Avant d’être thérapeute, j’étais chercheur en sociologie pour le siège social de l’Université du Québec. Je m’intéressais beaucoup à la santé, et j’étais très curieux par rapport aux techniques d’entrainement et de thérapies utilisées par les athlètes olympiques.
Autour de moi, j’avais plein de monde qui avaient des douleurs que personne ne pouvaient soigner. En même temps, les meilleurs athlètes du monde étaient capable d’éviter de grosses chirurgies en se servant de techniques de thérapies à la fine pointe des connaissances dans ce domaine. Je comprenais pas pourquoi c’était pas accessible au gens.
Et pour être honnête, j’étais vraiment passionné par la santé et l’entrainement. Un beau jour, j’ai vu que Charles Poliquin donnait un séminaire à Québec. Tu ne le connais surement pas, mais c’est un préparateur physique légendaire. Et oui, un Québécois qui a entrainé des médaillés olympiques dans 22 sports différents. Avec des athlètes pro dans plusieurs sports aussi.
Ce gars avait trop de succès. J’avais pas le choix d’aller le voir.
Alors je suis arrivé au cours, à travers la clique des entraineurs de la province. Je devais pas trop “fitter” dans le décor, mais j’étais trop curieux.
Je peux te dire que cette rencontre là a changé ma vie. Je suis devenu son traducteur officiel. Il m’a donc donné pour 15 000$ de formations en échanges de traductions de manuels de ces cours.
C’est pas la genre de choses qui arrivent souvent dans une vie. C’était un signe...
Ça m’a donné la chance d’aller à son gym au Rhodes Island. C’est là qu’il entrainait ses athlètes professionnels et olympiques.
Là-bas, j’ai rapidement entendu parler des techniques de thérapies qu’ils utilisaient pour remettre sur pieds rapidement leur athlètes. Ça m’intriguait beaucoup. Pourquoi est-ce que les thérapeutes du Québec se servent pas de ces techniques-là ?
À ce moment, Charles m’a montré deux choses qui m’ont vraiment marqué.
Il m’a dit: “Jonathan, oublies jamais que la recherche scientifique est au moins 20 ans en arrière sur ce qui se fait chez les meilleurs au mondes.”
Ça faisait du sens. C’est long faire des bonnes études, et ça en prend plusieurs pour être sûr que ça marche.
Charles:”Içi on s’entraine comme des fous pendant 4 ans pour gagner des centièmes de secondes aux Olympiques. Si on voit qu’une techniques marche, on s’en sert. On a pas le temps d’attendre que les études soient faite. Sinon on perdrait 4 cycles olympiques à trainer de la patte”
Wow. Là je commençais à comprendre pourquoi ce gars-là est le meilleur au monde. J’étais d’accord avec lui; j’aime mieux essayer d’avoir du résultats tout de suite, que de passer des heures à débattre sur des études.
Il m’a aussi montré une autre chose qui à changé ma vision des choses.
Charles:”Tout les thérapeutes regardent le corps humain à travers une paille”.
Chaque type de thérapie à sa perspective valide du corps humain, tout en ayant tendance à ignorer celle des autres.
L’idée de Charles, c’est que le corps est une machine qui est compliquée. Et que si on veut réellement comprendre ce qui se passer, on doit prendre plus de recul, et intégrer plusieurs approche différentes pour bien comprendre ce qui se passe.
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C’est un peu ça qui m’a inspiré dans ma pratique. Essentiellement, je combine 3 types de thérapies utilisées avec les athlètes de haut niveau pour les remettre sur pied rapidement. Ces approches viennent de Toronto, de Boston et de France, et je m’en sers pour avoir des résultats le plus rapidement possible avec mes clients.
J’ai aussi la chance de partager mon savoir en travaillantà titre de co-instructeur pour le “Trigenics Institute of Functional Neurology” basé à Toronto.
Pour en savoir plus, je te suggère d’aller sur mon site web: www.jonathanlague.com