Marie Cardinal, M.Ps. Psychologue clinicienne

Marie Cardinal, M.Ps. Psychologue clinicienne Contact information, map and directions, contact form, opening hours, services, ratings, photos, videos and announcements from Marie Cardinal, M.Ps. Psychologue clinicienne, Mental Health Service, Beloeil, QC.

07/15/2025
05/27/2025
04/25/2025

« Ma mère a changé »

Ma mère avait beaucoup de problèmes. Elle ne dormait pas, se sentait constamment épuisée. Elle était irritable, grognonne, amère. Toujours souffrante, jusqu’au jour où, sans prévenir, elle changea.

La situation, pourtant, restait la même… mais elle, non. Elle était différente.

Un jour, mon père lui dit :
— Chérie, ça fait trois mois que je cherche du travail sans succès. Je vais boire quelques bières avec les copains.
Ma mère répondit simplement :
— Très bien.

Mon frère avoua :
— Maman, je suis en échec dans toutes mes matières à l’université...
Elle répondit calmement :
— Ce n’est pas grave. Tu te rattraperas. Et si tu ne le fais pas, tu redoubleras. Mais cette fois, tu paieras toi-même ton inscription.

Ma sœur arriva, inquiète :
— Maman, j’ai eu un accident avec la voiture.
Ma mère dit :
— Ce n’est pas un problème. Amène-la au garage, trouve comment payer les réparations, et en attendant, prends le bus ou le métro.

Puis sa belle-fille déclara :
— Belle-maman, je viens passer quelques mois chez vous.
Et elle répondit, paisible :
— Installe-toi dans le canapé du salon, tu trouveras des couvertures dans le placard.

Nous étions tous stupéfaits, rassemblés, inquiets de ce calme soudain.
Certains soupçonnaient qu’elle avait consulté un médecin et qu’on lui avait prescrit des comprimés de “je m’en fiche royalement” 1000 mg.
Peut-être même en avait-elle pris une double dose !

Alors, comme dans les films, on a pensé organiser une intervention familiale pour la sauver d’une éventuelle dépendance aux anti-crises-de-nerfs.

Mais, à notre grande surprise, elle nous a réunis et a dit doucement :

> « Il m’a fallu du temps pour comprendre que chacun est responsable de sa propre vie. Des années pour réaliser que mes angoisses, mes inquiétudes, ma dépression, ma colère, mes insomnies et mon stress n’aidaient en rien à résoudre vos problèmes… mais qu’ils ruinaient ma santé.

Je ne suis pas responsable des actes des autres, mais je suis responsable de mes réactions.

Alors j’ai décidé de me préserver, de rester calme, et de laisser chacun gérer ce qui lui appartient. »

04/20/2025

La suite de l’article précédent concerne l’inconfort qui accompagne le fait de faire un compliment

