Mademoiselle Mymy

Mademoiselle Mymy Écrivaine de croissance personnelle qui partage ses réflexions sur la vie, ses rêves et son espoir. Coach de projets, je vous aide aussi à vous accomplir

Ma mission est d'apaiser les souffrances humaines en donnant du sens aux moments orageux de nos vies. Auteure pour Le magazine des authentiques, Inspire toi, Esprit science et métaphysique et Les mots positifs. Rêveuse, humaniste et amoureuse de la vie qui chercher à inspirer et apaiser les coeurs.

13 rencontres divines en un mois. 13 échanges de services de croissance personnelle et de soins énergétiques. Wow!!! Ça ...
11/24/2025

13 rencontres divines en un mois. 13 échanges de services de croissance personnelle et de soins énergétiques. Wow!!! Ça a été toute une aventure de conscience, d'expansion, de modulation pour au final mieux me cerner, me ressentir, me connaître et m'habiter avec confiance dans cette nouvelle posture qui s'invite en moi.

Je me suis sentie souvent essoufflée je l'avoue, car je suis encore en processus pour me dissocier de l'obligation de courir, d'être performante et de répondre à des attentes.

Durant le dernier mois, j'ai réalisé que cette expérience qui n'est pas encore terminée était en fait un grand laboratoire pour me permettre de tester, dans des espaces sécuritaires, mes capacités, mes limites et l'expression de ma lumière brute.

J'ai tellement hâte de vous raconter cette quête magnifique que je vis en ce moment!

Mais ce que je réalise ce matin alors que pour la 6e fois en un mois une rencontre est reportée alors que mon corps avait besoin d'espace c'est que si on se permet d'assumer et de nommer ce qui est là ça crée, ca libère, ça ouvre des portes.

Comme je collabore actuellement avec des femmes profondément connectées et sensibles à l'énergie, chaque fois qu'une rencontre me coinçait, elle s'est dissoute sans même que j'aie à le dire. (Bon j'apprends aussi à honorer ma voix et mes besoins dans le processus hein! 😆Ça s'en vient l'affirmation haha)

Je suis fascinée...et surtout, ça me parle de cette nécessité pour moi de me permettre mon rythme et mon espace sacré, car j'en ai besoin pour me connecter, me ressourcer et calibrer ce qui doit l'être pour mieux écrire pour vous.

Je traverse des peurs viscérales en ce moment et je les vois se dissoudre...sauf que tout ça me demande beaucoup d'énergie, de foi et de focus.

Je vis probablement la plus grande expansion de ma vie en ce moment, je le ressens dans tout mon corps, je le vois dans mon visage, mon énergie et dans ma fréquence qui se module chaque jour. Et ce passage amène évidemment son lots de contractions, d'envie de fuir et de me cacher 😆et des moments de grandes confusions suivies de grande clarté.

Pour connecter avec le divin en soi, il faut apprendre à tolérer le vide, l'inertie, la noirceur, le brouillard, l'incertitude. C'est ce qui précède le mouvement, l'illumination, la conviction, l'appel, la clarté, l'intuition. Et c'est un peu paniquant d'apprivoiser sa puissance sans même la maitriser.

J'apprends à reconnaître mes signes, ceux qui me guident et qui m'informent quand je tombe en mode acharnement ou contrôle plutôt que d'assumer que tous les élans et les états que je ressens sont justes et ont leur raison d'être.

Les temps morts, le flou, la contraction, la dissonance, la lourdeur, le manque de fluidité... tout ça fait aussi partie du processus et si on s'autorise à écouter ce qui nous semble être négatif avec la même ouverture c'est fou les pépites qui peuvent en ressortir.

Je viens de le vivre et c'est grandiose sincèrement, de traverser l'ombre et le chaos pour finalement découvrir tous les messages lumineux qui s'y cachaient.

