Access Bars et Coaching Sophie Chevalier

Access Bars et Coaching Sophie Chevalier Accompagnement individualisé et personnalisé, adapté selon votre besoin. Services : séances énergétiques & coaching

SERVICES :

Access Bars
Technique énergétique se pratiquant sur 32 points situés au niveau de la tête qui, lorsqu'ils sont délicatement touchés, relâchent, sans efforts et avec facilité, les pensées, les idées, les croyances, les émotions et les considérations qui t'arrêtent dans la création d'une vie que tu aimes. Coaching
Accompagnement qui met l'emphase sur les actions que le client a l'intention de mettre en place dans le but de réaliser son objectif. Le coaching amène le client à se questionner sur lui-même (besoin, objectif, force, moyens...)afin de l'aider à utiliser des solutions dans son quotidien qui correspondent à ses attentes selon ses choix. Relation d'aide
Accompagnement qui repose sur l'interaction entre le thérapeute et son client par des techniques douces telles que l'écoute bienveillante, l'empathie, l'authenticité et le regard positif inconditionnel. Cette méthode a pour but de favoriser chez l'autre la croissance, le développement, la maturité, un meilleur fonctionnement et une meilleur capacité d'affronter la vie en vue d'améliorer l'état de bien-être de celui-ci.

11/02/2025

♥️

09/18/2025

J’ai croisé une citation qui disait :

Tu seras toujours perçu comme courageux aux yeux de certains et lâche aux yeux d’autres, fort pour certains et fragile pour d’autres, bon pour certains et terrible pour d’autres.
Pour certains, ta présence sera un poids, tandis que pour d’autres, elle sera un réconfort.
Certains ressentiront de l’anxiété à tes côtés, tandis que d’autres trouveront en toi une source de paix.
Aux yeux de certains, tu seras "trop", alors que pour d’autres, tu seras un véritable cadeau.

Le monde ne te regardera jamais avec des yeux neutres ; chacun te verra à travers le prisme de sa propre subjectivité.
Jamais il ne s’accordera sur une définition unique de qui tu es.

Alors, autant vivre d’une manière qui résonne avec ton cœur.

-Auteur inconnu
Art : Hayk Shalunts

Le monde littéraire

09/07/2025

Quand quelqu’un vient vers toi avec une rumeur… rappelle-toi du test des trois filtres de Socrate.

Un jour, dans la Grèce antique, un homme s’approcha de Socrate, tout excité :
— « Tu veux savoir ce que j’ai entendu sur ton ami ? »

Socrate répondit calmement :
— « Attends un instant. Avant de parler, faisons passer cela à travers trois filtres. »

— « Trois filtres ? »
— « Oui. Le premier est la vérité : es-tu certain que ce que tu veux me dire est vrai ? »
— « Eh bien… non. On me l’a simplement raconté. »

— « Je comprends. Deuxième filtre : la bonté. Ce que tu veux me dire est-il quelque chose de positif ? »
— « Non, au contraire… »

— « Donc tu veux me dire quelque chose de négatif, sans être sûr que ce soit vrai. Voyons le troisième filtre : l’utilité. Est-ce que cela m’apporte quelque chose de bon de le savoir ? »
— « Pour être honnête… non. »

Alors Socrate conclut :
— « Si ce n’est ni vrai, ni bon, ni utile… pourquoi m’en parler ? »

🌿 Une leçon simple mais puissante.
Elle protège les relations, elle allège nos vies et elle rend le monde un peu meilleur.

Page : revenir à soi ❤️

08/27/2025

On pourra essayer de salir ton nom, de t’attaquer, de t’inventer une réputation…
Mais personne ne pourra jamais effacer ce que tu as fait de bien.
Car, au-delà des rumeurs et des jugements, ceux qui te connaissent vraiment savent qui tu es.

Les mots peuvent mentir, mais les actes, eux, laissent une empreinte durable.
Et lorsque tu es en paix avec toi-même, quand tu connais ta valeur au fond de toi,
tu n’as plus besoin de te justifier, ni de prouver quoi que ce soit à qui que ce soit.

