10/21/2025
Un jour, un scientifique chercha un volontaire pour une expérience sur le pouvoir de l’esprit humain. Finalement, il en trouva un : un homme condamné à mort, sur le point d’être exécuté sur la chaise électrique.
Le scientifique proposa au prisonnier de participer à une **expérience scientifique**. Elle consistait à faire une **petite coupure** sur son poignet, afin de laisser son **sang s’écouler goutte à goutte**. Il lui expliqua que ses chances de survie étaient faibles, mais que sa mort serait **indolore**, sans souffrance, et qu’il **ne sentirait rien**.
Le condamné accepta cette mort plutôt que la chaise électrique. On le plaça sur une civière, solidement attaché pour qu’il ne puisse bouger. Une légère incision fut pratiquée à son poignet, et un petit récipient en aluminium fut disposé sous son bras.
La coupure n’était que **superficielle**, ne touchant que la première couche de la peau. Mais elle suffisait à lui faire croire que ses veines avaient été ouvertes. Sous le lit, une **bouteille de sérum** avait été installée, avec un robinet permettant de laisser couler le liquide **goutte à goutte** dans le récipient.
Le condamné entendait chaque goutte tomber, persuadé qu’il s’agissait de **son propre sang**. Sans qu’il le sache, le scientifique réduisait progressivement le débit, simulant ainsi un ralentissement de sa “perte de sang”.
Au fil des minutes, le visage du prisonnier pâlit, son cœur s’emballa, sa respiration devint haletante. L’angoisse m***a jusqu’à son paroxysme. Puis, lorsque le scientifique ferma complètement la valve… l’homme **mourut d’une crise cardiaque**.
Le scientifique venait de démontrer que **le cerveau humain croit fermement ce qu’il perçoit et accepte**, que ce soit positif ou négatif — et que cette croyance influence tout le corps, jusqu’à la mort.
> J’ai toujours pensé que l’esprit n’a pas de limites lorsqu’il se trompe lui-même.
> Et c’est pire encore lorsqu’il ne comprend pas quelque chose et invente sa propre explication — comme lorsqu’on croit à des phénomènes surnaturels qui n’en sont pas.
Dans la vie, nous faisons face à des situations qui paraissent **insurm***ables**. On nous dit souvent qu’il est presque impossible d’en sortir. Mais tout dépend de ce que **nous choisissons de croire**.
> « Celui qui pense à l’échec a déjà échoué. »
> « Celui qui pense à la victoire a déjà un pas d’avance. »