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Feral & Wise 👑 Queen of the Unapologetic NOT your average therapist

L’arbre qui avait voulu toucher le cielIl Ă©tait une fois un arbre qui rĂȘvait de lumiĂšre.Depuis toujours, il avait senti ...
10/15/2025

L’arbre qui avait voulu toucher le ciel

Il Ă©tait une fois un arbre qui rĂȘvait de lumiĂšre.
Depuis toujours, il avait senti au fond de ses racines qu’il Ă©tait fait pour grandir plus haut..
Alors il s’est mis à pousser, à pousser, à pousser.
Il écoutait les oiseaux lui murmurer :

« Plus haut tu montes, plus tu seras libre. »

Alors il a cru.
Il a dĂ©ployĂ© ses branches vers le soleil, tendu tout ce qu’il avait.
Et effectivement, il a fini par le toucher un peu, ce ciel.
Ses feuilles brillaient, son tronc vibrait, son feu intérieur rayonnait.

Mais plus il montait, plus il sentait quelque chose se fragiliser.
Ses racines tiraient, sa base s’épuisait.
Il n’avait plus le temps de sentir la terre, ni la pluie, ni les saisons.
Il vivait dans l’ivresse de la hauteur — jusqu’à ce qu’un jour, une grande rafale vienne.
Et dans le vent, l’arbre a craquĂ©. Pas pour tomber
 pour se souvenir.

Il s’est souvenu que la lumiùre, on ne la trouve pas en fuyant la terre,
mais en la laissant circuler entre les racines et les branches.

Alors il a cessé de pousser.
Il a respiré.
Il a laissé ses racines reprendre contact avec le sol.
Et il a compris que son rĂŽle n’était pas de toucher le ciel — mais de relier le ciel et la terre. 🌙

Aujourd’hui, il grandit encore.
Un pas vers le haut. Un pas vers le bas -l’intĂ©rieur.
Et il sait que, mĂȘme si ses branches ne frĂŽlent plus les nuages,
son ombre, elle, offre un abri Ă  ceux qui cherchent Ă  se reposer.

✹ MoralitĂ© :
Il y a des rĂȘves qui nous font dĂ©coller, et d’autres qui nous font revenir Ă  la vie.
Les deux sont nécessaires.
Mais à la fin, la vraie sagesse, c’est de savoir quand redescendre pour mieux s’enraciner.

10/13/2025

đŸ’„ Les 6 milieux oĂč le burnout est glorifiĂ© comme une mĂ©daille

1ïžâƒŁ Restauration 🍳

Le mythe du chef invincible.
15 heures debout, pas de pause, pas le droit d’ĂȘtre malade.
“Un vrai cuistot, ça ne lñche pas.”
Non, un vrai humain, ça finit par s’effondrer.

2ïžâƒŁ Soins et services de santĂ© đŸ„

Ceux qui soignent les autres s’oublient eux-mĂȘmes.
Manque de personnel, horaires impossibles, empathie en overdose.
Et quand ils tombent ?
On leur dit qu’ils n’étaient “pas assez solides”.

3ïžâƒŁ Technologie et startups đŸ’»

Le culte du “grind”.
Dormir, c’est pour les faibles.
Travailler 80 heures, c’est ĂȘtre passionnĂ©.
Non : c’est ĂȘtre anesthĂ©siĂ©.

4ïžâƒŁ Éducation 🎓

Profs, éducateurs, intervenants

Toujours à colmater les brùches d’un systùme qui fuit.
Donner sans recevoir, aimer sans reconnaissance.
Et on s’étonne qu’ils craquent.

5ïžâƒŁ Corpo, ventes, finance 🏱

Objectifs, chiffres, “performance”.
On mesure la valeur humaine en KPI.
Le corps devient un outil, l’esprit un moteur.
Et quand la machine chauffe, on la remplace.

6ïžâƒŁ Art, coaching, bien-ĂȘtre 🎭

Les mĂ©tiers du cƓur.
On veut aider, inspirer, guérir.
Mais à force de tout donner, on s’oublie.
C’est le burnout invisible : celui du cƓur. â€ïžâ€đŸ”„

🌊 Le point commun ?

Ces milieux valorisent la dévotion au détriment de la santé.
On glorifie la douleur, on romantise l’épuisement.
Mais se briser pour son mĂ©tier, c’est pas du courage : c’est une alarme.

