Nathalie Brault - Thérapeute en Relation d'Aide

07/19/2025

07/19/2025

07/13/2025

https://youtu.be/CMz1mJpcOmY?si=SWDTFdMM8Gsnfvb8

Reproches, agacements quotidiens, tensions… Nous connaissons tous des crises au sein de notre couple et avons tous besoin de solutions.Parce que le grand amo...

06/26/2025

05/26/2025

Les étapes du processus de deuil et pourquoi certains individus sont bloqués dans ce processus.

Le deuil est un processus complexe et personnel par lequel passent les individus lorsqu'ils font face à une perte significative, souvent la mort d'un être cher. Les étapes du deuil ont été popularisées par la psychiatre Elisabeth Kübler-Ross dans son ouvrage "On Death and Dying" publié en 1969. Ces étapes ne sont pas nécessairement linéaires et peuvent varier en durée et en intensité d'une personne à l'autre. Voici les cinq étapes classiques du modèle de Kübler-Ross :

1. **Le déni** : La première réaction est souvent de nier la réalité de la perte. Les individus peuvent se sentir engourdis ou refuser de croire que l'événement s'est réellement produit. Cette étape sert de mécanisme de défense temporaire pour absorber le choc de la perte.

2. **La colère** : Une fois que la réalité de la perte commence à s'installer, la colère peut émerger. Cette colère peut être dirigée contre soi-même, contre les autres, ou contre la situation globale. C'est une manière pour les individus de donner un sens à leur douleur et de l'exprimer.

3. **Le marchandage** : À cette étape, les individus peuvent essayer de négocier ou de faire des compromis, souvent avec une puissance supérieure, dans l'espoir de retarder ou de modifier l'issue de la perte. Cela peut inclure des pensées comme "Si seulement nous avions fait ceci..." ou "Je ferai tout pour que cela revienne à la normale."

4. **La dépression** : La réalité de la perte est pleinement reconnue, et la personne peut éprouver une profonde tristesse. Cette étape est caractérisée par des sentiments de désespoir, de regret, et une sensation d'échec. C'est un moment où l'individu commence à se rendre compte de l'ampleur de la perte.

5. **L'acceptation** : Finalement, la personne arrive à un point où elle accepte la réalité de la perte. Cela ne signifie pas qu'elle est "ok" avec ce qui s'est passé, mais elle reconnaît que la perte est une partie de sa réalité et commence à trouver des moyens de continuer à vivre malgré cette perte.

Il est important de noter que ces étapes ne sont pas fixes et peuvent se chevaucher. Certaines personnes peuvent ne pas passer par toutes les étapes ou les expérimenter dans un ordre différent. Le deuil est un processus très personnel et unique à chaque individu.

La peur de sortir du deuil peut être liée à plusieurs raisons psychologiques et émotionnelles :

1. **Sentiment de trahison** : Pour certaines personnes, laisser aller le deuil peut ressembler à une trahison envers la personne décédée. Elles peuvent ressentir qu'en arrêtant de souffrir, elles oublient ou minimisent l'importance de la personne perdue.

2. **Perte d'identité** : Le processus de deuil peut devenir une part intégrante de l'identité d'une personne. Sortir du deuil signifie devoir redéfinir cette identité, ce qui peut être effrayant et déstabilisant.

3. **Crainte de l'inconnu** : La douleur et la tristesse du deuil, bien qu'intenses, deviennent familières. La perspective de retourner à une vie "normale" est inconnue et peut générer de l'anxiété.

4. **Évitement des émotions résiduelles** : Le deuil n'est pas seulement de la tristesse ; il peut aussi inclure de la colère, de la culpabilité, ou d'autres émotions complexes. Sortir du deuil peut forcer une personne à affronter ces émotions résiduelles qu'elle préférait éviter.

5. **Attentes sociales et personnelles** : Parfois, les attentes de la société ou de la famille peuvent peser sur une personne en deuil. Elle peut se sentir obligée de rester dans le deuil plus longtemps qu'elle ne le souhaite réellement, de peur d'être jugée comme insensible ou de ne pas avoir suffisamment respecté la mémoire du défunt.

6. **Attachement au passé** : Certaines personnes peuvent avoir des difficultés à se détacher du passé et à accepter le changement. Le deuil les rattache à une période de leur vie où la personne décédée était encore présente, et elles peuvent avoir du mal à lâcher prise.

En somme, sortir du deuil est un processus complexe et profondément personnel, influencé par une combinaison d'émotions, d'expériences passées et de pressions internes et externes.

