Émilia Sirois, clinique Vert la source

10/31/2025

Ça s’en vient… et tu vas shiner comme jamais cet hiver.

Une belle offre de programme alimentaire, de bien-être et d’astuces pour prendre soin de ton inflammation et de ton bedon 🫶

10/31/2025

Soutenez la santé intégrative, en aidant Genevieve vous aidez aussi la cause et à ce que les lois et interventions changent au Québec

Bonjour, nous sommes deux amies de Geneviève Labonté-Chartran… Sophie Carrière a besoin de votre soutien pour Soutenons Geneviève Labonté-Chartrand - Santé intégrative

10/31/2025

Libérer l’inflammation par le jeûne selon mon cycle féminin

Après 20 heures de jeûne intermittent — comme je le pratique souvent selon mon cycle féminin — je savoure mon premier repas : une soupe de poulet maison, préparée avec mon bouillon d’os et un peu du gras du poulet (recette dans les photos)

Simple, réconfortant, vivant. Le corps retrouve son rythme après un temps de repos digestif.

Et pendant que je mange, j’ouvre Le Grand Livre du jeûne, d’Évelyne Borduas-Roy, médecin, et Sophie Rolland, neuroscientifique.

Un ouvrage québécois, enfin !
Je tripe. Parce que tout ce que j’expérimente depuis des années — dans mon corps et dans ma pratique — s’y retrouve, expliqué avec rigueur et clarté.

💡 Le jeûne, c’est bien plus qu’une tendance :
c’est une réponse biologique qui réveille la capacité d’auto-guérison du corps.

Voici quelques-uns de ses effets démontrés :
• améliore la flexibilité métabolique ;
• active le recyclage cellulaire (autophagie) ;
• réduit le taux de glucose et d’insuline ;
• stimule l’hormone de croissance ;
• diminue le stockage des graisses ;
• aide à prévenir plusieurs maladies inflammatoires ;
• améliore la clarté mentale et la stabilité énergétique ;
• favorise la régénération et la longévité.

Mais quand on le pratique en lien avec le cycle féminin, les effets se multiplient : on honore les phases de création, de repos, de feu et d’intuition.

On cesse de forcer le corps à performer constamment et on réapprend à écouter ses rythmes naturels.

Et détrompez-vous, celles qui sont ménopausées : vous sécrétez toujours des hormones, et ça s’applique à vous aussi.

Et c’est là que j’accompagne mes clientes : avant d’introduire le jeûne, je les aide à réguler leur système nerveux, à stabiliser leur alimentation et à réduire leur inflammation.

Parce qu’un corps stressé ne peut pas se réparer.

Le jeûne devient alors un prolongement naturel d’un terrain apaisé, nourri et prêt à se régénérer.

10/30/2025

🌿 Le jeûne, ça se prépare 🌿

Saviez-vous que le jeûne peut être un outil thérapeutique extraordinaire — lorsqu’il est bien compris et pratiqué dans un contexte approprié?

Je cite ici Dre Évelyne Borduas, médecin certifiée en médecine de l’obésité, qui explique avec justesse que le jeûne intermittent est une approche non médicamenteuse prometteuse pour soutenir le métabolisme, la gestion du poids et la santé cardiométabolique.

Son livre Le Grand Livre du Jeûne, écrit avec la neuroscientifique Sophie Rolland, est une référence incontournable sur le sujet (disponible sur leslibrairies.ca ou sur cuisinemed.com).

Avant de plonger dans la pratique du jeûne, il est essentiel de préparer le corps et le système nerveux :

🌱 1. Réguler le système nerveux:
Le jeûne stimule les mécanismes d’adaptation. Si le corps est déjà en mode survie (fatigue, anxiété, stress chronique), il risque de percevoir le jeûne comme une agression plutôt qu’une voie de régénération.

🥦 2. Mettre en place une alimentation anti-inflammatoire:
Alléger la charge inflammatoire permet au corps de mieux traverser les périodes sans nourriture : bouillons, légumes frais, bonnes graisses, protéines digestes, cuisson douce… Une base stable diminue les inconforts liés à la transition métabolique.

🍯 3. Réduire progressivement le sucre et les stimulants:
Lorsque l’organisme dépend du sucre rapide ou du café pour fonctionner, la glycémie devient instable et le jeûne plus difficile. Réduire ces sources favorise une énergie plus constante et une meilleure écoute des signaux corporels.

✨ Et c’est par la pratique du jeûne que la flexibilité métabolique s’installe réellement :

Lecorps apprend à passer d’un métabolisme glucidique à un métabolisme lipidique, à produire ses propres corps cétoniques et à réguler la production de neurotransmetteurs comme la dopamine, la sérotonine et le GABA — favorisant ainsi la clarté mentale, la sérénité et la vitalité.

