L’intervenant

L’intervenant Clinique psychosociale pour tous qui offre des suivis individuels et du matériel éducatif percutant. Éducateurs spécialisés et intervenants psychosociaux.

La fin d'année est bien arrivée et tout le monde pète sa coche à la maison? Tu aimerais comprendre mieux ce qui se passe...
05/22/2025

La fin d'année est bien arrivée et tout le monde pète sa coche à la maison? Tu aimerais comprendre mieux ce qui se passe pour ton ado et avoir 6 trucs pour t'aider à gérer le stress de fin d'année?

Voici un extrait de notre dernier texte, comme vous les aimez, en ligne sur notre blogue!

"On dirait que la fin d’année scolaire, c’est comme un mauvais film d’action : tout explose en même temps. P*s ton ado, ben c’est le personnage principal qui court avec un sac à dos trop lourd, une face de panique p*s une bombe à désamorcer en arrière-plan.

Trois travaux longs, deux expos oraux, un examen d’histoire, un prof qui crie plus qu’il enseigne, des hormones qui font swinguer l’humeur… et le monde entier qui semble lui rappeler, chaque jour, que là, c’est le temps de performer. De livrer. De prouver qu’il est « prêt ». Pour quoi, pour qui, comment? Il ne sait pas trop, mais faut qu’il le soit, performant."

L'équipe de L'intervenant qui vous souhaite une bonne fin d'année!

Continue la lecture ici : https://lintervenant.com/blogs/le-blog-1/relaxez-cest-la-fin-dannee

05/12/2025

L’équipe de L’intervenant supporte Minimo motivation et souhaite de tout cœur que cette vente réussira à protéger Minimo, afin que l’on ne perde pas une autre entreprise essentielle au bonheur et au sain fonctionnement des familles du Québec!

Allez faire le plein d’outils en grand nombre!

02/28/2025

Si tu as un ado, tu dois prendre 3 minutes de ton heure de dîner d’aujourd’hui pour regarder cette vidéo!

INTERVENANT(E)? Identifie ton amoureux ou ton amoureuse!Je suis désolée d’avoir tardé à vous publier votre contenu préfé...
01/22/2025

INTERVENANT(E)? Identifie ton amoureux ou ton amoureuse!

Je suis désolée d’avoir tardé à vous publier votre contenu préféré des 5 dernières années de L’intervenant, j’ai été terrassée par l’influenza!

Voici donc, le deuxième texte ayant marqué les débuts de L’intervenant. Un texte qui parlera à toutes les personnes ayant un(e) intervenant(e) dans leur vie.

Bonne (re)lecture…

Catherine, la blonde de L’intervenant, qui vous promet de beaux contenus nostalgiques et archives dans les prochaines semaines!

Ma vie avec un intervenant

Un intervenant, ça court tout le temps, cette affaire-là. Ça court pour ses jeunes, ses moins jeunes, ses collègues, ses stagiaires, p*s ça court après le temps!

Ça prend le temps.

Vivre avec un intervenant veut dire que tu apprends à ne plus « dire » les choses que tu ressens, mais bien à les « nommer ». Qu’en avoir plein le cul signifie « mettre ses limites ». Tu apprends aussi que les hypocrites ne parlent pas dans le dos des autres, ils font du « clivage ».

Bien qu’il soit dans ta vie, l’intervenant, et qu’il ne puisse être TON intervenant, tu t’apaises à ses côtés. Tu es toujours écoutée, comprise, « empowermentée ». T’as le droit d’être p*s d’exister. T’es en sécurité. Tu apprends à être plus forte. Meilleure. T’as pas le choix de faire un voyage intérieur. Parce qu’un chum intervenant, c’est sortir avec deux mecs (parfois 3 ou 4) à la fois.

« Arrête!!!!!! Je veux pas parler à l’intervenant! Je veux parler à mon amoureux!!! »

« Chéri? J’aimerais parler avec l’intervenant deux minutes, stp? »

« C’est avec lequel que je parle là? »

P*s t’as l’heure juste.

Mais attends là! Ta vie avec un intervenant, c’est chiant aussi des fois. Ça t’analyse, cette bébitte-là, p*s ça se plug sur tes émotions même quand tu veux pas! Ça te fait c***r avec ses questions qui te remettent en question, p*s des fois, t’as le goût de l’étrangler, ton intervenant-pas-à-toi!

