Francis Raymond, Travailleur Social Psychothérapeute

Francis Raymond,  Travailleur Social Psychothérapeute Thérapie brève depuis 25 ans à Rimouski et ailleurs! Consultation individuelle et de couple.

COUP D'OEIL SUR MES DISPONIBILITÉS...C’est bientôt le moment de l’année ou le sable 🏖️entre les orteils devient une thér...
07/30/2025

COUP D'OEIL SUR MES DISPONIBILITÉS...
C’est bientôt le moment de l’année ou le sable 🏖️entre les orteils devient une thérapie de quelques jours pour moi et mes proches...
Or, si août est ralenti, septembre arrivera bientôt et vous et moi, n’échapperons pas à cette accélération annuelle!📆😎
L’été a permis de replacer mon agenda de professionnel qui avait été resserré en début d’année et en 2024 d’une manière inédite. Je suis très content 😁🙏et cela me donne une énergie⚡ considérable!
Les délais possibles, par clientèle, sont actuellement les suivants :
✳️DÉJÀ CLIENT(E)S : Tous les clients ayant déjà consulté avec moi sont priorisés. Le délai pour obtenir à nouveau un rendez-vous est, en moyenne, de 2 à 21 jours ! JE VOUS INVITE À M'APPELER OU RÉSERVER EN LIGNE PUISQUE QUE J’AI RÉOUVERT CETTE POSSIBILITÉ DANS GORENDEZ-VOUS EXCLUSIVEMENT POUR VOUS https://www.gorendezvous.com/francisraymond
✳️NOUVEAUX EN INDIVIDUEL : Je peux espérer accepter de nouveaux clients cet automne. C'est difficile à prévoir alors il faut se parler prochainement pour valider si cela est possible à court-moyen ou long terme. Si vous avez le goût de travailler avec moi, écrivez-moi ou appelez-moi et on verra s'il est réaliste de vous réserver des rendez-vous au cours des prochains mois.
✳️ NOUVEAUX/ANCIENS EN COUPLE: 😲😍 Dans les dernières années, j’ai tenu une LISTE D'ATTENTE et l’attente était de durée de 1 à 12 mois. Actuellement, je n’ai plus de couples en attente ce qui suggère que de la place pour un suivi de couple pourrait se libérer rapidement en début d’automne dans mon agenda. Si la connection amoureuse n'a pas été comme vous le souhaitiez cet été⛈️🌦️, il serait très bénéfique de travailler bientôt à la rétablir avec votre amour.(❤️‍🩹+❤️‍🩹=🫂)

Si votre situation se détériore, n'hésitez pas à me relancer…et en cas de besoin IMMÉDIAT svp contactez le service 811 (INFO-SOCIAL.)

Bon, j'y ai mis du temps... Ne vous en déplaise ce matin...Je suis d'accord avec le concept du mâle "alpha" dominant...C...
11/23/2024

Bon, j'y ai mis du temps... Ne vous en déplaise ce matin...Je suis d'accord avec le concept du mâle "alpha" dominant...
Chez... les chimpanzés !!😅 Extrait: "...le rôle du mâle alpha qui veut durer sur le trône est bien plus celui d’un conciliateur au service de la paix dans le groupe."
Merci Boucar!
Article dans le commentaire

😇Merci madame Plaat🤩 Pour cette belle réflexion estivale!Une réflexion💬 qui me rejoint beaucoup dans le travail que j'ai...
07/22/2024

😇Merci madame Plaat🤩 Pour cette belle réflexion estivale!
Une réflexion💬 qui me rejoint beaucoup dans le travail que j'ai le privilège de faire auprès de mes clientes et clients
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Nathalie Plaat, (psy, enseignante et autrice) "Ce que peut la psychothérapie" Le devoir, 22 juillet 2024

Chronique
Je ne sais pas si c’est l’été, la suspension de beaucoup d’activités autres que la clinique, qui m’amène à réfléchir autant sur elle. Je ne saurais dire si c’est la marque des vingt ans à exercer le métier, ou encore le simple mouvement des marées de la pensée qui, de son rythme mystérieux, dépose sur la plage de nouveaux trésors chaque jour, bien que ce soit toujours le même océan qu’on regarde et la même plage où l’on s’assied. Peut-être est-ce aussi quelque chose comme l’amour qui prend un tournant insoupçonné, l’amour pour cette chose qu’on ne savait plus qu’on aimait autant ?

