10/21/2025
🌀 Quand le corps crie plus fort que la tête
Beaucoup de gens nous consultent parce qu’ils ont mal.
Des maux de dos. Des tensions dans la nuque. Des migraines qui reviennent sans prévenir.
Et souvent, les gens pensent que c’est local : que c’est un muscle, une vertèbre, une mauvaise posture.
Mais dès qu’on commence l’examen neurostructural, un autre portrait se révèle.
Le corps parle.
Et ce qu’il dit, c’est : je suis en surcharge.
Les tensions ne sont pas isolées à un endroit.
Elles sont partout — dans les muscles, dans les ligaments, dans la respiration.
Certaines vertèbres ne bougent plus librement.
Et quand on fait le bilan de posture informatisé, on observe que le corps se replie vers l’avant : une posture de défense typique d’un système nerveux en mode survie.
Et quand on commence les soins, quelque chose de fascinant se passe.
Avant même que la douleur change, les gens ressentent une aise.
Une légèreté.
Parfois même, ils disent : « C’est étrange, je me sens plus calme, plus clair. »
C’est que lorsque le corps sort de la tension, le système nerveux peut enfin respirer.
Et cette respiration, elle se traduit autant dans le mental que dans le physique.
Ce n’est pas seulement le dos qui s’apaise.
C’est tout le système nerveux qui retrouve un espace pour s’adapter,
pour relâcher,
pour reprendre son rôle de chef d’orchestre du bien-être.
Parce que derrière chaque douleur,
il y a souvent un corps qui essaie de protéger,
et un système nerveux qui a besoin d’être entendu.