Ne boudons pas notre plaisir

FLORENCE DANCAUSE
LA PRESSE

Un inconfort peut se présenter au moment de donner des compliments. Surtout à des inconnus. Certaines personnes s’abstiennent ainsi d’en offrir, au détriment d’une société plus solidaire, croient les experts.
« On s’expose en complimentant quelqu’un et on peut se faire rejeter, explique le neuropsychologue Mathieu M. Blanchet. On se dit : “Il doit déjà le savoir” ou même “Il va penser que je veux le cruiser, le manipuler, que je fais ça pour un gain”. » L’exercice peut être plus simple avec des proches. Mais il s’avère particulièrement anxiogène avec des inconnus, relève une étude américaine de 2020 de l’Université de Pennsylvanie et de l’Université Cornell.
Lors de l’étude, les chercheuses ont demandé aux participants de faire un commentaire spécifique (par exemple, « J’aime ta chemise ») à la quatrième personne qu’ils voyaient. Systématiquement, les gens surestimaient l’inconfort ressenti par celui qui recevait le compliment. Selon les chercheuses, si l’anticipation d’une interaction avec un étranger provoque de l’anxiété, ce sentiment peut avoir un impact sur l’estimation du risque.
On s’évalue nous-mêmes à travers notre « compétence » à bien articuler notre remarque, alors que les gens évaluent plutôt notre « convivialité », explique la doctorante en psychologie Lisane Moses.
« On s’abstient de donner des compliments parce qu’on sous-estime systématiquement à quel point ils vont être appréciés. »
— Lisane Moses, doctorante en psychologie
Et l’étude a aussi évalué si les participants s’abstenaient par comparaison sociale – ressentaient-ils de la jalousie en donnant un compliment ? –, mais les résultats infirmaient cette hypothèse.
Lisane Moses s’est elle-même donné le défi de donner davantage de compliments à ses proches, à des connaissances plus éloignées, mais aussi à des inconnus. Avoir une peur non fondée de la réaction des gens, « c’est comme un cercle vicieux que je me force à briser », et ça fonctionne, souligne-t-elle. « Je le vis, le malaise de me dire “Je le fais, je ne le fais pas ?” et je fonce quand même. La personne est toujours plus contente qu’on le pense. »
Un autre frein peut être l’impression d’établir une connexion un peu trop intime avec une personne qu’on ne connaît pas beaucoup, explique la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier. « On peut avoir peur d’avoir l’air trop envahissant », dit-elle. Mais en trouvant les « bons mots » et le « bon contexte », une gentille remarque est la bienvenue, rappelle-t-elle.
« Quand c’est sincère, on devrait le dire, s’exclame pour sa part Mathieu M. Blanchet. Il n’y a pas de contre-indication. Oui, ça fait du bien, ça prouve notre reconnaissance, ça crée des liens. »
SE RAPPELER L’IMPORTANCE DES COMPLIMENTS
Justement, les compliments ont une fonction « pro-sociale », affirme Lisane Moses, « c’est pour aller vers les autres ». Donner un compliment, ça permet d’« alimenter et de nourrir une relation, ajoute la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier. C’est une façon de dire “Je t’apprécie” ».
Les chercheuses des universités de Pennsylvanie et Cornell ont aussi constaté que les compliments augmentent le bien-être autant de ceux qui les expriment que de ceux qui les reçoivent.
Lisane Moses croit que les compliments devraient être réhabilités dans notre société et vus comme une façon de se connecter aux autres. En acceptant un compliment, « on donne une belle expérience pour la personne qui l’a offert et ça va l’encourager à en donner d’autres dans l’avenir », s’enthousiasme-t-elle.
« Les compliments peuvent devenir des phares pour nous-mêmes, quelque chose auquel on peut se référer et y retourner », philosophe Geneviève Beaulieu-Pelletier. On ne doit donc pas sous-estimer ses effets sur nous, dit-elle, et sur les autres.

04/20/2025

Pourquoi recevoir un compliment nous rend-il mal à l’aise ?