La clarté se fraye un chemin là où on lui permet de se manifester. Et sans briser mon personnage de performante je n'aurais jamais eu l'espace pour accueillir le fait que je n'avais pas emprunter le bon canal ni la bonne fréquence pour écrire avec certaines. (Sauf que l'interférence avait des choses à nous dire et grâce à ma capacité à admettre mon manque de justesse, nous avons pu atteindre une profondeur et une grande vulnérabilité où la justesse nous a ébahies.)

Clarté, clairvoyance, mobilisation à l'action, synchronicités puis...blocage de ressenti et d'inspiration, flou, non-dits, connexion au mental plutôt qu'à l'intuition, décalage énergétique j'en ai vécu des affaires jusqu'à maintenant dans cette expérience.

Est-ce que c'est confortable? Pas toujours.
Est-ce que je me sens marcher dans la bonne direction : OUI!

Au final, je réalise que chaque confirmation et chaque doute vécus m'ont apporté autant de positif et de clarté, simplement pas au même rythme et dans la même énergie puisque parfois j'ai résisté à mon ressenti en croyant qu'il était défectueux.

Quand on sent que quelque chose est désaligné, déconnecté ou bloqué dans le cadre de ce qu'on a à offrir, avoir l'humilité d'en parler est non seulement salvateur mais extrêmement révélateur!!!

Alors pour la dizaine de rencontres qui reste je m'offre l'espace dont j'ai besoin pour tout ressentir et dire sans résistances, car c'est là que ma magie est la plus juste.

J'apprends à échouer et la honte essaie de se frayer un chemin, sauf que mon désir d'être intègre et cohérente dépasse d...
11/21/2025

J'apprends à échouer et la honte essaie de se frayer un chemin, sauf que mon désir d'être intègre et cohérente dépasse de loin ma peur d'être mise en échec.

J'apprends ce que ça fait de ne pas emprunter le bon chemin en tirant sur un fil qui ne se déroule pas facilement. J'apprends les conséquences de vouloir répondre à l'autre plutôt que de répondre à ce qui m'habite. J'observe les conséquences de tous les non-dits que je cherche encore à porter seule et à étouffer pour ne pas déranger les autres ou pour me pas "perdre la face".

Je réalise que d'assumer ma puissance et ma place c'est d'habiter mon espace avec son rythme, ses détours et ses vérités tantôt fulgurantes et tantôt floues qui me traversent.

Ce n'est pas un hasard si depuis plusieurs semaines je rencontre de magnifiques femmes médecines qui incarnent leur vision et leur magie. Sauf que soyons honnêtes, apprivoiser sa magie et la déployer c'est hyper confrontant, déstabilisant et on n'est pas en contrôle de grand chose.

Moi, la performante, l'anxieuse en quête de sécurité et de validation je dois traverser la puissance du vide, cet espace neutre duquel il faut ressentir d'abord puis laisser venir les mots sans les forcer.

Sauf que parfois j'expérimente de l'interférence mentale et je m'en rends compte...Je le ressens quand je ne suis pas sur le bon canal parce que le flot n'est pas fluide, c'est énergivore, c'est calculé... Puis évidemment, si j'ai le grand déni d'envoyer quand même ce texte sous la pression insoutenable du vide et bien je sais que l'écho de mes mots ne crée pas la résonance souhaitée. En fait, je le sais à chaque étape quand je ne suis pas alignée...

Je voudrais être sans failles. Toujours trouver le chemin facilement et instantanément, sans détours, sauf que je sais que le passage que je fais en ce moment servira à tout plein de femmes qui se filtrent et se censurent comme moi pour toutes sortes de raisons.

Pour moi, de nommer les décalages que je ressens est essentiel. Partout dans ma vie. Cette guidance là ne me fait jamais défaut. Je sais quand il y a désalignement et je suis touchée de voir que mon courage à l'admettre est plus fort que ma honte à me montrer imparfaite.

J'apprends à apprendre, j'apprends à honorer l'élève en moi.

Je n'ai pas à cacher mes erreurs puisque je veux les transformer, les sublimer.

