Marche-coaching dans le désert

Marche-coaching dans le désert Témoignages et informations sur la marche coaching que j'anime dans le désert.

Une semaine initiatique pour déconnecter, lâcher quelques fardeaux de vie, retrouver du sens. Voyage insolite dans le désert marocain : marche-coaching et vie primitive dans la nature. Déconnecter, vivre intensément, une semaine d'échanges, de rires, de pleurs, de silences, de dunes et d'étoiles.

01/09/2025

J'ai posé 5 questions aux participants de 2 méharées (la méharée, c'est une marche dans le désert avec les Berbères et des dromadaires). Voici les 5 questions :

(1) qu’est-ce qui a déclenché ton envie d’aller marcher dans le désert ?

(2) quelles peurs ou résistances avais-tu avant de partir ?

(3) quelles sont les découvertes que tu as faites pendant cette semaine de déconnexion totale ?

(4) quelle est l’anecdote la plus amusante/étonnante/unique que tu ramènes des dunes de sable ?

(5) depuis que tu es revenu, quelle empreinte reste-t-il de cette parenthèse dans le Sahara ?

Ecoutez comment Christiane répond à la question 2, en vidéo.

La prochaine méharée initiatique, c'est en février, et pour en savoir plus, visitez la page de présentation et de témoignages (https://lnkd.in/dpVR8te2) et prenez rendez-vous avec moi.

Une semaine de déconnexion totale et de re connexion à soi, aux autres, à la nature, au sens de la vie.
Bienvenue dans l'hôtel à 3000 étoiles...

Maël est une jeune femme proche de ses vingt ans qui prend la parole et commence ainsi : « Je vais vous dire quelque cho...
10/23/2024

Maël est une jeune femme proche de ses vingt ans qui prend la parole et commence ainsi : « Je vais vous dire quelque chose que je n’ai jamais révélé à personne. » Maël enchaîne et décrit alors le viol qu’elle a subi à l’âge de treize ans en rentrant de l’école. Depuis des années, elle porte seule ce lourd bagage.

C'est la première fois que Maël confie son traumatisme, et elle le fait face à un public, en cercle de parole. Désarçonné par son récit, je suis pris de court et n'ai rien à proposer. Je m'assure qu'elle peut s'exprimer sans entraves, et sans qu'aucun participant ne se précipite pour la réconforter.

J’ai retenu cet enseignement de Pierre : laisser monter et couler l’émotion. Notre premier réflexe est d’entourer la personne, la prendre dans nos bras, tenter de contenir son émotion : « Ne pleure pas, ça va aller. » Pierre m’a appris au contraire qu’il est important que les larmes déferlent, éventuellement longtemps. Ce sont des larmes libératrices, le processus d’évacuation que notre corps a inventé. Pourquoi bloquer le flot ?

Cela me fait pensé à une vidéo : on voit un monsieur dans le métro qui regarde sa tablette et se met à rire. Son rire s’amplifie, sonore, gagne les voisins. Quelques instants plus t**d, tous les passagers de la rame de métro sont tordus de rire. C’est si bon de rire.

Il en est de même quand on pleure. Je pleure parce que je vois quelqu’un pleurer est aussi un moyen d’évacuer ensemble, de vivre l’empathie. Alors laisser pleurer, c’est une bonne idée. Laisser pleurer et rester présent autour, silencieux, attentif. L’instant devient puissance commune ! Quand les larmes montent en moi, je peux apprendre à les accueillir. Elles portent un bienfait. Et quand l’eau sera épuisée, viendra le temps du câlin.

Je n’imagine aucun scénario qui promette la réconciliation intérieure pour Maël. Ce qui paraît juste, c’est de l’écouter. Apparemment, elle en parle pour la première fois ce qui m’intrigue. Après les grandes larmes, je lui demande doucement quelle relation elle entretient avec sa maman. Au moment des faits, sa mère était malade et elle n’a pas voulu en rajouter. Elle ne lui en a pas parlé, ni à ses copines, ni à la police. La honte l’emprisonne : étrange inversion puisque c’est le violeur qui devrait mourir de honte.

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Extrait de mon livre "Cercle Toltèque en désert Berbère" que j'ai écrit en début de pandémie, quand j'ai été bloqué 120 jours dans le sud du Maroc.

Lien vers la présentation du livre : https://is.gd/Uk5HV5

Est-ce que vous vous posez la question du sens (signification) de votre vie ? Auriez-vous par hasard besoin de déconnect...
10/22/2024

Est-ce que vous vous posez la question du sens (signification) de votre vie ? Auriez-vous par hasard besoin de déconnecter pour creuser la question ?

J’ai une proposition pour vous : venez marcher dans le désert en février 2025 avec moi.