Le vrai courage, c’est pas de tenir.
C’est d’oser dire : “J’arrĂȘte avant de me perdre.”

🧠 Ce qu’on ne comprend pas, on le diaboliseHier, le sujet de la santĂ© mentale est sorti un peu par hasard. Et ce que j’a...
10/13/2025

🧠 Ce qu’on ne comprend pas, on le diabolise

Hier, le sujet de la santĂ© mentale est sorti un peu par hasard. Et ce que j’ai entendu m’a frappĂ©e :
« Quelqu’un qui a fait un burnout ou une dĂ©pression, au travail, on va lui donner moins de responsabilitĂ©s, par peur qu’il reparte en vrille. »

Je t’avoue que ça m’a rentrĂ©e dedans.
Parce que moi, dans ma tĂȘte, on est en 2025, pas en 1980.
Je pensais sincĂšrement qu’on Ă©tait rendus plus loin que ça.

đŸ©¶ Ce qu’on ne comprend pas, on le diabolise

C’est le mĂȘme mĂ©canisme que le racisme :

Tu es différent de moi, donc je te rejette.
Tu me dĂ©ranges, donc je t’étiquette.
Je ne comprends pas ta réalité, donc je la juge.

Mais au fond, on est tous humains.
Et c’est lĂ  que je trouve qu’on manque cruellement d’humanitĂ© :
diaboliser quelqu’un parce qu’il vit un trouble de santĂ© mentale, c’est non seulement injuste, mais c’est aussi dangereux.
Parce que plus tu rejettes quelqu’un, plus tu creuses le trou dans lequel il tente de remonter.

⚡ On a peur de la fragilitĂ©

On prĂ©fĂšre se convaincre que ça n’arrive qu’aux “faibles”.
Mais la vĂ©ritĂ©, c’est que se battre contre soi-mĂȘme, ce n’est pas pour les faibles.
C’est pour les courageux.
Pour ceux qui, jour aprÚs jour, apprennent à dompter leur esprit, à faire la paix avec leurs pensées, à se relever malgré la fatigue, malgré le jugement.

Et c’est drĂŽle, parce que ces gens-lĂ , ce sont souvent les plus forts Ă©motionnellement, les plus empathiques...

🌊 Moi, je choisis la transparence

J’ai vĂ©cu deux Ă©puisements.
Et je ne m’en cacherai pas.
Parce que c’est pas une honte, c’est mon histoire.
Et s’il y a quelqu’un sur ma route professionnelle qui ose me traiter diffĂ©remment Ă  cause de ça

Disons que le tsunami de vĂ©ritĂ© et de conscience qui l’attend risque d’ĂȘtre plus fort que prĂ©vu.

Ce qu’on ne comprend pas, on le diabolise.
Mais ce qu’on choisit de comprendre, on apprend à aimer.

Et c’est exactement ça, l’humanitĂ©. 💛

Il faut ĂȘtre trĂšs fort et trĂšs courageux pour se remettre d’une dĂ©pression, d’un Ă©puisement, ou de n’importe quel dĂ©fi e...
10/13/2025

Il faut ĂȘtre trĂšs fort et trĂšs courageux pour se remettre d’une dĂ©pression, d’un Ă©puisement, ou de n’importe quel dĂ©fi en santĂ© mentale.

Parce que tu ne te bats pas seulement contre toi-mĂȘme

Tu te bats aussi contre les jugements de ceux qui ne comprennent pas.

Ceux qui se croient “normaux”, mais oublient qu’il n’y a pas de normalitĂ©, seulement des humains avec leurs forces, leurs limites et leurs tempĂȘtes intĂ©rieures.

Parce que la vie fait en sorte qu’on n’a pas tous les mĂȘmes dĂ©parts.
Il y a des gens qui ont grandi dans la pauvreté.
Des gens qui ont vĂ©cu des traumas, des tragĂ©dies, parfois dĂšs l’enfance.
Et ces blessures-là laissent des traces profondes, invisibles, qui marquent le reste d’une vie.

C’est facile de juger quand on est nĂ© dans la soie, quand on n’a jamais eu Ă  se battre pour exister, quand la vie ne nous a pas mis Ă  genoux dĂšs le dĂ©part.
Mais tout le monde n’a pas les mĂȘmes dĂ©parts, ni les mĂȘmes opportunitĂ©s.
Alors avant de juger quelqu’un pour ses failles, il faut se rappeler qu’on ne connaüt pas le poids qu’il porte.

