Bien Être NeuroAtypique

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Page crée par le Warlock Intervenant Neurodivergent

21/07/2025

C’est pas toujours des grandes décisions qui changent ta vie.

Des fois, c’est :
- répondre « je peux pas » au lieu de te forcer
- fermer ton ordi à 21h sans culpabiliser
- manger même si t’as pas « mérité »
-te donner une pause même si t’as rien coché sur ta to-do

C’est des mini-révolutions, à peine visibles.
Mais ton système nerveux, lui, les remarque.
Et il commence à croire que t’es de son bord.

Tu veux prendre soin de toi?
Commence petit.
Mais commence vrai.

Toi, c’est quoi ton mini-acte de self-respect cette semaine?

21/07/2025

Est-ce que ça t’arrive, toi aussi…
De voir une couleur quand tu lis un mot?
D’avoir une image abstraite (ou pas!) dans ta tête quand tu écoutes de la musique?

Pas une scène précise. Pas une mémoire.
Juste… une ambiance. Une texture. Une vibration visuelle.
Comme si ton cerveau peignait ce qu’il ressent, au lieu de juste l’entendre.

Moi, c’est tout le temps.
Il y a des chansons qui sont des nuages bleu et rose avec des ballons, d’autres qui sont oranges brûlés avec des bords flous et des rectangles noirs.
Des mots qui sont verts satinés, et d’autres qui ont des coins tranchants.

Toi, c’est quoi la couleur du mot “demain”?
Quelle tune à le plus beau visuel?

Dis-moi si ton cerveau te peint des choses étranges et belles, toi aussi.

J’ai passé une grosse partie de ma vie à me dire que j’étais juste paresseux ou irresponsable… parce que j’oubliais de m...
21/07/2025

J’ai passé une grosse partie de ma vie à me dire que j’étais juste paresseux ou irresponsable… parce que j’oubliais de manger.

Mais non. J’étais juste un cerveau TDAH en mode je suis dans ma bulle et j’ai pas remarqué que j’avais pas mangé depuis 7h.

Quand t’as de la misère avec l’interoception, quand t’as un focus hyper intense ou juste pas d’élan pour commencer à te faire à manger... ben ouais. Tu manges pas. P*s ça t’épuise encore plus. Cercle pas full winner.

Alors maintenant, j’essaie de garder des snacks visibles. J’me fais des rappels. Et je me donne pas de marde quand je réalise que je suis déjà à bout… parce que j’ai juste oublié de me nourrir.

Tu fais quoi, toi, pour penser à manger?

20/07/2025

Quand t’es pas encore guéri... mais plus souffrant comme avant
Y’a une zone floue dans le cheminement, un entre-deux bizarre.

T’as moins mal qu’avant.
Tu comprends mieux.
Tu réagis différemment.
Mais tu te sens pas encore bien non plus.

Comme un genou qui a fini de saigner… mais qui reste fragile.
Tu marches… mais tu boites encore un peu.

Et t’as l’impression que t’as pas le droit de dire que ça fait encore mal.
Parce que « voyons, t’as déjà tellement avancé! »

Mais avancer, ça efface pas la fatigue du chemin.
Ça guérit pas en ligne droite.
Et t’as pas besoin d’aller vite pour être sur la bonne voie. ❤

20/07/2025

C’est quand même fou quand on y pense.
Des professionnel·les formé·es pour aider les autres (des infirmier·ères, des TS, des intervenant·es) qui, encore aujourd’hui, vont tenir des propos qui invalident complètement l’expérience des personnes neurodivergentes.

On s’est tous déjà fait dire des affaires comme :
« Fais juste un petit effort. »
« Tu devrais être capable. »
« C’est pas si grave que ça. »
« T’as pas l’air autiste. »
« T’es juste stressé·e, pas TDAH. »
Ou le classique : « Prends pas ton diagnostic comme une excuse. »

Comme si notre vécu était moins valable que leur perception. Comme si leur petit cours de cégep ou de BAC leur donnait plus d’expertise que nous, qui vivons avec ça tous les jours.

Mais c’est pas juste insultant. C’est dangereux.
Ça crée de la honte. Ça augmente notre anxiété. Et ça brise la relation d’aide avant même qu’elle ait commencé.
Pire encore, ça fait qu’on ose moins demander de l’aide, même quand on en aurait vraiment besoin.