Je ne sais pas. Mais je passe cet été à adorer mon métier comme si je réalisais encore davantage mon privilège : celui d’être payée pour écouter. Déjà, il y a comme une imposture de laquelle on doit constamment se défaire, quand nous sommes psys, celle-là même qui nous rend coupables de demander de l’argent en échange de ce qui, au fond, s’enracine en des qualités humaines, disponibles en potentialités chez beaucoup de personnes. Loin de moi l’idée de diminuer l’expertise reliée à mon métier, mais, parfois, j’avoue que je retourne à ce savoir essentiel, soit que celui-ci est fait de matériaux simples, nobles, peut-être bien, mais simples aussi, d’une simplicité qui manque certes cruellement à notre époque.

Le souci de l’autre, l’engagement et toute la permanence de la présence qu’il requiert… et l’amour aussi, comme dans la chanson, constituent peut-être bien les particules élémentaires à partir desquelles on construit tout le reste. Je me dis souvent que je suis si chanceuse de pouvoir cueillir le vrai, heure après heure, dans cet état si rare, propre seulement aux dispositions intimes, où l’on dépose les armes, pour se montrer nus, dépouillés des masques, dans cette lumière si bouleversante où le fragile est puissamment sublimé. Il me semble alors que tout l’espoir du monde est permis face à cette race autrement si reprochable, la race humaine.

Une amie psychanalyste disait souvent à ses patients, lorsqu’ils s’approchaient d’eux-mêmes, découragés de se trouver encore là où ils espéraient ne plus retourner : « Welcome to the human race ! » J’avoue lui avoir piqué la réplique, que je lance moi-même à mes patients lorsqu’ils se retrouvent à nouveau dans ce lieu d’eux-mêmes qu’ils espéraient bien ne plus jamais visiter.

Cette semaine, avec chaque personne, je me suis demandé si, en vérité, nous changions vraiment. Cette question finit bien par turlupiner n’importe quel clinicien en relation d’aide, un jour ou l’autre. Un peu comme si l’humilité devant le temps qui passe sur nos ambitions force parfois à nous demander si nos efforts portent réellement leurs fruits, ou alors si, au fond, notre travail ne permet pas exactement les transformations que nous pensions soutenir. Change-t-on vraiment ? Céline nous disait que non, qu’on ne changeait pas, qu’on ne mettait que les costumes d’autres sur soi. Et j’avoue que je me questionne souvent sur le pouvoir transformateur de la psychothérapie.

Devant la puissance des complexes, de tout cet échafaudage de mécanismes autonomes, inconscients qui s’emballent sans notre consentement dès que nous faisons face aux choses de la vie qui comptent vraiment (l’amour, l’attachement, l’intimité) et toutes les grandes menaces qu’elles convoquent (l’abandon, l’humiliation, l’envahissement), arrive-t-on vraiment à renverser la vapeur ? Mourrons-nous avec le même visage, celui que Bobin définissait en tant que visage inguérissable, celui du dessous ? Ou vivons-nous, au travers des épreuves, des pertes, des chagrins qui nous pétrissent, de réels grands revirements en soi, des changements pérennes, des mues profondes ?

La question est demeurée ouverte toute la semaine, au gré des visages et des histoires qu’on me présentait. Je la portais ouverte, dans le fond de ma tête, comme une toile sur laquelle j’écrivais des ébauches de conclusions, avant de les effacer à nouveau, qu’on continue de m’enseigner par la rencontre, les possibles réponses. Devant telle ou telle personne, je me disais que, oui, nous y étions, dans la grande transformation qui nous fait changer de peau, certes, mais aussi presque de coeur, comme si ce qui le faisait battre changeait de rythme, d’identité, de sensations du dedans. Je la voyais être autre, cette personne, une autre qu’elle avait peut-être toujours été, au fond, ce qui me faisait revenir à cette idée d’une absence de changement réel, un peu comme si, tout le travail avait peut-être été seulement de la ramener à la maison d’elle-même, à cette personne qu’elle avait su, très tôt, qu’elle était.