FLORENCE DANCAUSE
LA PRESSE 2025-04-20

Une personne vous complimente et vous ressentez un malaise ? Vous rejetez tout de suite la gentille remarque ou vous attribuez le mérite à d’autres ? Mais pourquoi est-ce difficile d’accepter les compliments ?
Plusieurs facteurs expliquent nos sentiments ambivalents, indiquent les experts interrogés par La Presse. Quelques recherches se sont intéressées aux niveaux d’acceptation des compliments, en s’attardant particulièrement aux différences entre nationalités. Par exemple, au Japon, 45 % des compliments analysés dans une étude de 2022 de l’Université de Keio, à Tokyo, ont donné lieu à une réponse négative, alors que c’est plutôt 12 % pour les Sud-Africains dans une autre étude de 2024.
Christopher Littlefield, un chercheur américain spécialisé en culture d’entreprise, a interrogé en 2008 plus de 400 Américains sur les marques de reconnaissance. Bien que la première chose que les gens ressentent est le sentiment de valorisation (88 %), près de 70 % d’entre eux éprouvent de l’inconfort. Selon lui, la réception d’un compliment génère souvent une surprise : on peut figer, être pris au dépourvu et ne pas savoir comment répondre, ce qui occasionne… de la gêne.
Une autre explication serait le syndrome de l’imposteur, relève le neuropsychologue Mathieu M. Blanchet.
« Ça nous met sur un piédestal. Si je n’ai pas l’impression que je mérite le compliment ou que je ne serai pas capable de maintenir ces attentes-là, je vais rapidement essayer de le minimiser. »
— Mathieu M. Blanchet, neuropsychologue
Ce syndrome est plus présent si notre estime de soi est basse, parce que ça ne concorde pas tout à fait avec notre récit interne. Une personne avec une meilleure estime de soi est « plus apte à faire une évaluation juste de la situation », souligne Mathieu M. Blanchet. « La personne peut se dire : “J’étais bon aujourd’hui, mais ça se peut que je ne réussisse pas aussi bien la prochaine fois, et ce n’est pas grave” », illustre-t-il.
Selon une étude ontarienne de l’Université de Waterloo, parue dans le Journal of Experimental Social Psychology en 2017, les compliments créent plutôt de l’anxiété chez les personnes avec une faible estime de soi. Les compliments remettent en question leur vision d’elles-mêmes, qui serait négative, et leur donnent l’impression d’être incomprises.
Nous pouvons ressentir un inconfort plus grand encore si le compliment nous est adressé lorsque nous sommes en public. « Ça peut mettre mal à l’aise parce qu’on peut appréhender la réaction des autres, concède la psychologue Geneviève Beaulieu-Pelletier. On ne veut pas susciter de jalousie ou d’envie. » Surtout que paraître imbu de soi-même est souvent mal vu dans la société, ajoute-t-elle.
« Plusieurs ont aussi été éduqués à ne pas se mettre de l’avant, que ce soit par les parents, au niveau religieux ou culturel. »
— Geneviève Beaulieu-Pelletier, psychologue
Ce trait serait plus marqué chez les femmes. « On a pu nous apprendre à être humbles [en tant que femmes], parce que d’une certaine façon, recevoir un compliment, c’est aussi affirmer notre fierté et qu’on fait bien les choses », suggère Geneviève Beaulieu-Pelletier.
D’après une étude américaine, publiée dans Language in Society – mais qui date déjà de 35 ans –, seuls 22 % des compliments faits par une femme à une autre ont été acceptés (reconnus ou approuvés comme tels), et 40 % des compliments faits par un homme à une femme l’ont été. Pour Lisane Moses, étudiante au doctorat en psychologie à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), qui s’intéresse aux interactions sociales, les femmes sont plutôt habituées à se faire critiquer. Se faire complimenter peut créer une « dissonance cognitive », puisque ça fait sortir de sa « zone de confort », relève-t-elle.
NOUS AIDER À GRANDIR
C’est un consensus parmi les experts : les compliments sont essentiels dans le développement des enfants. « On a besoin du regard de l’autre quand on grandit, souligne Geneviève Beaulieu-Pelletier. C’est comme ça qu’on se construit. »
Selon la psychologue, en tant d’adultes, nous oublions le pouvoir de ces remarques bienveillantes sur nous-mêmes. Les compliments permettent de se sentir reconnu, valorisé et de continuer à se développer, explique-t-elle. Les compliments sincères ont également un effet de récompense sur le cerveau de celui qui le reçoit, a démontré une étude japonaise.
« Quand on rejette le compliment, il ne peut pas se déposer en nous et nous aider dans notre vie. »
— Geneviève Beaulieu-Pelletier, psychologue
Ces attentions de la part des autres sont aussi importantes au travail, et au fil de notre carrière, ajoute Mathieu M. Blanchet. « La paie, ce n’est pas nécessairement ça qui est valorisant, dit-il. On recherche une reconnaissance de nos employeurs et ça peut venir de compliments. »
COMMENT ACCEPTER LES COMPLIMENTS ?
SE PRÉPARER
« Parfois, ce qui nous gêne, c’est de ne pas trouver les bons mots », précise Geneviève Beaulieu-Pelletier. On peut donc réfléchir d’avance à une formulation assez simple. « Ça me fait plaisir à entendre » ou « Merci de me le transmettre » ou un simple « Merci » sont quelques idées de réponses, propose-t-elle.
VIVRE LE MALAISE
« On se familiarise avec l’émotion ou l’état physique dans lequel ça nous met », indique Lisane Moses. Et on n’en fait pas tout un plat, s’exclame-t-elle. On freine notre tendance à essayer de diminuer nos réussites et à retourner le compliment, ajoute Mathieu M. Blanchet. On peut aussi carrément faire part de notre inconfort à la personne, conseille Geneviève Beaulieu-Pelletier.
FOCALISER SUR L’AUTRE PERSONNE
Un compliment nous met sous les projecteurs, mais nous pouvons les tourner vers notre interlocuteur. « L’autre est en train de m’offrir une information précieuse », indique la psychologue. Et celle-ci a eu le courage de nous la dire, ajoute Lisane Moses.
ALLER PLUS EN PROFONDEUR
« C’est sûr que juste l’accepter, ce n’est pas ça la panacée, met en garde Mathieu M. Blanchet. Il faut faire le travail de savoir pourquoi tu es mal à l’aise de les accepter. » Ça passe peut-être par mettre des efforts à développer une meilleure estime de nous-mêmes et à ne pas viser à tout prix la perfection, indique-t-il.