Un·e pro, ça devrait être une personne avec qui on se sent en sécurité.
Pas quelqu’un qu’on doit convaincre qu’on mérite d’être soutenu·e.

Si tu travailles en relation d’aide, c’est ta responsabilité de continuer à apprendre.
Pas juste dans les livres, mais en parlant aux personnes concernées. En écoutant. En t’ajustant.

Et si t’es ND, sache que t’as le droit de changer de professionnel.
T’as le droit de dire quand t’as été mal reçu·e.
T’as le droit de chercher mieux.
Parce qu’on mérite mieux. Vraiment.

Et pas juste en tant que neurodivergent.
Si tu ne te sens pas safe dans la relation avec ton intervenant·e, CHANGE.

Ça me brise le cœur, ce genre de vérité-là. Parce que c’est quelque chose qu’on voit trop souvent.Un enfant ne va pas ce...
20/07/2025

Ça me brise le cœur, ce genre de vérité-là. Parce que c’est quelque chose qu’on voit trop souvent.

Un enfant ne va pas cesser d’aimer son parent juste parce qu’iel est critiqué tout le temps. Au contraire, il va essayer encore plus fort de plaire, de corriger, de s’adapter. Il va croire que c’est lui le problème.

Mais ce qu’il perd, tranquillement, c’est l’amour qu’il avait pour lui-même.
Et ça, ça fait des ravages longtemps.

L’estime de soi, c’est pas un luxe. C’est un besoin fondamental.
Alors au lieu de chercher ce qui va pas chez ton enfant, remarque ce qui va bien.
Dis-le-lui. Montre-lui. Encourage-le. C’est ça, bâtir une relation.

Parce que oui, les mots restent. Et ce qu’on dit aux enfants devient la petite voix dans leur tête… pendant longtemps.

19/07/2025

On dit souvent qu’avant de faire du mal à quelqu’un, il faut cesser de le voir comme une personne.
C’est ce qu’on enseigne pour expliquer l’inexplicable : les horreurs de l’histoire, la cruauté envers les plus vulnérables, les abus, les violences.
On parle de déshumanisation de l’autre. Comme si c’était une condition préalable pour réussir à commettre l’impardonnable.
Et oui, cette idée est ancrée dans nos livres, nos récits, nos réflexions collectives.
Des humains ont été traités comme des objets, des enfants comme des fardeaux, des personnes marginalisées comme des anomalies à corriger.

Mais… et si ce n’était pas l’autre qu’on déshumanisait en premier?

Et si, pour devenir capable de rabaisser, de violenter, d’ignorer, il fallait surtout avoir coupé quelque chose en soi?

Parce que pour ressentir la douleur de l’autre, il faut être connecté. Présent. Ouvert.
Un être humain en santé, c’est un être humain qui perçoit. Qui ressent. Qui est touché.
Alors si on peut blesser sans trembler, écraser sans broncher, rabaisser sans hésiter…
Est-ce vraiment parce qu’on ne voit plus l’humanité en face de nous?
Ou est-ce parce qu’on a mis de côté la nôtre?

Et là, la question devient : qu’est-ce qu’on sacrifie en choisissant d’agir sans compassion?

Ce n’est pas seulement l’autre qu’on éloigne.
C’est une partie de nous qu’on éteint.

Chaque fois qu’on choisit le pouvoir au lieu du lien, la froideur au lieu de l’écoute, on se déconnecte un peu plus de ce qui nous rend humains.
Pas pour excuser.
Mais pour comprendre ce que coûte, intérieurement, la violence ou le mépris.

Ce qu’on inflige à l’extérieur a toujours un prix à l’intérieur.
Et peut-être qu’il est temps qu’on le nomme.

19/07/2025

J’étais parti faire une affaire. Tsé, une tâche simple, claire, j’avais une mission. P*s entre deux pièces, mon cerveau a pogné un détour. J’ai vu un verre qui traînait. J’me suis dit « juste ça, vite vite ». P*s là, comme dans un domino de side quests, j’ai rangé le verre, lancé une brassée, vidé un sac de vidanges... et soudain j’suis resté planté dans la cuisine.

P*s là, le vide.

Genre... j’étais venu ici pour quoi déjà?