Voilà ce que je ne vous promets pas :

👎 trouver la réponse à la question ci-dessus…
👎 vivre une expérience quelconque…
👎 repartir comme vous êtes arrivés…

Voilà ce que je vous promets :

🎁 toucher votre profondeur, vous rencontrer vraiment…
🎁 oublier le temps qui passe…
🎁 initier une métamorphose, un point d’inflexion…

Pour cela, la première étape est de prendre rendez-vous dans mon agenda :
https://lnkd.in/d3vPUdrr

« Tes pas s’effaceront dans le désert, mais le désert ne s’effacera pas en toi »
Maurice Clermont

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Voici la page de présentation de la méharée, marche initiatique dans le désert :
https://lnkd.in/dpVR8te2

Quand j’ai eu Sabine au téléphone, après trente ans de silence, elle a bondi sur ma proposition de désert. Nous nous éti...
10/18/2024

Quand j’ai eu Sabine au téléphone, après trente ans de silence, elle a bondi sur ma proposition de désert. Nous nous étions quittés bons amis au sortir d’un cycle d’études et la vie nous avait éloignés comme elle sait si bien le faire quand on n’y prend pas garde.

Je retrouve Sabine sur les chemins du désert et je suis un peu triste de constater qu’une grande partie de son enthousiasme s’est envolé dans les désillusions d’un mariage détruit, alors que l’entame s’était faite avec bonheur pendant vingt ans. L’histoire a tourné comme tant d’autres dans la désolation. Je l’écoute, j’entends à la fois des murmures d’espoir et de grands emportements vers le renoncement.

Je l’invite à s’asseoir sur un coussin au centre du cercle. Ce que nous allons vivre sera surprenant, aucun des observateurs ne va en revenir !

- Sabine, quel âge te vient en tête si je te demande de te connecter à ta Sabine joyeuse, insouciante, gaie ?
- Quand j’avais quatre ou cinq ans, j’avais cette réputation.
- OK, peux-tu choisir une femme de l’assistance qui représente la Sabine qui a quatre ou cinq ans ?

Pendant qu’elle fait son choix et que j’installe en face d’elle la représentante qui accepte gentiment de jouer le rôle, une idée me vient. Sabine a employé plusieurs fois l’expression « vide sidéral ». Je me lève, je vais chercher un matelas. Je choisis de présenter au regard de Sabine le côté sans dessin du matelas, une toile cirée d’une couleur vaguement verdâtre, la toile d’un cinéma d’ennui. Le verso du matelas est tout coloré. Je le positionne verticalement entre Sabine et l’actrice qui a quatre ou cinq ans. Elles ne se voient donc pas. Je demande à Sabine, la grande :

- Peux-tu demander à la Sabine de quatre ou cinq ans de te dire ce que tu dois faire ? Quels sont ses rêves de vie que tu pourrais de nouveau embrasser ?
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Extrait de mon livre "Cercle Toltèque en désert Berbère" que j'ai écrit en début de pandémie quand j'ai été bloqué 120 jours dans le sud du Maroc.

Lien vers la page de description du livre en premier commentaire de ce post.

Dans la vie de tous les jours, nous sur-communiquons des fadaises ennuyeuses. Nous cherchons désespérément des espaces d...
10/17/2024

Dans la vie de tous les jours, nous sur-communiquons des fadaises ennuyeuses. Nous cherchons désespérément des espaces d’écoute authentique, de l’accueil inconditionnel et sans jugement. Pendant les cercles de parole, ressortent les deuils non terminés, la maltraitance de l’enfance, conjugale, professionnelle, les abandons, les peurs, les héritages des générations antérieures, les traumatismes, les accidents, les ruptures, tout un kaléidoscope abondant de larmes restées contenues des mois, des années, toute la vie.

Quelques marcheurs du désert profitent parfois de ce partage pour faire étalage de leur grand savoir, en affirmant indirectement que « tout va très bien madame la marquise ». Derrière de solides murs, ils se barricadent de certitudes sur le monde et sur eux-mêmes. Il est vrai que la souffrance et les épreuves ne sont pas équitablement réparties mais ceux qui pensent être épargnés ou en savoir plus s’échappent parfois, alors qu’ils ont des trésors à partager : comment s’y prennent-ils pour devenir une meilleure version d’eux-mêmes, quels dragons ont-ils vaincu, pourquoi leur chemin a-t-il du sens et comment l’ont-ils trouvé ? Leur histoire nous intéresse davantage que leur ego. Dans les cercles de parole, les stratagèmes pour éviter de parler de soi sont multiples. Il est très facile de prendre l'œuf de parole, parler plusieurs minutes et ne rien dire. Les tactiques consistent à plaisanter, s’engager dans des discours de la méthode, utiliser le « on » à la place du « je » et rester générique, jouer d’un silence calculé. Il arrive même que certains m’agressent pour tenter de fissurer mon autorité. Sans être dupe, je me dis intérieurement « dommage, quelle belle occasion perdue, un trésor restera caché, une blessure continuera de saigner silencieusement ».

