Clinique de Neuropsychologie de Laval

Clinique de Neuropsychologie de Laval Nous offrons des évaluations neuropsychologiques aux enfants, aux adolescents ainsi qu’aux adulte

Nous offrons des évaluations neuropsychologiques aux enfants, aux adolescents ainsi qu’aux adultes. Ces évaluations ont pour but de diagnostiquer plusieurs troubles : trouble d’apprentissage, dyslexie, TDA/H, trouble du déficit de l’attention, trouble du spectre de l’autisme, trouble de comportement.

09/23/2025

🗣 Parce que l'information rigoureuse est le meilleur remède face à l'obscurantisme (et que le Tylenol est un médicament sécuritaire sans lien avec l'autisme!), voici une sélection d'articles à la suite de l'annonce de Trump et de ses lieutenants.

📌 À consulter dans notre fil de presse: https://cutt.ly/wrKATpTZ

09/09/2025

L’aluminium dans les vaccins a longtemps été un sujet controversé, certaines personnes affirmant (à tort) qu’il provoque de nombreux effets secondaires et maladies.

Une nouvelle étude de grande ampleur, évaluée par les pairs et menée au Danemark, a suivi plus d’un million d’enfants pendant plus de 20 ans. Elle n’a trouvé aucun lien entre l’aluminium dans les vaccins et des maladies comme l’autisme, l’asthme, les allergies ou les maladies auto-immunes. Cela s’ajoute à des décennies de preuves démontrant que les adjuvants à base d’aluminium dans les vaccins sont sûrs (1,2).

L’aluminium est un métal utilisé comme « adjuvant » dans de nombreux vaccins de routine. Les adjuvants aident le corps à développer une réponse immunitaire plus forte. Grâce à eux, on a besoin de moins de doses ou de moins d’antigène (la partie du vaccin contre laquelle ton système immunitaire réagit et apprend à reconnaître). L’aluminium fait naturellement partie de notre environnement et de notre alimentation, et il est sécuritaire dans les très petites quantités utilisées dans les vaccins (3,4,5,6,7,8). Ces adjuvants sont inclus depuis des décennies dans plusieurs vaccins comme ceux contre l’hépatite A et B, le tétanos et la diphtérie. Selon le vaccin, la quantité d’aluminium peut varier de 0,1 à 0,8 mg par dose. À titre de comparaison, les adultes consomment généralement 7 à 9 mg d’aluminium par jour, et un seul comprimé antiacide peut contenir 10 à 100 fois plus d’aluminium que les vaccins, sans effet toxique (9,10). Un bébé reçoit plus d’aluminium par le lait maternel ou la préparation pour nourrissons au cours de ses six premiers mois de vie que par les vaccins (5).

Rappelle-toi : c’est la dose qui fait le poison.

Sources : tinyurl.com/SUFVaccineAluminum

08/08/2025

Sometimes, this is because many people with autism do their best to behave in ways that help them “blend in” – they ignore how they feel and they focus on people pleasing.

Une recherche sur l'autisme a besoin de participants. Il recherche des obtenus qui sont eux aussi autistes.
08/02/2025

Une recherche sur l'autisme a besoin de participants. Il recherche des obtenus qui sont eux aussi autistes.

Are you Autistic and a parent? We're recruiting participants! Our research team at Carleton University (Ottawa, Ontario) is conducting an online study about experiences of adults navigating and while living in Canada. Parents will be asked to complete an online surve...

Perdre ses cheveux est un grand choc pour les personnes aux prises avec le cancer. Particulièrement pour les ados, pour ...
07/17/2025

Perdre ses cheveux est un grand choc pour les personnes aux prises avec le cancer. Particulièrement pour les ados, pour qui l'image de soi est si importante dans leur développement. Encouragez les gens qui participent au Défi des têtes rasées de Leucan! Certains, comme Claudine, feront transformer leurs cheveux en perruque pour un enfant malade.

J'envisage un don de cheveux depuis plusieurs années. Le 25e anniversaire du Défi et de la chorale Voix d'espoir est une occasion de passer de la pensée à

07/02/2025
06/18/2025

Lorsqu'il s'agit de l'utilisation des écrans par les enfants, les parents s'inquiètent de la mauvaise chose, suggère une nouvelle étude

Voici la traduction en français du contenu de l'article de CNN : https://www.cnn.com/2025/06/18/health/kids-screen-addiction-study-wellness

Une nouvelle étude suggère que pour comprendre comment les plateformes numériques affectent les enfants, il faut se concentrer sur l'addiction plutôt que sur le temps passé devant les écrans.
Principaux points de l'étude :

Le temps passé sur les réseaux sociaux, les téléphones portables et les jeux vidéo n'est pas directement lié à des problèmes de santé mentale tels que l'anxiété, la dépression, l'agression ou les idées suicidaires.
L'utilisation addictive, définie comme une utilisation excessive interférant avec les responsabilités, le travail scolaire ou d'autres activités, est le facteur déterminant.
Près de la moitié des jeunes étudiés présentaient une forte tendance à l'utilisation addictive des téléphones portables, et plus de 40 % pour les jeux vidéo.
Les enfants ayant une utilisation élevée ou croissante des réseaux sociaux et des téléphones portables avaient un risque deux à trois fois plus élevé de comportement suicidaire et d'idées suicidaires.
Une utilisation élevée des jeux vidéo était associée à un risque accru de problèmes de santé mentale, de comportements suicidaires et d'idées suicidaires.
Les filles étaient plus susceptibles de développer une dépendance aux réseaux sociaux, tandis que les garçons étaient plus susceptibles de développer une dépendance aux jeux vidéo.