Le jeûne n’est pas une privation : c’est une reconnexion à la sagesse naturelle du corps.

Dans la nature, les animaux ne trouvent pas toujours leur nourriture idéale, et pourtant leurs taux de maladies inflammatoires sont quasi inexistants.

Leur instinct les amène naturellement à alterner entre périodes d’abondance et périodes de jeûne — un rythme que notre physiologie humaine reconnaît encore profondément. 🌙

10/29/2025

Périménopause et ménopause, quand le passage devient inflammatoire

Parce que notre rythme de vie moderne ne respecte pas la physiologie féminine.

La femme d’aujourd’hui enfante, travaille, performe et prend soin de tout autour d’elle, souvent sans véritable période de repos ni de retour à soi.

Elle évolue dans un monde calibré sur le rythme masculin — productif, linéaire, constant — alors que son système hormonal est cyclique, sensible et adaptatif.

Sous l’effet du stress chronique, elle produit davantage de cortisol et de testostérone, deux hormones qui, en excès, perturbent le système nerveux et épuisent les glandes surrénales.

Cette dérégulation favorise l’inflammation silencieuse, qui se manifeste ensuite par :
• une prise de poids ou de la rétention d’eau,
• des bouffées de chaleur,
• de la fatigue chronique,
• et des douleurs persistantes.

À cela s’ajoute une alimentation moderne trop riche en sucres et en céréales, qui nuit à la flexibilité métabolique.

Avec l’âge, le métabolisme ralentit et le corps devient moins capable de compenser — les déséquilibres se manifestent alors plus fortement.

Enfin, le bagage émotionnel accumulé au fil des années agit comme une pression invisible sur le système nerveux.

Quand le mental porte trop, le corps finit toujours par parler.

✨ Retrouver la vitalité à cette étape de vie, c’est possible et même c’est ce que les hormones créent car la femme devient moins porté par les autres et être à leur service mais plutôt à prendre soin d’elle💙🙏💙.

Cela passe par la reconnexion au rythme féminin, la réduction du stress, une alimentation anti-inflammatoire adaptée et un travail sur les émotions retenues.

Je suis tellement heureuse de passer par la , je marche ce chemin et le partage pour vous inspirer les secrets que la nature nous offre 🥰

10/27/2025

🌿 Comprendre les toxines naturelles pour éviter l’inflammation quotidienne

Ce matin, sur un groupe dédié à la santé intestinale et au microbiote, j’ai trouvé cette fiche créée par Éric Simard, chercheur, que je tenais à partager ici — puisqu’on parle souvent des mêmes sujets.

J’aime étudier la provenance de la “toxicité” dans les aliments, car mère Nature, dans sa perfection, a prévu ces composés pour protéger le règne végétal.

Ces substances — saponines, lectines, oxalates, phytates — ne sont pas “mauvaises” en soi.

Elles nous rappellent simplement que l’équilibre digestif et l’inflammation quotidienne sont intimement liés à la manière dont nous préparons et consommons les végétaux.

💡 La modération demeure mon moteur d’action, surtout lorsqu’il s’agit du plaisir de manger.

Mais lorsqu’on cherche à apaiser un terrain inflammatoire, il devient parfois nécessaire d’adopter des règles plus strictes, le temps de restaurer l’équilibre et la vitalité du système digestif.

Cette fiche illustre les principales sources de toxines naturelles du règne végétal — et les gestes simples qui permettent de les neutraliser :
👉 Trempage, cuisson, germination, fermentation…

Des pratiques traditionnelles qui rendent les aliments plus digestes, moins irritants et mieux tolérés par l’intestin.

Parce qu’au fond, comprendre ces mécanismes, c’est aussi honorer la sagesse de la nature plutôt que de la craindre.

10/22/2025

Qui dit moins de stress, dit aussi moins d’inflammation.

Bon… peut-être pas scientifiquement parlant — mais presque 😉 !

Parce que quand on rit, qu’on savoure, qu’on relâche la tension et qu’on arrête de culpabiliser, le corps sécrète plus de sérotonine et de dopamine, ce qui réduit le cortisol (l’hormone du stress).

Alors oui, le plaisir aussi est thérapeutique 🌿
Et pour soutenir ton corps dans cette même direction, voici mes 5 tops aliments anti-inflammatoires :

1. Les algues non bouillies 🌊
Ajoutées crues ou légèrement réhydratées, elles apportent des minéraux biodisponibles (iode, magnésium, zinc, sélénium) qui alcalinisent le terrain.

Leur richesse en antioxydants marins aide à neutraliser les radicaux libres et à soutenir la détoxification hépatique.