Tu t’inquiètes aussi. Quand t’as pas de nouvelles et que tu sais qu’il est parti dans un milieu où ça brasse pas mal fort. T’sais, vraiment fort, avec du monde que t’aimerais pas croiser dans une ruelle, même en plein jour. T’as la chienne que ça arrive un jour. Que ça cogne à la porte.

Ah oui! Tu te fais réveiller aussi la nuit de Noël par un appel d’urgence d’une collègue quand ça pète solide dans la baraque. P*s tu te lèves avec lui, parce que t’es solidaire, p*s tu trouves ça beau de le voir aller.

Le téléphone sonne aussi quand t’es en week-end d’amoureux, une bière à la main tranquille dans l’vieux. Un jeune en psychose explose, et toi tu attends ta bière qui devient chaude parce que quelqu’un passe avant toi. P*s t’acceptes, tu te commandes une autre bière, p*s t’en profites pour regarder des vidéos de chats caves sur FB.

Des fois, t’as le cœur gros aussi. Parce que t’entends des histoires qui n’existent pas dans la vraie vie. T’sais, qui se passent juste dans la vie qu’on veut pas voir.

Ah oui, p*s tu t’attaches à du monde que t’as jamais vu. Ils font partie de ton quotidien. P*s tu finis par lui demander des nouvelles d’un tel ou d’une telle.

Tu célèbres les réussites de ses jeunes avec lui, quand il a les yeux pleins d’eau de fierté, parce qu’il les aime pour vrai, pas parce qu’il est payé.

Ma vie avec un intervenant est d’accepter de partager l’humain qu’il est avec des dizaines de personnes vulnérables. P*s ça fait plaisir, parce que tu sais qu’il peut les sortir de là.

Ma vie avec un intervenant, c’est aussi d’accepter que tout le monde l’aime, dont ton chum intervenant. Y’est parfait, lui, t’sais! Y’est intervenant! P*s tu comprends… tu comprends qu’il dégage de quoi à quoi peu ont accès dans la vie, p*s tu trouves ça beau!

C’est aussi de souper avec d’autres intervenants! P*s de les entendre parler de job continuellement. Mais t’écoutes parce que c’est vraiment hot, ce qu’ils ont à dire, ces gens-là, les super-héros des amochés. T’apprends à voir la vie autrement.

Ma vie avec un intervenant, c’est aussi vivre avec quelqu’un qui a tellement vu la misère du monde, qu’il est parfois difficile de le voir sourire pour rien. Mais tu continues à dire des conneries et, petit à petit, tu le vois sortir du lourd de la vie.

C’est aussi de devoir être confrontée à tes valeurs, parce que lui, y’ juge jamais. Rien. Personne. Il comprend. Y’ gosse des fois.

Ma vie avec un intervenant, c’est d’être une intervenante aussi. C’est d’être la personne sur qui il atterrit à minuit après le changement de shift. C’est être la personne qui console, qui écoute, qui valide, qui supporte, qui dort pas. C’est le serrer dans tes bras longtemps quand il a eu peur, p*s aussi quand y’en perd un. Qu’il est brisé.

C’est se réveiller en pleine nuit, toute seule dans le lit, et le retrouver à réfléchir sur la terrasse parce qu’il a eu un flash clinique, p*s que ça l’empêche de dormir.

C’est dealer avec son impuissance. Sa peine. Sa frustration. Sa peur. Son besoin d’évacuer le méchant. Son amour des autres. Son empathie inébranlable. Son intelligence émotionnelle déroutante. Sa force inexplicable. Sa capacité à sauver des vies avec les mots.

C’est de vivre avec la beauté de la misère humaine.

Un texte de Catherine Parent
Cofondatrice de L’intervenant

www.lintervenant.com

📷 Le bras droit de Pierre Ouellet, intervenant propriétaire de la clinique.

Pour débuter notre petit festival de nos 5 ans, on ne pouvait pas ne pas commencer par le texte qui nous a fait connaîtr...
01/08/2025

Pour débuter notre petit festival de nos 5 ans, on ne pouvait pas ne pas commencer par le texte qui nous a fait connaître à pareil date en 2020! 🎉

Celui qui nous aura apporté 5000 abonnés dès la première semaine de la création de L’intervenant. Celui qui aura été lu plus de 650 000 fois. Fou quand même!

Ce texte touchant écrit par Pierre, notre intervenant propriétaire, alors qu’il venait de faire le grand saut vers la pratique privée après de longues années à intervenir auprès d’adolescents et d’adultes à haut risque d’itinérance et de criminalité.

Pierre, toute ton équipe te dit merci. Merci pour ce texte, pour cette clinique, pour ton soutien, ton dévouement, pour être une aussi belle personne!

