Brigitte St-Martin auteure, praticienne en éveil corporel et ex-thérapeute

07/13/2025

Tout à fait cela! 🌞🌈

07/04/2025

On peut effectivement changer 🦋

You're not obligated to keep giving parts of yourself to people or situations that leave you drained. Just because you were once available, accommodating, or willing doesn’t mean you have to remain that way. You’re allowed to change, to set boundaries, to protect your energy—even if others don’t understand. Your peace isn’t something you need to justify.

You're not obligated to explain your healing, your choices, or your pace. Life isn’t a performance for others to approve of. It’s okay to move in silence, to take detours, to rest. You’re not here to be everything for everyone—you’re here to be real, to be whole, to be you. And that’s more than enough.

— Balt

06/23/2025

Accepter l'étape de la transition 🦋

06/22/2025

Respect de ses limites, écouter ses besoins, c'est tellement essentiel pour demeurer en équilibre 😇🦋

I’m learning to recognize that not every day will be bursting with energy, drive, or clarity.

Some days, I rise filled with purpose,
ready to move mountains
and embrace the world with open arms.

Other days, I feel the need to retreat,
to slow down,
to rest,
to simply let myself be.

And that’s okay.

I’m beginning to understand that both kinds of days hold value.
The driven days push me forward.
The quiet days bring me back to myself.

Recognizing this rhythm is an act of grace,
an acknowledgment that I am a human being:
growing, evolving,
and learning to trust the pace of my own journey.

~ 'Trusting the Pace' Spirit of a Hippie

~ Art by Kelly Rae Roberts

06/11/2025

Quel bonheur d'offrir une session d'été en qi-gong adapté sur chaise et exercices doux! Respirer en profondeur, prendre conscience de son corps, faire des mouvements en pleine présence, bref que du bonheur. La cerise sur le sundae, avoir des participants sympathiques! ✨🦋

06/06/2025

Les épreuves nous changent en profondeur et un nouveau moi est appelé à émerger 😇

"You’ve changed." I hear that a lot lately, usually delivered with a hint of surprise, sometimes even disappointment. Like it's some kind of shock… as if grief, profound loss, searing pain, or deep trauma—as if even immense love—wasn't supposed to fundamentally alter who I am.

Of course I've changed. How could I not? I’ve walked through fire, navigated landscapes of devastation that few will ever see. I've buried laughter in suffocating silence and held hands with mere memories because the physical hands I used to hold are gone. My world cracked wide open, shattering into unrecognizable pieces, and I'm still, day by day, learning how to breathe in a space that constantly echoes with absence.

People say it like it's a flaw, like the old me was somehow better, easier, lighter. But they weren’t there in the nights that swallowed me whole, those hours of desperate loneliness and fear. They didn’t see what it took to crawl out of that darkness again and again—or what precious pieces of me I had to leave behind, irrevocably, just to make it through another day.

No, I don’t laugh as loud anymore. I’m quieter now, more tired, carrying a weight that only I can feel. I look at the world differently, with a new depth of understanding and a keen awareness of its fragility. I value time more profoundly. I treasure small, fleeting moments that most people walk past without even noticing, dismissing them as ordinary. I’ve learned how to live with a constant hole in my heart, an ache that doesn’t go away, but I've also learned how to let love, new and old, grow in the cracks and fissures of that wound.

Yes, I’ve changed. And honestly, I’m not sorry for it.

Because this version of me—though worn and scarred, carrying visible marks of its journey—is real. It's authentic. I carry more compassion, more depth, more raw honesty. I don’t have time for shallow things anymore, for superficial conversations or meaningless interactions. I don’t fake smiles to make others comfortable, and I certainly don’t bend myself into who they remember me to be, contorting my soul to fit their outdated perception.

I am still here, resiliently present, just not the same person I once was. And maybe that’s okay. Maybe that’s how true survival looks sometimes—not in desperately trying to go back to who we were, but in courageously becoming someone new, stronger, and more real with the pieces that remain. This embrace of my authentic, transformed self, of my unfiltered emotions, is my victory.

05/29/2025

Tellement cela! Le silence m'apaise, la solitude me guérit 🦋✨

"Oui, je m’éloigne parfois.
Non pas parce que je rejette les autres, mais parce que je me vide à force de trop donner, trop écouter, trop absorber les bruits, les bavardages, les foules…

Je n’ai jamais fui la solitude : je l’ai choisie.
Elle n’est pas un repli, mais une préférence, un sanctuaire, un espace où je me recentre.

Je préfère être seule que mal entouré.
Je préfère le silence des présences vraies à la cacophonie des liens forcés.
Je ne cherche pas à me sentir supérieure, je cherche simplement ce qui vibre à mon rythme.
Nous ne résonnons pas tous sur les mêmes fréquences.
Et plus le temps passe, plus je me comprends, plus je distingue ce qui m’élève… et ce qui m’éteint.

