Comité des Orphelins et Orphelines de Duplessis Victimes d'Abus CODVA

Comité des Orphelins et Orphelines de Duplessis Victimes d'Abus CODVA Défense des droits

Demande principale : programme de guérison pour les Orphelins et Orphelines de Duplessis Comité des Ophelin(e)s de Duplessis Victimes d'Abus

11/06/2022
04/15/2016

L’omerta brisée Pablo Pillaud-Vivien14 Avril 2016 Tweet pédophilie, Histoire, Victimes Actualité HISTOIRE. À partir des années 1980, les victimes ont commencé à parler et surtout à être entendues. Petit tour du monde, hélas non exhaustif. Les affaires de pédocriminalité dans l’Église ont commencé à…

04/06/2016
Triste vérité sur la majeure partie des pédophiles.
04/03/2016

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03/22/2016

AGRESSIONS SEXUELLES: 3 SUR 1000 SE SOLDENT PAR UNE CONDAMNATION. POURQUOI ?

Voici un article de Mathilde Roy tiré de L'Actualité:

" À quelle étape du processus judiciaire le système laisse-t-il tomber les victimes d'agression sexuelle?

Jian Ghomeshi a toutes les raisons de croire qu'il sera acquitté à son procès pour agressions sexuelles. Nombreux sont les avocats qui prédisent un tel verdict, comme ceux consultés par Toronto Life ou par nos collègues de Maclean's.

Mais inutile d'être un expert du droit pour en arriver à cette conclusion. Les données sur les agressions sexuelles parlent d'elles-mêmes.

En analysant froidement l'Enquête sociale générale sur la victimisation menée par Statistique Canada, on constate qu'un abîme sépare le nombre d'agressions sexuelles et le nombre de condamnations liées à ce crime.

En 2014, 633 000 agressions sexuelles ont été déclarées par les Canadiens de 15 ans et plus. De ce nombre, à peine 1 814 ont mené à une condamnation. On répète: 1 814, dont la majorité se fonderait sur un plaidoyer de non-culpabilité.

Ces données confirment la croyance qui veut que les agressions sexuelles sont difficiles à prouver «hors de tout doute raisonnable». Dans de nombreux cas, c'est la parole de la plaignante contre celle de l'accusé, dit-on. Aucun témoin ne peut corroborer les faits.

Résultat: la Couronne abandonne plus fréquemment les poursuites pour agressions sexuelles que toute autre infraction au Code criminel (41 % contre 37 %). Le taux d'acquittement pour agression sexuelle (9 %) est en outre deux fois plus élevé que les autres crimes (4 %).

Une injustice qui fait dire à Blair Crew, professeur à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, qu'il est plus probable qu'un accusé d'agression sexuelle soit acquitté lorsqu'il plaide non-coupable. «La défense pour agression sexuelle permet de questionner le consentement de la victime, ce qui n'est tout simplement pas disponible ou avancé dans n'importe quel autre cas. Lorsqu'une personne signale le vol de son auto, personne ne lui demande si c'est elle qui s'est débarrassé de sa voiture ou ce qu'elle portait lorsque l'auto a été volée», compare le professeur spécialisé en droit pénal et dans les cas d'agressions sexuelles.

Que se passe-t-il donc entre l'agression présumée et le verdict pour en arriver à un taux de culpabilité aussi faible? À quelle étape les victimes sont-elles évacuées du processus judiciaire, et pour quelles raisons?

Reprenons. 633 000 agressions sexuelles ont été déclarées en 2014, comme l'illustre la pyramide ci-haut. Fait intéressant: l'agression sexuelle -- dont la très grande majorité des victimes sont des femmes -- est le seul crime violent dont le taux n'a pas diminué depuis 1999. En 15 ans, homicides, tentatives de meurtre, voies de fait, menaces et vols qualifiés ont tous reculé. Les agressions sexuelles, elles, sont restées relativement stables.
Le bât blesse particulièrement au moment de déposer une plainte. Sur ces 633 000 agressions sexuelles, à peine 20 735 incidents ont été rapportés à la police, soit une agression sexuelle sur 20. Il s'agit du crime le moins susceptible d'être signalé à la police. Pourquoi? L'enquête de Statistique Canada révèle que les victimes ont peu confiance envers le système de justice: 43 % estimaient que la police n'aurait pas jugé l'incident assez important, 26 % croyaient que la police n'aurait pas été assez efficace et 40 % déclaraient que le contrevenant n'aurait pas été puni de façon adéquate.

Le fait que les femmes connaissent souvent leur agresseur explique aussi leur silence. Par exemple, bon nombre de victimes considéraient qu'il s'agissait d'une affaire personnelle (67 %), ne voulaient pas que le contrevenant ait des démêlés avec la justice (30 %) ou avaient peur de représailles de la part de celui-ci (22 %).
Arrive l'étape la plus problématique du processus judiciaire, selon le professeur Blair Crew: les agressions sexuelles déclarées par la police. Toujours en 2014, 12 663 incidents ont été enregistrés comme un crime par le service policier. Autrement dit, 40 % des plaintes n'ont pas été retenues par la police.