Keanu Reeves

08/26/2025

"Une personne peut être droite et intègre,
mais si celui qui te la décrit a le regard tordu,
il ne renverra qu’une image déformée.
Alors, ne crois pas tout ce que tu entends…
Car parfois, ce n’est pas la vérité qui parle,
mais le prisme tordu de celui qui la raconte."
Zaki Benameur

08/26/2025

"Être authentique dans un monde qui punit la vérité est un acte de courage.
Il n'y a rien de plus dangereux qu'une personne qui refuse de se taire, qui refuse de faire semblant, qui refuse de s'incliner devant ce qu'elle ne croit pas.
Être vrai a un prix, mais il a aussi une récompense : la liberté. Et je préfère tout perdre plutôt que de me perdre moi-même".

Sinéad O’Connor

08/26/2025

Nous rajeunissons de vingt ans à chaque mot doux qui nous est adressé...
Et nous vieillissons de mille ans, portant en nous le poids des années, avec chaque parole blessante...
Celui qui pense que les mots sont prononcés en vain se trompe profondément.
Les mots, comme des balles, tuent sans que la loi ne les punisse...

Ce qui ravive véritablement les cœurs, ce sont les conversations empreintes de beauté,
Les paroles bienveillantes, la douceur et l’affection,
La gratitude exprimée, les compliments inattendus.

L’être humain est une créature fragile : une parole douce peut l’élever haut, jusqu’au ciel,
Tandis qu’une parole blessante peut le jeter à terre et tuer son cœur, même s’il est encore en vie...

Zaki Benameur

08/22/2025

« Je m’appelle Morris. J’ai 78 ans. Je vis seul depuis que mon Edna est partie, il y a cinq ans. Tous les mardis, je prends le bus de 10 h 15 pour aller à la bibliothèque. Même siège. Même trajet. Pendant des années, c’était le silence. Juste moi, les pigeons et ce vieux banc vert à l’arrêt de la rue Oak.

Puis, l’hiver dernier, j’ai commencé à remarquer les enfants. Pas en train de jouer. Pas en train de rire. Juste… assis. La tête baissée. Les doigts courant sur leurs téléphones. Même sous la pluie. Un mardi, une fille avec un sac à dos violet s’est assise, recroquevillée, les épaules tremblantes. Elle ne pleurait pas. Elle semblait simplement vide. Comme si le banc l’avait avalée. Ma poitrine s’est serrée. J’ai pensé à mon petit-fils, Liam, avant sa bourse d’études. Le même regard. Comme si le monde l’avait oublié.

Je suis rentré chez moi agité. Edna disait toujours : « Morris, tu répares ce qui est cassé. » Mais qu’est-ce qui est brisé ici ? Les téléphones ? Non. Les cœurs.

Le lendemain, j’ai ressorti la vieille tablette de mon petit-fils. J’ai passé trois heures maladroites à apprendre à faire des QR codes (merci YouTube, même si ce n’est pas pour des yeux de vieux !). J’ai imprimé de simples pancartes :

SCANEZ-MOI. RACONTEZ-MOI VOTRE HISTOIRE.
JE VOUS ÉCOUTE.

Je les ai collées aux coins du banc. Avec du ruban adhésif — le “remède miracle” préféré d’Edna.

La première semaine ? Rien. Les gamins passaient comme si les pancartes étaient des déchets. Mme Gable, du numéro 42, a ricané : « Quelle folie, Morris. Ils veulent des écrans, pas des vieillards. » Peut-être qu’elle avait raison.

Puis, un miracle. Un garçon, peut-être 12 ans, a scanné le code. Il est resté assis 20 minutes à taper. Plus t**d, j’ai vérifié le document Google partagé (oui, j’en avais créé un ! Edna en aurait ri). Ses mots disaient :

« Mon père est malade. Maman travaille la nuit. J’ai peur. Mais j’ai dessiné un dragon qui crache des paillettes. Il est dans ma poche. »

Mes mains tremblaient. J’ai acheté de la colle à paillettes et l’ai laissée sous le banc avec un mot : « Pour l’artiste du dragon. Continue de briller. —Morris (l’ami du banc) »

Le lendemain ? Un avion en papier plié est tombé à côté de moi. Dedans, un dragon scintillant. Et ces mots : « Merci. Papa sourit aujourd’hui. »

