Marie-France Lemire coach de vie PNL et travailleuse sociale

Marie-France Lemire coach de vie PNL et travailleuse sociale Je suis travailleuse sociale dans un service de crise depuis plusieurs années. J'ai travaillé en Marie-France Lemire

02/12/2019

Chacun de nous à un moment donné se pose des questions. Qui suis-je? Que vais-je faire? Quel est le sens de ma vie? Quel est le sens de la vie? À quoi je crois maintenant? À quoi je veux croire? Qu'est-ce qui est important pour moi? Dans ces grands questionnements on a souvent besoin de quelqu'un pour nous écouter. Une personne pour nous questionner et nous accompagner dans le chemin de notre vérité. C'est pour tout ça que j'offre, en tant que coach PNL, de vous accompagner dans votre quête.

08/27/2018
11/08/2017

Ces moments-là.
Il y a des moments dans notre existence où nous remettons en question notre vie et nous-même. Nous voulons changer des choses mais ne savons pas comment faire. Alors la vie n'a plus de sens et nous nous demandons quoi faire pour qu'elle soit enrichissante et à la hauteur de nos aspirations. Dans ces moments-là, nous réagissons de différentes façons allant parfois jusqu'à sombrer dans la déprime. En PNL, l'approche que j'utilise, nous accompagnons la personne dans cette recherche de sens et dans l'établissement d'objectifs menant à son épanouissement.

10/14/2017

Un projet de vie

Le projet de vie est une orientation que nous nous donnons pour apporter un sens à notre vie. C’est ce que nous voulons devenir et dans quelle direction nous avons envie d’évoluer. Cela peut être : avoir plus de temps pour soi, sortir d’une relation toxique, faire des études, changer d’orientation professionnelle, être épanoui, préparer sa retraite, etc.
Le projet de vie est comme tout objectif : spécifique, mesurable, atteignable, réaliste et situé dans le temps. Il tient compte de l’entourage. Il est en accord avec nos valeurs et nous permettre de savoir qui nous sommes.
Le projet de vie doit être enthousiasmant et motivant. Il doit être en accord avec nos aspirations et nos passions. Nous devons croire en lui. Nous devons d’abord le rêver pour ensuite le construire.
Pour vous aider à définir votre projet, posez-vous la question : Si vous savez que vous alliez mourir dans un an? Que feriez-vous?
Pour arriver à mettre sur pied un projet, il est intéressant de faire un brainstorming en dressant une liste des choses que nous aimerions accomplir. Nous pouvons faire aussi la liste des bénéfices de ce projet et ce qui nous empêche d’atteindre nos objectifs. Dans la recherche d’un projet ou sa réalisation, consulter un coach certifié s’avère un moyen avantageux d’y accéder.

07/31/2017

LA PNL

PNL signifie programmation neuro-linguistique. Programmation : pour la construction de programmes à partir de nos expériences; ces programmes sont les habitudes, les automatismes, les façons de penser et les comportements. Neuro : pour ce qui est mémorisé grâce au système nerveux et nos sens. Linguistique : pour le langage verbal et non-verbal.

La PNL est une approche brève axée sur les solutions plutôt que sur les problèmes. C’est une approche orientée sur les « comment » plutôt que les « pourquoi ». Elle est un ensemble d’interventions très efficaces dans un contexte d’aide. La PNL intervient dans le présent pour cesser d’être dans la plainte du passé. Des recherches scientifiques tendent à valider l’efficacité clinique de la PNL.

La PNL, dans un premier temps, vise à fixer un objectif puis, à l’aide de techniques, à atteindre cet objectif. Elle est plus qu’un ensemble de techniques (ancrage, dissociation, utilisation de papier, etc.). Le coach de vie PNL permet au client de se révéler à lui-même. Il a un savoir-être et un savoir-faire qui amènent le client à aller chercher au fond de lui les ressources pour l’atteinte de son objectif et pour son épanouissement.

06/01/2017

Les personnages internes

Lorsque nous entrons en relation, nous intériorisons les autres afin de pouvoir partager avec eux. Ainsi nous pouvons dialoguer en dedans de nous avec cet autre et parfois même être en conflit. Nous entendons la voix de notre mère dans notre tête qui dit « C’est pas bien de faire ça » alors que nous pensons le contraire. Cette intériorisation permet de socialiser avec les autres mais aussi de s’approprier certains de leurs comportements, qualités, croyances, valeurs et identité. Donc les personnages qui entrent dans notre vie ont une incidence sur nos propres valeurs, qualités, croyances et identité. Ainsi nous pouvons prendre de notre mère son courage et de notre soeur la valeur de liberté. Nous construisons de cette façon notre personnalité. Les personnages internes peuvent cependant être désuets. Bien qu’à un certain moment de notre vie, un personnage pouvait nous être utile, ce n’est plus nécessairement le cas aujourd’hui. Nous comprenons bien ici que nous sommes une seule entité mais avec différentes composantes. L’intégration des différents personnages se fait plus ou moins bien selon qu’ils soient en accord ou non avec nos comportements, nos qualités, nos croyances, nos valeurs et notre identité. Notre père peut être alcoolique mais cela ne veut pas dire que nous adopterons son comportement parce que nous intégrons ses autres composantes.

L’enjeu ici est de ne pas perdre une partie de nous en rejetant tout entier un personnage (notre amie, notre frère, notre tante, etc.). Cette partie est arrivée dans votre vie parce que vous en aviez besoin. Elle est rattachée à d’autres composantes. Nous pouvons vouloir ne pas ressembler à notre amie parce qu'elle est jalouse mais nous oublions sa générosité par exemple que nous avons adopté. Le danger de se plaindre des autres est qu’à ce moment c’est aussi un peu une partie de nous-même que nous renions.