Qu'advient-il des 8 072 autres plaintes? En se fiant sur ses études menées en Ontario, M. Crew soutient que «dans beaucoup de cas, la police ne croit pas les plaignantes». Autres raisons: les présumées victimes ne veulent qu'aucune accusation ne soit déposée ou elles ne peuvent identifier leur agresseur. Dans d'autres cas, les plaignantes souhaitent déposer une accusation, mais ne veulent pas aller de l'avant avec la poursuite.

De fait, des 12 663 incidents d'agression sexuelle déclarés par la police, à peine 9 088 atterrissent entre les mains de la Couronne (le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) au Québec). Ce dernier doit s'assurer que la preuve est suffisante pour aller de l'avant avec une poursuite judiciaire.

Au final, environ le tiers (3 752) des cas sont portés devant les tribunaux (pour adultes et de la jeunesse). Statistique Canada ne comptabilise pas le nombre d'accusés qui plaident coupables lors de leur comparution. Mais en se fiant sur des échantillons juridiques plus petits, Blair Crew estime qu'environ le tiers des accusés plaident coupables. «C'est probablement les cas où la preuve est accablante», dit-il.

Sur les 3 752 accusations, à peine la moitié (48 %) se soldent par un verdict de culpabilité. À titre de comparaison, le taux de verdict de condamnation dans les tribunaux canadiens pour adultes est de 53 % pour les homicides, 52 % pour les menaces et 59 % pour les vols qualifiés.

On remarque qu'en Alberta et en Ontario, le taux de condamnation pour agression sexuelle (38 %) est plus faible que la moyenne nationale. À l'inverse, les accusés sont plus susceptibles d'être trouvés coupables en Saskatchewan (67 %) et au Québec (65 %).
Selon Blair Crew, les pratiques policières et les politiques de la Couronne, qui diffèrent d'une région à l'autre, pourraient expliquer ces variations. Une autre raison plausible: la tendance d'une province comme le Québec à moins inculper les présumés agresseurs sur son territoire. Au Canada, le trois quart des agressions sexuelles enregistrées par la police sont traitées par la Couronne contre la moitié des cas au Québec."

Une image vaut mille mots...
03/21/2016

Une image vaut mille mots...

"Quand je vais à la messe je serre les fesses"
Dessin de Luz (Rénald Luzier)

➡ Pour (re)voir l'émission d'hier en intégralité : http://www.canalplus.fr/groland

les leçons du passé ne sont pas retenues.Les mêmes erreurs qu'en 1954, les victimes encore abandonnées !
03/18/2016

les leçons du passé ne sont pas retenues.
Les mêmes erreurs qu'en 1954, les victimes encore abandonnées !

Le ministère de la Justice a utilisé la quasi-totalité du surplus du Fonds d'aide aux victimes...

03/12/2016

Avis aux médias

Manifestation - Le 18 mars 2016 de 10 h 00 à midi - Hôpital Rivières-des-Prairies 7070, boul. Perras, Montréal

MONTRÉAL, le 10 mars 2016 /CNW Telbec/ - Journée commémorative du 18 mars 1955 concernant les orphelins de Duplessis. Avant le 18 mars, tous les enfants hébergés au Mont-Providence étaient des orphelins. Du jour au lendemain, ces enfants ont reçu de faux diagnostics de débilité mentale, leur faisant perdre tous leurs droits. Ils ont alors été enfermés par suite du décret 816 dans lequel il était indiqué qu'ils étaient devenus très dangereux.

Les orphelins n'ont jamais été indemnisés convenablement à leur juste valeur.
Les gouvernements sont au banc des accusés et ont manipulé ces dossiers.
Les quatre responsables ont sacrifié ces enfants démunis, victimes d'un complot planifié par des gens sans scrupules qui ont réussi à les faire taire et à les dépouiller de leur dignité.

Ottawa avait promis de rendre la dignité à ces victimes, mais aucune action n'a été menée. La Commission du droit du Canada : La dignité retrouvée - La réparation des sévices infligés aux enfants dans les établissements canadiens.

SOURCE Comité des Orphelins (es) de Duplessis

02/23/2016

Le Québec est la seule province au Canada où une victime d'agression sexuelle ne peut pas intenter de poursuite au civil contre son agresseur, peu importe le temps écoulé depuis que l'acte a été commis. Malgré plusieurs appels faits aux instances politiques, et ce, depuis plusieurs années, rien ne s…

01/19/2016

Le Sénateur Pierre-Hugues Boisvenu déplore l'intervention sélective de la Ministre Mélanie Joly auprès de son ministère, laissant la chaîne d’Intérêt public ...

01/19/2016

L'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité se bat pour cette loi !

01/18/2016

L'honorable Jody Wilson-Raybould, ministre de la Justice et procureur général du Canada, accompagnée de l'honorable Jane Philpott, ministre de la Santé, a aujourd'hui rendu public le rapport final du Comité externe sur les options de réponse législati…

01/15/2016

Des groupes de soutien sur 12 semaines débuteront fin janvier. Pour toute information ou pour prévoir une entrevue, contactez-nous au 514-523-3596 poste 1.

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