Unepsychoed • Santé psychologique

07/17/2025

Oui, oui. Je suis fournisseur de services pour IVAC
et voici mon formulaire de demande de référence 👉 https://1drv.ms/b/c/e8ebcccbb842391b/ER15lX2merdHgZ8v52wDHhgBs5xgfsm_9W1bm-FKZdUTmA

07/16/2025

Pourquoi les professionnels en santé mentale gardent-ils parfois le silence en rencontre?

🔎 Note importante à l’intention des intervenant·es en santé mentale
Cette capsule vise à offrir une réflexion psychoéducative à visée pédagogique et ne constitue ni un mode d’emploi, ni une autorisation implicite d’appliquer les techniques décrites.

Provoquer un contact avec le monde interne d’une personne est un geste clinique d’une grande délicatesse, qui exige une formation spécialisée, une capacité d’analyse approfondie et un jugement clinique éclairé. Il en va de même pour toute intervention visant à rééquilibrer une dynamique relationnelle ou à utiliser le malaise de manière intentionnelle comme levier thérapeutique.

Ces pratiques doivent être rigoureusement encadrées et soutenues par une supervision clinique adéquate. En l’absence de ces conditions, leur utilisation peut s’avérer contre-indiquée, voire dommageable.

07/14/2025

Et pour celles et ceux qui se demandent quelles sont les différences entre la psychothérapie et la psychoéducation en santé mentale…
J’ai justement écrit une petite capsule sur le sujet ! ---> https://www.facebook.com/share/p/1CLBNoMJ84/

07/10/2025

07/10/2025

Dans ma pratique comme psychoéducatrice en santé mentale, j’accompagne fréquemment des personnes ayant vécu un événement stressant ou à potentiel traumatique. Et parmi ces personnes, je remarque une tendance marquée à se juger sévèrement pour la réaction adoptée au moment des faits :"Pourquoi j’ai réagi ainsi? J’aurais dû faire autrement..."

Ces questions semblent anodines, mais les réponses qu’un intervenant propose peuvent, malgré toute la bienveillance du monde, avoir un effet délétère. Pourquoi? Parce que, face à une histoire tragique, notre esprit cherche instinctivement une cause : ''Si je comprends pourquoi c’est arrivé à l’autre, ça me rassure et peut être que cela ne m'arrivera pas''. Ce réflexe d’attribution se joue souvent en dehors de notre conscience… et peut laisser entendre au client qu’il porte une part de responsabilité, là où, en réalité, son cerveau n’a fait qu’orchestrer sa survie.

Alors, qu’est-ce qu’on lui répond? Car ces questions reviennent. Et elles ne peuvent pas rester en suspens. Il faut les aborder, les traiter. Elles deviennent même une orientation thérapeutique en soi. Car laisser ces interrogations ouvertes, sans cadre ni mise en sens, peut maintenir la personne dans des interprétations douloureuses et susceptible de maintenir la détresse psychologique.

Alors... qu'est-ce qu'on répond? Qu’est-ce qui détermine l’adoption d’une réaction de survie entre combattre, fuir, se soumettre, se figer ou s’effondrer?

C’est une question que j’ai posée au monde de la recherche scientifique et des neurosciences. Et je m’y suis attardée, avec toute la rigueur possible. 🧬📚

Julie Nadeau, TS, MSs. Envie de donner quelques mots sur le sujet ?

Illustration de Nada Bahaa

07/02/2025

✨ Bonne nouvelle! ✨
Deux plages horaires en soirée ont été débloquées pour les lundis!

🗓 Disponibilités du lundi soir :

16h45 à 17h45

18h00 à 19h00

Ces créneaux sont parfaits pour celles et ceux qui souhaitent consulter après leur journée.
Les places sont limitées — pensez à réserver rapidement!

Demande de rendez-vous avec Annabel Groleau, ps.éd

06/23/2025

À noter : Je serai en vacances pendant les deux semaines de la construction. Il est donc normal qu’aucune disponibilité n’apparaisse sur la plateforme de prise de rendez-vous en ligne durant cette période. Vous pouvez toutefois planifier vos rencontres dès maintenant pour les semaines suivantes. Plusieurs personnes réservent d’ailleurs leurs rendez-vous à l’avance afin d’assurer leur place.

Nouveaux clients : Si vous prenez rendez-vous avec moi pour la première fois, merci de m’envoyer un courriel indiquant :

-le motif de consultation,

-votre numéro de téléphone,

-ainsi que votre adresse à domicile (nécessaire pour l’ouverture de votre dossier).

Au plaisir de vous rencontrer,

Annabel
annabel.groleau.psed@gmail.com

Services en santé psychologique pour adultes à Drummondville En prenant rendez-vous, vous acceptez la politique d’annulation, qui exige un préavis de 48 heures. Des frais de 90 $ pourraient s’appliquer en cas d’annulation à la dernière minute. Le paiement de 145 $ est demandé par vir...

06/13/2025

Je ne retiens rien.

Je ne te retiens pas de tomber.
Ce n’est pas moi qui te sauve.

Je suis dans la tempête, moi aussi.
Je sens le vent, la pluie, le froid.

Et parfois, je te regarde dans les yeux
et je sens que tu es sur le point de basculer.

Dans ta paralysie, dans ton vertige,
je choisis de rester.

Pas pour te porter,
mais pour que tu sentes,
ne serait-ce qu’une fois,
que quelqu’un croit en toi.

Alors, tu verras le calme dans mes yeux.
Tu sentiras mon ancrage,
car je crois que tu trouveras en toi
ce qu’il faut pour avancer.

Ne reste pas seul dans ta tempête.

Annabel 💫

Centre d'écoute et de prévention su***de Drummond 819 477 8855

La Vigile Ligne d'écoute La Vigile — 1-888-315-0007

06/13/2025

Saviez-vous qu’il existe une version gratuite de ces deux livres?
www.unepsychoed.ca

06/11/2025

À quel symptôme en santé mentale cet extrait vous fait-il penser?

« Son seul refuge, depuis toujours, était la fuite. N’étant pas très athlétique de nature, elle avait vite compris que l’évasion la plus efficace était mentale. Une fois coupée de ses sensations physiques et affectives, elle se sentait en sécurité. La stratégie avait toutefois ses limites, et elle en connaissait les risques. »

— Extrait du roman La cour du temps, de Serge Niquette, psychologue clinicien en PGRO.

06/11/2025

Certaines réalités en santé mentale sont tues, mal comprises ou stigmatisées. Et ça a un tas de conséquences.

Notamment le fait que plusieurs personnes viennent me consulter en pensant être les seules à vivre un symptôme X. Elles ont honte, ne comprennent pas trop ce qui leur arrive… et se taisent.

Et parfois, quand je leur dis : « Tu n’es pas seul. Tu es le dixième à me dire ça cette semaine », j’observe souvent des réactions de sidération.
Comment se fait-il que personne n’en parle ?

Si on osait se parler, my god, on réaliserait qu’on est bien plus nombreux à vivre les mêmes choses.

Mais voilà : tant qu’on n’aura pas de moyens efficaces pour faire passer l’information, le silence va persister.

Alors, comment vulgariser des notions complexes en psychologie sans qu’on se perde dans une tonne de mots, comme si tout ça était loin de notre réalité ?

Eh bien, c’est justement ce que je fais.
Et je t’explique comment, ici.