Le bouche-à-oreille s’est répandu. Les enfants ont commencé à venir tôt au bus. À scanner. À écrire. Une fille a confié : « Les brutes m’appellent ‘robot’ parce que j’adore coder. Mais les robots ne sont pas censés être tristes, non ? » Je lui ai laissé un livre : Ada Lovelace, la fille qui rêvait en code. La semaine suivante, elle a laissé des biscuits. « Les robots mangent du sucre aussi. »

Ce n’était pas parfait. La pluie effaçait les pancartes. Certains ignoraient le tout. Mais petit à petit… le banc a changé. Les enfants s’y asseyaient ensemble. Ils parlaient. Un ado a scanné et écrit : « J’échoue en maths. Trop honte de demander de l’aide. » Deux filles ont vu le message et lui ont répondu : « On t’aidera. Retrouve-nous ici samedi. » Elles sont venues. Maintenant, elles donnent des cours à trois enfants chaque semaine.

Puis est arrivé le grand froid. J’ai glissé sur la glace, me suis cassé la hanche. Deux semaines à l’hôpital. Je me sentais inutile.

Le jour où je suis rentré, j’ai boitillé jusqu’à l’arrêt de bus… et je suis resté figé.

Le banc était couvert. Pas de détritus — mais de mots, de dessins, de petits cadeaux. Un sous-verre tricoté (« Pour ton thé ! »). Un robot en Lego (« Du club de codage ! »). Une photo : des enfants tenant une pancarte « LE BANC DE MORRIS : NOUS TE VOYONS. »

Mme Gable était là, en train de fixer un nouveau panneau au poteau. « Il t’a fallu du temps pour guérir », grommela-t-elle. Mais ses yeux étaient humides. « On a ajouté une vraie boîte aux lettres. Pour les histoires trop longues pour les téléphones. »

Aujourd’hui ? Douze arrêts de bus en ville ont leurs “bancs d’écoute”. Tenus par des ados, des retraités, même le facteur grincheux. Pas d’applis. Pas de dons. Juste… un espace pour être entendu.

Hier, le garçon au dragon pailleté (il a 14 ans maintenant) m’a aidé à planter des soucis dans un pot près du banc. « Tu nous as appris, » a-t-il dit en tapotant la terre, « que la seule vraie chose qu’il faut réparer, c’est la solitude. »

Je pense à Edna. Elle dirait que j’ai réparé le banc. Mais la vérité ? Ce sont ces enfants qui m’ont réparé. Ils m’ont rappelé que les cœurs brisés n’ont pas besoin de grands gestes. Juste d’un lieu sûr où murmurer : « Je suis là. » Et quelqu’un prêt à répondre : « Je t’entends. »

Nous n’attendons plus seulement les bus. Nous nous attendons les uns les autres. Et ça ? C’est ainsi que le monde devient plus chaud. Une histoire scannée à la fois. »

08/16/2025

Dans une aile tranquille de pédiatrie, dans un hôpital de San Francisco à la fin des années 90, une infirmière s’arrêta devant une chambre, les yeux embués de larmes.
À l’intérieur, un petit garçon atteint d’un cancer en phase terminale riait aux éclats.
Vêtu d’une blouse d’hôpital trois tailles trop grande, un stéthoscope autour du cou et une ridicule nez rouge, Robin Williams le faisait rire si fort qu’il en oubliait momentanément la douleur.
Pas de caméras, pas de presse, pas de cortège.
Juste Robin, faisant des voix, grimaçant, imitant des personnages de dessins animés, créant de la joie à partir de rien.

Ces visites n’étaient jamais programmées par Hollywood.
Elles étaient organisées en privé, grâce au personnel hospitalier qui le connaissait en silence comme bien plus qu’un acteur ou un comédien.
Souvent, il appelait anonymement, demandant s’il y avait des enfants qui pourraient bénéficier d’une visite.
Bien des fois, il arrivait seul, parfois avec un sac de marionnettes, ou déguisé en personnage, allant jusqu’à reprendre la voix inoubliable de Madame Doubtfire.
Les enfants, parfois trop faibles pour se redresser, souriaient, riaient, ou murmuraient une petite blague.
Les parents, bouleversés, regardaient leurs enfants rire à nouveau — parfois pour la première fois depuis des semaines — alors qu’ils vivaient leurs derniers jours.