Je suis appelée à oser marcher au coeur du vide avec ma foi la plus viscérale. Il n'y a pas d'autres chemins. Et toutes ces parties de moi qui essaient de me faire croire que je ne peux soutenir cette voie foncent droits dans le mur une après l'autre.

Je m'incline devant cette expérience qui me rend profondément inconfortable, mais fière.

J'ai besoin de me sentir suffisamment solide pour retrouver mon chemin quand je m'égare...parce que si je suis honnête, à chaque fois que mes mots partent dans la mauvaise direction ma tête voudrait tout arrêter, me discréditer, mais mon corps lui me pousse et me dit fais-moi confiance, je connais le chemin.

Je suis terrifiée, sincèrement, parce que j'ai l'habitude d'être infaillible et tout maintenir ensemble ce qui doit s'écrouler.

Cette expérience m'enseigne que je n'ai pas besoin d'être infaillible, seulement transparente sur mes processus et mon ressenti.

On ne nous apprend pas à échouer, on nous vend un rêve incarné un point A et un point Z sauf que la solidité se bâtit suite à l'effondrement et l'expérience.

Et quand on exerce un métier vivant où nos offres sont sur mesure et constamment en évolution selon l'énergie qui se présente à nous c'est drôlement déstabilisant et exigeant.

J'apprends à moduler mes capacités pour que chaque parties de moi puissent reprendre sa juste place en demeurant dans leur axe.

Merci à toutes ces âmes venues sur mon chemin pour m'amener dans cette humilité et cette finesse.

J'ai peur de perdre ma crédibilité en partageant ces mots et en même temps je sais qu'il n'y a rien de plus puissant et révélateur que notre capacité à être honnête envers soi et les autres.

Je vais toujours honorer mon ressenti. Je ne ferai jamais semblant d'être juste si je sens que ma justesse m'a fait défaut. Pour moi, c'est ça l'engagement et l'intégrité et je marche ce chemin avec mes client.e.s. Je me fais un point d'honneur de réaligner tout ce qui doit l'être.

Un droit à l'erreur se crée en moi. Un espace pour prendre le pouls et moduler ce qui a besoin de l'être, c'est le chemin de toute âme guide pionnière.

Nous n'avons pas besoin d'être infaillibles, juste humbles et transparentes.

Plonger dans l'univers de quelqu'un me donne chaque fois le trac, car je dois me brancher à une nouvelle énergie pour la...
11/16/2025

Plonger dans l'univers de quelqu'un me donne chaque fois le trac, car je dois me brancher à une nouvelle énergie pour la traduire en mots.

Pour y arriver, je dois m'assurer de demeurer un canal le plus dégagé possible et filtrer chaque mot qui descend quand il ne me semble pas juste.

L'envie de fuir me prend parfois, j'expérimente le même trac que j'avais avant que les rideaux se lèvent sur scène. Je connaissais mon texte et pourtant chaque soir, je doutais de l'infime possibilité qu'il y avait que je ne puisse plus incarner mon rôle, prise d'un grand vide de mots.

C'est ainsi que je vis ma guidance pour le moment. Comme un espace vivant et incertain, impossible à prendre pour acquis.

Cette grande aventure que je vis en goûtant à la médecine de mes pairs et en leur faisant goûter la mienne me fait réaliser que malgré une grande insécurité j'ai toujours foncé et c'est important pour moi de parler de cette insécurité, pas pour diminuer les attentes des autres, mais pour me permettre d'être vraie à travers chaque rencontre, chaque processus et chaque contrat.

Je sais que je suis puissante et malgré ça, je doute constamment.
C'est que de travailler avec l'énergie, avec le brouillard mental des gens et avec l'invisible c'est tout un univers parallèle dans lequel je me sens par moment perdue et totalement en perte de contrôle.

Puis, vient le moment fatidique où je vois tous ces petits fils dans ma tête se relier. Et avant même que le processus ne soit clair et complété, mon souffle s'apaise. Je me sens retrouvée le fil de ma propre destinée, ma direction, puis ma ligne d'arrivée. Le brouillard se dissipe. Ouf, à chaque fois, j'ai cru ne pas y arriver. À chaque fois, j'ai crains ne pas pouvoir retrouver mon chemin...et pourtant, à tout coup, la magie opère.

