07/04/2025
« Il est pourtant impératif de rappeler la nécessité d’avoir un bon système de filtration d’eau et à quel point cela est indispensable pour protéger sa santé. Cela vaut largement la peine alors que l’on parle d’un investissement entre 200$ et 500$.
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Une équipe de l’Université de Montréal dirigée par Sébastien Sauvé a analysé 46 pesticides dans les eaux de la rivière Châteauguay et dans l’eau traitée d’une usine municipale (le nom de la ville est caché), entre 2021 et 2023.
Résultat : aucune diminution significative des concentrations totales n’a été observée après traitement – les niveaux restaient sensiblement similaires entre l’eau de la rivière et l’eau produite.
On notera que d’après Radio-Canada, « dans certains cas, les concentrations de pesticides étaient plus élevés dans l’eau destinée à la consommation humaine que dans l’eau de la rivière »! On se demande comment cela est possible…
Les concentrations respectent les normes québécoises mais environ 2/3 des échantillons dépassent les limites européennes pour la somme des pesticides. »
PCB, micro plastiques, médicaments…
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“On fait diversion avec le CO₂ pendant qu’on vous empoisonne à petit feu”
Pendant ce temps, les polluants chimiques, eux, nourrissent des épidémies silencieuses, sans réelle réponse.Ce n’est pas un complot centralisé, mais c’est une logique de système :
On parle de « résilience climatique », pendant qu’on minimise les hausses de cancers, d’infertilité, de maladies neurologiques,
On finance des crédits carbone, pendant qu’on évite de s’attaquer aux multinationales chimiques,
On culpabilise l’individu, mais on protège l’architecture toxique globale.
Bref, alors qu’autorités et médias subventionnés n’ont rien à dire ou presque, on voit que les risques systémiques dus à l’effet cocktail (phénomène par lequel plusieurs substances chimiques, individuellement peu nocives ou présentes à de faibles doses, peuvent devenir toxiques lorsqu’elles sont combinées) sont considérables. Il en est de même pour l’exposition chronique à faibles doses. Quelles conséquences après plusieurs décennies à boire un liquide que l’on croyait sécuritaire?
Un silence troublant
La situation est donc critique… et des solutions à court terme (même s’il faudra résoudre la question de la présence de tous ces polluants tôt ou t**d), comme l’osmose inversée ou des systèmes de filtres, permettent de résoudre en grande partie le problème. On peut alors se demander pourquoi les autorités gardent le silence, tout comme la presse subventionnée.
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Auteur : Christian Leray 30% des Québécois boivent de l’eau du Saint-Laurent, pensant qu’elle est sécuritaire. Mais est-ce bien le cas? Un article d’apparence anodine publié dans le […]