05/06/2025

> J’ai récemment eu le privilège de compléter une formation avancée en thérapie de couple Imago, offerte par la remarquable Sophie Slade, Ph.D. — psychologue chevronnée, instructrice clinique senior Imago, thérapeute Imago certifiée et formatrice d’ateliers. Cette formation, riche en théorie et en pratiques concrètes, m’a permis d’approfondir mes compétences afin d’accompagner les couples avec encore plus de justesse, de présence et de bienveillance.

Entourée de collègues passionnés — psychologues, thérapeutes et professionnels de la relation d’aide — j’ai vécu une expérience humaine et professionnelle profondément inspirante. Cette démarche vient nourrir ma mission : offrir un espace sécurisant et transformateur pour les couples en quête de reconnexion.

05/05/2025

Johnny Depp a dit un jour : 🤞🏽
"Ce que vous décidez de tolérer plus d'une fois deviendra inévitablement un modèle qui se répétera.
En ne fixant pas de limites claires, vous apprenez aux autres –
et à vous-même – que certains comportements ou situations sont acceptables, même s’ils vous gênent ou vous nuisent.

Chaque fois que vous permettez quelque chose qui va à l'encontre de vos principes ou de votre bien-être, vous ouvrez la porte à la répétition. Fixer des limites n'est pas seulement une question de fermeté, mais de respect de soi-même. "

04/26/2025

Parfois, on élève la voix… mais ce qui élève vraiment un enfant, c’est qu’on sache revenir vers lui avec le cœur ouvert.

Ces phrases sont des ponts....elles ne font pas oublier, mais elles réparent, elles rassurent...

Ces mots simples sont comme des pansements sur le cœur de l’enfant.

04/24/2025

https://bit.ly/honte-dignite

04/09/2025

03/17/2025

LES NON-DITS

On dirait que nous sommes plus confortables de faire des reproches que de faire des demandes claires!

Avez-vous remarqué que bien souvent :

Nous attendons que l’autre comprenne ce que nous voulons et qu’il y réponde, sans que nous ayons à le demander. Et quand nous n’obtenons pas ce que nous voulons, ça devient la faute de l’autre.

Nous n’osons pas dire clairement ce qui nous dérange. À la place, nous préférons le faire sentir à l’autre par notre mauvaise humeur, notre silence, et nous semons ainsi les graines du prochain conflit… qui ne saurait tarder.

Nous supportons des choses dont nous ne voulons pas, parce que nous avons peur de dire notre vérité, craignant ainsi de perdre l’amour de l’autre. Et nous nous retrouvons coincés, frustrés, déçus, en colère et nous sabotons nos relations.

Nous n’osons pas faire des demandes claires, parce que nous craignons que l’autre nous trouve exigeants, égoïstes, difficiles. Nous oublions que nous avons tous le droit de faire nos demandes et que l’autre a toujours le choix d’y répondre par oui ou non.

Nous n’osons pas dire ce que nous pensons vraiment, de peur de nager à contre-courant et d’être traités d’hurluberlus ou de complotistes. À la place, nous taisons notre vérité afin de ne pas être rejetés ou jugés.
Quand nous n’osons pas dire non pour ne pas offusquer l’autre alors que tout notre être, notre corps et notre âme n’en a pas l’élan, c’est se faire violence pour protéger notre sacro-sainte « image » que nous tentons de maintenir coûte que coûte, au détriment de notre propre bien-être.

Quand l’autre fait quelque chose qui nous déplait, nous préférons ravaler plutôt que de dire calmement ce qui nous a blessés. Nous croyons ainsi protéger « l’harmonie » de la relation alors que nous y introduisons le poison qui la rongera petit à petit.

Pourquoi est-ce si difficile de s’affirmer et d’être clair?

Notre éducation, nos parents, la religion dans laquelle nous avons été élevés, les mœurs de notre société, nos expériences de vie, notre personnalité se partagent les causes à l’origine de notre difficulté à être verticaux et authentiques.

Nous libérer de tout ce qui entrave notre authenticité passe par la reconnaissance de nos blocages et leur transmutation en étapes de dépouillement pour vivre plus librement, plus légèrement et surtout pour être plus vrais.

Et si nous nous aimions suffisamment pour récupérer notre parole, apprendre à SE dire, faire des demandes claires, se tenir debout, oser être soi et le tout, dans le calme, le respect et la solidité, ne serait-ce pas le début de notre sagesse et la base de l’harmonie dans nos relations?

Et si on apprenait à se dire plutôt qu’à blâmer?

Diane Gagnon

En pleine conscience

03/11/2025

Question à se poser pour retrouver son calme intérieur 🪷