La confiance et la foi se vivent une expérience à la fois.
En ce moment, j'enseigne à mon système nerveux que le fait de ne pas être en contrôle, à tout moment, ne signifie pas l'échec ou la mort. Je lui enseigne que même dans le flou, il peut avancer, paisiblement, en sachant pertinemment que l'illumination finit toujours par se frayer un chemin.

J'ai une façon très artistique d'accompagner, de créer et d'écrire. Il n'est donc pas étonnant que j'expérimente ce trac et ce chaos à chaque fois que je choisis de créer sur mesure, sans filet et sans chemin tout tracé pour mes clients.

Je suis une ouvreuse de chemin, une démêleuse d'idées et de mots, une tisseuse de concepts et de projets. Et selon ce qui est requis, les différentes parties de moi collaborent pour y ajouter plus de tête, de coeur ou d'âme. Puis, je reçois du support divin pour m'indiquer avec quels fils je dois tisser.

Je viens d'envoyer un texte et je me sens comme l'artiste qui s'incline à la fin de son spectacle. Fière, mais dans l'attente d'un « applaudissement » en guise de validation parce que c'est tellement important pour moi que l'énergie que j'émets soit juste pour celui ou celle qui la reçoit.

On peut se raconter des histoires, mais cette validation extérieure est importante et précieuse quand on débroussaille un chemin vertigineux. Ce sont des confirmations qui nourrissent toujours plus profondément notre foi en nous et en la vie.

Je porte ce sentiment d’avoir une dette, comme si ma vie ne m’appartenait pas. Comme si mon temps et mon énergie étaient...
11/12/2025

Je porte ce sentiment d’avoir une dette, comme si ma vie ne m’appartenait pas.

Comme si mon temps et mon énergie étaient un luxe que je ne pouvais pas me permettre telle que j’en ai vraiment envie et besoin.

Ce rythme lent qui m'appelle ne m’offre pas de confort, de stabilité et de sécurité, seulement une promesse que cela viendra si je demeure présente à moi…

Assumer le vide. M’asseoir dedans. Rester présente à mon silence et mon chaos. À cette anxiété qui monte de nulle part quand je ne suis pas dans l’action pour pallier à mon besoin de survivre et de me sentir en sécurité. Ce fardeau financier qui m’étouffe, mais qui au final est plutôt un prétexte pour faire émerger cette insécurité viscérale qui m’habite.

Je me sens en urgence, pressée par quelque chose. Je devient vite surchargée, mais je cours quand même alors l’essoufflement vient.

La vérité c’est que je n’ai jamais appris à être là pour moi, solide et présente, prête à accueillir mes besoins, mes émotions, mes limites. J’ai appris à refouler puis transformer mes émotions en énergie motrice pour ne pas m’y noyer. Toute cette colère, cette peine, ce dégoût et cette déception, j’ai réussi à en faire du beau, mais surtout du utile. C’était mon objectif, me mobiliser pour donner du sens et faire oeuvre utile, sauf que de chercher l’utilité en toute chose ne permet pas l’accueil et la libération de ce qui est. On ne peut pas demander à un artiste de créer pour que ce soit utile, cela irait contre son mouvement naturel...

Insidieusement, je traite tout à partir de la performance :

Est-ce qu’il y en a assez?
Est-ce que c’est assez rapide?
Est-ce que c’est efficace?
Est-ce que c’est logique?
Est-ce que j’évolue?
Est-ce que j’avance?
Que dois-je faire?

Ma tête croit que de m’arrêter signifie ne pas être à la hauteur, ne pas être suffisamment solide et ne pas être légitime dans un monde où on nous demande de performer pour survivre et pour s’accomplir.

Ai-je le droit de m’arrêter quand ma vie n’est pas suffisamment « gagnée » et qu’elle semble déjà enviable pour plusieurs?