02/05/2017

Les ruminations

L’être humain, naturellement, pense constamment. Il échafaude des scénarios souvent négatifs et stériles. Les pensées surviennent fréquemment sans que nous le voulions. En PNL nous parlons « des histoires ». Elles nous emprisonnent dans des croyances qui paralysent notre pouvoir d’action. Ainsi, il est nécessaire de penser pour effectuer une tâche, pour créer, pour analyser une situation, pour anticiper l’avenir, etc. Mais quand les pensées nous empoisonnent la vie, elles sont nuisibles car elles affectent directement notre estime de soi et notre vision du monde. Les « j’aurais dû » amène un regard vers le passé inutile quand ils sont répétés à plusieurs reprises. Parfois penser « j’aurais dû être plus gentille avec lui », peut amener une réflexion positive qui nous pousse par la suite à être plus gentil. Mais lorsque nous nous répétons « j’aurais dû être plus gentille » en se flagellant alors nous entrons dans un état d’esprit négatif qui fait de nous des esclaves de notre cerveau. Il y a aussi les « Il faut » qui amènent une lourdeur à nos gestes et nos pensées. « Il faut que je fasse la vaisselle » entraîne une obligation alors que nous pourrions dire par exemple « je pourrais faire la vaisselle ». Plusieurs phrases que nous employons de façon automatique salissent notre pensée. Ruminer sur le passer et anticiper négativement le futur sont de bonne façon pour ne pas vivre le moment présent. Pour cesser de ruminer, nous pouvons visualiser une pancarte d’ « arrêt/stop ». Ce n’est pas une tâche facile mais plus nous nous entraînons et plus cela se fait avec aisance. La méditation est un bon moyen pour nettoyer les pensées parasites. Il est important aussi de changer d’activité. Nous ruminons devant la télévision. Quand nous nous en rendons compte, nous nous levons et nous passons par exemple le balai. Tout au moins, lorsque nous pensons négativement, nous pouvons penser à des choses positives et à vérifier la véracité de nos affirmations. Il est important de comprendre que lorsque nous élaborons un scénario catastrophe, nous le reconstruisons sans cesse comme si nous nous vautrions dans du vomi! C’est là le danger car non seulement le scénario catastrophe est nuisible dans le moment présent mais il a des répercussions sur notre avenir. Je pense donc je suis.

01/04/2017

Les croyances
Les croyances peuvent être distinguées des faits par le nombre de personne qui y croit. Ainsi un fait peut être que la terre est ronde. Cette affirmation est un fait parce qu’elle est admise par une très grande majorité de personne et qu’il y a des « preuves » scientifiques qui la soutienne. Aussi, nous pouvons croire en Dieu. C’est une croyance parce que ce n'est pas tout le monde qui y croit et que c’est difficilement prouvable. Nous avons tous des croyances. Certaines sont limitantes d’autres sont supportantes. Quand nous parlons de croyances nous faisons référence à toutes ces pensées plus ou moins envahissantes qui nous donnent une vision du monde qui nous est propre. Nous pouvons appeler ça la carte du monde de chacun de nous. Comme croyance ça peut être : « être né pour un petit pain » ou encore « la vie vaut la peine d’être vécue ». Ces croyances guident nos pas et nos gestes. Ainsi, si nous pensons être nés pour un petit pain, nous n’oserons peut-être pas appliquer sur un poste de niveau supérieur par exemple. Et si nous pensons que la vie vaut la peine d’être vécue, nous avons moins de chances d’avoir des idées suicidaires. Une foule de croyances peuple notre tête et dirige nos vies. Si nous n’avions pas de croyances nous ne pourrions pas fonctionner normalement dans la société. C’est grâce à elle que nous prenons des décisions. Or les décisions que nous prenons pour nous ne sont pas toujours les meilleures. Certaines croyances peuvent être très handicapantes et nous rendre malheureux. Parmi les croyances, nous pouvons distinguer certaines que l’on regroupe dans un concept nommé spiritualité. Il y a autant de spiritualités qu’il existe de personne dans le monde. Par exemple nous pouvons être athée et croire qu’il n’y a pas de vie après la mort. L’autre peut croire au contraire que Dieu existe et qu’il va survivre à sa mort. C’est la foi. La spiritualité a évoluée depuis nos parents. Nous avons plus de liberté et plus de choix pour nous magasiner une spiritualité. Parfois peut-être pouvons-nous penser que nous n’avons pas ce type de croyances. Et pourtant, certaines croyances ont été adoptées il y a longtemps et nous influencent encore. Un exemple peut illustrer ces propos. Nous échappons nos clés et notre orteil se cogne à un meuble. Nous pouvons croire que c’est le hasard ou la malchance. Si c’est le hasard sans doute nous allons être irrités par la situation mais sans plus. Si au contraire nous croyons que c’est la malchance, nous pouvons passer une mauvaise journée en pensant que ces choses n’arrivent qu’à nous. Comme on peut voir, les croyances sont avant tout une question de choix. J’achète ou je n’achète pas. Un certain nombre de gens croit savoir ce qui est bon pour nous et tente de nous imposer leurs croyances. Si celles-ci sont proches de nos croyances, il se peut que nous y adhérions. Elle peut toutefois mener à un déséquilibre mental. C’est ainsi que nous pouvons parler de secte. Pour endoctriner les gens, les sectes se servent de leurs croyances. Elles saupoudrent des croyances aliénantes aux croyances que les gens ont déjà ou qui sont proches de celles-ci. Aussi, il est plus avantageux naturellement d’avoir des croyances supportantes que d’avoir des croyances qui nous limitent dans nos vies. Encore faut-il que nous sachions en faire la différence.

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