On t’aime!

Bonne lecture (ou relecture!)

Je suis intervenant

Je suis intervenant. Depuis 16 ans. Des fois avec des ados, d’autres fois avec des jeunes adultes, des fois avec des adultes. Garçons, filles, hommes, femmes, 14 à 66 ans. Je côtoie l'itinérance, la santé mentale, la criminalité.

Je jongle avec le système de la santé, des services sociaux, les prisons, la rue, les Dtox, les maisons d'hébergement, les familles. Je vois la violence conjugale, la drogue, la souffrance, la déchéance, la pharmacopée, l'isolement, les brisures de fonctionnement.

Techniquement, j'aide des gens à se défaire de leurs patterns en déployant une panoplie d'approches, de stratégies et de moyens d'intervention. Je conçois des plans d'intervention, j'écris des faits d'observations, je rédige des bilans de rencontres, je crée des outils cliniques et ce, dans le seul et unique but d'espérer que mon client/e adhère aux efforts que j'investis pour lui et par le fait même, s'en sorte.

Techniquement, j'établis un filet de sécurité afin de maximiser ses chances de réhabilitation, maximiser l'utilisation des ressources proposées, maximiser l'augmentation de l'estime de soi, maximiser les moyens dans "son coffre à outils" et ce, dans le seul et unique but qu'il s'autonomise à court-moyen-long terme.

Réalistement, je suis spectateur de la douleur, de l'impuissance, de la colère, de la désorganisation. Je suis la balance des choix commis par mon client/e, mais je ne peux jamais en comprendre la réelle pesée. Je suis l'outil instrumentalisé afin de rendre l'espoir possible. Mais je suis surtout le seul à croire aux milles et une tentatives d'un Être brisé, violenté, vulnérable, désespéré, perdu.

Je vois la poudre dans ses narines, ses jointures ensanglantées, son corps sali, ses yeux vident et son coeur meurtri. Je vois les larmes lorsqu'il se retrouve sans un sous le 1er du mois à midi, je vois la peur lorsqu'il attend son enfant pour la fin de semaine, je vois l'infériorité lorsqu'il se rend à son injection mensuel, mais surtout, je vois la tristesse dans son besoin de m'avoir à ses côtés.

Je l'avoue, des fois, je pleure. Des fois, je bois. Des fois, je crie. Des fois, je pousse de la fonte et des fois je cours plusieurs kilomètres. Ce n'est jamais assez. Parfois je fléchis les genoux, je m'enrage contre le système, j'écoute du Rise against ou du Bullet for my valentine, je suis maussade, je m'endors à 5h am. Mais la plupart des fois, j'accepte.

J'accepte que la misère existe, j'accepte que la dimension inter-générationnelle maintienne la vulnérabilité, j'accepte que le système soit conçu pour les adaptés. Je m'avoue vaincu quand je constate que mes choix ne sont pas les siens, quand mes motivations ne sont pas les siennes, quand ma vision n'est pas la bonne.

J'accepte aussi qu'il y a des gens qui ne s'en sortiront jamais, qu'il existe des blessures si profondes que mêmes les abysses n'y accèdent pas et surtout, j'accepte que la vie fasse ce qu'elle a à faire. Je m'avoue vaincu quand je constate que je ne peux trouver de solutions, quand j'ai épuisé mon bagage de connaissances, quand je me sens en envahi par des émotions qui ne sont pas les miennes.

Parfois, je me demande jusqu'où un Être humain peut continuer à souffrir. Comment peut-il faire pour encaisser tant d'échecs et ce, en pataugeant dans la grande misère?

Parfois, je me demande d'où vient cette force, cette résilience, ce courage lui permettant d'avancer, tête baissée, dans une vie sans mode d'emploi. Comment peut-il caresser, ou prier, l'espoir d'un avenir ponctué de réussites, ou tout au plus, de meilleurs?

Je vois la tristesse dans son besoin de m'avoir à ses côtés. Mais au travers cette tristesse, je vois aussi l'espoir dans ses yeux. Je comprends qu'avec moi, il jongle moins au travers le cirque de sa vie. Je comprends qu'avec moi, son mois sans un sou se passera sans être saoûl. Je comprends aussi qu'avec moi, sa fin de semaine avec son enfant est effrayante, mais sans violence, lorsqu'il entendra mes paroles avant de lever la main. Je comprends qu'avec moi, il va moins pleurer les jours suivants son injection mensuel.