Je n’ai pas besoin de l’agitation du monde pour me sentir vivante.
Le silence ne me pèse pas — il m’apaise.

Si j’ouvre ma porte, c’est que l’élan est sincère, que le moment est juste.
Souvent, ma paix intérieure, ma lucidité,
ma force tranquille,
Je les trouve dans la solitude.
Chez moi.
En marchant.
Au bord d’un chemin, dans le calme de la nature, loin du tumulte.

Je ne suis pas misanthrope.
Je suis un être sensible qui a appris à protéger son énergie.
J’aime les gens, sincèrement.
J’aime écouter, soutenir, tendre la main quand il le faut…
Mais une fois cela fait,
j’ai besoin de revenir à moi.

Alors, si certains se reconnaissent, qu’ils comprennent ceci :
Quand je choisis d’être avec quelqu’un, ce n’est jamais pour combler un vide.
C’est parce que je le désire profondément.

Ange FERINI.
Illustration Bettina Baldassari

05/17/2025

L'épuisement mental a un impact sur le corps qui lui aussi montre des signes de surcharge 😇

www.energy-medicine-university.com

05/16/2025

Pour tous ceux qui sont sur le chemin de la Guérison ✨🌻🌞

✨ Tu n’es peut-être pas encore là où tu veux, mais regarde bien : tu n’es plus là où tu étais. Et ça, c’est déjà une victoire silencieuse que personne ne peut t’enlever 💛

05/12/2025

Criant de vérité 🦋

"Il y a des moments où tu te rends compte que trop de mains t’ont touché sans délicatesse. Trop de regards t’ont traversé sans vraiment te voir. Et trop de mots sont venus te perforer l’âme sans jamais s’excuser. À force d’encaisser sans broncher, tu apprends. Tu retires petit à petit des morceaux de toi du monde extérieur. Non pas parce que tu veux disparaître… mais parce que tu veux survivre.

Tu ne t’en es même pas rendu compte. Tu pensais juste “avoir besoin d’un peu de calme”. Et ce calme s’est transformé en silence. Puis en distance. Et maintenant, tu vis dans cette bulle que tu as construite pour te protéger, une forteresse invisible, impénétrable. Tu regardes le monde à travers une vitre. Tu participes, mais tu ne t’impliques plus. Tu souris, mais tu ne t’ouvres plus. Tu es là, mais plus vraiment.

Tu t’es choisi comme dernier refuge. Et je ne te juge pas pour ça. Tu as eu raison. Parce que quand l’extérieur devient menaçant, le seul endroit où tu peux respirer sans masque, c’est à l’intérieur de toi. Là où personne ne peut te trahir. Là où tu n’as plus à faire semblant. Là où tu peux juste exister sans avoir à te défendre. Mais à force de t’y réfugier, tu as oublié comment on vit dehors.

Ce repli n’est pas une faiblesse. C’est un réflexe. Une stratégie. Un réflexe de survie d’une personne qui en a trop vu, trop pris, trop encaissé. Mais il y a un risque, tu sais. Le risque de finir par croire que tu ne peux plus t’en sortir. Que tu n’es bien qu’en retrait. Que le monde n’a plus rien à t’offrir. Que les autres sont tous des dangers potentiels. Et ce n’est pas vrai. Ce n’est qu’une illusion née de la douleur.

Tu as le droit de te retirer pour panser tes plaies. Mais n’oublie pas de revenir. Pas tout de suite. Pas de force. Pas parce qu’on te le demande. Mais parce qu’au fond de toi, tu sais que tu ne veux pas rester enfermé(e). Tu veux encore aimer. Tu veux encore rire. Tu veux encore t’ouvrir. Et ça prendra le temps que ça prendra. Mais ce jour viendra, si tu t’y prépares doucement.

Revenir au monde, c’est comme réapprendre à marcher. Tu trembles. Tu doutes. Tu fais un pas, puis tu recules. Et c’est normal. Mais tu n’as pas à le faire seul(e). Il y a des personnes qui comprennent. Qui ne demandent pas d’explications. Qui t’attendent sans te brusquer. Qui t’offrent une main sans rien exiger en retour. Tu n’as pas été trop abîmé(e). Tu es encore capable d’être aimé(e).

Et si personne ne t’a jamais dit ça clairement : tu mérites de sortir de ta coquille. Tu mérites une vie où tu n’as pas à te cacher. Tu mérites un monde qui ne t’arrache rien, mais qui t’élève.

Ce refuge en toi t’a sauvé. Mais il ne doit pas devenir ta tombe. Le vrai toi, celui qui espère encore en silence, il attend que tu viennes le chercher. Il est là. Patient. Fort. Et prêt à revivre."

Francis Machabé
Illustration Lisa Aisato.