04/11/2025

«J'ai peur d'empirer mon cas...»

La crainte de la violence post-séparation est l'un des enjeux les plus mentionnés par les victimes de violence conjugale qui songent à se séparer d'un partenaire violent... et avec raison. La violence cesse rarement au moment d'une séparation. Elle se transforme et peut être tout aussi difficile à vivre pour une victime, surtout si elle a de la difficultés à être crue dans son réseau et lorsqu'elle demande de l'aide.

Aujourd'hui, on veut vous rappeler que quand une personne dit qu'elle a peur d'un ex-partenaire, on se doit de la prendre au sérieux, même si les raisons qui motivent sa peur peuvent nous sembler moins apparentes qu'elles ne pouvaient l'être pendant la relation. La violence post-séparation est généralement très sournoise puisque l'agresseur s'adapte au départ de la victime et à l'implication des proches ou d'intervenants. Les conséquences n'en sont cependant pas moins graves.

Pour en savoir plus :
https://sosviolenceconjugale.ca/fr/articles/6-formes-de-violence-conjugale-post-separation

Pour de l'aide, avant ou après un départ:
Téléphone: 1 800 363-9010
Texto : 438-601-1211 (nous ne verrons pas votre numéro)
Clavardage : https://www.resourceconnect.com/sosvc/chat

Un point de vue nouveau dans la discussion sur les écrans
03/26/2025

Un point de vue nouveau dans la discussion sur les écrans

03/13/2025

On avait tellement hâte de vous présenter le projet sur lequel on travaille depuis des mois!

NOTRE LIVRE! 🎉🎉🎉

Dans cet ouvrage, on fait état des connaissances scientifiques par rapport à l'impact des écrans sur le développement des enfants de 0-18 ans, mais on souhaitait surtout OUTILLER les parents avec des stratégies concrètes pour naviguer à travers l'univers du numérique.

On sait à quel point c'est un sujet confrontant et polarisant, donc on l'aborde avec beaucoup de douceur, de bienveillance et surtout : sans jugement!

Notre approche ne vise pas à démoniser les écrans ou les parents qui les utilisent, mais à mieux comprendre POURQUOI on les utilise autant. À quels besoins ils répondent et comment on peut combler ces besoins autrement?

On explore, entre autre, les thématiques suivantes :
- la posture parentale à adopter face aux écrans
- comment faire un changement
- le contenu de qualité
- gérer la résistance de l'enfant/ado
- les côtes positifs aux écrans (parce que tout n'est pas négatif!!!)
- plein de trucs concrets pour remplacer les écrans
- la cyberintimidation
- l'exposition des enfants sur les médias sociaux
- à quel âge donner un cellulaire à un jeune?
- les impacts des écrans sur le développement, sur la relation parent-enfant et sur la maturation affective
- plein d'autres affaires full pertinentes!!!