Je comprends que le lien de confiance est à la base de toute relation saine et aidante. Être intervenant, c'est d'accepter le pouvoir du lien de confiance. Être intervenant, c'est d'accepter d'être en confiance. Être intervenant, c'est d'accepter d'être.

Je suis intervenant.

Un texte de Pierre Ouellet
Intervenant propriétaire, co-fondateur
et fournisseur IVAC

www.lintervenant.com

L’intervenant fête son 5e anniversaire aujourd’hui! 🎉Cinq ans déjà. Cinq ans à soutenir des centaines de familles, de te...
01/06/2025

L’intervenant fête son 5e anniversaire aujourd’hui! 🎉

Cinq ans déjà. Cinq ans à soutenir des centaines de familles, de textes, d’outils, d’affiches, de partages, de rires, de larmes p*s de moments vrais. Cinq ans à bâtir, avec toi, une communauté solide, humaine p*s tissée serrée.

Pour te remercier d’avoir fait de notre clinique psychosociale un succès, on te réserve un mois de janvier rempli de cadeaux. On va revisiter avec toi les textes que t’as le plus aimés, les affiches que t’as le plus téléchargées p*s les outils que t’as préférés!

On t’invite donc à célébrer cet anniversaire avec nous tout au long du mois de janvier! Reste à l’affût, parce qu’on te promet des surprises et plein de gratuités!

Merci d’être là depuis cinq ans. Merci de faire partie de cette aventure. On n'aurait jamais pu le faire sans vous!

L’intervenant Pierre et son équipe
https://lintervenant.com/pages/nous-joindre

La clinique est fermée du 20 décembre jusqu’au 6 janvier‼️L’équipe de L’intervenant prend une petite pause bien méritée ...
01/03/2025

La clinique est fermée du 20 décembre jusqu’au 6 janvier‼️

L’équipe de L’intervenant prend une petite pause bien méritée pour recharger les batteries, manger trop de tourtière p*s peut-être écouter The Holiday encore et encore.

On sera donc de retour le 6 janvier pour vous accueillir en suivi à la Clinique, répondre à vos demandes par courriel et pour vous outiller ici sur nos plateformes!

En attendant, un petit rappel important. Nous ne pouvons pas répondre à vos demandes de suivi ni à vos questions concernant votre situation via nos plateformes. La confidentialité, c’est sérieux pour nous et nous vous invitons à faire vos demandes directement via notre site web.

Pour toute urgence psychosociale, composez le 811 Info-Social. Si votre sécurité ou celle d’un proche est en jeu, ne prenez pas de risque : composez le 911 sans hésiter!

On a déjà hâte de vous retrouver!

https://lintervenant.com/pages/nous-joindre

Ne plus être le professeur RogueAVERTISSEMENT : Ce texte peut vraiment t’apporter un outil super utile pour t’aider à pa...
01/01/2025

Ne plus être le professeur Rogue

AVERTISSEMENT : Ce texte peut vraiment t’apporter un outil super utile pour t’aider à passer au travers 2025.

Bon. On est le 1er janvier, p*s t’es peut-être en mou, les cheveux fripés, avec un restant de mimosa tiède à la main p*s une envie pressante de scroller TikTok jusqu’à ce que ton cerveau se transforme en compote.

Mais avant de sombrer en mode pilote automatique avant ton souper du Jour de l'an, je voulais te remercier. Te remercier de nous avoir suivis pendant tout ce dernier mois. Merci de nous avoir partagés aussi. Notre communauté s'agrandit grâce à toi et plus notre communauté est grande, plus on a les moyens de te créer de beaux projets comme celui-ci.

Alors voilà, on va te parler de gratitude!

Mais pas de la gratitude ésotérique où on s’imagine entouré de cristaux p*s d’encens avec un mantra écrit en cursive dorée. Non. On parle de gratitude brute. Comme un outil, comme une clé anglaise que tu utilises pour visser une planche qui branle dans ton cerveau.

Parce que t’sais quoi? Ton cerveau est un vrai professeur Rogue. Il est programmé pour remarquer le négatif avant le positif. C’est pas toi le problème, c’est la biologie. Dans le temps des cavernes, remarquer les baies empoisonnées p*s le tigre à dents de sabre, c’était pas mal plus utile que de s’extasier devant un joli coucher de soleil.

Résultat : aujourd’hui, une mauvaise critique au travail ou un regard de travers dans l’allée des surgelés au IGA prend trois fois plus de place dans ta tête qu’un compliment sincère.