Oui, c’est difficile.
Certains jours, tu avances d’un pas. D’autres, tu tiens juste debout.
Mais tu l’as fait. Tu continues.
Et ça, c’est une victoire immense et surtout une GRANDE preuve de ta force!

Tu es beaucoup plus fort(e) que tu ne le crois.
Ne laisse jamais personne te dire le contraire, ni te faire sentir “faible”.

Parce que pour moi, la vraie faiblesse, c’est de juger sans comprendre.
C’est de dĂ©shumaniser quelqu’un juste parce que ton niveau de comprĂ©hension est faible. 😉 (pun intended, jeu de mot intentionnel)

đŸȘž Prise de conscience du jourPendant longtemps, j’ai cru qu’en me sacrifiant pour les autres — surtout ma famille — j’al...
10/05/2025

đŸȘž Prise de conscience du jour
Pendant longtemps, j’ai cru qu’en me sacrifiant pour les autres — surtout ma famille — j’allais prĂ©server l’harmonie. Mais je rĂ©alise que mĂȘme quand je me plie en quatre pour faire plaisir, les conflits Ă©clatent quand mĂȘme.

Alors
 pourquoi ne pas me respecter moi d’abord?
Pourquoi continuer Ă  dire oui quand, au fond, je pense non?

C’est exactement ce que je travaille en ce moment avec ma thĂ©rapeute. Eh oui, mĂȘme les thĂ©rapeutes ont besoin de consulter pour eux-mĂȘmes. Parce qu’en dĂ©veloppement personnel, on avance dĂ©jĂ  beaucoup avec nos propres prises de conscience
 mais accompagnĂ©, on va tellement plus loin. Comme le dit l’adage : Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. đŸŒ±

👉 Et vous, est-ce que ça vous arrive de dire oui alors que vous pensez non?

09/29/2025

✹ Une cliente me racontait jadis, une conversation lourde qu’elle avait eue avec son conjoint. Le genre de discussion qu’on traĂźne parfois depuis des annĂ©es, oĂč chacun rĂ©pĂšte ses arguments et oĂč rien ne change vraiment.

Cette fois-ci, pourtant, elle a choisi de faire les choses autrement.
PlutĂŽt que de retomber dans son rĂŽle habituel de « sauveuse » – donner des conseils, proposer des solutions, porter la charge pour deux – elle a mobilisĂ© deux outils puissants :

đŸ”č La Communication NonViolente (CNV) : elle a parlĂ© en “je”, exprimĂ© ses ressentis, nommĂ© ses besoins, sans attaquer.
đŸ”č L’Analyse Transactionnelle (AT) : elle a refusĂ© de rĂ©pondre Ă  la posture d’« enfant dĂ©pendant » de son conjoint. Au lieu de se placer en « parent » qui guide et sermonne, elle est restĂ©e dans une posture d’adulte, ce qui a naturellement amenĂ© l’autre Ă  se positionner en adulte aussi.

RĂ©sultat? La discussion a Ă©tĂ© inconfortable, oui. Mais elle s’est terminĂ©e sur une note de maturitĂ© et de reconnaissance. Son conjoint lui a dit :

« Je ne peux pas t’en vouloir. Je sais que tu fais ça pour qu’on s’amĂ©liore et pour qu’on ait une meilleure qualitĂ© de vie familiale. »

Cette cliente est sortie de la conversation fiĂšre d’elle : elle avait posĂ© ses limites, brisĂ© un cycle rĂ©pĂ©titif et surtout
 elle s’était respectĂ©e.

💡 Ce que je retiens de cette histoire, c’est que changer de posture intĂ©rieure change la dynamique entiĂšre. En choisissant l’Adulte plutĂŽt que le Parent sauveur, on redonne Ă  l’autre sa responsabilitĂ© et on sort d’un jeu Ă©puisant.

👉 Est-ce que ce sont des outils qui t’intĂ©resseraient d’apprendre – la communication non-violente et l’analyse transactionnelle – dans un futur oĂč je pourrais recommencer Ă  travailler ?

Une femme marcha un jour au cƓur d’une forĂȘt, guidĂ©e par un pressentiment qu’un trĂ©sor l’attendait, non pas fait d’or ni...
09/27/2025

Une femme marcha un jour au cƓur d’une forĂȘt, guidĂ©e par un pressentiment qu’un trĂ©sor l’attendait, non pas fait d’or ni de pierres, mais de vĂ©ritĂ©s intĂ©rieures. Elle cherchait Ă  comprendre quels animaux totems rĂ©sonnaient avec son Ăąme.