Il sera disponible en librairie à partir du 22 avril, mais il est déjà possible de le précommander sur les sites des libraires 😁

Une décision imparfaite vaut mieux que d’être paralysisé par la peur de se tromper.
02/22/2025

Une décision imparfaite vaut mieux que d’être paralysisé par la peur de se tromper.

Le paradoxe de l’âne de Buridan . UNE HISTOIRE QUI ENSEIGNE :
L'ÂNE DE BURIDANO
Un âne affamé et assoiffé fait face à un dilemme.
À sa gauche, un tas de foin doré, invitant.
A sa droite, un seau plein d'eau douce.
Le pauvre animal est exactement à mi-chemin entre les deux, incapable de décider ce dont il a le plus besoin.
Son estomac grogne, sa gorge sèche.
Mais son esprit est complètement bloqué.
Cette scène apparemment comique cache une réflexion profonde qui a captivé les penseurs depuis des siècles.
La question est connue comme le « paradoxe de l'âne de Buridano ». Et ça nous apprend comment une RATIONALITÉ EXCESSIVE peut nous conduire à l'inaction totale.
Voici le point crucial : l'âne, dans sa tentative de prendre la décision "parfaite", finit par n'en prendre aucune.
Sa logique impeccable devient sa ruine.
Alors que nous débattons en interne des mérites du foin comparé à ceux de l'eau, le temps passe sans relâche.
Et le résultat est aussi tragique qu'absurde : l'âne meurt de faim et de soif, entouré de tout ce dont il avait besoin pour survivre.
Maintenant demandez-vous : combien de fois vous êtes-vous retrouvé dans une situation similaire ?
Peut-être entre deux boulots, deux maisons ou deux relations.
L'indécision, alimentée par la peur de se tromper, peut nous paralyser et nous rendre incompétents.
La morale du conte de fées est la suivante : la vie n'attend pas que nous prenions la décision parfaite.
Parfois, toute décision vaut mieux que rien.
Ne laissez pas votre vie devenir une version humaine du dilemme de « l'âne de Buridano ».
Rappelez-vous : comme vous hésitez, le foin pourrit et l'eau s'évapore.
Prenez toujours une décision, faites un pas en avant, et si vous faites une erreur, au moins vous l'aurez fait en bougeant

02/03/2025

« Mon mari presse le dentifrice du tube comme un enfant. C’est un peu étrange, mais je pense que c’est une habitude qu’il n’a jamais perdue.

De mon côté, je laisse traîner mes tasses de café et d’eau un peu partout dans la maison, comme une ado désordonnée.

Parfois, il éclabousse du dentifrice sur le miroir de la salle de bain.
Et moi, j’oublie de fermer les placards derrière moi.

Il déteste plier le linge, et je laisse mes livres et cahiers éparpillés partout.

Mais après treize ans de mariage, nous avons compris qu’il ne sert à rien de gronder l’autre pour ces petits défauts. Pas besoin de faire une remarque ou de créer un conflit. Alors, je nettoie son dentifrice, et lui, il ramasse mes tasses, les lave et les range.

Et surtout, nous nous remercions pour les choses que nous faisons l’un pour l’autre.

Comme lorsqu’il ferme toutes les portes et éteint les lumières chaque soir avant de se coucher, ou qu’il sort les poubelles sans que je le lui demande.

Ou lorsqu’il me remercie, devant les enfants, d’avoir préparé le dîner ou organisé leurs activités.

Être un bon partenaire ne signifie pas être parfait. Cela signifie accepter les petites imperfections de l’autre, parce que, finalement, nous sommes tous humains.

Les humains font de leur mieux pour aimer.
Les humains font des erreurs, chaque jour.
Mais ils apprennent aussi à corriger ces erreurs.

Ce que j’ai appris du mariage, c’est qu’un mariage imparfait peut être extraordinaire.

Non pas malgré nos défauts, mais grâce à eux. »

- Angela Anagnost Repke

Address

Beloeil, QC

Opening Hours

Tuesday 2pm - 9pm
Wednesday 2pm - 9pm
Thursday 2pm - 9pm
Friday 9am - 12pm

Telephone

+14504674367

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Marie Cardinal, M.Ps. Psychologue clinicienne posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Share