SAGE Counselling Services

12/12/2025

Alcohol plays a louder role in our culture than we often acknowledge.
For many people, drinking becomes routine long before it becomes intentional. And because it’s socially accepted at nearly every gathering, it’s easy to overlook how strongly it shapes our health, stress levels, and coping habits.
A healthier conversation isn’t about blame or perfectionism.
It’s about pausing long enough to understand your patterns, your needs, and your reasons, without pressure from “how everyone else does it.”
Sometimes awareness alone creates space for different choices. And in a culture that encourages drinking at every turn, even a small shift in perspective can be meaningful.
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L'alcool joue un rôle plus important dans notre culture que nous ne le reconnaissons souvent.
Pour beaucoup de gens, boire devient une habitude bien avant de devenir un choix délibéré. Et comme il est socialement accepté dans presque toutes les réunions, il est facile d'oublier à quel point il influence notre santé, notre niveau de stress et nos habitudes d'adaptation.
Une conversation plus saine ne consiste pas à blâmer ou à rechercher la perfection.
Il s'agit plutôt de prendre le temps de comprendre vos habitudes, vos besoins et vos motivations, sans vous laisser influencer par ce que font les autres.
Parfois, le simple fait d'en prendre conscience suffit à créer un espace pour faire des choix différents. Et dans une culture qui encourage la consommation d'alcool à tout moment, même un petit changement de perspective peut être significatif.

Source: Alcohol: Challenging Dangerous Cultural Norms by Aaron Weiner Ph.D., ABPP via Psychology Today

11/27/2025

Money shapes daily life in ways we often don’t talk about openly. The pressure to stay afloat, plan ahead, and meet responsibilities can stretch anyone’s emotional capacity. What looks like procrastination or irritability from the outside can actually be a brain running on overload.
If you’re feeling worn down by financial strain, you’re responding to genuine stress, not a lack of discipline. Support exists on both sides of the equation: mental health and financial guidance. You don’t have to navigate either in isolation.
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L'argent façonne notre vie quotidienne d'une manière dont on ne parle souvent pas ouvertement. La pression pour rester à flot, planifier l'avenir et assumer ses responsabilités peut mettre à rude épreuve la capacité émotionnelle de n'importe qui. Ce qui peut sembler être de la procrastination ou de l'irritabilité vu de l'extérieur peut en réalité être le résultat d'un cerveau en surcharge.
Si vous vous sentez épuisé par les difficultés financières, vous réagissez à un stress réel, et non à un manque de discipline. Il existe des aides dans les deux domaines : santé mentale et conseils financiers. Vous n'avez pas à faire face seul à l'un ou l'autre.



Source: Financial stress and its impacts via canada.ca
FP Canada™ 2025 Financial Stress Index via fpcanada.ca

11/21/2025

11/12/2025

Supporting someone through addiction can feel heavy, even when your intentions are full of care. It’s easy to slip into problem-solving mode and forget that you’re carrying emotional weight too.

Real support doesn’t require self-sacrifice. It comes from staying grounded, informed, and clear about what’s healthy for you. Caring for someone is meaningful; caring for yourself is essential.
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Soutenir quelqu'un qui souffre d'une addiction peut être difficile, même lorsque vos intentions sont pleines de bienveillance. Il est facile de se laisser entraîner dans une dynamique de résolution de problèmes et d'oublier que vous portez également un poids émotionnel.

Un véritable soutien ne nécessite pas de sacrifice personnel. Il consiste à rester ancré dans la réalité, informé et clair sur ce qui est bon pour vous. Prendre soin de quelqu'un est important, mais prendre soin de soi est essentiel.



Source: 8 Ways to Help When Loving Someone With an Addiction by John F. Kelly Ph.D., ABPP via Psychology Today

10/26/2025

Some days, caring about the world feels like carrying it.
The headlines don’t stop, the scroll never ends, and your body quietly pays the price.

It’s okay to step away. To find quiet. To choose rest over rage.
Compassion doesn’t fade when you unplug — it deepens when you recover.
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Certains jours, se soucier du monde donne l'impression de le porter tout entier.
Les gros titres ne cessent de défiler, le défilement ne s'arrête jamais, et votre corps en paie silencieusement le prix.