Rien. Zéro souvenir. Comme si l’info avait jamais existé. J’ai même pas eu le temps d’oublier. Mon cerveau a juste supprimé la mission comme un fichier corrompu. Merci le TDAH.

C’est pas un manque de volonté. C’est juste un cerveau qui gère mal la file d’attente des tâches. Qui fait au mieux, mais qui droppe des morceaux en chemin.

Des fois j’me rappelle. Des fois non.
Mais anyway, j’sais que je suis pas le seul. P*s toi non plus.

T’es pas weird. T’es pas cassé.
T’as juste un cerveau qui va à sa manière.🤗

Se faire critiquer toute sa vie, ça use.À force d’entendre qu’on est trop lent, trop intense, pas assez motivé, pas comm...
19/07/2025

Se faire critiquer toute sa vie, ça use.
À force d’entendre qu’on est trop lent, trop intense, pas assez motivé, pas comme il faut… on finit par l’intégrer.
Ça gruge l’estime de soi, un commentaire à la fois. Et quand t’es neurodivergent, t’y échappes rarement.

Mais découvrir ton neurotype, ça change la game.
Pas parce que ça t’excuse de tout, mais parce que ça t’explique plein de choses.
Ça t’aide à reconnecter avec toi-même, à comprendre que t’es pas brisé, t’es juste câblé différemment.

Et une fois que tu sais ça, tu peux commencer à te libérer du regard des autres.
À te reconstruire avec bienveillance.
À te voir autrement que par le prisme de la performance et des jugements.
P*s ça, c’est le début d’un vrai apaisement.

18/07/2025

« L'ingratitude », c’est souvent un jugement, pas un fait.

Quelqu'un sur tiktok m'a répondu à un de mes vidéo : « Si je fais quelque chose pour quelqu’un et qu’il est ingrat, j’ai le droit de lui dire. »

Ouais. OK.
Mais c’est quoi, au juste, être ingrat?
Est-ce que c’est :
– ne pas t’avoir remercié comme tu voulais?
– ne pas avoir eu l’émotion que tu t’attendais?
– ne pas t’avoir rendu la pareille?
– ou juste ne pas avoir répondu à tes attentes silencieuses?

Parce que là, faut être honnête : Souvent, ce qu’on appelle « ingratitude », c’est juste quelqu’un qui n’a pas deviné ce qu’on voulait vivre en retour.
(En même temps.. c'est normal..)

On a fait quelque chose pour aider… mais avec des conditions pas nommées.
Et quand l’autre ne les remplit pas, on le traite d’ingrat.

Mais peut-être qu’il était en panique.
Peut-être qu’il n’a pas appris à exprimer sa reconnaissance.
Peut-être qu’il pensait l’avoir fait.
Peut-être qu’il t’a dit merci, mais pas de la façon que toi t’espérais.

Là où je veux en venir : Offrir quelque chose en attendant quelque chose en retour, c’est pas un don. C’est une transaction déguisée.

P*s si tu fais les choses pour avoir quelque chose, dis-le d’avance.
Sinon, fais-le par choix.
Et laisse l’autre vivre sa gratitude à sa manière... ou pas.
Parce que le respect, c’est aussi ça.

18/07/2025

Un jour, quelqu’un m’a dit que j’étais chanceux de pouvoir travailler juste le matin.
Et j’ai figé un peu.

Parce que… chanceux?

Non. J’ai pas gagné un tirage au sort de conditions de travail.
J’ai fait des choix. J’ai fait des sacrifices. Pendant et depuis des années!
J’ai dit non à des opportunités qui ne respectaient pas mes besoins.
J’ai bâti quelque chose qui me ressemble, un petit pas à la fois, en me plantant souvent.

C’est pas de la chance, c’est du travail.
Du recalibrage constant.
De l’angoisse à chaque virage.
Du monde qui me comprenaient pas, qui me disaient que je devrais juste “m’ajuster” comme tout le monde.
Mais j’ai tenu mon bout.

P*s aujourd’hui, je peux travailler que le matin, lors de ma "green zone".
Pas parce que j’ai eu de la chance.
Parce que j’ai appris à me choisir. Parce que OUI... c'est quelque chose qui s'apprend, de se choisir.

Le vidéo YOUTUBE de demain!!...T'es prêt.e?
18/07/2025

Le vidéo YOUTUBE de demain!!...

T'es prêt.e?

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