J’en étais bouleversée à nouveau, il était 10 h ou 11 h ou 15 h. La journée était si belle, déjà. Et plus t**d, dans la même journée, ou le lendemain, je pouvais me trouver consternée avec la personne face à moi, de revenir à un état antérieur qu’il me semblait avoir dépassé depuis des lieues, des milles, des kilomètres d’années. Et alors, je me disais « comme il est lent le temps du changement ». Et, étrangement, la journée n’était pas plus laide, parce que cette revisite s’accompagnait de nouveautés, aussi, comme si la grotte dans laquelle nous étions, humide, froide, et triste, était éclairée par la conscience que nous y jetions tous les deux. Moi, comme témoin, l’autre comme acteur principal.

Cet autre matin, où moi-même me débattais avec mon être, essoufflée de n’avoir que lui à habiter, je garais la voiture devant la clinique et me demandais comment j’osais me faire guide, alors que je ne savais pas moi-même escalader la montagne de mes propres ombres. J’ai ouvert la lumière, les fenêtres pour aérer, arrosé les plantes et, à 9 h, j’ai ouvert la porte à l’autre. Dès que les premières paroles sont tombées dans la pièce, je me suis mise à respirer mieux, à aimer l’humain, celui d’en face, et du même coup, celui que j’étais aussi.

On ne parle pas souvent de combien le thérapeute est guéri par son travail. Chaque histoire m’a, en partie, apporté de la lumière sur ma condition humaine, je dis souvent merci, tout bas ou tout haut, à tout ce que mes patients m’ont appris sur la mort, la naissance, l’amour, la guerre, la perte, les retrouvailles, les défaites et les transformations. Je ne sais pas si la psychothérapie peut nous changer, mais je sais qu’elle peut nous rendre la vie habitable, à mesure qu’on la regarde avec les yeux de celui ou celle qui nous voit, pour ce que nous sommes avec ce si beau visage, celui « du dessous ».

« Il prend forme à deux ou trois ans puis se cache dans l’ombre des travaux. Nous avons mille visages qui se font et se défont aussi aisément que les nuages dans le ciel. Et puis, il y a ce visage du dessous. » – Christian Bobin

De belles statistiques☝😎 face à la décision de Méta, les lecteurs habitués à l'information de qualité apparaissent s'ada...
06/07/2024

De belles statistiques☝😎 face à la décision de Méta, les lecteurs habitués à l'information de qualité apparaissent s'adapter...
Qu'en est-il des jeunes lecteurs??

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Étienne Paré, LE DEVOIR, le 15 mai
------------Les Canadiens s’adaptent au blocage des nouvelles sur Facebook et Instagram--------------

Le blocage des contenus journalistiques sur Facebook et Instagram depuis près d’un an a poussé les Canadiens à changer leurs habitudes pour suivre l’actualité. Près de 30 % des internautes au pays consultent maintenant plus souvent les applications et les sites Web des grands médias, selon une étude publiée cette semaine. Un peu moins de 20 % disent regarder plus souvent la télévision et écouter la radio. Le recours aux médias traditionnels est particulièrement marqué chez les francophones.

« La décision de Meta a été très difficile au départ pour les grands médias. Mais on voit que les gens ont adopté de nouveaux réflexes, notamment en se rendant directement à la source. Les médias sont en train de se sevrer de leur dépendance aux plateformes de Meta », note Jean-Hugues Roy, professeur à l’École des médias de l’UQAM, au vu de ce nouveau coup de sonde.

L’étude a été réalisée pour le compte de l’Observatoire des technologies médias, une division de CBC/Radio-Canada, entre octobre et décembre, soit quelques mois après que Meta eut retiré de ses plateformes les contenus journalistiques pour protester contre l’adoption par le gouvernement fédéral de Loi sur les nouvelles en ligne.