Suis-je légitime de me reposer alors que tous ces salariés courent dehors?

Vite, de l’argent, vite une raison de vivre, vite des objectifs, vite il y a quelque chose à atteindre, il ne faut pas prendre de re**rd. Il ne faut surtout pas s’arrêter pour profiter, car on risque de ne plus vouloir reprendre…

Mais du re**rd sur quoi? Elle vient d’où la vraie urgence? Cette obsession de « faire » au détriment de l’être. Ça cache quoi?

Même si je sais depuis toute petite que ce n’est pas ça la vie, j’ai l’impression que j’ai acheté l’idée que je devais en faire toujours plus pour que personne ne puisse me dire que je n’en fais pas assez.

Je voudrais m'arrêter, mais je me surprends à courir même lorsque je suis assise parce que la culpabilité, la lenteur et la « passivité » choisie m’angoissent et m’oppressent.

Je cherche l’espace pour honorer mon énergie sacrée. Mon juste rythme. Ma pulsion de vie. Ce battement en mon coeur qui m’appartient entièrement, mais qui me semble maintenant si étranger.

À quoi ai-je vraiment envie de répondre?
Quel est le vent qui souffle dans mes voiles?
À quel rythme mes élans créateurs me traversent-ils vraiment?
De quoi a besoin l’artiste en moi? L’entrepreneure, la femme?

J’ai envie de vivre ma vie pour moi et pour cela, je dois aussi accepter que les autres vivent leur vie pour eux. Sans dettes ni attentes, sans contrôle ni poids sur mes épaules. Sans jeu de pouvoir où les charges de chacun sont des négociations de valorisation et de responsabilité.

Pour retrouver mon souffle, j’ai besoin d’espace. Un espace dans lequel je n’ai plus besoin de faire pour avoir de la valeur.

Un espace sans performance où je peux ressentir mes processus intérieurs pour passer à la prochaine étape de ma conscience, sans urgence.

Mais la vérité crue, c’est qu’à chaque tentative, je me sens anxieuse, je me sens coupable, je me sens redevable, je me sens illégitime, je me sens trop ou pas assez. Alors, je cours sans trop savoir ce que je fuis ou ce que je cherche.

Mon corps a encodé que le repos et le plaisir doivent être mérités, comme si ma propre liberté devait sans cesse m’être réaccordée par les autres en tant que privilège et non en tant que droit fondamental.

Évidemment, je ne me sens jamais légitime de m’accorder exactement ce dont j’ai besoin, car je porte ce sentiment de dette.

Je ne m'appartiens pas, car pour survivre j’ai appris à taire qui j’étais et à me suradapter.

On ne défait pas un système de croyances en un claquement de doigts. Nos mécanismes de survie et nos schémas de réponse s’invitent partout et ce qu’on souhaite atteindre nous semble parfois inatteignable.

Il y a encore en moi ce besoin insatiable de performer pour être irréprochable, ce besoin de plaire pour me sentir légitime.

J’ai longtemps cru que l’opinion des autres avait plus de valeur que la mienne puisque je m’en servais comme d’un baromètre pour m’autoriser, me reconnaitre, me légitimer et me valoriser.

Aujourd’hui, le temps est venu de m’autoriser pleinement les élans de mon âme. Même lorsque cela va à contre-courant.

Même lorsque cela ne semble pas logique. Je veux me donner tout l’espace nécessaire pour entendre et répondre à mes vrais appels, car c’est par eux que je suis abondante.

Je sais que ce passage à vide est important même s’il me donne l’impression de tourner en rond.

Tolérer ce sentiment de manque et de vide, cet inconfort, cette culpabilité, cette honte.

Tolérer l’insécurité, l’espace souffrant et les croyances limitantes qui se soulèvent lorsque je me donne des autorisations qui challengent cette partie de moi qui veut tout contrôler pour me protéger et éviter que je m'écroule.

Ce n’est pas un effondrement, c’est un dévoilement de tout ce que je me suis cachée et de ce dont je me suis coupée.