2. Les fines herbes fraîches et les épices 🌱
Coriandre, curcuma, persil, romarin, gingembre…

Ces plantes activent les enzymes hépatiques, stimulent la circulation lymphatique et modulent naturellement la réponse inflammatoire.

3. Les lacto-fermentations 🥬
Riches en probiotiques vivants, elles soutiennent la flore intestinale, qui joue un rôle majeur dans la régulation de l’inflammation.

Elles renforcent aussi l’absorption des minéraux et la tolérance alimentaire.

4. La viande bouillie longtemps dans l’eau avec du sel 🍲

Cuire la viande à basse température, sans la griller, préserve ses acides aminés essentiels tout en évitant la production de composés toxiques (amines hétérocycliques, produits de glycation).

Le sel naturel favorise la reminéralisation et soutient la récupération nerveuse.

5. Les bouillons d’os 🦴
Riches en collagène, glycine et glutamine, ils nourrissent la muqueuse intestinale et diminuent la perméabilité — une cause fréquente d’inflammation systémique.

Ils favorisent aussi la production de bile et la réparation articulaire.

🕊️ Rire, savourer, se nourrir du vivant — c’est tout ça, la vraie santé du quotidien.

Ne t’identifie pas à la personne que tu crois devoir être, mais à ton essence d’amour véritable 💜🩷💜

10/17/2025

🔥 Quand l’inflammation parle la langue de la colère refoulée

Il existe plusieurs visages de la colère.
La colère explosive, visible, qu’on reconnaît facilement.

Et celle plus insidieuse, parfois dissociée, qui ne fait pas de bruit mais enflamme le corps de l’intérieur.

Lorsqu’elle ne peut être ressentie ni exprimée, la colère se transforme : en irritation constante, en fatigue nerveuse, en agressivité passive ou en distance émotionnelle.

Elle se cache derrière un sourire, un excès de contrôle, une tension dans la mâchoire ou une inflammation qui persiste sans cause apparente.

Et parfois, ce qu’on croit être de la colère…
n’en est pas vraiment.

C’est du désespoir, une douleur ancienne qui n’a jamais trouvé d’espace pour se dire.

Cette colère non reconnue devient alors inflammation émotionnelle et physique.

Le système nerveux sature,
le foie peine à métaboliser le trop-plein,
et le corps se met à parler à travers les tissus :
il exprime ce que la conscience a dû taire pour survivre.

Accueillir la colère, ce n’est pas la contenir ni la rejeter, c’est lui redonner une voie de mouvement,
lui permettre de redevenir une énergie vivante,
au service de la vérité, de la clarté et de la sécurité intérieure.

Des pratiques comme le shaking, la respiration consciente ou l’écriture intuitive aident à libérer cette charge avant qu’elle ne se cristallise en douleur, inflammation ou auto-sabotage.

Et si, derrière certaines inflammations,
il y avait tout simplement une émotion refoulée qui cherche à revenir à la vie ?

10/16/2025

🌿 Salade fenouil & citron — qui reste savoureuse même oubliée au frigo

Certaines salades deviennent encore meilleures quand on les oublie un peu.

Inspirée du régime GAPS, cette version se conserve plusieurs jours sans perdre sa vitalité ni sa saveur.

🥗 Ingrédients pour 4 à 6 portions

• 2 bulbes de fenouil, coupés en fines lamelles ou en dés
• Le jus et le zeste d’un citron
• ½ bouquet de coriandre fraîche ciselée
• Quelques fanes de fenouil pour décorer
• 2 c. à soupe d’huile d’olive
• 2 c. à thé d’huile de sésame grillé (pour une touche aromatique et antioxydante)
• 1 tasse d’algues (dulse, wakamé ou laitue de mer — reminéralisantes et alcalinisantes)
• Sel de mer et poivre au goût

🌀 Préparation
1. Retirer les feuilles abîmées du fenouil et couper les bulbes en fines lamelles.

2. Ajouter le jus et le zeste du citron, la coriandre, les fanes et les algues.

3. Verser l’huile d’olive et l’huile de sésame grillé.

4. Mélanger délicatement et laisser reposer au moins 30 minutes au réfrigérateur avant de servir.

💚 Propriétés du fenouil

• Calme les ballonnements et les spasmes digestifs grâce à l’anéthol, une molécule carminative.

• Favorise la production de bile et la détox hépatique.

• Riche en vitamine C, potassium et fibres, il soutient la régulation nerveuse et intestinale.

✨ Cette salade est parfaite pour accompagner un repas chaud, garnir un bol nourrissant ou servir de base à un lunch vivant et léger.