La décision de Meta a été très difficile au départ pour les grands médias. Mais on voit que les gens ont adopté de nouveaux réflexes, notamment en se rendant directement à la source. Les médias sont en train de se sevrer de leur dépendance aux plateformes de Meta. Jean-Hugues Roy »

Rappelons que cette loi, couramment appelée C-18, oblige les géants numériques à négocier des ententes avec les médias traditionnels pour le partage des revenus tirés des contenus journalistiques. La société mère de Facebook et Instagram a plutôt réagi en bloquant complètement les nouvelles de ses plateformes.

Depuis, 33 % des internautes francophones au Canada disent se rendre plus souvent sur les sites et les applications des médias du pays. Ils sont 26 % à affirmer suivre davantage les nouvelles à la télévision pour s’informer depuis la décision de Meta ; 23 % pour ce qui est de la radio.

Aujourd'hui est décédée, une femme de liens, de❤️coeur et une "belle tête" comme on dit parfois au Québec.Une femme curi...
04/24/2024

Aujourd'hui est décédée, une femme de liens, de❤️coeur et une "belle tête" comme on dit parfois au Québec.
Une femme curieuse, travaillante et déterminée toute sa vie à comprendre le désarroi des partenaires du couple amoureux. Elle a été à l'origine de l'édification de l'approche centrée sur l'Émotion.
Sue Johnson, a été psychologue, auteure, conférencière vulgarisatrice et présidente de l'ICEEFT https://iceeft.com/iceeft-board-of-directors/
Plusieurs couple ont été soignés et ont pu sortir d'impasses difficiles et recommencer à compter, chacun, l'un sur l'autre émotionnellement.
Merci Sue, merci pour l'héritage clinique, écrit et humain qui continue à travers des centaines de professionnels qui, chaque jour, œuvrent auprès de couples dans le monde.

(crédit de la photo à notre collègue Jessica Lauren, Membre de EFT Qc https://www.eftqc.com/)

Les écrans, les ados...  Encore,  encore, on doit s'en parler, même si ça nous rend inconfortables. C'est comme le clima...
04/01/2024

Les écrans, les ados... Encore, encore, on doit s'en parler, même si ça nous rend inconfortables. C'est comme le climat... C'est pas parce qu'on cesse de s'en parler que le phénomène s'éteint... (Voir 1er commentaire pour le lien de l'article du devoir)

Je sors un peu de mes sentiers habituels sur ma page pour vous partager ce cadeau de Michel Rivard (page officielle)Quel...
01/31/2024

Je sors un peu de mes sentiers habituels sur ma page pour vous partager ce cadeau de Michel Rivard (page officielle)
Quelle poésie apaisante et méditative ❤️!

... intéressant retour vers un ajustement plus sain.😉-------------------------------------------------------Le «jeu risq...
01/25/2024

... intéressant retour vers un ajustement plus sain.😉
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Le «jeu risqué» dorénavant recommandé par les pédiatres