En psychologie positive, on dit que pour chaque pensée négative, il te faut trois pensées positives pour rétablir l’équilibre. Trois belles affaires pour contrebalancer une seule menterie de ton cerveau Serpentard. P*s en couple? C’est cinq contre une. Faut croire que l’amour est un sport olympique.

Fait que là, c’est le moment. Même si 2024 a été une année de marde. Même si t’as l’impression qu’elle t’a pris par le collet pour te traîner dans le sable boueux d’un terrain vague. Même si elle t’a fait vivre des montagnes russes sans harnais de sécurité. Là, tout de suite, arrête-toi un instant.

Respire. Prends une feuille, un coin de napkin, l’application Notes de ton téléphone ou juste ton cerveau si t’as encore assez de batterie mentale, p*s pense à trois belles affaires que t’as vécues cette année. Ça peut être grandiose, comme un voyage inoubliable ou une victoire personnelle que t’avais même pas osé rêver. Mais ça peut aussi être petit, doux, discret : un fou rire avec un ami, une soirée sous une couverture avec le bon film p*s le bon snack, ou juste une journée où t’as réussi à sortir du lit alors que tout pesait trop lourd.

Ces moments-là, garde-les près de toi. Parce qu’ils comptent. Parce qu’ils existent. P*s parce qu’ils sont les meilleures armes pour contrer les discours toxiques de ton cerveau.

P*s fait ça TOUS LES JOURS, essayer d’amener ton cerveau à avoir plus l’attention sur le positif que le négatif. C’est vraiment pas toujours facile par contre et non ça ne règle pas tout, mais c’est un super bel outil pour quand tout va mal dans ta vie!

La gratitude, c’est pas nier que ça va mal. C’est pas dire que tout est beau p*s magique alors que ça sent encore le brûlé quelque part dans ta vie. C’est juste rétablir une balance. Allumer une petite lumière dans la pièce sombre.

Alors, avant de plonger tête première dans 2025, prends ce moment pour ajuster le tir. Pour dire merci aux petites et grandes affaires qui t’ont aidé à garder la tête hors de l’eau cette année. Parce qu’au final, c’est avec ces petites bouées-là qu’on traverse les tempêtes.

P*s si jamais ton cerveau recommence à faire des siennes cette année, rappelle-toi : trois contre une. Cinq contre une en couple. Et un soupçon de magie à la Harry Potter pour pimenter le tout.

Bonne année 2025, gang! On vous souhaite des moments doux, des moments vrais, p*s assez de gratitude pour calmer même le plus aigri des cerveaux Serpentard!

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Catherine qui te remercie d’avoir lu ses 25 557 mots.

La clinique est fermée du 20 décembre jusqu’au 6 janvier‼️L’équipe de L’intervenant prend une petite pause bien méritée ...
12/26/2024

La clinique est fermée du 20 décembre jusqu’au 6 janvier‼️

L’équipe de L’intervenant prend une petite pause bien méritée pour recharger les batteries, manger trop de tourtière p*s peut-être écouter Maman, j’ai raté l’avion pour la 437e fois.

On sera donc de retour le 6 janvier pour vous accueillir en suivi à la Clinique, répondre à vos demandes par courriel et pour vous outiller ici sur nos plateformes!

En attendant, un petit rappel important. Nous ne pouvons pas répondre à vos demandes de suivi ni à vos questions concernant votre situation via nos plateformes. La confidentialité, c’est sérieux pour nous et nous vous invitons à faire vos demandes directement via notre site web.

Pour toute urgence psychosociale, composez le 811 Info-Social. Si votre sécurité ou celle d’un proche est en jeu, ne prenez pas de risque : composez le 911 sans hésiter!

Prenez soin de vous. Respirez. Reposez-vous. P*s on se revoit en 2025, prêts à attaquer une nouvelle année ensemble!

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Souhaiter Joyeux Noël! 🎁P*s voilà. Déjà la dernière petite porte de notre calendrier de l’avent a été ouverte hier. On d...
12/25/2024

Souhaiter Joyeux Noël! 🎁

P*s voilà. Déjà la dernière petite porte de notre calendrier de l’avent a été ouverte hier. On dirait presque la fin d’une série Netflix qu’on a binge-watchée trop vite, p*s qu’on voudrait étirer encore un peu, juste pour pas dire au revoir.

Depuis le 1er décembre, t’as été là. Jour après jour. Texte après texte. À lire, à rire, à pleurer un peu aussi, peut-être. P*s ça, ça vaut de l’or. Parce que L’intervenant ici sur les réseaux sociaux c’est pas juste une page, c’est une gang. Une communauté. Une famille un peu tissée serrée, même si on se connaît pas tous personnellement.