Comment prévenir la dépendance aux écrans :

Fixer des limites dès le début.
Instaurer des périodes sans écran pendant les repas et le soir.
Ne pas autoriser les téléphones dans les chambres après une certaine heure.
Encourager les activités sans écran.
Montrer l'exemple en ayant une relation saine avec les appareils numériques.
Parler de la nature addictive des écrans de manière non accusatrice.
Créer des accords sur l'utilisation des appareils avec les enfants, en définissant des règles et des conséquences.

Signes de dépendance aux écrans :

Utilisation compulsive ou envie irrépressible d'utiliser les plateformes.
Vérification fréquente du téléphone, même dans des situations inappropriées.
Incapacité à réduire l'utilisation malgré les tentatives.
Problèmes à l'école ou au travail liés à l'utilisation excessive.
Mensonges ou dissimulation de l'utilisation des écrans.
Symptômes de sevrage tels que l'anxiété, l'irritabilité ou la colère en l'absence d'accès aux écrans.
Négligence des responsabilités et désintérêt pour les activités hors ligne.
Manque de sommeil.

Que faire en cas de dépendance :

Ne pas être critique.
Parler à l'enfant de ses sentiments et essayer de comprendre pourquoi il passe autant de temps sur les écrans.
Planifier d'autres activités et revoir l'accord sur l'utilisation des appareils.
Consulter un professionnel de la santé mentale si la dépendance a des conséquences négatives importantes.

Conclusion :
L'étude suggère que les parents devraient se concentrer davantage sur les signes de dépendance aux écrans chez leurs enfants plutôt que sur le temps passé devant ces écrans. Des mesures préventives peuvent être prises, mais une aide professionnelle est essentielle en cas de dépendance avérée.

Vraiment une très bonne nouvelle !
06/04/2025

Vraiment une très bonne nouvelle !

A frontier where science can dramatically improve human life

Marqueurs biologiques de la dépression chez les adolescentsUne avancée scientifique pourrait permettre de repérer les ad...
05/28/2025

Marqueurs biologiques de la dépression chez les adolescents

Une avancée scientifique pourrait permettre de repérer les adolescents vulnérables plus tôt, avec plus d’objectivité, et de prédire l’évolution de leurs symptômes. À l’aide d’une nouvelle méthode de laboratoire qu’ils ont mise au point, des chercheurs et chercheuses de l’Université McGill ont trouvé neuf molécules dont la concentration était élevée dans le sang d’adolescents ayant reçu un diagnostic de dépression. Pour mieux comprendre, on joint Maxime Teixeira, doctorant dans le laboratoire de Dr Flores.
Allez sur Radio Canada Ohdio pour en savoir davantage.

05/18/2025

Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée internationale contre l’homophobie, la biphobie et la transphobie, nous élevons nos voix pour soutenir la communauté 2SLGBTQIA+.

Centraide défend fermement l’égalité, l’amour et la conviction que tout le monde, peu importe son sexe ou son orientation sexuelle, mérite d’être considéré, respecté et célébré.

Nous sommes fiers de favoriser une culture d’inclusion où notre personnel, nos bénévoles et nos communautés rayonnent dans leur diversité.

05/17/2025

We can finally tell who has Alzheimer's disease — and exactly how bad it is.

A new blood test can detect Alzheimer's disease with up to 92% accuracy, and can also show how far the disease has progressed.

The test was described in a new study published in Nature Medicine.

It measures levels of a protein called MTBR-tau243 in the blood, which reflects the amount of tau tangles in the brain—a key marker of Alzheimer's. In the study, the test clearly separated people with early-stage Alzheimer's from those with more advanced disease, and also distinguished Alzheimer's patients from people whose memory problems were due to other conditions.

Until now, diagnosing Alzheimer's and tracking its stages often required expensive brain scans, but this blood test could offer a simpler and cheaper alternative. With new Alzheimer's drugs now available—and more on the way—having a quick and accurate way to diagnose and stage the disease could help doctors choose the best treatments for each patient.

Researchers say this marks a major step toward personalized medicine for Alzheimer's disease. Early detection of Alzheimer's disease is important because it gives patients a better chance to slow the disease before serious damage to the brain occurs. Many treatments are most effective when started in the early stages, often before major memory loss or confusion sets in. By identifying the disease earlier, doctors can also help patients plan for the future, manage symptoms sooner, and make lifestyle changes that could help protect brain health. Early detection may also allow patients to join clinical trials for new treatments aimed at slowing or stopping the disease.

learn more https://medicine.washu.edu/news/highly-accurate-blood-test-diagnoses-alzheimers-disease-measures-extent-of-dementia/

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