Alors qu’elle avançait, un corbeau surgit dans le ciel. Ses ailes sombres coupaient la lumiĂšre en Ă©clats mystĂ©rieux. Il tourna au-dessus d’elle et vint se poser sur une branche basse. Dans un souffle silencieux, il transmit son message :
« Écoute ton intuition. Les signes sont partout, dans les synchronicitĂ©s et les ombres. L’invisible te parle, si tu oses l’entendre. »
La femme sentit son cƓur vibrer. Oui, elle avait toujours perçu au-delà des apparences.

Plus loin, au dĂ©tour d’un sentier, un loup apparut. Sa prĂ©sence imposante fit battre son cƓur plus vite, mais son regard Ă©tait empli de sagesse. Il n’était pas seul : derriĂšre lui se dessinait la silhouette d’une meute invisible, prĂȘte Ă  la soutenir. Il posa ses yeux dans les siens et dit :
« Sois fidĂšle Ă  ton instinct. Tu es libre comme moi, mais n’oublie pas l’importance du clan, de la loyautĂ© et du courage. Tu n’es jamais seule. »
La femme sentit une force nouvelle monter en elle, celle de l’instinct brut et de l’appartenance.

La forĂȘt s’ouvrit ensuite sur une plaine dorĂ©e qui se transforma en savane infinie. LĂ , avançant avec une lenteur majestueuse, se dressait un Ă©lĂ©phant. Chacun de ses pas faisait vibrer la terre comme un tambour sacrĂ©. Son regard profond, ancien comme le monde, la traversa. Et il lui transmit :
« Avance doucement, mais avance toujours. Ta puissance est dans ton calme, ta mĂ©moire est un trĂ©sor, et ton chemin est solide. La lenteur n’est pas une faiblesse, elle est ta plus grande force. »

Alors la femme comprit.
Ces trois animaux n’étaient pas seulement des rencontres
 ils Ă©taient des miroirs de son Ăąme.
Le corbeau lui donnait les ailes de l’intuition,
le loup, la force de l’instinct et des liens,
et l’élĂ©phant, l’ancrage sacrĂ© dans le prĂ©sent.

Elle sortit de la forĂȘt, guidĂ©e par cette trinitĂ©, sachant que chaque pas dĂ©sormais serait accompagnĂ© de leurs voix.

✹ Hier, j’ai vĂ©cu une expĂ©rience TRANSFORMATRICE lors des mĂ©ditations guidĂ©es par Bernard Werber.Ces voyages intĂ©rieurs ...
09/20/2025

✹ Hier, j’ai vĂ©cu une expĂ©rience TRANSFORMATRICE lors des mĂ©ditations guidĂ©es par Bernard Werber.
Ces voyages intĂ©rieurs m’ont amenĂ©e Ă  revisiter mon enfance, Ă  rencontrer mon inconscient et mĂȘme Ă  plonger dans une vie antĂ©rieure
 Celle de Samira K, une pionniĂšre du fĂ©minin libre et inspirant.

En moins de 24h, tout a pris sens :
– les synchronicitĂ©s avec mon parcours,
– mes attirances pour l’Égypte et le Moyen-Orient,
– un tirage d’Oracle d’il y a quelques annĂ©es,
– et mĂȘme le livre La prophĂ©tie des abeilles que j’ai achetĂ© sans savoir Ă  quel point il me parlerait.

Je comprends aujourd’hui qu’au-delĂ  de mes choix professionnels, ma mission d’ñme est claire : incarner la libertĂ©, la joie et transmettre pour inspirer.
Et pour honorer ce moment, j’ai Ă©crit cette dĂ©claration :

✹ DĂ©claration de Mission d’Âme

Je reconnais aujourd’hui le fil qui traverse mes vies, mes choix et mes Ă©lans.
Je comprends que ma mission n’est pas conditionnĂ©e par ce que je fais pour gagner ma vie.
Ma mission vit en moi, elle respire à travers chaque mot, chaque rencontre, chaque espace que je crée.

Je choisis, dans cette vie, d’incarner la libertĂ© et le bonheur que je mĂ©rite.
Je choisis de mettre mon énergie au service de la guérison du féminin blessé.
Je choisis de transmettre mon savoir, ma voix, ma présence, pour inspirer les autres à se réapproprier leur pouvoir.

