Geneviève Caron - Sexologue, Travailleuse sociale, Psychothérapeute, M.A.

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Geneviève Caron - Sexologue, Travailleuse sociale, Psychothérapeute, M.A. Vous êtes en quête de changement afin d'accéder à un mieux-être dans votre vie? Le but ultime est de développer une sexualité plus satisfaisante.

J'offre des services professionnels de consultation psychosociale et/ou de psychothérapie sexologique, de couple, familiale et en individuel avec les adultes, enfants, parents et victime d'A.S. Ce désir d'harmonie au plan personnel, de couple, familial et/ou sexuel est légitime et je suis disponible afin de vous aider à atteindre votre objectif. La thérapie sexologique met l'accent sur la recherche de solutions à des difficultés sexuelles responsables de votre souffrance. L'intervention familiale est une expertise que j'ai développée depuis 1999. J'offre donc du support aux parents, aux enfants et adolescents pour diverses problématiques telles la gestion des émotions, l'encadrement, l'intimidation, l'estime de soi, une situation d'agression sexuelle (suivi IVAC), etc. Enfin, je suis aussi disponible pour des thérapies avec les adultes au niveau de la thérapie de couple, des troubles d'adaptation, difficulté de séparation, difficulté au travail, etc. N'hésitez pas à me contacter via mon adresse courriel: g.caron.sexologue.ts@gmail.com ou par téléphone au 418-953-8361.

12/24/2025

Je vous souhaite un beau temps des Fêtes! 🎄
✨Je serai en congé du 24 décembre au 6 janvier! ✨

À tous les parents séparés, les Fêtes, ce n'est pas facile. Un texte touchant ...Merci, une fois de plus,
12/08/2025

À tous les parents séparés, les Fêtes, ce n'est pas facile.
Un texte touchant ...
Merci, une fois de plus,

7 décembre

Papaoutai
Mamaoutai

Il y a une phrase qu’on entend souvent à la clinique. Elle arrive doucement, presque à voix basse, en fin de rencontre. Comme une confession qu’on porte depuis longtemps. Je me sens tellement coupable de lui avoir choisi un père comme ça. Ou une mère comme ça. Et à chaque fois, c’est le même silence qui suit. Un silence lourd. Chargé. Rempli d’un mélange de honte, de tristesse p*s d’un amour immense pour cet enfant qu’on protège comme on peut.

Décembre rend ces phrases encore plus lourdes, t’sais. Parce que Noël met un projecteur sur tout ce qui manque. Les familles idéales dans les films. Les tables pleines. Les rires synchronisés. Les parents unis dans un pull de laine lette trop assorti. P*s dans la vraie vie, il y a tellement de parents qui rentrent chez eux après l’école avec leurs enfants, seuls dans l’auto, seuls dans les décisions, seuls dans les tempêtes émotionnelles. Mais jamais seuls dans l’amour.

Élever un enfant avec un coparent inadéquat, c’est comme courir un marathon avec un sac de pierres sur le dos. Tu avances pareil. Tu tombes. Tu te relèves. Tu ajustes ta respiration. Tu continues. P*s parfois, au milieu de l’épuisement, vient la culpabilité. Celle qui murmure que si t’avais fait d’autres choix, ton enfant aurait une autre vie. Un autre parent. Un autre décor.

On la reconnaît bien, cette culpabilité là. Elle est loyale. Elle colle. Elle revient la nuit. Elle se glisse entre deux cadeaux de Noël p*s elle te serre le cœur au moment où tu voudrais juste être léger.

Des jeunes qui viennent nous voir en disant que l’autre parent est absent, imprévisible, blessant, instable, parfois violent, parfois juste incapable. P*s en face d’eux, un parent qui porte la double charge. Celle d’être tout. Le soutien. Le cadre. La sécurité. L’épaule. Le chauffeur. Le psychologue improvisé. Le filet de sécurité émotionnelle.

P*s trop souvent, ce parent là doute. Se remet en question. Se demande s’il a brisé quelque chose à jamais.