Chaque cercle de parole est une opportunité et un risque. J’attends ce moment solennel avec un brin d’impatience, mélangé d’une vague appréhension que l’exercice serve, apporte un peu d’eau à ces gorges desséchées. Tout l’enjeu consiste à expliquer aux plus rétifs ou aux plus rationnels que la parole vraie les libère et participe à la libération des autres. Il s’agit de pousser chacun à livrer une partie de son intimité, même ceux qui ont été dressés à contrôler leurs émotions dans des carrières professionnelles où la lutte pour la survie côtoie les enjeux de pouvoir, les trahisons, les combats de coqs. Le défi est énorme, parfois la magie du désert ne suffit pas pour briser les digues.

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Extrait de mon livre "Cercle Toltèque en désert Berbère" que j'ai écrit en début de pandémie quand j'ai été bloqué 120 jours dans le sud du Maroc.

Le lien vers la présentation du livre est en commentaire de ce post.

Depuis quelques jours, mon livre est disponible à la FNAC, sur Amazon, ou chez leslibraires.frAu fait pourquoi écrire un...
09/20/2024

Depuis quelques jours, mon livre est disponible à la FNAC, sur Amazon, ou chez leslibraires.fr
Au fait pourquoi écrire un livre ?

A la réflexion, je vois trois dimensions qui m’ont poussé à le faire :

1 - Une substance narcissique

Ah, se raconter, devenir le héros de son histoire et le partager. En faire une trace qui survivra à cet andouille de corps qui ne prétend pas à l’éternité.

Cette dimension est d’autant plus vraie que dans « Cercle Toltèque en Désert Berbère », je dévoile de nombreux détails, brisures, tranches de mon intimité. Il y a un coté thérapeutique à extorquer quelques secrets de son intérieur, les jeter sur papier (ça m’est arrivé dans le désert) plus souvent sur clavier.

2 - Un vrai plaisir de la plume

Si elle s’est envolée, repoussée par les vents de la modernité, la plume mutée en touches AZERTY reste poétiquement l’image du plaisir d’écrire. Je ne sais comment expliquer le phénomène : se jouer des mots, chercher du sens, clarifier quelques idées, tenter une forme, travailler les synonymes, ajouter une pincée subtile, s’exprimer en double sens, envoyer une image, sont des plaisirs inextinguibles.

Le plaisir se prolonge dans des posts lancés pour l’indifférence du scrolling de compétition. Qu’importe, personne ne peut voler ce moment précieux de l’écriture pour le plaisir, ou pour le business.

3 - Une envie de transmettre

Enfin, dans l’action frénétique de l’agitation de mots, le scribouillard déclare une envie de transmettre. Un livre est une action de profondeur et met le bouquineur en ardeur de comprendre. Plus on offre de perspectives à la conscience, plus on réalise l’amplitude des complexités.

En prenant plume, il y a une profonde intention de contaminer quelques cinglés qui osent encore attraper le grimoire feuillu.

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Dans Cercle Toltèque en désert Berbère, j’ai, « pour sur », comme disait une voisine de mon enfance en patois vendéen, versé dans ces trois bols : narcissisme, plaisir et transmission.

Un jour, un liseur inconnu m’a envoyé un message, fort long ma foi, pour me dire à quel point cette lecture l’avait bouleversé. L’échange qui a suivi a préparé un projet que je révélerai peut-être début octobre, si tout est confirmé.

Suspens…

Cédric m’a dit : « je suis au bord du burn-out ». Je lui ai répondu : « dans 2 semaines, viens marcher dans le désert av...
09/10/2024

Cédric m’a dit : « je suis au bord du burn-out ». Je lui ai répondu : « dans 2 semaines, viens marcher dans le désert avec moi… »

Bien sur, il a levé de nombreuses objections :

- Les obligation, l’agenda…
- Les inquiétudes…
- L’argent…

Bref !

Alors je lui ai simplement répondu :

« Tu viens de me dire que tu es au bord du burn-out n’est-ce pas ? Alors, dans deux semaines, viens marcher avec moi dans le désert. »

Il s’est débrouillé, et nous avons passé cette semaine-là ensemble, avec quelques autres, déconnectés, dans les dunes du Sahara et les nuits aux 3000 étoiles.

Au retour, il a changé de nombreuses choses dans sa vie.

Je vous invite à vous poser la question : risquez-vous d’attendre qu’il soit trop t**d avant de prendre (reprendre) en main votre destin de vie ? Si le désert vous appelle, c’est une vraie opportunité pour déconnecter du tourbillon, car nous déambulons pendant une semaine sans nos téléphones. Je propose de nombreux exercices confrontants et revigorants.