Dans quelques jours, L’intervenant fêtera ses 5 ans. Cinq années d’histoires, de partages, d’authenticité, p*s de cette espèce de magie étrange qui se passe quand des humains se connectent à travers des mots. P*s laisse-moi te dire qu’on te réserve des trucs vraiment cool pour célébrer ça ensemble.

Mais avant de tourner la page de cette année, on t’invite à une dernière rencontre. Une dernière porte à ouvrir. Le 1er janvier 2025, à 9h pile, y’aura un ultime texte pour bien commencer l’année, mais surtout pour te dire merci.

Une petite douceur, un moment suspendu, entre la gu**le de bois p*s les résolutions trop ambitieuses.

N’oublie pas que la clinique va demeurer fermée jusqu’au 6 janvier, parce que nous aussi on a besoin de se déposer, pour mieux vous aider! Mais tu peux quand même nous écrire pour être dans les premières personnes à obtenir une place au retour!

D’ici là, profite de chaque bouchée de tourtière, de chaque câlin trop serré, p*s de chaque moment doux sous une doudou qui pique un peu.

De toute l’équipe de L’intervenant, un immense merci. Merci d’être là. Merci de nous lire. Merci d’être, tout simplement.

Alors de notre gang à la vôtre, Joyeux Noël. Vraiment. De tout cœur. 🎄✨

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Tracer la Grande Ourse ✨AVERTISSEMENT : Ce dernier texte est confrontant, mais doux. Il est dédié à tous les grands-pare...
12/24/2024

Tracer la Grande Ourse ✨

AVERTISSEMENT : Ce dernier texte est confrontant, mais doux. Il est dédié à tous les grands-parents aimants, mais aussi à ceux qui aimeraient pouvoir créer plus souvent des étoiles.

AVERTISSEMENT 2 : Ce texte traite de personnes qui ont un éloignement et des conflits surmontables. Il ne s'applique évidemment à aucune situation de violence, sous toutes ses formes.

« À quand les vieux qui poussent dans les jardins d'enfants? Et qui tracent la Grande Ourse devant des yeux grands. »

Ingrid Saint-Pierre a mis les mots justes sur une vérité qui brille plus fort que toutes les étoiles de la Grande Ourse : les grands-parents, ce sont des joailliers. Des artisans du cœur. Ils sculptent doucement, patiemment, des souvenirs indélébiles dans le cœur des petits-enfants, avec leurs histoires qui sentent le sucre à la crème, leurs genoux qui grincent quand ils se penchent pour ramasser un jouet, p*s leurs rires qui résonnent comme une vieille chanson qu’on connaît par cœur.

Les grands-parents, ce sont des archives vivantes. Ils ont un coffre-fort rempli d’anecdotes, de leçons de vie p*s de secrets de famille qu’on entend d’une oreille distraite quand on est petit, mais qui deviennent précieux quand on grandit. Ils tracent des constellations avec leurs doigts usés, p*s ils laissent derrière eux un héritage bien plus riche qu’une maison ou un compte en banque : ils laissent de l’amour brut, de l’amour pur, celui qui ne se calcule pas.

Un enfant qui a la chance d’avoir ses grands-parents dans sa vie, c’est un enfant qui grandit avec une boussole intérieure. Une boussole qui pointe toujours vers une cabane dans les bois, une recette secrète de biscuits, un jardin rempli de légumes croches mais délicieux, ou une vieille boîte remplie de photos jaunies.

Les grands-parents, c’est aussi la permission d’être petit pour vrai. Avec eux, pas de course f***e contre le temps, pas de routines serrées comme une paire de jeans trop petite. Juste le luxe de respirer, de jouer, de rire, de poser cent fois la même question sans jamais sentir qu’on dérange.

Un enfant qui grandit avec des grands-parents présents grandit avec une sécurité intérieure unique. Parce que chez papi et mamie, il y a une porte qui ne se ferme jamais, des bras qui sont toujours ouverts, et un regard qui dit : « Tu es parfait, exactement comme tu es. »

Cette stabilité, ce filet de sécurité affectif, ça construit un attachement solide, une confiance en soi qui pousse doucement, mais sûrement. Un enfant qui a un grand-parent qui croit en lui apprend à croire en lui-même. Il apprend qu’il a de la valeur, qu’il est aimé pour ce qu’il est, pas juste pour ce qu’il fait. Les grands-parents, ce sont souvent les premiers à dire : « C’est pas grave si t’as échoué, viens ici, on va le refaire ensemble. » P*s ça, ça reste gravé pour toujours.