Il y a cette chanson de Stromae, Papaoutai, qui revient souvent dans nos têtes dans ces moments là. Où t’es papa, ou maman c’est selon. C’est une question qui gronde chez bien des enfants. Pas toujours formulée avec des mots, mais qui se loge dans les silences, dans les colères, dans les replis. Et les parents, eux, ils se la posent aussi, à l’envers. Où j’étais quand j’ai fait ce choix là. Pourquoi j’ai pas vu. Pourquoi j’ai cru.

Ce que bien des parents ne réalisent pas, c’est qu’un enfant ne se construit pas uniquement avec l’absence de l’autre. Il se construit surtout avec la présence de celui qui reste. Celui qui tient. Celui qui répète les routines quand tout est instable ailleurs. Celui qui reste debout même quand il est fatigué et complètement à boutte

T’es pas responsable de l’inadéquation de l’autre parent. T’es responsable de l’espace sécuritaire que tu crées ici, maintenant. Et ça, c’est déjà immense.

Un enfant n’a pas besoin de deux parents parfaits. Il a besoin d’au moins un adulte suffisamment stable émotionnellement pour servir de phare. Un adulte qui reconnaît ses erreurs. Qui nomme les choses sans démolir l’autre. Qui valide les émotions sans nourrir la haine. Qui dit oui, c’est difficile, mais t’es pas obligé de choisir entre aimer et te protéger.

Concrètement, soutenir un enfant ou un ado dans ce contexte là, ça passe par de petites choses au quotidien. Mettre des mots sur ce qui est vécu sans dénigrer l’autre parent. Dire que c’est correct d’aimer quelqu’un qui nous fait mal parfois. Rappeler que les comportements de l’autre ne définissent pas la valeur de l’enfant. Maintenir des routines. Offrir de la prévisibilité quand l’autre côté est chaotique. Accepter les contradictions émotionnelles. La colère et la loyauté. La peine et l’amour. Tout en même temps.

Ça passe aussi par le droit d’aller chercher de l’aide. Pour l’enfant. Pour toi. Parce que tu portes beaucoup. Ben plus que tu le crois.

P*s surtout, ça passe par la déculpabilisation. Tu n’as pas saboté la vie de ton enfant. Tu as fait le meilleur choix possible avec les outils et la conscience que tu avais à ce moment là. Aujourd’hui, tu composes avec une réalité imparfaite, oui. Mais tu offres quelque chose d’essentiel. Une relation stable. Une base. Un endroit où se déposer.

À Noël, quand la maison est calme, quand les lumières sont allumées p*s que la neige tombe doucement, rappelle toi que tu es en train d’élever un être humain avec courage. Même dans le doute. Même dans la fatigue. Même dans la tristesse.

Ton enfant n’a pas besoin d’un scénario idéal. Il a besoin de toi. De ta constance. De ton regard. De ta capacité à réparer quand ça craque. Et ça, tu le fais déjà.

Fait que non, t’as pas tout gâché. Loin de là. Tu construis quelque chose de solide à même les morceaux. P*s c’est souvent dans ces familles là, imparfaites, éclatées, reconstruites, que naissent les forces les plus profondes.

Ce Noël ci, si tu pouvais te donner un cadeau, ce serait peut être celui ci. Poser la culpabilité. La laisser respirer dehors un moment. P*s te rappeler doucement que tu fais bien plus que survivre. Tu élèves. Tu répares. Tu accompagnes. Et ça, c’est immense.

Et si tu n’y arrives plus, contacte-nous.

Un bon conseil pour tous! Moi inclus!! 🙋‍♀️Bon weekend! 🤩
12/05/2025

Un bon conseil pour tous! Moi inclus!! 🙋‍♀️
Bon weekend! 🤩

🎄 À l’approche des Fêtes… un petit rappel scientifique-mais-pas-plate 🎄

Tu sais le classique : « J’suis en vacances! » et PAF, tu passes la première semaine à tousser comme si tu mangeais de la poussière qui traine dans ta caserne?

Ben… Sonia Lupien l’explique très bien. Ce n’est pas la malédiction du père Noël.
C’est ta chute d’hormones de stress.

Quand ton corps roule full pin pendant des semaines… et qu’il arrête soudainement?

Ton système immunitaire se dit : « Wow wow wow… on était combien pour faire la job, ici? »
Résultat : tu tombes malade juste à temps pour les pyjamas en flanelle.

✨ Alors message du jour : baisse un peu le volume avant que ton cortisol fasse un burn-out.
Prends une soirée pas de performance, mange un truc réconfortant (sans jugement culinaire, ici), respire par le nez, fais deux blagues de mauvais goût… bref :

Diminuer ton stress AVANT les vacances, c’est le meilleur cadeau que tu peux te faire.

Et si quelqu’un te demande pourquoi tu fais rien ce soir, réponds fièrement :
« Je suis en gestion préventive du cortisol, merci. » 😌🎁

(Wowoui je note mon propre conseil) 🫡

On a tous des journées où on marche dans nos tempêtes alors qu'on croyait que le beau temps était revenu...« Faut qu’on ...
12/03/2025

On a tous des journées où on marche dans nos tempêtes alors qu'on croyait que le beau temps était revenu...
« Faut qu’on arrête de penser qu’il faut performer notre amélioration. Parce qu’à force de vouloir être toujours meilleurs qu’hier, on oublie que juste continuer, des fois ben c’est déjà énorme. »
Merci ’intervenant

2 décembre

Rocky IV aurait dû planter dans neige

On a souvent l’impression que s’améliorer dans la vie, c’est comme une belle courbe bien propre sur un graphique d’école. T’sais, la ligne parfaite qui monte tranquille, régulière, comme si la vie était un tableau Excel bien organisé.

Chaque jour un peu mieux, un peu plus zen, un peu plus en contrôle. Mais dans la vraie vie, ça ressemble pas pantoute à ça. C’est plus comme un électrocardiogramme après trois cafés et une nuit blanche.

Ça monte, ça descend, ça fait des pics bizarres, p*s des fois, t’as l’impression que ton cœur et ta tête font n’importe quoi.

Une semaine tu te sens bien, t’es fière de toi, tu es super dedans, tu parles doucement à ton enfant, t’as même lavé le plancher.

Et la semaine d’après, tu brailles dans ton char devant le IGA parce que t’as oublié ton sac réutilisable, que la file avance pas et que t’as pris du lait 3,25% au lieu du lait d’amandes bio, bon pour le microbiote.

Mais tu sais quoi? C’est pas un échec. C’est juste la vie qui te rappelle que t’es une personne humaine, c’est tout.

On a grandi en pensant que s’améliorer, c’est une ascension. Un genre de Rocky IV mental où tu grimpes ta montagne dans la neige avec ton hoodie gris et une toune inspirante qui joue en arrière, pendant que tu cries Drago, un moton dans la gorge.

Mais dans la vraie vie, Rocky aurait gelé. Il aurait perdu un gant, sacré deux fois, eu de la neige dans les bottes, resacré, parlé bête à Adrian sans le vouloir, glissé sur une plaque de glace p*s retourné se faire un chocolat chaud une couple de fois avant de réussir. Et ça aussi, c’est du progrès.

Parce que s’améliorer, c’est pas une ligne droite. C’est un sentier plein de racines, de bouette et de flaques d’eau. Tu penses que t’es rendue loin, et paf, tu retombes dans un trou d’eau jusqu’aux chevilles.

C’est comme ton enfant qui vit avec un TDAH, ou celui qui vit des difficultés d’apprentissage, ou juste un enfant qui apprend à gérer ses émotions t’sais. Un jour, il te sort une belle note à son contrôle du vendredi, il se concentre comme un champion, il a un beau bonhomme vert dans son agenda du jour, et là tu te dis « Wow, il est tellement rendu loin! ».

Mais là le lendemain, il explose pour un crayon pas assez aiguisé, parce que tu lui as donné un verre de la mauvaise couleur, il oublie sa boîte à lunch p*s fait le bacon. C’est pas un recul. C’est juste la vie, encore une fois. Une pratique. Une occasion de s’entraîner. Tous vos efforts ne sont pas foutus pour ça! Il n’a pas arrêté de s’améliorer non plus.

On parle souvent de progrès comme si c’était une course. Mais c’est pas une course. C’est un apprentissage constant où des fois, tu gagnes, et des fois, tu frappes un mur.

Faut qu’on arrête de penser qu’il faut performer notre amélioration. Parce qu’à force de vouloir être toujours meilleurs qu’hier, on oublie que juste continuer, des fois ben c’est déjà énorme.

On est durs avec nous-mêmes. On veut que nos efforts paraissent, qu’ils se voient, qu’ils soient validés. Go Girl rock ton challenge pour changer ta Life p*s toute! C’est pas de même que ça doit marcher pour notre santé mentale.

C’est pas parce que tu retombes dans de vieux patterns une journée que t’as tout perdu. C’est pas parce que ton anxiété revient cogner à la porte que t’as régressé.

C’est juste ton corps qui te parle encore. C’est toi qui continues à pratiquer. Et souvent, ce qu’on appelle des reculs, c’est juste des rappels de ce que t’as encore besoin d’apprivoiser.

Regarde les séries qu’on aime, Les Frères Scott (Ils m’ont pas mal inspirée tu vas voir), Gilmore Girls, Friends, Empathie. Personne n’évolue en ligne droite là-dedans.

Il y a toujours des reculs, des plateaux, des moments où tu cries à l’écran « Mais voyons, on était rendus plus loin que ça! » Et pourtant, c’est ce chaos-là qui rend le parcours beau et crédible.

C’est pareil pour nous. C’est pas les journées parfaites qui font grandir. C’est les journées où t’as envie de tout sacrer là, mais que tu te lèves pareil et fais ce que tu peux.

S’améliorer, c’est pas gravir l’Everest. C’est apprendre à marcher dans ta propre tempête.

C’est normal de régresser un peu. C’est normal de se tanner. C’est normal d’avoir des jours où t’as juste envie de rien faire, de tout mettre sur pause p*s de scroller jusqu’à oublier l’heure du souper. Ça fait pas de toi quelqu’un de poche. Ça fait de toi quelqu’un de vivant.

Et tu sais quoi? Nos enfants nous regardent là-dedans.

Pour apprendre de nous et pour comprendre.

Ils voient comment on gère nos hauts et nos bas, comment on se parle quand ça va moins bien. Ils apprennent que c’est correct de pas tout réussir, que c’est correct de recommencer, que c’est correct de ralentir. Plus ils voient qu’on s’accepte dans nos dents de scie, plus ils se donnent la permission de respirer eux aussi.

Fait que non, t’as pas besoin de performer ton cheminement, quelqu’il soit.

T’as juste besoin de faire preuve d’intégrité dans ton humanité pas linéaire.

Et si aujourd’hui t’as l’impression d’être revenu à la case départ, que ton coffre d’outils déborde mais que tu trouves pas le bon tournevis, respire. Le simple fait de chercher, c’est déjà de l’évolution.

Parce que s’améliorer, c’est pas monter. C’est continuer.

Fait que si ton électrocardiogramme émotionnel a l’air un peu tout croche ces temps-ci, dis-toi que c’est la preuve que t’as encore un cœur qui bat. Un cœur fatigué, peut-être, mais vivant.

Et si un jour, t’as pu de pouls émotionnel pantoute, contacte-nous.

La réalité de la thérapie! Même si on aimerait un parcours rapide, la réalité est toute autre...
11/27/2025

La réalité de la thérapie! Même si on aimerait un parcours rapide, la réalité est toute autre...

✨ Réflexion du jour ✨
(Inspiration Instagram)

Si la thérapie était un trajet, on aimerait tous que ce soit un train express :
rapide, fluide, droit au but. 🚆✨

Mais en réalité, le chemin ressemble plus souvent à un train régional…
avec ses détours, ses ralentissements, ses changements de voie et ses arrêts imprévus. Parfois même, on a l’impression que tout est en “pause” pendant un moment.

Et pourtant… c’est précisément cette imperfection du parcours qui en fait toute la beauté.
On avance, on se transforme, on apprend à mieux se connaître.
On finit par arriver quelque part — mais rarement exactement comme on l’avait imaginé. 💛

Si vous prenez un moment pour observer votre propre chemin :
Ressemble-t-il davantage à un train express…
ou à un parcours qui zigzague, mais qui avance toujours ?

Quoi qu’il en soit :
À chacun son rythme, à chacun son trajet.
L’important, c’est d’être en mouvement. 🌿

Julie ☺️

Rien à ajouter! Merci psychologie.net 🙏
11/20/2025

Rien à ajouter!
Merci psychologie.net 🙏

💭 Ton système nerveux se souvient…
Même quand tu penses avoir tourné la page, ton corps, lui, garde la mémoire des émotions vécues : stress, peur, rejet, insécurité.

🧠 Ces réactions sont le reflet de ce qu’on appelle la mémoire émotionnelle implicite.
Contrairement à la mémoire consciente, ton système nerveux enregistre les sensations, les tensions et les signaux de danger vécus dans le passé. C’est pour cela que certaines situations peuvent raviver une émotion intense, sans que tu comprennes toujours pourquoi.

Ce n’est pas “dans ta tête” : c’est ton corps qui essaie de te protéger en réactivant un ancien mode de survie.
Apprendre à reconnaître ces signaux, à réguler ton système nerveux et à créer de nouvelles expériences sécurisantes fait partie du processus de guérison. 🌿

✨ Guérir, ce n’est pas effacer le passé, c’est rééduquer ton corps à se sentir en sécurité dans le présent.

💙 Tu n’as pas à faire ce chemin seul·e.

Besoin de douceur, paix et tendresse... 💚
11/05/2025

Besoin de douceur, paix et tendresse... 💚

J’explique à mes clients qu’on n’effacera pas les blessures, les traumatismes ou les problèmes. Par contre, on nettoie l...
11/05/2025

J’explique à mes clients qu’on n’effacera pas les blessures, les traumatismes ou les problèmes. Par contre, on nettoie les plaies, on les panse, on s’en occupe jusqu’à la guérison.
Cela prend du temps et du courage de se voir transformer et d’apprendre à vivre avec les cicatrices!

Un beau témoignage dit en d’autres mots! 👇

Ce que j’aurais aimé qu’on me dise au début de ma guérison…

Que ça prend du temps. Que c’est pas linéaire. Que t’auras des jours où tu vas te sentir invincible, p*s d’autres où tu voudras juste disparaître. Et que c’est normal.

J’aurais aimé qu’on me dise que guérir, c’est pas “revenir comme avant”. C’est apprendre à vivre autrement. Avec plus de douceur, plus d’écoute, plus de respect pour soi.

J’aurais aimé qu’on me dise que t’as pas à te battre tout seul. Que demander de l’aide, c’est pas une faiblesse. C’est un acte de courage.

J’aurais aimé qu’on me dise que t’es pas brisé, t’es blessé — et ça, ça se soigne.

Qu’un jour, ton corps va recommencer à te faire confiance.

Que tes rires reviendront.

Que t’auras encore des rêves, p*s qu’ils goûteront encore meilleurs qu’avant.

J’aurais aimé qu’on me dise que même si tout semble fini… c’est souvent là que la vraie vie commence. 🌱

J'aimerais te dire.... que je t'envoie tout plein d'LOVE!

Josée ###

Un peu d'humour en ce samedi gris... 😆Plusieurs de mes clients nomment avoir de la difficulté à trouver une relation sta...
10/25/2025

Un peu d'humour en ce samedi gris... 😆

Plusieurs de mes clients nomment avoir de la difficulté à trouver une relation stable. C'est là que l'on travaille sur leurs modes de fonctionnement, dynamique d'attachement, etc.

https://www.facebook.com/photo/?fbid=1445704240896713&set=a.128935642573586&__cft__[0]=AZWLaK3KiyS5FPOafNI8Bv_KidOckpH6dYbcr7kRGudzBQVFC0PJrp_W913f-HsidCOaHvs1TcDK_5JBIfFIw-HN2EGge4X5wlyb7Bgcr-CnCn8XLQQU6erY7nvZQBeLeiHXr7hDb6qZWtip8qVzSifgDTSsw2okJ1lAkaa1_1WqUkkJq4d7B2kPaXpPKeXu1C6eyhwLj4nLr1j5k7TXGS12&__tn__=EH-R

Bouh 👻

Très intéressant! La sécurité affective à développer chez nos enfants! Mélanie Bilodeau 👌
10/14/2025

Très intéressant! La sécurité affective à développer chez nos enfants!
Mélanie Bilodeau 👌

09/10/2025

Ton cerveau expliqué avec humour! 😆

L'intelligence émotionnelle est le langage de ton cerveau (les émotions.)

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