Je reprends ma flamme.
Je reprends ma souveraineté.
Je continue le travail de celles qui m’ont prĂ©cĂ©dĂ©e, Ă  ma façon, dans mon Ă©poque.

Je suis libre.
Je suis heureuse.
Et j’inspire la libertĂ© et le bonheur autour de moi.

đŸŒč Et toi, as-tu dĂ©jĂ  vĂ©cu une expĂ©rience de ce genre, oĂč tout s’aligne soudainement et te rappelle ton chemin ?

09/17/2025

✹ Aujourd’hui, une grande page se tourne pour moi. J’ai officiellement envoyĂ© ma demande de radiation de mon entreprise de coaching et pris rendez-vous pour fermer mon compte bancaire d’entreprise.

Je ne te cacherai pas que ça me serre le cƓur. C’est un vrai deuil. Deux ans Ă  tenir bon, Ă  y croire de toutes mes forces, Ă  donner corps et Ăąme dans ce rĂȘve. Mais aprĂšs deux burn-out, j’ai dĂ» me rendre Ă  l’évidence : l’entrepreneuriat n’est pas mon chemin. Et c’est correct. Accepter cette vĂ©ritĂ©, c’est aussi une forme de victoire. 🌿

Cette dĂ©cision n’a pas Ă©tĂ© prise sur un coup de tĂȘte. Elle a Ă©tĂ© longuement rĂ©flĂ©chie, mĂ»rie, pesĂ©e et repesĂ©e. J’ai mis tout mon cƓur dans ce projet, et aujourd’hui, je choisis de l’honorer en le laissant partir.

À partir de maintenant :
đŸšȘ Mon groupe Facebook sera fermĂ©.
đŸ•Šïž Seule ma page restera en ligne, mais sans marketing, sans infolettre, sans chaĂźne YouTube.
✹ Plus de lourdeur, seulement du contenu lĂ©ger, spontanĂ©, partagĂ© sans pression ni obligation.

Je choisis de mettre ma santé en premier. De me donner le temps de guérir. De me rappeler que ma valeur ne se mesure pas en nombre de clients, de likes ou de réussites visibles.

Et mĂȘme si j’arrĂȘte la course folle, je garde l’essence : je continuerai d’offrir mes services, Ă  mon rythme, Ă  celles et ceux qui en ressentent l’appel. Parce qu’accompagner, transmettre, aider
 ça fait partie de moi.

🌌 Je referme ce chapitre avec tristesse mais aussi avec fiertĂ©. Parce que j’ai essayĂ©. Parce que j’ai donnĂ© le meilleur de moi. Parce qu’aujourd’hui, je choisis la vie, la guĂ©rison, et la libertĂ© d’ĂȘtre autrement.

La Victimisation : un rĂŽle qui Ă©touffe les vraies relationsLa victimisation, ce n’est pas juste une mauvaise passe ou un...
09/17/2025

La Victimisation : un rÎle qui étouffe les vraies relations

La victimisation, ce n’est pas juste une mauvaise passe ou un moment de dĂ©couragement. C’est un mode de fonctionnement bien ancrĂ©, souvent inconscient, qui s’installe dans nos relations comme une ombre persistante
 et qui finit par tout brouiller. Elle agit comme une vitre sale entre soi et les autres : plus on essaie de crĂ©er du lien, plus tout paraĂźt terne et dĂ©formĂ©.

🎭 Comment la reconnaütre sans juger ?

Pas besoin d’ĂȘtre psy ou d’avoir une boule de cristal. Le discours de la Victime revient souvent aux mĂȘmes refrains :

« Pourquoi ça m’arrive toujours Ă  moi ? »

« Ce n’est pas de ma faute
 »

« Oui mais
 »

« Tout est contre moi, la vie, la mĂ©tĂ©o, les autres
 »

Et le corps en dit autant que les mots : soupirs, épaules affaissées, airs de résignation, comme si chaque geste était trop lourd à porter.

Pourquoi ce rĂŽle ?

On ne naĂźt pas Victime, on l’apprend. Souvent dans des contextes familiaux oĂč l’amour, l’écoute ou la sĂ©curitĂ© manquaient. On en vient Ă  croire que souffrir ou se plaindre attire enfin l’attention, peut-ĂȘtre mĂȘme un peu d’affection. Alors ce rĂŽle devient une stratĂ©gie de survie
 mais qui finit par coĂ»ter cher.