Vous allez vous reconnecter à vous-même...

Il reste 3 places dans la prochaine méharée du 16 au 24 novembre prochain.

Faites-moi signe en message privé ou visitez la page de présentation et de témoignages de participants aux précédentes marches initiatiques dans le désert (le lien est en commentaire de ce post). Cette pause, cette vie de nomade pendant quelques jours, peut changer votre vie.

La vie est-elle votre choix ?

NB : Cédric, c’est le beau jeune homme aux cheveux ébouriffés…

Vivons-nous le présent, le passé et le futur en même temps ?Cette nuit, j’ai rêvé d’un de mes amis. Il était bien habill...
05/22/2024

Vivons-nous le présent, le passé et le futur en même temps ?
Cette nuit, j’ai rêvé d’un de mes amis. Il était bien habillé et venait chez moi, dans le jardin d’une maison ensoleillée, et s’étonnait de mon ret**d.

Or cet ami était inscrit à la conférence que je donnais ce matin, et… je me suis trompé hier soir en réglant mon heure de réveil. Je me suis réveillé à la bourre, sans le temps d’aller à mon bureau, et j’ai fait la conférence depuis ma salle de séjour.

Cela me rappelle que j’avais rêvé, quelques semaines avant le crash, que le Concorde s’écrasait…

Trèfle de plaisanterie (pourquoi pas carreau ou pique d’ailleurs ?) : notre cerveau est une étrange machine avec ses 86 milliards de neurones et ses trilliards de synapses. J’en parle dans ma conférence « devenez le leader responsable… de votre vie ». Je n’y suis pas ésotérique et je vulgarise de nombreuses découvertes scientifiques, dont la plupart ont moins de 30 ans, et peuvent inspirer la pratique du leadership… en entreprise et dans sa vie.

Les participants aux premières séances ont donné un feed-back très positif sur le contenu (presque trop dense), les anecdotes et l’approche décalée.

Il reste une séance ce jeudi 23 mai à 18h (heure de France) 12h (heure du Québec).

Voici le lien d’inscription : https://is.gd/Ydslag

Si vous cherchez à faire réfléchir vos équipes, peut-être que cette conférence est une idée moins saugrenue qu’il n’y parait, car elle a pour vocation de stimuler la curiosité, tout azimut.

Savez-vous que « vous êtes une merveille du monde » n’est pas une formule poétique, mais une vérité cosmologique ?Dans m...
05/20/2024

Savez-vous que « vous êtes une merveille du monde » n’est pas une formule poétique, mais une vérité cosmologique ?

Dans ma conférence, je raconte comment une participante à une marche initiatique que je guide dans le désert, a déposé des croyances mensongères pour les substituer par ce nouveau mantra : « je suis une merveille du monde » !

La conférence : vous pouvez y participer en ligne les 21, 22 ou 23 mai.

Lisez plutôt :

🌝 Savez-vous que vous êtes une merveille du monde ?�🌝 Savez-vous que vous pouvez devenir le leader responsable de votre vie ?
📆 Etes-vous disponible une heure le mardi 21 mai, mercredi 22 mai ou jeudi 23 mai ?

Je vais vous démontrer que vous êtes une merveille du monde et que vous pouvez devenir le leader responsable de votre vie.

J’ai créé une conférence éclectique qui va évoquer, dans un joyeux mélange des genres :

👉 l’épigénétique 👉 Tchernobyl 👉 les émotions 👉 les 3 responsabilités 👉 des anecdotes personnelles 👉 le biomimétisme 👉 la navette Challenger 👉 Sadat 👉 la neige 👉 mon oncle Paul 👉 l’autre loi de la Jungle 👉 les synapses 👉 les livres 👉 la transgression 👉 les courriels 👉 la marche 👉 croyances et injonctions 👉 les 4 ordres 👉 le vol des canards 👉 Gandhi 👉 le leadership 👉 et quelques autres facéties, dont 9 pistes, pour vous convaincre que « vous êtes une merveille du monde » et que vous pouvez « devenir le leader responsable de votre vie ».��

La participation à la conférence en ligne (une heure) est de 34€.��

Les dates prévues sont : �📆 mardi 21 mai à 14h (heure du Québec) soit 20h (heure de France), ou�📆 mercredi 22 mai à 8h30 (heure du Québec) soit 14h30 (heure de France), ou�📆 jeudi 23 mai à 12h (heure du Québec) soit 18h (heure de France)

Voici le lien de la page d’inscription à la conférence : https://is.gd/Ydslag��

Bienvenue… et faites passer le mot, merci.

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Montreal, QC

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