Ces espaces en moi doivent être traversés et ressentis, c’est probablement ça l’urgence que je ressens. C’est un passage obligé, il n’y a pas d’autre chemin. Toutes les tentatives de fuite sont insoutenables.

Mon âme réclame l’espace dont j’ai besoin pour que le rideau tombe, sans honte ni culpabilité, mais avec beaucoup d’émotions mixtes.

Et forcément, cela me met face à mes dualités et mes paradigmes, face à cette version de moi qui veut marcher sa voie sans cette boule au ventre.

Ce qui nous est demandé en ce moment est important à honorer, car cela fait partie du chemin, de notre passage…

Pour moi, c’est vraiment de RALENTIR, de RESSENTIR.

Et toi? Qu’est-ce que tu marches, qu’est-ce qui t’appelle au plus profond de ton âme?

Arrête de courir après les gens qui se défilent.Ceux pour qui tu n'es pas importante, en gestes;Ceux avec qui tu n'arriv...
11/08/2025

Arrête de courir après les gens qui se défilent.
Ceux pour qui tu n'es pas importante, en gestes;
Ceux avec qui tu n'arrives pas à avoir l'heure juste ni à savoir sur quel pied danser.

Arrête de vouloir porter sur tes épaules, la honte d'être celle qu'on fuit ou qu'on néglige. Ne prends pas personnel l'odieux de ce qu'ils te font vivre, comme si c'était ta faute et que tu le méritais.
Arrête d'essayer de résoudre leur silence et leur absence à partir de toi alors que leurs gestes parlent d'eux.

Tu n'as pas à porter à toi seule le poids du vide et des non-dits, encore moins ceux qui demeurent même lorsque tu essaies de dire.

Accepte que certaines personnes préfèrent fuir plutôt que de te dire la vérité dans les yeux.

Assume que même si toi tu as envie d'offrir la lune, il se peut que l'autre te réserve des miettes.

Arrête de croire que tu dois tout sauver et réparer comme si ta valeur en dépendait.

Accepte de perdre ce qui au final n'a jamais profondément été ce que tu souhaitais.

Arrête de vouloir remplir les trous et pallier au vide.
Ne fais pas les efforts pour 2.
Laisse le lien parler sans l'interpréter.
Écoute le silence.
Écoute ce vide, celui que tu ressens dans ton estomac quand tu finis par croire que ce que tu reçois est une conséquence de qui tu es.
Ce qui se passe pour l'autre, tu ne le sauras probablement jamais vraiment...

Quand tu oses ta vérité et que l'autre l'esquive, est-ce que ça te convient?

Quand tu es clair cristal et que tu reçois du flou, est-ce que tu te sens en sécurité?

Quand malgré de multiples tentatives tu es toujours au même point d'inconfort, qu'est-ce que tu attends encore?

Je sais qu'on s'habitue aux miettes et qu'on fini même par banaliser les situations qui ne nous conviennent pas.

Mais ces relations à sens unique ne sont pas un passage obligé.
Et si l'attraction que tu ressentais envers quelqu'un était plutôt la fréquence de cette irrésistible croyance que c'est ce que tu mérites.

J'ai fini d'être celle de qui on peut prendre sans conditions.
J'ai fini de tout donner en ne respectant pas mes limites.
J'ai fini de taire mon malaise pour éviter de brusquer l'autre.
J'ai fini de porter la honte sur mes épaules.

Je laisse partir toutes ces relations dans lesquelles je ne me sens pas importante ni choisie.

Je choisis des liens qui me font sentir en sécurité.

J'ai le droit et je choisis d'évoluer dans la clarté et la réciprocité.

Édition spéciale du fil d'or en format atelierUn atelier de groupe d'une journée pour faire un bilan des passages spirit...
11/08/2025

Édition spéciale du fil d'or en format atelier

Un atelier de groupe d'une journée pour faire un bilan des passages spirituels que tu as traversé en 2025 ça te dirait?

