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Institut AAT Nous sommes un Institut d'apprentissage continu et pratique - We are an Institute for continuous and practical learning - Naturopathie - Naturopathic

Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous dépendants de la dopamine... La bonne nouvelle, c’est qu’on peut choisir d’où ...
10/24/2025

Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous dépendants de la dopamine...
La bonne nouvelle, c’est qu’on peut choisir d’où elle provient. Notre cerveau est conçu pour rechercher la satisfaction, mais il nous appartient de décider si cette satisfaction viendra d’un effort constructif ou d’un plaisir éphémère.

Aujourd’hui, tout est à portée de main : le défilement infini des réseaux sociaux, les vidéos courtes, la gratification instantanée. Cette « cheap dopamine » rend chaque effort plus difficile, car le cerveau, comme le corps, cherche naturellement à économiser son énergie. Moins on sollicite sa capacité à patienter ou à persévérer, plus elle s’atrophie.

Apprendre à rediriger sa dopamine vers des sources plus saines, comme le mouvement, l’apprentissage ou la créativité, change littéralement la chimie du cerveau. Il ne s’agit pas d’éliminer le plaisir, mais de le replacer dans un contexte plus durable.

Alors la prochaine fois que vous vous surprendrez à faire du doom scrolling, mettez votre téléphone de côté, sortez prendre l’air ou utilisez cette même technologie pour nourrir votre esprit plutôt que de le vider.

10/20/2025

Pourquoi choisir l’Institut AAT pour devenir naturopathe? 🌱✨

10/09/2025

🆘Il y a RIEN à faire avec ma digestion!!! 🆘

✨ Le ‘’que faire’’ pour toi ici!
Ps: Le Gutrestore de NIH est un supplément très efficace pour t’aider avec ta digestion, mais (encore et toujours) une fois que tu as optimisé ton mode de vie/paramètres🙏✨

La testostérone a mauvaise presse ou trop de hype, selon le camp où on se trouve. D’un côté, on l’accuse d’agressivité, ...
10/08/2025

La testostérone a mauvaise presse ou trop de hype, selon le camp où on se trouve. D’un côté, on l’accuse d’agressivité, de calvitie ou de comportements « toxiques ». De l’autre, on la glorifie comme l’hormone ultime de la virilité, de la motivation et de la performance.

Comme toujours, la vérité est entre les deux. Oui, la testostérone est une hormone clé. Elle influence la libido, la masse musculaire, la densité osseuse, l’énergie et même l’humeur. Mais elle n’est pas tout. Et surtout, elle est hautement influencée par le mode de vie.

Un manque de sommeil, une alimentation trop riche en sucres rapides, un excès de stress chronique, l’alcool, les perturbateurs endocriniens… tout ça fait chuter les niveaux ou déséquilibre la balance œstrogènes/androgènes. Pire : même avec une testostérone « normale » sur papier, vous pouvez avoir des symptômes si vos récepteurs sont désensibilisés.

Et non, prendre des boosters ne règle pas ça. On ne force pas le système à mieux fonctionner avec plus d’agents stimulateurs. On commence par retirer les freins : stress oxydatif, inflammation, surcharge hépatique. Ensuite, on reconstruit : bons gras, bon sommeil, entraînement intelligent.

La testostérone est un miroir de votre hygiène de vie. Avant de vouloir l’augmenter, commencez par gagner le respect de votre biologie.

Malheureusement, dans le monde où l’on vit, il est difficile de faire comprendre aux gens qu’il faudra du temps pour ren...
10/06/2025

Malheureusement, dans le monde où l’on vit, il est difficile de faire comprendre aux gens qu’il faudra du temps pour renverser les dommages et les différentes adaptations que leur corps a faites au fil des années pour compenser certaines habitudes.

On cherche la rapidité, l'efficacité, les résultats « maintenant ». Mais le corps humain n’est pas un interrupteur. C’est un système adaptatif, complexe, qui a mis des années à désapprendre certaines fonctions pour survivre à un environnement stressant, une alimentation carencée ou un sommeil de mauvaise qualité. Penser qu’un supplément ou un changement alimentaire de deux semaines va tout régler, c’est comme croire qu’un pansement va guérir une fracture.

Oui, on peut stimuler certains systèmes rapidement : digestion, énergie, concentration. Mais est-ce réellement une guérison ou juste un effet cosmétique sur une machine épuisée ? Accélérer les choses sans respecter les phases nécessaires de réparation, de désintoxication naturelle, de reprogrammation métabolique… c’est souvent aggraver le problème à long terme.

La vraie médecine — qu’elle soit naturelle ou conventionnelle — demande du temps, de l’écoute, et de la cohérence. Il faut redonner au corps ce dont il a été privé : constance, repos, nutriments essentiels, équilibre psychologique, et surtout, du respect.

Alors oui, on pourrait toujours aller plus vite. Mais dans le bon sens, pas dans le mur.

