Chloé Finiels: Accompagnement Émotionnel & Relationnel

Chloé Finiels: Accompagnement Émotionnel & Relationnel Chloé Finiels

Accompagnement Emotionnel & Relationnel

DOUBLE AGRESSION, DOUBLES AGRESSÉS...Dans un conflit, il y a l'agresseur visible mais il y a toujours l'agresseur moins ...
10/24/2025

DOUBLE AGRESSION, DOUBLES AGRESSÉS...

Dans un conflit, il y a l'agresseur visible mais il y a toujours l'agresseur moins visible.

Ce matin, ils se disputaient un avion en papier. L'un avait peur que l'autre le déchire donc il agressait fort et l'autre continuait à serrer le dit avion parce qu'il était agressé en retour. Cocktail explossif...

La responsabilité est toujours partagée. Celui qui casse l'avion en papier peut paraître être celui qui blesse et pourtant, celui qui hurle pour retrouver son bien, agresse à son tour. Le premier agit dans la peur, le deuxième répond à ce message de peur par l'attaque.

Ma cliente me dit cette semaine que sa fille de 2 ans est selon les éducatrices agressive avec sa classe. Pourtant cette enfant ne répond qu'à une surcharge. Elle se sent envahie et pousse pour faire de la place et se protéger lorsqu'elle se sent submergée.

Il est très important de voir que l'enfant n'est pas "violent" ou "agressif" il est RÉACTIF !! C'est une nuance magistrale !!
Pour un coeur de parent c'est un soulagement d'apprendre que son enfant n'est pas le "méchant", mais surtout cela apporte une lumière différente, et rajoute la pièce manquante du puzzle.

Cette observation fonctionne pour tous les cas de figures, dans toutes nos relations (saines et sans abus). Celui qui est agressif se sent agressé. Il n'y a pas un coupable ou une victime, il y a une relation complexe où chacun vit ses propres perceptions et sa sensibilité singulière mais pourtant nous avons les mêmes mécanismes de protection. L'agression en est une par excellence...

Il en faut de l'humilité pour reconnaître ses torts.Il en faut du courage pour oser dire pardon à ses enfants et modifie...
10/22/2025

Il en faut de l'humilité pour reconnaître ses torts.
Il en faut du courage pour oser dire pardon à ses enfants et modifier la trajectoire inneficace.
Il en faut de l'énergie pour reconsidérer ses bases et rebondir avec d'autres outils, un nouvel angle, pour maintenir le lien.

Alors aujourd'hui je tenais à vous dire que nos efforts sont un immense cadeau vers eux, que nos essais font partie de l'expérience et que ce qui compte ce n'est pas de toujours faire parfaitement mais de modifier ce qui coince, d'ouvrir les yeux et remettre en question.

La culpabilité est une bousole qui nous sonne que nous ne sommes pas à l'équilibre.

Je suis une maman sensible et humaine et je garde toujours l'ouverture de reconnaitre que je me suis trompée ❤️.

✨ Petite réflexion à garder en mantra ✨Quand nos enfants n’arrivent pas à répondre à nos consignes ou à nos attentes, ce...
10/21/2025

✨ Petite réflexion à garder en mantra ✨

Quand nos enfants n’arrivent pas à répondre à nos consignes ou à nos attentes, ce n’est pas parce qu’ils manquent d’intelligence, ni parce qu’ils cherchent à nous défier.
C’est souvent parce que nos attentes sont trop élevées pour le moment… ou tout simplement parce qu’ils ne comprennent pas ce qu’on leur demande.

Parfois, leur cerveau n’est pas encore mûr pour intégrer certaines consignes. D’autres fois, il est juste en surcharge : il ne peut plus emmagasiner d’informations supplémentaires.

Dans ces moments-là, c’est à nous de ralentir, ajuster nos attentes et changer d’angle.
La collaboration se construit dans la sécurité, pas dans la pression.