Il n'y a rien de mal à prendre du recul. À rechercher le calme. À préférer le repos à la colère.
La compassion ne s'estompe pas lorsque vous vous déconnectez, elle s'intensifie lorsque vous vous reposez.



Source: 5 Tips for Coping With Distressing World Events by Kiki Fehling Ph.D. via Psychology Today

10/13/2025

Pregnancy and early parenthood are seasons of change, physically, emotionally, and mentally. Yet when worry takes the driver’s seat, it can cloud the joy that should come with new life.
Perinatal anxiety is not “just stress.” It’s a treatable condition that deserves compassion and professional care. Whether it begins during pregnancy or after birth, recovery starts with recognition, and asking for help is never a weakness.
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La grossesse et les premiers mois de parentalité sont des périodes de changements physiques, émotionnels et mentaux. Cependant, lorsque l'inquiétude prend le dessus, elle peut ternir la joie qui devrait accompagner l'arrivée d'un nouvel être.
L'anxiété périnatale n'est pas « simplement du stress ». Il s'agit d'un trouble qui peut être traité et qui mérite compassion et soins professionnels. Qu'elle apparaisse pendant la grossesse ou après la naissance, la guérison commence par la reconnaissance du problème, et demander de l'aide n'est jamais un signe de faiblesse.




Source: Mind

09/27/2025

Teen anger can feel overwhelming—for them and for the people around them. But what we often call “acting out” is better understood as an emotional signal. Anger may reflect stress, fear, or a boundary being crossed. Supporting young people starts with listening, validating their emotions, and showing by example that anger doesn’t have to spiral—it can be channeled into communication, resilience, and growth.
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La colère des adolescents peut sembler insurmontable, tant pour eux que pour leur entourage. Mais ce que nous appelons souvent « se rebeller » s'apparente davantage à un signal émotionnel. La colère peut refléter du stress, de la peur ou le dépassement d'une limite. Pour soutenir les jeunes, il faut commencer par les écouter, valider leurs émotions et leur montrer par l'exemple que la colère ne doit pas nécessairement dégénérer, mais qu'elle peut être canalisée vers la communication, la résilience et la croissance.



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Source: Teens and Anger: How parents can model healthy coping skills by Rae Jacobson, MS - Clinical Expert: Lauren Allerhand, PsyD via Child Mind Institute

09/12/2025

Sleep anxiety can make nights feel like a mental tug-of-war. The more you think about sleep, the harder it becomes to reach it.
What helps is shifting focus away from pressure and toward signals—small, consistent habits that tell your brain it’s time to rest. Calming the body and reshaping the way you approach bedtime takes practice, but it opens the door to deeper, steadier sleep.🌙
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L'anxiété du sommeil peut donner l'impression que les nuits sont un véritable bras de fer mental. Plus vous pensez au sommeil, plus il devient difficile de l'atteindre.
Ce qui aide, c'est de détourner l'attention de la pression et de l'orienter vers des signaux - de petites habitudes cohérentes qui indiquent à votre cerveau qu'il est temps de se reposer. Calmer le corps et modifier la façon dont vous abordez l'heure du coucher demande de la pratique, mais cela ouvre la voie à un sommeil plus profond et plus régulier.🌙

Source: Sleep Anxiety & Its Impact on Mental Health by Melissa Madeson, Ph.D. via PositivePsychology.com

08/26/2025

Being there for someone in crisis takes patience, empathy, and calm, but it doesn’t mean giving everything you have until you’re empty.
The way you respond can help someone feel less trapped in their emotions. And the way you care for yourself ensures you can keep showing up when it matters.
It’s not always easy, and it’s never perfect, but your presence can be the lifeline someone needs. 💙
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Être présent pour quelqu'un en situation de crise demande de la patience, de l'empathie et du calme, mais cela ne signifie pas pour autant que vous devez tout donner jusqu'à vous épuiser.
La manière dont vous réagissez peut aider quelqu'un à se sentir moins prisonnier de ses émotions. Et la manière dont vous prenez soin de vous-même vous permet d'être présent lorsque cela compte vraiment.
Ce n'est pas toujours facile, et ce n'est jamais parfait, mais votre présence peut être la bouée de sauvetage dont quelqu'un a besoin. 💙