Une infirmière se souvient d’une visite en 2003, quand Robin passa plus d’une heure avec un patient leucémique de dix ans à qui il ne restait que quelques jours.
Le père de l’enfant avait été stoïque pendant des semaines, refusant de pleurer devant son fils.
Ce jour-là, alors que Robin faisait semblant de diriger une invisible symphonie de perfusions et chantait une absurde ballade lyrique au rythme des bips du moniteur cardiaque, l’homme craqua enfin.
Il pleura. Non de douleur, mais de soulagement.

Robin ne parla jamais de ces visites en interview.
Même ses plus proches amis et collaborateurs de longue date en apprirent l’existence par d’autres.
Certaines familles tentèrent de le remercier publiquement, mais il refusa toujours.
Il croyait que ces moments appartenaient à l’enfant, pas à lui — encore moins à une histoire publique.
Pour Robin, ces visites n’étaient ni un acte de charité, ni une performance.
C’était une connexion humaine, brute, sans filtres.

En 2006, lors d’une halte à Denver pour un spectacle, il conduisit plus d’une heure afin de rencontrer une adolescente en phase terminale dont le film préféré était Aladdin.
Elle avait grandi en récitant les répliques du Génie, et lorsque Robin entra dans la chambre et se mit à improviser avec cette voix inoubliable, son visage s’illumina.
Sa mère écrivit plus t**d que Robin resta bien plus longtemps que prévu, parlant avec sa fille comme avec une vieille amie, écoutant autant qu’il amusait.

Il fallait une immense force émotionnelle pour franchir ces portes.
Ce n’étaient pas des plateaux de cinéma.
Pas de réécritures, pas de reprises.
Les enfants s’éteignaient, l’air était chargé de douleur — et pourtant, il trouvait toujours une façon d’allumer une flamme d’espoir, fût-elle brève.
Jamais il ne se pressait.
Il s’asseyait par terre, partageait une glace, tenait des mains fragiles.
Après, il restait souvent seul dans sa voiture, longtemps, parfois en larmes, parfois au téléphone avec un ami, juste pour entendre une voix familière.

En 2010, le personnel hospitalier de plusieurs villes savait que si Robin était de passage, un appel pouvait arriver.
Mais personne n’en parlait, parce qu’il ne le voulait pas.
Il ne s’agissait ni de titres de journaux, ni d’éloges.
Il disait souvent aux infirmières que si, pendant dix minutes, il pouvait faire oublier à un enfant où il se trouvait, alors ça valait tout.

Ses visites ne guérissaient pas les maladies, ne changeaient pas les diagnostics.
Mais elles accomplissaient autre chose.
Elles offraient une étincelle de joie dans l’ombre du déclin.
Elles adoucissaient les instants les plus durs pour des familles en deuil.
Elles rappelaient à tous — patients, parents, infirmières, et même à Robin lui-même — que le rire gardait son pouvoir, jusque sur le seuil de l’adieu.

Parfois, la guérison ne vient pas de la médecine.
Elle naît de ce sentiment d’être encore vivant, ne serait-ce qu’un instant, quand tout autour dit le contraire.

02/25/2025

Les commérages détruisent des maisons, des vies, mènent à la mort, à la prison, et détruit les familles. Faisons attention aux commérages.

Si c'est pas ton problème ne te mets pas dans problème

On vous a dit des rumeurs ? Faites ce que Socrate ferait : le test à trois filtres.

Dans la Grèce antique, Socrate, connu pour son immense sagesse, a reçu une personne qui, avec beaucoup d'enthousiasme, lui dit :

– Socrate ! Tu sais ce que je viens d'entendre sur ton ami ?

Le philosophe répondit calmement :
- Juste un instant. Avant de me le dire, mettons ce que vous voulez dire à travers trois filtres.

Premier filtre : la vérité.
– Avez-vous vérifié que ce que vous allez me dire est vrai ?
– Non, je viens de l'entendre quelque part.

Deuxième filtre : la gentillesse.
– Est-ce que ce que vous allez me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?
- Non, au contraire.

Troisième filtre : utilitaire.
– Est-ce utile pour moi de savoir ?
– Non, pas vraiment.

Socrate a conclu avec sérénité :
– Si ce que vous voulez me dire n'est pas vrai, ni bon, ni utile. Pourquoi dire ça ?

La leçon de Socrate est claire : réfléchissez avant de parler. Améliorons notre façon de communiquer et construisons un environnement plus sage et empathique.

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