Irène Mercier fasciapulsologie

Irène Mercier fasciapulsologie Fasciapulsologie

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10/06/2024

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Le deuil est une épreuve dévastatrice, un poids qui s’installe dans le cœur et semble parfois ne jamais vouloir s’alléger. Mais au-delà de la douleur de la perte, il y a souvent un autre fardeau, plus discret mais tout aussi lourd : le sentiment d’inachevé. C’est cette impression amère que quelque chose est resté en suspens, que des mots, des gestes, des moments n’ont jamais eu la chance de se déployer.

On se retrouve alors à rejouer sans cesse les dernières conversations, à repasser en boucle les derniers instants, en se demandant ce qu’on aurait pu dire ou faire de plus. On aurait voulu plus de temps. Plus de temps pour aimer, pour pardonner, pour comprendre. Cette personne est partie, et avec elle, tant de choses qu’on ne pourra plus jamais exprimer. Les silences qui restent sont parfois plus assourdissants que la perte elle-même.

Il y a ce besoin impérieux de revoir, ne serait-ce qu’une dernière fois, ce sourire, d’entendre encore une fois cette voix, de pouvoir poser ces questions qui resteront à jamais sans réponses. On se dit que peut-être, avec un peu plus de temps, tout aurait pu être différent. Le manque s’accompagne alors d’une douleur encore plus profonde, celle de l’incomplet.

Mais la vérité, c’est que dans le deuil, il y a toujours une part d’inachevé. Il y a toujours des souvenirs non partagés, des rêves non réalisés, des promesses non tenues. Cela fait partie de la condition humaine, de cette imperfection qui rend chaque relation unique et fragile. L’amour, tout comme la vie, est fait de moments imparfaits. Et même si tout n’a pas été dit, tout n’a pas été fait, l’essentiel est là, gravé dans les cœurs.

Le sentiment d’inachevé ne s’efface pas, mais il peut devenir un espace où l’on continue à aimer en silence. Ces mots que l’on n’a jamais pu dire, on peut les porter en nous, comme une douce mélodie qui continue de vivre. Il n’y aura peut-être pas de clôture parfaite à cette histoire, mais il y aura toujours la trace d’un amour qui a existé, d’une présence qui a compté.

Et parfois, dans ces fragments laissés en suspens, dans cette absence pleine de questions, on trouve une manière de faire la paix avec ce qui ne pourra plus jamais être. Parce que l’essentiel, c’est que malgré tout, cet amour continue de nous habiter, d’une manière ou d’une autre, dans chaque souffle, chaque souvenir, chaque battement de cœur.

Charlotte Cellier

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08/14/2024

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Après la perte de sa moitié, on se sent incomplet, comme si une partie de soi avait été arrachée, laissant un vide immense, un gouffre qui semble impossible à combler. Chaque endroit, chaque moment, porte encore l'écho de leur présence, et l’absence se fait sentir dans les gestes du quotidien, dans les silences qui s’étirent là où autrefois il y avait des mots, des rires, de la complicité.

On avance, mais avec une douleur sourde, un manque constant qui rappelle ce qui n’est plus. La vie continue autour de nous, mais on a l'impression de marcher dans un rêve brisé, d'exister à moitié. La personne qui nous complétait, qui connaissait nos moindres pensées, n'est plus là pour partager les joies, les peines, les simples moments de la vie. Tout semble plus lourd, plus difficile, et l'avenir, autrefois rempli de promesses à deux, paraît soudainement incertain, presque vide.

Mais au fil du temps, on découvre que cette absence, aussi déchirante soit-elle, ne signifie pas que l’on est condamné à rester à jamais incomplet. Peu à peu, on apprend à porter ce manque, non pas comme une douleur, mais comme une mémoire précieuse, une partie de soi que personne ne pourra jamais nous enlever. On réalise que l'amour que l'on a partagé ne disparaît pas avec la perte; il continue de vivre en nous, il nous façonne, il nous guide.

Et malgré la douleur, malgré l'incomplétude, on commence à entrevoir une nouvelle manière d'être entier. On se reconstruit, différemment certes, mais avec une force nouvelle, née de cette épreuve. On apprend à aimer de nouveau, d'une autre façon, à se reconnecter avec le monde, à trouver un sens même dans l'absence. La personne perdue fait toujours partie de nous, mais elle nous donne aussi la force de continuer, de découvrir qu'il est possible de se sentir entier, même après avoir été brisé.

Charlotte Cellier

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