Et même quand ils semblent “vouloir nous provoquer”, c’est encore un appel à la connexion.
Ils ont juste besoin qu’on vienne remplir leur réservoir.

Je vous vois encore et toujours ❤️

10/20/2025

Annulation mercredi à 10h (16h en France ) et

13h (19h en France )

Écris-moi si ça t'intéresse ❤️

"Maman est la personne que j'aime le plus au monde entier " Cette enfant que j'ai cru l'abîmer à l'arrivée de son frère,...
10/18/2025

"Maman est la personne que j'aime le plus au monde entier "

Cette enfant que j'ai cru l'abîmer à l'arrivée de son frère, par mon immense vide et le manque de repères. Celle qui m'a vue m'écrouler avec mon épuisement et ma séparation. Celle qui m'a entendue crier trop de fois, de frustration, de fatigue, d'être perdue, en souffrance de ne rien vivre de ce que j'avais prévu, pourtant si informée. Cette conscience qui m'a frappée, je ne suis qu'une mère ordinaire...

Et bien elle m'aime, évidemment, on aime toujours sa mère, mais c'est moi que cela émeut. Si elle savait elle comme je l'aime, comme j'ai vécu des intensités: la culpabilité, la peur, la responsabilité, la peine et l'impuissance. Mais comme elle a été mon moteur, ma raison de me positionner face aux traditions, aux croyances, à une société limitée par ses peurs. Un amour incommensurable, qu'aucun mot ne peut décrire. Jamais assez juste ou assez fort.

Tout ce que je peux dire c'est que tout passe... crier, être frustré, s'embourber, s'écrouler, se sentir pris au piège, c'est un passage et non un état permanent.

Ça fluctue, ça bouge, la mouvance, toujours...

Rien n'est définitif, tout se modifie ❤❤

Octobre 2020

Si vous pouviez vous envoyer un message dans le passé, avant d'avoir des enfants, quel serait ce message ?Pour ma part :...
10/17/2025

Si vous pouviez vous envoyer un message dans le passé, avant d'avoir des enfants, quel serait ce message ?
Pour ma part :

Fais-toi confiance, cet état n'est pas permanent, un enfant c'est résilient. Un jour, le plaisir reviendra, ta personnalité pourra à nouveau s'exprimer. Tu vas adorer être maman de moyens enfants ❤️ tes peurs sont légitimes, c'est tout un art de prendre soin d'un être tout dépendant, mais, ils vont bien !

Et vous ?

10/17/2025

Être une bonne mère...

Ce n'est pas faire des interventions parfaites, ce n'est pas être toujours d'humeur égale et de ne jamais crier.
Être une bonne mère c'est d'être consciente!! Sentir ses enfants, essayer de comprendre leurs comportements, mettre le doigts sur ce qui coince et reste à améliorer.
Être une bonne mère c'est de reconnaître sa sensibilité, d'observer ses enfants et les voir évoluer.

Connaître ce qui leur fait du bien, vouloir donner le meilleur, ne pas relâcher ses efforts.

Être une bonne mère c'est de se féliciter pour tout ce qu'on donne, se caresser avec indulgence, se permettre des mauvais pas. La culpabilité reste sur la route mais elle a un sens, celui du garde fou et de l'instinct qui poussent à modifier les dynamiques et le chemin vers un meilleur équilibre. Elle doit garder une place raisonnable qui ne nous empêchera pas de croire en notre capacité à être la mère dont nos enfants ont besoin.

Cette mère est authentique, elle galère, elle pleure, elle soupire, elle se fâche, elle a peur, elle court mais elle aime, elle se donne tellement fort !!

Aujourd'hui 15 octobre est la journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal.A toutes ces familles qui portent l...
10/16/2025

Aujourd'hui 15 octobre est la journée mondiale de sensibilisation au deuil périnatal.

