10/22/2025
✨❓Pourquoi tu détestes être pris en photo ❓✨
Accroche ton chapeau, ton filtre beauté astral et ton mug de tisane à la camomille cosmique,
parce qu’on va parler d’un grand mystère universel :
> pourquoi diable tu détestes qu’on te prenne en photo
Non, ce n’est pas juste “parce que t’es pas photogénique” — c’est bien plus profond, subtil et un peu spirituellement drôle.
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🪞Ton cerveau a sa propre version de Photoshop intégré
Dans ta tête, tu te vois avec la lumière du cœur, un petit halo d’énergie dorée, le regard profond façon anime japonais.
Puis bam, la photo te montre un humain fatigué avec un cheveu en l’air et un menton en mode “double dimension”.
👉 Résultat : dissonance cognitive, malaise et envie immédiate d’effacer toute trace numérique de cette trahison.
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😳 Le problème du “contrôle cosmique perdu”
Être pris en photo, c’est comme confier ta réputation énergétique à un inconnu armé d’un rectangle lumineux.
Tu ne contrôles ni l’angle, ni la lumière, ni si la photo finira dans un groupe WhatsApp intitulé “Soirée chelou 2025”.
Et ton âme murmure :
> “Je n’ai pas signé pour être tagué dans cette réalité parallèle.”
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🙈 Le stress du rôle social
La photo de groupe, c’est l’épreuve du feu :
tu dois sourire “naturellement” pendant que ton cerveau calcule la position de ton menton et la distance de tes yeux au cosmos.
Et plus tu penses à ton sourire, plus il devient celui d’un robot en burn-out.
Résultat : photo ratée + crise existentielle sur la notion de spontanéité.
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🤳 La posture… cet art martial oublié
Personne ne sait vraiment quoi faire de ses mains sur une photo.
Certain·e·s font le signe de paix, d’autres pointent vers le ciel, et toi… tu tiens ton sac comme si tu allais cambrioler ta propre énergie.
Et ce menton ?
Trop haut → air prétentieux.
Trop bas → double menton interdimensionnel.
Juste milieu → légende urbaine.
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😬 Les traumatismes photographiques anciens
Tu as peut-être connu LA photo maudite : celle où t’étais malade, décoiffé·e ou où ton ex t’avait dit “t’es trop mignon·ne comme ça”.
Depuis, ton subconscient t’envoie des alertes anti-clic dès qu’un objectif s’approche à moins de 3 mètres.
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🧘♀️ La philosophie du “je préfère vivre que poser”
Toi, tu veux profiter du moment, pas le documenter.
T’as pas besoin de preuves matérielles pour savoir que t’étais là :
ton aura et ta bonne humeur suffisent.
Et puis soyons honnêtes : les sourires forcés, c’est un peu comme les filtres “chien” sur Instagram — drôles, mais pas vraiment toi.
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⚡Le syndrome du “flash d’âme”
Certains ressentent vraiment que l’objectif leur pompe un peu d’énergie.
C’est comme si la caméra captait ton aura sans préavis.
Ton chakra racine te dit “non merci, j’ai pas signé pour un téléchargement karmique.”
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🌈 Comment survivre à la photo (si t’y es forcé·e)
A) Pose ton veto astral
> “Non merci, je préfère rester une légende vivante, pas une image floue.”
ou
“D’accord, mais si je ressemble à un légume possédé, tu supprimes direct.”
B) Contrôle la lumière divine
Toujours à la lumière naturelle, jamais sous le néon de cuisine façon prison cosmique.
Une fenêtre = ton meilleur allié photogénique.
C) Règle sacrée du selfie :
Prends-en 10, garde-en 1, efface les 9 autres et invoque l’oubli universel.
D) Posture zen
Tiens un objet (tasse, bougie, chat, baguette magique).
Ça occupe les mains et ça détourne l’attention du syndrome du “bras figé par le stress social”.
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💬 Si tu veux t’expliquer poliment (ou pas)
“Pas de photo de moi, je suis en mode camouflage énergétique.”
“Je préfère vivre l’instant que sourire à un pixel.”
“Faites la photo, mais mettez un sticker renard à ma place, merci.”
“Je suis allergique au flash, ça perturbe mon taux vibratoire.”
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🦊 En résumé renardesque
Non, t’es pas bizarre. T’es juste sensible à ton image énergétique.
T’as le droit total de dire non, ou de choisir l’angle où tu ressembles à une divinité du dimanche.
Une photo, ce n’est qu’une particule figée dans le grand flux cosmique de ta beauté intérieure.
Et si quelqu’un insiste trop, rappelle-lui calmement :
> “Je suis photogénique uniquement quand c’est moi qui choisis le plan astral, merci.” 😎✨
Le Renard Chic
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