Et pourtant, combien d’enfants se font priver de ce trésor? Combien de fois les conflits d’adultes dressent des murs invisibles entre les petits-enfants et leurs grands-parents? Des histoires de chicanes trop anciennes, de rancunes trop tenaces, de blessures jamais refermées. Mais au bout du compte, qui perd dans cette guerre froide?

Pas les adultes. Pas vraiment. Ce sont les enfants. Ceux qui auraient eu besoin de ces bras vieillissants mais solides, de ces voix qui racontent des histoires en ajoutant toujours un petit « chut, c’est un secret entre nous ».

Attention, il y a des exceptions. Parce que oui, il existe des grands-parents toxiques, nuisibles, dangereux même. Des grands-parents dont la présence fait plus de mal que de bien. Et là, évidemment, la distance est non seulement justifiable, mais nécessaire.

Mais à moins que ce soit le cas, à moins que vos enfants soient réellement en danger, rien ne justifie de les priver de cette relation-là. Rien.

Parce qu’un grand-parent, ça ne remplace pas un parent. Ça ne prend pas la même place. Ça en prend une autre, unique, précieuse, irremplaçable. Une place entre le banc du parc et la chaise berçante, entre la rigueur et la tendresse, entre les histoires inventées et les leçons bien réelles.

Les grands-parents, c’est une porte secrète vers une autre époque. Une époque où les étés sentaient la crème glacée et la citronnelle, où les après-midis s’étiraient jusqu’au coucher du soleil, p*s où chaque histoire finissait par un « quand j’avais ton âge… ».

Et si, toi, en tant que parent, t’as des croûtes encore mal cicatrisées avec tes parents ou tes beaux-parents, c’est correct. C’est humain. Mais respire un coup. Parce que les enfants, eux, ils n’ont pas ces blessures-là. Ils n’ont pas ces bagages-là. Pour eux, mamie p*s papi, c’est juste mamie p*s papi. C’est juste la maison qui sent la tarte aux pommes, les cadeaux un peu trop gros à Noël, p*s la voix qui murmure : « Viens, je vais te montrer quelque chose que tes parents ne veulent pas que je te montre. »

Alors, si c’est possible, fais un pas. Juste un petit pas. Laisse la porte entrebâillée. Parce que cette relation-là, c’est pas juste un bonus. C’est une fondation. C’est un baume. C’est une lumière douce qui reste allumée même quand tout le reste devient flou.

Et pour les grands-parents qui sont déjà là, qui s’investissent, qui tracent des étoiles dans les yeux de leurs petits-enfants : merci. Merci d’être des phares. Merci d’être des joailliers. Merci d’être là.

Parce qu’un enfant qui grandit avec un grand-parent à ses côtés, c’est un enfant qui aura toujours, quelque part au fond de lui, une petite voix qui dit : « Tout va bien aller, je suis là. »

P*s ça, ça vaut plus que tout l’or du monde.

Et si tu ne sais plus comment revenir et reconstruire les ponts, contacte-nous.
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Catherine et les intervenants joailliers qui vous souhaitent un réveillon rempli d’étoiles

🎄On espère vraiment qu’on t’a créé un beau mois de décembre et que notre calendrier de l’avent vous aura fait du bien. RENDEZ-VOUS le 1er Janvier 2025, pour un dernier texte improvisé, écrit à la dernière minute, pour vous dire Merci d’avoir été là, tous les jours à nous lire et nous partager depuis le 1er décembre!

Être comme HatchiAVERTISSEMENT : Texte confrontant, mais plein d’amour pour vous les parents qui faites de votre mieux t...
12/23/2024

Être comme Hatchi

AVERTISSEMENT : Texte confrontant, mais plein d’amour pour vous les parents qui faites de votre mieux tous les jours.

Être parent, c’est vouloir être le gardien ultime, le bouclier infaillible entre son enfant et les douleurs du monde. C’est vouloir tendre les bras à chaque chute, absorber chaque peine d’amour, bloquer chaque insulte avant qu’elle ne touche son cœur fragile. Mais la vérité, c’est qu’on ne peut pas. On ne peut pas être le goaler de chaque partie, ni effacer chaque tempête qui se lève à l’horizon.