DerriĂšre la Victime se cachent des peurs profondes : peur d’échouer, d’ĂȘtre rejetĂ©, d’ĂȘtre abandonnĂ©. RĂ©sultat : culpabilitĂ©, honte, et un sentiment constant d’impuissance.

Le piĂšge

Le problĂšme, c’est que ce rĂŽle bloque l’accĂšs Ă  sa propre puissance. On remet le volant de notre vie aux autres : partenaires, proches, collĂšgues
 Comme si le monde entier dĂ©cidait pour nous. On attire la pitiĂ©, mais on Ă©loigne la vĂ©ritable intimitĂ©. Car derriĂšre la plainte se cache souvent une accusation dĂ©guisĂ©e : « Si je souffre, c’est Ă  cause de toi. »

La sortie

ReconnaĂźtre ce rĂŽle en soi, ce n’est pas se condamner, c’est s’ouvrir Ă  la libertĂ©. C’est dire : « Et si je reprenais mes clĂ©s ? »
C’est accepter d’ĂȘtre imparfait mais responsable. De laisser tomber le costume trop serrĂ© de la Victime pour choisir une version plus authentique de soi.

Parce qu’au fond, la vie est dĂ©jĂ  pleine de dĂ©fis rĂ©els. Alors pourquoi se rejouer une tragĂ©die inutile ? On mĂ©rite mieux qu’un rĂŽle de martyre. On mĂ©rite une vie oĂč l’on choisit, oĂč l’on agit, oĂč l’on crĂ©e des relations sincĂšres.

🌌 La clairiĂšre du prĂ©sentIl Ă©tait une fois un sentier de forĂȘt, Ă©troit et couvert d’ombres.Les arbres s’entremĂȘlaient si...
09/11/2025

🌌 La clairiĂšre du prĂ©sent

Il Ă©tait une fois un sentier de forĂȘt, Ă©troit et couvert d’ombres.
Les arbres s’entremĂȘlaient si densĂ©ment que la lumiĂšre avait l’air d’avoir disparu. Chaque pas rĂ©sonnait dans un silence pesant, et celui qui marchait sur ce chemin avait l’impression que le bout de la route Ă©tait encore trĂšs, trĂšs loin.

Il avançait, le regard fixĂ© droit devant, comme s’il espĂ©rait qu’au terme du chemin, enfin, il trouverait un peu de clartĂ©. « Si je continue, si je tiens bon, peut-ĂȘtre qu’au bout il y aura la lumiĂšre », pensait-il, parfois dĂ©couragĂ©.

Mais voilĂ  : Ă  force de fixer l’horizon invisible, il ne vit pas d’abord ce qui se passait autour de lui. Car au dĂ©tour d’un pas, sans prĂ©venir, les branches s’écartĂšrent lĂ©gĂšrement, et un rayon Ă©clata, puissant, Ă©claboussant la forĂȘt d’une clartĂ© soudaine.

Ce n’était pas la fin du chemin. Ce n’était pas le but.
C’était juste
 l’instant prĂ©sent.

Et dans cet instant, il comprit : la lumiĂšre n’est pas toujours au bout. Elle ne se cache pas uniquement dans les promesses lointaines ou les lendemains idĂ©alisĂ©s. Parfois, elle surgit au milieu du chemin, lĂ  oĂč on ne s’y attend pas. Elle se dĂ©voile dans une brĂšche, un souffle, une ouverture minuscule, mais suffisante pour rĂ©chauffer le cƓur.

Alors il leva les yeux. Les feuilles, teintĂ©es d’or par la clartĂ©, semblaient danser pour lui. Le silence, autrefois oppressant, vibrait maintenant comme une mĂ©lodie discrĂšte.
Il rĂ©alisa que la lumiĂšre n’était pas quelque chose Ă  atteindre, mais quelque chose Ă  accueillir, ici, maintenant, Ă  chaque pas.

Et depuis ce jour, il marcha différemment : non plus pressé de trouver la fin, mais attentif à laisser la lumiÚre le surprendre à chaque détour.

✹ Essence mĂȘme :
La clartĂ© ne se trouve pas seulement au bout du chemin, elle peut surgir dans le prĂ©sent, dans l’inattendu, si nous acceptons de lever les yeux et d’ĂȘtre disponibles pour la recevoir.

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