Un feu, de la musique, de l'écriture, un cercle de partage, un potluck et tout ce qui prendra forme selon l'élan et les besoins du groupe du groupe. 🥰

J'ai envie qu'ensemble on puisse partager nos moments forts, le brouillard traversé, les grands déclics, les phases de changement qui se sont opérés et puis qu'on tisse peut-être même de nouveaux liens, une nouvelle perspective parce que c'est ma passion de tisseuse et de dénoueuse tsé 😆 : mettre en mots et en lien des émotions, des idées et des concepts pour qu'ils puissent devenir clairs, conscients et avoir du sens.

8 places disponibles 🥰

Écris-moi si ça te parle.

Aimer, pour moi c'est avoir cette inépuisable obsession de comprendre et d'accueillir.Aimer c'est voir dans l'ombre que ...
11/06/2025

Aimer, pour moi c'est avoir cette inépuisable obsession de comprendre et d'accueillir.

Aimer c'est voir dans l'ombre que tu traverses des opportunités de se tenir la main.

Chaque humain est une énigme à résoudre et tant qu'il y a de l'amour, c'est tellement plein de sens de s'intéresser à l'autre avec curiosité, patience et bienveillance.

Aimer c'est tenir l'espace peu importe le passage.

11/05/2025

La cohérence radicale : changement de posture et de perspective. Marcher son chemin à un nouveau rythme et à partir d'un nouvel espace 🙏♥️

Quand je me suis retrouvée devant Vicky j'ai tout de suite senti que ce qui se passerait serait grandiose. Grâce à elle ...
11/02/2025

Quand je me suis retrouvée devant Vicky j'ai tout de suite senti que ce qui se passerait serait grandiose. Grâce à elle j'ai eu la chance d'expérimenter le soin Thêta healing et toute sa magie d'acrobate énergétique qui manie l'art de s'ancrer et s'envoler avec la même fluidité. 😍 Ce fut grandiose et magnifique comme soin!!!

De mon côté, le deal c'était que je me connecte à son énergie pour la transposer en mots. Sauf que rencontrer des femmes puissantes en maîtrise de leurs dons c'est un peu intimidant tsé 😂 Je me sentais un peu comme une chanteuse qui avait pogné une note impossible sans savoir si j'allais un jour me sentir assez confiante et en maîtrise pour recréer ce beau miracle. 😅

Lors de notre rencontre, je lui avais posé beaucoup de questions puisque c'est ainsi que j'arrive à me brancher sur l'énergie des gens en identifiant tous les petits fils en eux qui forment des noeuds. J'avoue qu'à un moment j'ai eu l'impression que je n'arriverais à rien. La peur m'a pris puis j'ai entendu quelques mots dans ma tête. Ces mots semblaient presque banals, mais je les ai dit quand même puisqu'ils m'étaient venus en guidance. Et j'ai alors ressenti qu'on venait de trouver le nœud et qu'un certain dénouage s'était opéré. Une porte venait de s'entrouvrir, mais malgré cela je doutais.

Il me restait ce texte à écrire par canalisation et j'avais peur de ne pas y arriver sur commande puisque ma guidance m'avait presque fait défaut lors de notre échange. Je réalise que c'est si facile de se brancher sur la mauvaise fréquence quand on veut forcer un résultat, par peur que le flot ne vienne pas.

Le lendemain, Vicky m'écrivait pour me dire que la clarté était revenue. Wow !! 😍

Ça m'a donné l'élan dont j'avais besoin pour me replonger dans son énergie et son texte que j'avais commencé.

Alors, j'ai pris le temps de vraiment la ressentir. Je faisais des gestes et j'essayais de les traduire en mots. Parfois j'avais même besoin de faire des recherches pour trouver le bon mot pour décrire ce que je voyais dans ma tête.

C'est ainsi que j'ai transcendé mes limites mentales et enfin fait confiance aux images dans ma tête, à ma guidance. J'ai traduit mes ressentis énergétiques en mots, une sensation à la fois.