A toutes ces familles qui portent le deuil périnatal, je tenais à vous envelopper de tendresse, et souligner votre résilience. Il n'y a rien de plus dur que de perdre un enfant, et nos rêves qui s'envolent avec lui. Il n'y a rien de plus difficile qu'un entourage muet ou de phrases toutes faites pour essayer de minimiser la peine, indescriptible.

Pleurez, parlez, aimez, ils font partie de votre histoire. Je suis moi-même un bébé venu après la mort d'un grand frère, je connais ce vide, et les sentiments qui rodent autour: culpabilité, angoisses de la mort, sentiment d'injustice, perte de repères.

J'aime penser que la mort fait partie de la vie et qu'on aime et les morts et les vivants, ils font partie du cycle entier. On peut aimer ses enfants morts autant que les vivants, on a le droit de se tourner vers eux pour se ressourcer et mieux revenir.

On dit qu'il faut le vivre pour le comprendre, alors je vous souhaite un soutien approprié, des personnes simples qui accueillent, qui vous laissent vivre votre deuil comme vous le choisissez, il n'y a pas une seule manière mais bien mille façons de faire, car vous êtes les mieux placés pour savoir ce qui est mieux pour vous, et vous avez droit de vivre votre deuil comme vous le souhaitez.

Pensez aussi que l'entourage est maladroit et non malveillant. Leurs mots hurlent à l'amour, ils ne savent juste pas comment vous soulager, on évite le sujet pour ne pas raviver, on minimise pour calmer, on ignore pour tourner la page. Ce sont des mécanises de protection, nos sociétés ont beaucoup de mal à gérer la mort, mais au fond c'est juste de l'amour !!

Je vous souhaite une douce journée, parce que penser à eux c'est aussi souvent de très bons souvenirs.

Prenez soin de vous, et de tous ceux que vous aimez, ici ou ailleurs.

Je serai heureuse que vous partagiez leur prénom sous ce post ou le prénom d'un enfant pour qui ses parents vous touchent ❤️

** je propose un accompagnement au deuil périnatal, alors si vous avez des questions ou des besoins, n'hésitez pas à me contacter **

J'APPRENDS ENCORE...Tous les jours, à m'ajuster, à mieux intervenir avec mes enfants, à les comprendre avec plus de préc...
10/15/2025

J'APPRENDS ENCORE...

Tous les jours, à m'ajuster, à mieux intervenir avec mes enfants, à les comprendre avec plus de précision. À me positionner, me respecter, me légitimer.

Je ne sais rien, j'ai plus de conscience sur ma veille et je me souhaite une meilleure anticipation pour mon ledemain. Mais, ma seule quête est l'humilité.

Puisque je ne sais rien, je me permets plus d'indulgence et surtout je retravaille mes attentes. Sont-elles réalistes? Serai-je trop impatiente?
Vouloir tout régler est un mécanisme naturel qui sert à retrouver sa zone de confort. Chaque fois que je suis bancale j'augmente mes attentes et j'active mon impatience.

La priorité est alors de se questionner sur ce qui engendre le déséquilibre.
Lorsque cette zone devient plus familière, il est alors enfin possible de reconnaître: ses besoins, le contexte, l'acceptation de ce qui est disponible en ce moment.

Accepter, ce n'est pas renoncer, c'est se concentrer sur ce qui est contrôlable ❤

Je trouve ça beau moi, la difficulté. Si vous aviez ma place, celle qui me permet de voir votre oeuvre en entier, vous s...
10/09/2025

Je trouve ça beau moi, la difficulté.

Si vous aviez ma place, celle qui me permet de voir votre oeuvre en entier, vous sauriez comme c'est touchant de vous observer à chercher l'équilibre. Rien de lisse et toute cette profondeur qui vous rend vivants, sensibles, humains et amour.

Il n'y a rien à dire d'un parent parfait et tant à explorer d'un parent qui cherche, qui trébuche, qui peine, qui essaye, qui se trompe. Ce parcours est passionnant. Souffrant de l'intérieur, je le connais bien, mais aussi tellement en relief, en mouvance, en vagues et en fluctuation.