La dissonance cognitive, c’est cet inconfort mental ressenti lorsqu’une personne est confrontée à des informations qui c...
10/02/2025

La dissonance cognitive, c’est cet inconfort mental ressenti lorsqu’une personne est confrontée à des informations qui contredisent ses croyances, habitudes ou valeurs. Et dans un domaine où plusieurs approches coexistent — certaines rigoureuses, d'autres franchement douteuses — la tension est palpable.

Voici quelques exemples typiques :

· Chez le client : une personne convaincue que « naturel = sécuritaire » résiste à l’idée que certaines plantes ou suppléments puissent être contre-indiqués, interagir avec des médicaments, ou avoir des effets secondaires. Même avec des données claires, elle peut rejeter l’information pour préserver son système de croyance.

· Chez le praticien : quelqu’un qui a toujours défendu une idée (ex. : les cures de détox à répétition, l’éviction stricte des produits laitiers ou le mythe de l’alimentation « acide-alcaline ») peut rejeter la recherche ou les données contradictoires simplement parce que cela remet en question ses fondations professionnelles. Ce n’est pas une question d’intelligence, mais de protection identitaire.

· Chez les formateurs ou influenceurs : lorsqu’ils ont construit une audience autour d’un message précis, admettre qu’ils se sont trompés devient presque impossible sans perdre la face, le statut ou les revenus. D’où le maintien de certains discours, même quand la science évolue.

Reconnaître la dissonance cognitive, c’est accepter qu’il faut parfois déconstruire pour mieux reconstruire. C’est inconfortable, mais nécessaire pour faire progresser une approche intégrative qui reste crédible, humble… et utile.

On parle souvent de la vitamine D comme d’un nutriment essentiel pour la santé osseuse. Mais la réalité est bien plus co...
09/26/2025

On parle souvent de la vitamine D comme d’un nutriment essentiel pour la santé osseuse. Mais la réalité est bien plus complexe et fascinante.

En fait, la vitamine D n’est pas une vitamine au sens classique, mais plutôt une prohormone aux effets systémiques profonds.

Produite principalement par la peau sous l’effet des rayons UVB, la vitamine D influence bien plus que le métabolisme du calcium. Elle joue un rôle crucial dans l’immunité innée, la modulation de l’inflammation, la santé mitochondriale, et même la régulation de certains gènes liés à la réparation cellulaire.

Ce qui est souvent négligé dans les discussions populaires, c’est la variabilité interindividuelle du besoin en vitamine D. Deux personnes exposées au même soleil et consommant les mêmes aliments peuvent avoir des niveaux sanguins très différents. Pourquoi ? Génétique (polymorphismes sur VDR ou CYP27B1), surpoids, inflammation chronique, diabète, certains médicaments (anticonvulsivants, glucocorticoïdes, IPP), ou encore carence en magnésium, qui agit comme cofacteur dans l’activation de la vitamine D.

Autre point clé : une concentration dite « normale » de 75 nmol/L dans le sang n’implique pas nécessairement une activité optimale de la forme active (1,25(OH)₂D). Ce désalignement est parfois qualifié de « carence relative », un concept encore peu reconnu mais crucial pour une approche plus personnalisée de la supplémentation.

En bref, bien connaître la vitamine D, c’est comprendre qu’elle agit à la croisée de plusieurs systèmes. Il ne suffit pas de mesurer un chiffre une fois par an. C’est un indicateur dynamique, influencé par l’environnement, la physiologie et le métabolisme.

Lorsqu'on parle de santé, on regarde souvent l’alimentation et pour cause, celle-ci est un des facteurs sur lequel nous ...
09/22/2025

Lorsqu'on parle de santé, on regarde souvent l’alimentation et pour cause, celle-ci est un des facteurs sur lequel nous avons le plus de contrôle et aussi celui où l’être humain semble l’avoir échappé.

On a qu’a penser au Hamburger fait de beigne et de barre Mars frite pour voir que l’humain a un gros problème avec ses papilles gustatives et son cerveau.

Cependant, c’est dans le mode de vie où les gens comprennent vraiment moins bien l’impact que celui-ci peut avoir sur la santé.
Par exemple, plusieurs études démontrent que le manque de sommeil mène souvent à un gain de poids par différent mécanisme comme un mauvais contrôle de l’appétit ou de mauvais choix alimentaire.

Mais ce n’est pas tout. La sédentarité, l’exposition chronique à la lumière artificielle en soirée, le stress psychosocial constant et le manque de temps passé en nature ont tous des effets délétères documentés sur la santé métabolique, le système immunitaire et la régulation hormonale.

En d'autres mots, même avec une alimentation optimale, un mode de vie inadéquat peut saboter les résultats. Des chercheurs ont d’ailleurs montré que l’activité physique régulière, le rythme circadien respecté et une bonne gestion du stress améliorent la sensibilité à l’insuline et diminuent le risque de plusieurs maladies chroniques.