10/15/2025

⭐⭐⭐⭐⭐

Yoga avec Marie-Josée
Excellente approche. Beaucoup d’expérience. Elle m’aide énormément avec mon inflammation.

⸻

🌿 Je marche ce chemin, encore et encore…

Ce chemin, c’est celui de la guérison, de la conscience, du retour vers soi.

Et chaque pas que je fais m’enseigne un peu plus sur la vie, sur le corps, sur l’humain.

Si je ne marchais pas ce chemin, je ne pourrais pas accompagner les autres comme je le fais.

Mes souffrances, mes déséquilibres et mes épreuves sont devenus mes plus grands maîtres.

Prendre soin de moi d’abord, pour apprendre à prendre soin des autres avec justesse et authenticité.

J’ai déjà été une excellente thérapeute,
mais aujourd’hui, je deviens chaque jour une thérapeute plus vraie, parce que je continue d’avancer, de me libérer, de me comprendre.

Chaque soin, chaque rencontre, chaque silence me rapproche de mon être, et de cette paix que je découvre un peu plus chaque jour.

Avec amour,
💚
Émilia

10/14/2025

🥣 Bouillons et viandes bouillies : une alliance douce et anti-inflammatoire

Quand la viande et les os mijotent lentement dans l’eau, à basse température (jusqu’à 230 °F / 110 °C), la transformation se fait en douceur.

Aucune carbonisation, aucune oxydation, aucune molécule toxique ne se forme.

Seulement la lente libération de nutriments vivants qui nourrissent, calment et réparent.

🦴 Le bouillon de viande est un aliment complet, idéal en phase de régénération.

Préparé avec des morceaux de viande, de la peau et des articulations, il cuit de 2 à 6 heures selon la source animale.

Son goût est doux, son effet profondément apaisant.

Il est riche en glycine et en proline, deux acides aminés qui soutiennent la réparation tissulaire, la santé du foie et la détente du système nerveux.

Il calme l’intestin sans le surstimuler : parfait pour les personnes fatiguées, hypersensibles, ou en phase de récupération digestive.

🦴 Le bouillon d’os, lui, demande du temps.

En cuisant 24 à 48 heures, il libère du collagène, de la gélatine, de la glutamine et des minéraux biodisponibles.

La gélatine protège la muqueuse digestive, soutient la régénération des tissus conjonctifs et améliore l’absorption des nutriments.

C’est un bouillon de reconstruction profonde, qui nourrit aussi le système nerveux grâce à la moelle osseuse et ses phospholipides.

🥩 La viande bouillie garde, elle aussi, une valeur thérapeutique remarquable.

Cuite dans un milieu humide et stable, elle conserve l’intégrité de ses protéines et de ses graisses.

Elle reste digeste, nourrissante et apaisante, sans former de composés oxydants comme les AGEs.

Elle favorise la récupération musculaire et cellulaire tout en préservant l’équilibre digestif et nerveux.

💛 Ensemble, bouillons et viandes bouillies apportent sécurité, chaleur et régénération.

Ils rappellent que la guérison ne vient pas de la restriction, mais de la justesse et de la lenteur — celles qui permettent au corps de se réparer, une cuillerée à la fois.

10/13/2025

🌾 Le gluten : une “colle” qui nourrit l’inflammation silencieuse

Le mot gluten vient du latin glue, qui signifie “colle”.

Et c’est exactement ce qu’il fait : il relie les molécules d’amidon pour donner au pain sa texture moelleuse et élastique.

Mais cette colle agit aussi dans notre corps.

Les travaux du Dr Alessio Fasano, professeur à Harvard, ont montré que le gluten stimule la production de zonuline, une protéine qui augmente la perméabilité intestinale — même chez les personnes non cœliaques.

Cette ouverture de la barrière intestinale permet à des fragments de protéines et à des molécules inflammatoires de circuler dans le sang.

Le système immunitaire réagit alors, créant un état d’inflammation chronique de bas grade.

Comme l’explique Jacqueline Lagacé dans ses ouvrages sur l’alimentation hypotoxique inspirée du Dr Jean Seignalet, cette inflammation de fond peut se manifester de multiples façons : troubles digestifs, douleurs articulaires, fatigue persistante, réactions cutanées ou brouillard mental.

Le gluten n’est donc pas seulement un problème pour les personnes intolérantes ou cœliaques : il constitue un facteur irritant, dont l’impact dépend du terrain, de la fréquence d’exposition et de la capacité du corps à se régénérer.

Cesser d’ingérer de la toxicité, réduire les sources d’inflammation par l’alimentation, et permettre au corps de faire son travail de nettoyage et de régénération chaque jour, c’est offrir aux tissus, aux cellules et aux émonctoires les conditions nécessaires à l’équilibre, à la clarté et à la vitalité.