La perfection c'est lisse, c'est trop sage, c'est abouti, c'est linéaire, c'est constant. Et les enfants ne sont rien de tout ça.
La perfection, c'est statique, la relation elle, est évolutive. Les enfants nous amènent à l'ajustement sans cesse, et nous sommes si sensibles aux changements.

Il n'y a que la nature qui peut être parfaite, nous, nous gravitons autour de l'approximation, et c'est "parfait" ainsi ❤

09/26/2025

Et bien, j’étais obligée de rajouter ma petite touche perso et mes couleurs.

Que Trump raconte des trucs débiles, à la rigueur ce n’est pas nouveau… Mais la déferlante d’ignorance sur mon fil d’actualité ces derniers jours me désespère un peu. Je me vois engloutie, avec mon petit bâton de pèlerin, à essayer, une personne à la fois, de faire comprendre le monde de la neurodivergence et de sensibiliser comme une réalité.

C’est un travail titanesque, parce qu’on ne comprend pas vraiment ce que signifie « autisme ». On s’imagine encore qu’il faut être Rain Man, avec tout le stéréotype qui va avec : ne pas regarder dans les yeux, ne pas avoir d’humour, ne pas avoir d’empathie… Pourtant, la majorité des autistes ne sont pas des Rain Man.

En fait, si on ne part pas du principe simple que l’autisme n’est pas une maladie qu’on attrape dans le métro ou en consommant du Tylenol, on reste englué dans un manque de connaissances et des croyances tenaces qui y sont encore associées.

Ce qui est le plus important pour moi dans le message que je veux transmettre, c’est que si un de nos enfants est autiste et/ou TDAH, c’est qu’un des parents l’est forcément aussi. C’est simplement génétique.

Il se peut très bien que la génération de nos parents et même la nôtre n’ait pas été diagnostiquée. Honnêtement, ce n’est pas plus mal. Mais cela ne veut pas dire que nous n’étions pas autistes et/ou TDAH.

Aujourd’hui, grâce aux neurosciences, à l’information, aux avancées de la neuropsychologie et à la meilleure connaissance du neurodéveloppement, les diagnostics se font beaucoup plus fréquemment. Ce n’est ni bien ni mal. C’est une réalité, et pas du tout un passage obligé, surtout que beaucoup n’arrivent même pas à obtenir un diagnostic, à cause de l'obsolescence des tests… mais ça, c’est un autre sujet.

Alors, quand j’observe ce matin sur un compte lambda un monsieur qui met une mappemonde avec les taux d’autisme par pays, persuadé que s’il y en a plus en Amérique du Nord ou en Europe c’est à cause de raisons sociétales, je suis sidérée… Parce qu’en Afrique, quand on est autiste, on ne cherche pas forcément de diagnostic, mais personne ne fait le lien.

Je dis souvent que les ermites du village étaient des autistes. Que dans nos entourages, l’oncle un peu asocial, le papa toujours dans son garage, la tante qui ne parle que de tricot… oui, je caricature, mais il y a de grandes chances que ces personnes-là soient autistes.

Quand on y pense, les autistes diagnostiqués sont une infime partie des autistes non diagnostiqués qui ont compensé toute leur vie pour s’adapter à la société. Par exemple, dans certaines études, jusqu’à 90 % des adultes autistes de plus de 40 ans n’avaient jamais reçu de diagnostic. Imagine le nombre de talents invisibles qui passent sous le radar.

Quand on associe l’autisme à des cas lourds, c’est qu’il y a autre chose que de l’autisme, ils ne sont pas juste autistes.

L’autisme, c’est un cerveau qui fonctionne différemment, une intelligence particulière, une manière unique de voir le monde. Ce n’est pas une maladie, et encore moins une tare à éradiquer.

C’est un mot qui fait peur parce qu’il est galvaudé et mal compris.