Il est donc temps de regarder plus large!

Est-ce que le cholestérol est toujours d’actualité quand on parle de la santé cardiovasculaire ? Dans les années, 70 et ...
09/17/2025

Est-ce que le cholestérol est toujours d’actualité quand on parle de la santé cardiovasculaire ?

Dans les années, 70 et 80, on avait mis l’emphase sur la réduction accrue de la consommation de cholestérol pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires, mais selon les données cette stratégie n’a pas tellement bien fonctionné, car on peut difficilement isoler un paramètre ou un groupe d’aliment et le blâmer pour une condition multifactorielle.

Depuis, plusieurs études ont montré que le cholestérol alimentaire influence peu le cholestérol sanguin chez la majorité des individus. Ce sont plutôt les lipoprotéines, comme le LDL oxydé, qui jouent un rôle dans le développement de l’athérosclérose.
Des marqueurs comme le ratio ApoB/ApoA1 ou la taille des particules LDL sont désormais considérés plus prédictifs que le simple taux de cholestérol total.

De plus, une inflammation chronique de bas grade, un stress oxydatif élevé et une résistance à l’insuline semblent contribuer davantage à la formation de plaques.

Ainsi, une diète riche en antioxydants, en fibres solubles et en acides gras insaturés (oméga-3 notamment) a plus d’impact sur la réduction du risque cardiovasculaire qu’une simple réduction du cholestérol alimentaire.

La science actuelle pousse donc à une approche plus globale et individualisée, plutôt qu’à la diabolisation d’un seul nutriment.

Aujourd'hui c'est la fête de notre directrice. Joignez-vous à nous pour lui souhaiter une tres belle journée de fête. Bo...
09/01/2025

Aujourd'hui c'est la fête de notre directrice. Joignez-vous à nous pour lui souhaiter une tres belle journée de fête. Bonne fête Melody Comtois-Bonin, Naturopathe et coach privée

Il n’est pas rare maintenant de connaître des plantes qui peuvent vous aider avec votre stress, et parmi les différentes...
06/23/2025

Il n’est pas rare maintenant de connaître des plantes qui peuvent vous aider avec votre stress, et parmi les différentes plantes adaptogènes utilisées couramment, l’ashwagandha est sûrement l’une des plus connues. Cette plante est utilisée en médecine ayurvédique depuis des centaines d’années pour ses propriétés apaisantes mais aussi pour son effet tonique sur l’énergie et la vitalité sexuelle.

Mais ce n’est pas parce qu’on connaît le mot ashwagandha qu’on comprend bien tout ce qu’elle peut faire. Et encore moins qu’on sait que ses effets peuvent varier selon la partie de la plante utilisée, le mode d’extraction et le dosage.

Classée comme plante “rasayana” dans l’Ayurvéda, l’ashwagandha est historiquement utilisée pour :

· Apaiser le système nerveux, réduire l’anxiété, l’agitation mentale et la fatigue émotionnelle.
· Favoriser un sommeil réparateur, sans créer d’effet de sédation abrupte.
· Soutenir la libido et la fertilité, autant chez l’homme que chez la femme, grâce à son effet tonique et équilibrant.
· Renforcer le système immunitaire, surtout dans les périodes de stress chronique ou de convalescence.
· Augmenter l’endurance physique et mentale, en soutenant les glandes surrénales et la réponse au stress.
· Soutenir la mémoire et la concentration, notamment en cas de fatigue mentale ou de surcharge cognitive.

Il existe des types d’extraits, comme le KSM-66, qui est particulièrement reconnu pour :

· Réduire le taux de cortisol,
· Améliorer la qualité du sommeil,
· Soutenir la performance physique et la récupération,
· Augmenter la testostérone libre (dans certaines populations masculines),
· Favoriser la concentration et l’attention.

Enfin, l’ashwagandha sous forme traditionnelle (plante entière) conserve toute sa pertinence, notamment dans une perspective holistique, lorsqu’elle est bien dosée et intégrée dans une formule complémentaire. Elle agit souvent de façon plus douce, progressive et équilibrée — ce qui en fait un excellent choix dans un contexte de gestion du stress à long terme, en association avec d’autres plantes adaptogènes.

Beaucoup consultent pour un manque d’énergie mentale ou de concentration… mais on oublie souvent que le cerveau, lui aus...
06/19/2025

Beaucoup consultent pour un manque d’énergie mentale ou de concentration… mais on oublie souvent que le cerveau, lui aussi, a besoin de repos, de carburant stable et d’un environnement propre.

Si votre glycémie joue au yo-yo, que vous manquez de sommeil ou que votre corps accumule trop de déchets métaboliques, il ne faut pas s’étonner que la tête suive difficilement.

Oui, il existe des nootropiques pour donner un coup de pouce temporaire… Mais si vous voulez un vrai changement, il va falloir aller à la racine du problème.

👉 Parlez-en à votre naturopathe.

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