Il y a un paradoxe cruel dans ce rôle : plus on essaie de tout prévenir, de tout contrôler, plus on risque de transmettre nos propres peurs, nos propres angoisses. L’enfant qui voit son parent vibrer d’inquiétude finit par croire que le monde est un endroit dangereux, que chaque coin de rue cache une embuscade, et qu’il n’est peut-être pas assez solide pour y faire face seul.

C’est là que se joue une des plus grandes leçons de la parentalité : accepter de ne pas pouvoir tout réparer, tout prévenir, tout amortir. Accepter que parfois, l’enfant doit tomber, pleurer, vivre l’échec, ressentir l’injustice et se relever par lui-même. Non pas parce qu’on est indifférent à sa douleur, mais parce qu’on croit profondément en sa capacité de la traverser.

T’sais le stress parental est une bête sournoise. Il s’infiltre dans les silences, dans les regards trop appuyés, dans les phrases lancées d’une voix tremblante. « Fais attention! », « Es-tu sûr que t'es capable? », « Je vais le faire à ta place. » Chaque petit geste de contrôle peut se transformer en un poids invisible sur les épaules d’un enfant. Et ce poids-là, il grandit avec lui.

La ligne est mince entre soutenir et surprotéger. Entre encourager et diriger. Entre être un guide et devenir un filet de sécurité permanent. Un enfant a besoin de savoir qu’il peut tomber, mais surtout qu’il est capable de se relever. Qu’il peut échouer, mais aussi essayer encore.

Le rôle du parent, ce n’est pas d’effacer les vagues, mais d’apprendre à son enfant à surfer. Et surfer, ça vient avec son lot de gorgées d’eau salée, de moments où les genoux râpent contre le fond marin, où le souffle manque pendant quelques secondes. Mais chaque chute enseigne quelque chose. Chaque difficulté bâtit une ressource intérieure, un petit coach invisible qui vit quelque part entre le ventre et le cœur, et qui murmure : « Tu vas y arriver. »

Et pourtant, le parent reste là (Comme Hatchi, t’sais!). Jamais trop loin. Parfois en retrait, pour laisser l’enfant avancer à son propre rythme. Parfois en avant, pour ouvrir un chemin quand la route est trop dense. Mais surtout, jamais collé contre lui, parce que trop de proximité enlève à l’enfant la chance de sentir qu’il peut y arriver seul.

Les émotions difficiles font partie du jeu : la peine, l’anxiété, l’impuissance. Elles ne sont pas des échecs, elles ne sont pas des preuves d’incapacité. Elles sont des enseignants brutaux, mais nécessaires. Le but n’est pas de les éradiquer, mais d’apprendre à les traverser, à les nommer, à les ressentir sans en avoir honte.

Il y a cette image du roseau, celle de la fable de La Fontaine que ma mère me rappelait toujours. Le roseau plie, danse sous les bourrasques, parfois se couche complètement, mais il ne casse pas. C’est ça, l’objectif : apprendre à plier sans se briser. Apprendre à valser avec les intempéries de la vie, même si, parfois, on a l’air d’un « Air dancer » un peu dessoufflé au coin d’un stationnement.

L’autonomie émotionnelle, la résilience, ce sont des cadeaux qui se construisent. Pas en empêchant les tempêtes, mais en restant présent pendant qu’elles passent. En validant les émotions au lieu de les minimiser. En laissant la place pour les larmes, pour les doutes, pour les silences aussi.

Et parfois, la seule chose qu’il reste à faire, c’est de respirer, de se rappeler que ce n’est pas notre match, mais le leur. Qu’on ne peut pas jouer à leur place, mais qu’on peut rester sur le banc, les yeux pleins de confiance, prêts à tendre la main s’ils en ont besoin.

C’est un équilibre fragile entre le lâcher-prise p*s la présence. Entre l’instinct protecteur et la foi en leurs capacités. Mais c’est aussi ça, aimer inconditionnellement : accepter de laisser son enfant avoir mal, tout en restant assez près pour lui murmurer : « Ça va aller. Je suis là. Et je sais que tu vas y arriver. »

Parce qu’au bout du compte, la meilleure chose qu’un parent puisse transmettre, ce n’est pas une vie sans douleur, mais les outils pour y faire face. Une chanson à écouter les jours gris, un petit coach intérieur qui prend la relève quand la voix du parent devient trop lointaine, et une confiance solide, enracinée, qui murmure : « Peu importe ce qui arrive, tu vas être correct. »

Et si t’es vraiment incapable de le laisser se planter, contacte-nous!

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Catherine et les air dancers de la clinique

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