Puisque c’est génétique, nous sommes souvent en clusters et notre entourage présente des traits similaires aux nôtres. C’est pour cette raison qu’on ne le détecte pas toujours.

Il est temps de penser à la multitude de nos différences sans les classer ni les modeler.

Si les chiffres paraissent souvent faibles dans les études, c’est pour plusieurs raisons : beaucoup de personnes autistes ne sont jamais diagnostiquées ou le sont très t**d, surtout si leurs traits sont moins visibles. Les définitions de l’autisme varient selon les études, les méthodes de recherche influencent les résultats, la reconnaissance de l’autisme a beaucoup évolué dans le temps, et l’accès au diagnostic est inégal selon les régions et les contextes sociaux.

Quand je vois tous ces parents se questionner sur ce qu’ils ont fait ou pas fait, et se culpabiliser, alors que dans la majorité des cas les autistes vivent une vie fonctionnelle et sont inclus dans la société… je trouve qu’on s’inquiète outre mesure.

L’autisme fait partie de la diversité humaine. Si seulement on pouvait arrêter d’en avoir peur…

Est-ce que vous faites vos nuits, vous?Moi, je peux repérer un tas de cycles différents dans ma vie, bien avant d'être m...
09/25/2025

Est-ce que vous faites vos nuits, vous?

Moi, je peux repérer un tas de cycles différents dans ma vie, bien avant d'être mère d'ailleurs. Parfois insomniaque, tantôt à tendance narcoleptique. Étudiante, je dormais peu la nuit, mais passais mes dimanches à dormir. En vacances dans un endroit que je ne connaissais pas je pouvais me réveiller en sursaut en me demandant où j'étais. Je fais même encore des cauchemars, et me lève parfois pour boire ou faire p**i. Bref, toute une aventure !!

Nous attendons donc, avec toute la bonne volonté du monde, que nos petits précieux, eux, dorment toujours de la même manière grâce à nos routines implacables. Nous attendons que leur sommeil soit profond et imperturbable...

Soyons honnêtes !!!

Nous avons besoin qu'ils dorment pour pouvoir nous concentrer sur nos propres besoins, déjà difficile à combler, à apprivoiser lorsqu'il s'agit de dormir. Nous aurions besoin de nous centrer uniquement sur nous pour traverser nos nuits et leurs encombres, leur lot d'angoisses et de mauvais rêves. La nuit est anxiogène pour tous, même si nous avons appris à refouler nos émotions.

Comme je le dis toujours les enfants font LEURS nuits et non les NÔTRES, la nuance est primordiale.
Lorsque nous nous concentrons sur les dodos de nos enfants nous délaissons la source: NOUS-MÊME !!!

Il est important de mettre en place des stratégies pour cohabiter et accepter que nous aussi nous avons des problèmes avec nos nuits. Si nous reconnaissons cette difficulté nous aurons plus de recul sur le sommeil de nos enfants mais surtout nous arrêterons de transposer nos besoins sur les leurs.

Parfois il s'agit d'aménager, repenser, réorganiser (siestes, cododo) pour se respecter soi et ne pas se focaliser sur les conséquences ou le symptôme. Assumer que nous sommes affectés du changement de rythme car nos nuits sont bousculées par celles des autres permet au moins de désamorcer la colère, ce qui est salvateur pour limiter les débordements et négliger les vraies raisons.

En général, c'est un problème pour nous, plus que pour eux... Nous essayons de les accompagner, de les aider, mais nous sommes souvent démunis par nos propres cycles...

Le plus difficile est de se mettre de côté alors qu'on aurait tant besoin de se ressourcer. Le constater permettra déjà de prendre de la distance et accepter l'état passager de manière plus sereine ...

En disant JE plutôt qu'EUX les choses sont alors traitées dans le bon ordre, au fond ce qu'on aimerait par dessus tout c'est vivre à notre rythme, devoir vwviguer avec le leur peut être très éprouvant ❤️

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