elle prit le relais.
Oooh j'étais soulagé, l'oignon voulait crever mes yeux. Je restais debout et je la regarde à l'œuvre, elle est une très rapide experte en la matière. En quelques minutes, le repas était prêt. J’aurais mis deux heures pour finir ce qu’elle a préparé en trente minutes.
Maintenant comment faire pour créer et le contact et croquer cette belle pomme avant le lendemain. Goût de miel dans ses aventures sur Facebook nous a toujours dit de ne jamais rater les occasions, ni les reporter.
Rapidement, je trouvai une stratégie. Sourire toute la nuit n'apportera rien de concret. Il faut donc commencer par le repas. Elle le servit en deux plats mais je lui dis qu’on devrait manger ensemble.
Elle était gênée mais elle ne s’y opposa pas. C’est une très belle technique. Ça créera une complicité et surtout cette tension sexuelle. Sûrement qu'elle mouille déjà et qu'elle se demande qu'est-ce qui se passera après le repas. On mangea dans le silence et on se contemplait, à chaque regard, elle souriait et je ne m’empêchai de lui dire quelle est très belle, plus belle que la première fois que je l’ai vu.
J’étais si emporté que ma main se retrouva sur son genou et glissa vers sa cuisse. Je lui donnai en même temps une biz sur les lèvres et dans le cou tout en me levant de ma chaise. Elle n’opposa pas grande résistance surement par timidité ou parce qu’elle désirait aussi ce moment après les regards langoureux partagés à la cérémonie d’enterrement.
Je la serre contre moi et l'embrasse à pleine bouche, mes mains palpent déjà ses seins fermes. Je glisse mes doigts dans sa ch**te, déjà humide. Pendant ce temps, elle serre ma verge à pleine main, et ne résiste plus.
Elle gémit de plaisir en mêlant sa bouche à la mienne. On s’embrassa fougueusement. Elle comprimait ma bite, en érection. Je la doigtais profondément tout en l’embrassant. Son pagne était déjà sur la chaise à force de répondre au plaisir que lui procure mes doigts.

Je la cale contre la table. Elle se dénude les fesses et se place sur la table en m’offrant sa vulve trempée. Je lui donnai quelques coups de butoirs dans cette position. elle réclame de la défoncer "Plus fort !".
La table crisse sur le sol.
Le moment qui suit dure quelques minutes, puis je jouis à mon tour
Bon, on va dans ma chambre lui dis-je!

On se dénuda entièrement, puis on s'allongea sur le lit. On discuta quelques minutes de nos plaisirs et de nos désirs et on replongea dans cette fougue. On se prit les lèvres, nos mains s’enlacèrent et on reprit de plus bel. Ma bite reprend de la vigueur dans sa main. Elle est devenue plus entreprenante.
Sa langue parcourait tout mon corps. Je frissonnais de plaisir
Puis, elle me chevauche en me faisant face.
Elle se fait plaisir. Elle a des reins de roseau tellement elle est agile

Puis, je reprends la direction des ébats sexuels, en la couchant contre son matelas.

je la défonçai comme une p**e, elle jouit encore à deux reprises.

Ses cris de plaisirs résonnent dans l’appartement.
Tant p*s pour les voisins ! Entre les cris et les mots crus, ils doivent comprendre ce qui se passe chez moi!

On s’endormit comme des bébés elle reprit la route le lendemain après une bonne dose de baise sous la do**he quand elle se douchait.

Gout de miel, votre serviteur

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Cotonou
00229

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