Marie-êve Cousineau, le Devoir
25 janvier 2024 Santé

La Société canadienne de pédiatrie vient d’émettre de nouvelles directives en faveur du « jeu risqué ». Elle encourage les enfants à grimper dans les arbres, à faire du vélo à grande vitesse, à
se chamailler, à jouer à proximité du feu ou de l’eau ainsi qu’à explorer les aires de jeu, les quartiers ou les bois sans la supervision d’un adulte ou avec une supervision limitée. Elle estime que
les avantages du « jeu risqué » surpassent les risques de blessures.
C’est la première fois que la Société canadienne de pédiatrie émet de telles directives. Selon Émilie Beaulieu, pédiatre au CHU de Québec, le « jeu risqué » fait l’objet d’études depuis plus d’une
vingtaine d’années. Et d’après ces dernières, cette forme de jeu non structuré peut améliorer l’estime de soi et les interactions sociales chez les enfants de 1 à 13 ans.
« Il y a de plus en plus de données qui montrent à quel point ça pourrait aider à diminuer l’anxiété, à améliorer la forme physique », indique la D Beaulieu, qui est l’autrice principale de ces
directives. Elle explique que le « jeu risqué » permet à l’enfant d’être « maître de son activité » et de « repousser ses limites ». « Décider de monter un peu plus haut, de courir un peu plus vite,
de s’éloigner, d’aller se cacher davantage… Cette gestion de l’incertitude est bénéfique », souligne-t-elle.
Des exemples de « jeux risqués »
- Le jeu en hauteur
- Le jeu à grande vitesse
- Le jeu comportant des chocs
- Les activités supervisées à l’aide d’une hache, d’une scie, d’un couteau, d’un marteau ou de cordes
- Le jeu à proximité d’éléments comme le feu ou l’eau
- Les activités comportant un risque de se perdre (dans le cas d’un jeune enfant, se cacher derrière des buissons sous supervision limitée, par exemple)
Société canadienne de pédiatrie
Selon la médecin, le « jeu risqué » n’entraîne « pas plus de blessures sévères et mortelles ». Mais peut-être des égratignures sur les genoux ou, dans le pire des cas, un bras cassé. « C’est
probablement le niveau de blessure qui est le plus élevé quand on parle de “jeu risqué”, et qui n’est pas si catastrophique. Le risque demeure quand même faible par rapport à tous les bénéfices
que ça apporte à la santé mentale », estime-t-elle.
Un retour du balancier
Pour la D Beaulieu, le « jeu risqué » représente en quelque sorte une « réponse » aux problèmes affectant les enfants d’aujourd’hui — le stress, l’anxiété, le mal-être, l’embonpoint, la
sédentarité. Bref, il s’agit d’un juste retour du balancier.
« Il y a quand même un sentiment collectif de devoir éviter à tout prix tout risque et possible blessure chez l’enfant », observe-t-elle. Une allergie aux risques qui était beaucoup moins présente
dans le passé. « Le “jeu risqué”, quand on en parle avec des adultes, souvent ça rappelle un peu la façon dont on avait de s’amuser quand on était plus jeunes, que les écrans n’existaient pas,
que les enfants passaient la majorité de leur temps dehors et qu’ils n’étaient pas nécessairement dans des modules de jeux dans des parcs très réglementés. »
La D Beaulieu estime que « les règles restrictives sur le jeu à la maison, en milieu de garde ou à l’école, ont eu des conséquences sur la santé publique ». « La sécurité est importante, mais il
faut aborder les précautions de manière plus équilibrée », pense-t-elle. Elle souligne par contre que le « jeu risqué » ne consiste pas à laisser son enfant sans supervision dans des situations où
il est incapable d’évaluer le risque et de percevoir le danger. Comme « jouer dans un environnement urbain avec un grand volume de voitures à proximité », cite-t-elle en exemple.
« Le rôle de l’adulte demeure d’éliminer les possibles dangers », dit la pédiatre. Elle rappelle d’ailleurs que sauter sur un trampoline demeure une activité dangereuse. Et qu’il vaut mieux que les
enfants portent un casque lorsqu’ils dévalent une pente en luge l’hiver.

Résumé de façon efficace !! Ne restez pas seul devant les craintes d'un su***de pour vos proches et si vous avez des idé...
01/10/2024

Résumé de façon efficace !! Ne restez pas seul devant les craintes d'un su***de pour vos proches et si vous avez des idées noires, OSEZ PARLER 📢🎙️☎️ avec une proche ou un professionnel!

Parler de ses idées suicidaires avec un professionnel peut être bénéfique. Voici pourquoi.

Bonne année 2024 à toutes et tous.✨️Paix🙏, amour ❤️ et SANTÉ  (mentale)😇 à chacun et chacune de vous.Que l'année 2024 vo...
01/10/2024

Bonne année 2024 à toutes et tous.✨️
Paix🙏, amour ❤️ et SANTÉ (mentale)😇 à chacun et chacune de vous.
Que l'année 2024 vous permette un épanouissement et une conscience de vous et vos relations avec vos proches.😊

Beau kit d'idées pour prendre soin de nous, en deuil, pendant les fêtes !❤️
12/19/2023

Beau kit d'idées pour prendre soin de nous, en deuil, pendant les fêtes !❤️

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