Puis Vicky m'a envoyé ce message absolument plein d'amour pour me confirmer que mes mots avaient trouvé résonance en elle. 😍🔥👌

Merci tellement de m'avoir permis de rassembler et mieux intégrer mon énergie de fée tisseuse.

LE MULOT ET LA SAUVEUSEJ'avais entendu une trappe se déclenchée la veille. Mon chum m'avait dit qu'il préférait attendre...
10/31/2025

LE MULOT ET LA SAUVEUSE

J'avais entendu une trappe se déclenchée la veille. Mon chum m'avait dit qu'il préférait attendre au lendemain au cas où le mulot serait encore vivant. J'avais envie d'être courageuse et de m'impliquer, je ressentais que je devais aller voir et prendre les choses « en charge. »

C'est cette charge justement qui m'attendait. Mon rôle de sauveuse à son meilleur. En ouvrant la porte de la chambre j'ai découvert une trappe contenant un mulot qui respirait encore. L'horreur. Ça faisait près de 24h qu'il agonisait...et moi je devais être celle qui le sauve. Évidemment. Il ne restait qu'une heure avant mon départ pour la garderie, mon chum rentrait t**d ce soir-là. Alors cette tâche ingrate et horrible me revenait.

Naivement, j'ai pris la trappe dans mes mains en me disant je vais le libérer dehors et il pourra courir vers une vie meilleure. Quel choc lorsque j'ai constaté qu'il n'était pas du tout en état de vivre. C'était ma faute. Et j'avais le choix de l'achever ou de laisser le temps faire son oeuvre.

Mon manque de courage à achever sa souffrance a déclenché en moi un dilemme insoutenable, une crise de larmes incontrôlable. Je revivais toutes ces fois...

Toutes ces fois où j'ai voulu sauver, dans cette vie et toutes les précédentes.
Toutes ces fois où j'ai voulu prendre sur moi des charges trop lourdes pour ma capacité.
Toutes ces fois où la culpabilité m'a noyé de larmes et de honte.
Toutes ces fois où j'ai cru que j'étais coupable et responsable et que je me suis jugée.

Je cherchais même parmi mes voisins un autre sauveur pour mettre fin à mon impuissance et mon inaction.

Mes proches trouvaient mon émotivité ridicule, on me disait de le jeter à la poubelle ou de le mettre dans une boite pour ne pas voir.

Mais au final, je crois qu'il me fallait vivre ce passage horrible de tolérer le fait de ne rien faire.

Je vois encore son petit corps, ses petites respirations. Et je ressens en moi une peine et une charge si dense.

Depuis, nous en avons attrapé 9 autres. Toutes sont mortes sur le coup. Je sais qu'elle portait un message pour moi. Je devais vivre ce moment... Je devais voir où ma sauveuse m'amène et le poids qu'elle met sur mes épaules depuis toujours. Je devais voir le trauma que cela a laissé en moi à chaque fois que je me suis fait croire que j'étais responsable de la souffrance et des émotions des autres, au détriment de mes propres émotions et de ma propre souffrance.

En acceptant de ne pas me faire violence, je me suis choisis à sa place. Et je ne peux pas dire que je me sens encore bien avec mon choix, mais, au fond de moi, je sais qu'il était juste. Que je devais me permettre ma limite, mon impuissance, ma peine, cette solitude d'être incomprise dans ma sensibilité et mon empathie.

J'ai demandé à ce qu'il ne souffre pas longtemps, puis son souffle a diminué. Et quand je suis revenue de la garderie, la nature s'en était occupée pour moi.

Le temps est venu de laisser mourir la sauveuse en moi.
C'est difficile, mais je sais que c'est une étape nécessaire pour oeuvrer avec l'ombre et la lumière sans division. Cela fait partie de la juste posture que je calibre en ce moment.

Qui eut cru qu'un petit mulot représenterait une si grande leçon pour moi.

Address

Laurentides, QC

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Mademoiselle Mymy posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Contact The Practice

Send a message to Mademoiselle Mymy:

Share

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram