08/05/2025
🍺L’alcool, les drogues, les comportements compulsifs… deviennent des “solutions” aux douleurs invisibles. Le cerveau associe ces substances au soulagement, à l’évitement, au réconfort. Même si, à long terme, elles enchaînent plus qu’elles ne libèrent.
🧠Dans ce contexte, le système de récompense du cerveau est biaisé : la dopamine, neurotransmetteur du plaisir et de la motivation, est sécrétée non pas quand on se libère, mais quand on répète le comportement qui emprisonne.
🐾Résultat? L’idée même de “gruger sa patte” – c’est-à-dire faire face à la douleur, à la peur du vide, à la détresse intérieure – semble pire que la cage elle-même.
Alors on reste. On lèche la main de l’emprise. On s’auto-rassure. On s’auto-détruit doucement.
🔑Mais il y a une autre voie.
Il y a des gens qui apprennent à gruger leur patte. À traverser l’inconfort. À retrouver leur nature sauvage.
Et souvent, c’est là que commence la vraie liberté.