08/01/2025

The way we talk about food is often louder than the way we listen to ourselves. Between wellness trends, moralized eating, and daily pressures, it’s easy to lose sight of what nourishment really means. But mental health asks for more than rigid routines—it asks for flexibility, gentleness, and understanding the full context behind our choices.
Instead of chasing the “right” diet, we can focus on consistency, curiosity, and care. The most meaningful changes start with awareness, not restriction.
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La façon dont nous parlons de la nourriture est souvent plus forte que la façon dont nous nous écoutons nous-mêmes. Entre les tendances en matière de bien-être, l'alimentation moralisée et les pressions quotidiennes, il est facile de perdre de vue ce que signifie réellement l'alimentation. Mais la santé mentale exige plus que des routines rigides: elle exige de la flexibilité, de la douceur et une compréhension du contexte global qui sous-tend nos choix.
Au lieu de rechercher le « bon » régime alimentaire, nous pouvons nous concentrer sur la cohérence, la curiosité et l'attention. Les changements les plus significatifs commencent par la prise de conscience, et non par la restriction.



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Source: Food for thought: Untangling our relationship with food and mental health by Suzanne Westover via: Mental Health Commission of Canada Commission de la santé mentale du Canada

07/21/2025

We often picture hoarding as a cluttered home, but rarely stop to consider what drives the need to hold on. Behind the stacks and storage bins is usually something heavier: fear, grief, trauma, or a sense of safety that only “stuff” can provide.

Hoarding disorder isn’t about laziness or mess. It’s rooted in real cognitive, emotional, and neurological challenges, ones that affect daily life, relationships, and well-being.

It’s easy to judge what we can see. It’s harder to sit with what we don’t understand. But that’s where empathy starts.
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Nous imaginons souvent l'accumulation compulsive comme un désordre dans la maison, mais nous nous arrêtons rarement pour réfléchir à ce qui motive ce besoin de tout garder. Derrière les piles et les bacs de rangement se cache généralement quelque chose de plus lourd : la peur, le chagrin, un traumatisme ou un sentiment de sécurité que seules les « choses » peuvent procurer.

Le trouble de l'accumulation compulsive n'est pas une question de paresse ou de désordre. Il trouve son origine dans de réels problèmes cognitifs, émotionnels et neurologiques qui affectent la vie quotidienne, les relations et le bien-être.

Il est facile de juger ce que nous voyons. Il est plus difficile d'accepter ce que nous ne comprenons pas. Mais c'est là que commence l'empathie.

Source: What is Hoarding Disorder? via American Psychiatric Association
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07/08/2025

Self-talk can guide, motivate, or hold us back, and most of us don’t even notice it happening.
It’s shaped by past experiences, societal messages, and even silence. When left unchecked, it becomes less like a thought and more like a belief. However, that belief can shift, not through toxic positivity, but through patience, awareness, and repetition.
Every time you catch your inner critic and choose something softer, you’re breaking a cycle. Every time you speak to yourself with compassion, you’re learning a new language, your own.
🧠 Want to start small? Journal your thoughts for one week. One entry per hour. It’s more powerful than it sounds.
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Notre discours intérieur peut nous guider ou nous freiner — et souvent, on ne se rend même pas compte de son impact.
Il prend racine dans nos expériences passées, nos blessures, nos silences. À force d’y croire, il devient vérité… mais une vérité qu’on peut remettre en question.
Changer ce discours ne veut pas dire se mentir. C’est choisir, peu à peu, la douceur plutôt que la dureté. C’est apprendre à se parler comme on le ferait avec une personne qu’on aime.
🧠 Envie d’essayer? Notez vos pensées pendant une semaine. Une fois par heure. L’exercice est simple, mais puissant.

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Source: How to Transcend Self-Doubt and Negative Self-Talk by Leigh W. Jerome, Ph.D. via Psychology Today
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