Groupe Hirondelle

Groupe Hirondelle Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de Groupe Hirondelle, hirondelhrd@yahoo. fr, Bangui.

05/11/2021

UN PROJET EN PRÉPARATION DANS LE CADRE DE LA COMMUNICATION POUR 2022. A TRÈS BIENTÔT

16/08/2021

Alerte à Washington : la Chine a dépassé les États-Unis dans la recherche sur l'intelligence artificielle (IA). Depuis plusieurs années, les deux

RCA : Les articles 35 et 153 de laConstitution seront violés…Ce n’est plus un secret de polichinelle : les élections ne ...
09/12/2019

RCA : Les articles 35 et 153 de la
Constitution seront violés…

Ce n’est plus un secret de polichinelle : les élections ne pourront pas avoir lieu dans les délais constitutionnels prévus. Entre la transition politique et la modification de la Constitution, le Gouvernement a déjà fait son choix…
Tout le monde en parle, mais il n’y a personne pour le dire à haute voix. Selon certaines indiscrétions, le régime en place, au-delà de l’affirmation de sa volonté à organiser les élections dans les délais prévus par la Constitution du 30 Mars 2016, est en train de préparer son plan B et ce n’est pas celui des opposants politiques qui commencent déjà à élaborer les brouillons du cadre institutionnel de la transition.
Au niveau de l’Assemblée Nationale et de la Présidence, des drafts des projets de loi portant modification de l’article 35 de la Constitution sont déjà en circulation dans un cercle fermé. Ce projet qui s’inspire suffisamment du modèle de 2011 initié par Bozizé consistera à faire glisser le mandat présidentiel de quelques mois afin de permettre la tenue des élections législatives et présidentielle.
Pourtant, les articles 35 et 153 de la Constitution ont vissé toutes les hypothèses de la modification de la Constitution en ce qui concerne la prorogation et la modification de la durée du mandat présidentiel.
Malheureusement, le président se prépare à prendre ce risque au cours de cette année quitte à neutraliser définitivement tous ses adversaires.
Pour le moment, cette information est à prendre au sérieux car le recours à la force est une hypothèse qui n’est pas à exclure par le régime en place afin de se faire respecter.
En sait pertinemment que cette proposition arrange aussi bon nombres des députés aventuriers qui entendent aussi profiter du prolongement de leur mandat.
Préparons nous car le pire est à venir. Qui vivra en RCA, verra toujours !

OUESSE MOZAN

TRAUMATISER LE TRIBALISME (28 novembre 2018)«La capitale [BANGUI], avant même le déclenchement du conflit, a été bâtie s...
04/12/2019

TRAUMATISER LE TRIBALISME
(28 novembre 2018)

«La capitale [BANGUI], avant même le déclenchement du conflit, a été bâtie sur un modèle urbain ségrégué suivant des fractures ethniques. Le clientélisme à connotation ethnique s’est répercuté sur le plan urbain avec de fortes différenciations sociales entre les quartiers proches du pouvoir et ceux dans l’opposition.» Emmanuel Chauvin.
Ce qui suit peut paraître indigeste. Ce qui suit peut paraître insensé. Ce qui suit peut paraître inopportun dans l'actuel contexte Centro-centrafricain. Pour le lire et comprendre ces propos, prière de poursuivre sans à priori.
Les tribus ne sont pas une invention post république. Elles sont comme Daouda-Kassaï et Bas Oubangui, les deux chaînes de colline qui coupent la continuité de la ville de Bangui d'Est en Ouest sur un axe Nord-Sud. Elles étaient là avant le choix du site de l'actuelle ville de Bangui. Ce qu'elles représentent comme handicap peut être contourné si l'on prend le temps pour réfléchir sur la problématique et faire de ces collines, un atout pour la ville de Bangui.
Il en est de même des tribus en Centrafrique. Ce pays (la RCA) à l'instar de nombreux autres en Afrique, n'est pas une société « atribale », c'est à dire sans tribu. L'ETAT tel que nous l'avons aujourd'hui est un héritage colonial. Nous étions avant cela, des unités humaines plus ou moins organisées mais n'appartenant pas à une structure centrale telle que nous les sommes aujourd'hui. Nous étions, à l'exception des pygmées, venus d'ailleurs. Certains des réfugiés politiques, d'autres des réfugiés climatiques ou économiques. La réforme scolaire de Mr Maïdou a permis d'introduire une hérésie qui fait office de loi universelle jusqu'à ce jour et qui prêche le début du peuplement de la RCA à partir de 1820.
Ainsi donc, parler des tribus ou de la tribu ne devrait pas être un sujet tabou. Dans ma famille, mon père, ses frères et cousins ont poussé l'exercice à son paroxysme en remontant l'arbre généalogique familial jusqu'à huit générations de sorte que chez nous, l’hurluberlu qui viendra dire que les Yakoma viennent du Zaïre devra se réveiller du bon côté s'il n'a pas peur du ridicule.
La RCA n'est pas un bloc monolithique. C'est un assemblage issu d'une part de la conférence de Berlin en 1884/1885 et d'autre part de la volonté de la France puisqu'à la motivation de celle-ci, la cartographie administrative de ce qu'est l'actuel Centrafrique a connu de nombreuses évolutions.
La France a décidé de mettre ensemble des personnes dans une structure administrative unique : d'abord colonie puis territoire autonome et depuis 1960, une république. Le devoir revenait à celles-ci à partir de 1946 de défendre leurs intérêts et dès 1958 de créer des passerelles pour consolider la communauté de destin. Hélas, il en a été autrement. Nous avons eu le KAMAGNA POWER jusqu'en 1981 suivi du SIA RULES jusqu'en 1993 lui-même suivi du PAOUA STYLE qui s’éclipsa pour laisser le champ aux GBAYABOYS BELIEF eux-mêmes chassés un 24 mars 2013 par le DJELLABA MOMENTUM qui dût se retirer au profit du SAINT KOUANGO TIME. Là, c'est le mauvais côté du discours sur la tribu c'est à dire son utilisation comme socle de légitimité politique nationale ou comme principal outil de conquête et/ou de consolidation et de conservation du pouvoir. On dit chez nous Tribalisme.
Même si à ses débuts, le Président Dacko prit quelques initiatives pour lutter contre le tribalisme, jamais, tout au long de ces 56 dernières années, des passerelles furent construites pour consolider les liens entre les différentes composantes centrafricaines. Pour preuve, une unité politique du pays fut réalisée au détriment de l'unité géographique et sociale.
Il y a quelques années, discutant avec un tonton, ce dernier me relatait son Centrafrique idéal, celui de sa jeunesse. Celui de ce pays où les notions de tribalisme étaient ou paraissaient abstraites. Quand il eut fini son refrain nostalgique, je lui fis remarquer qu'eux, une fois aux affaires, furent les artisans de la balkanisation réelle du Centrafrique. Il s'emporta. Je lui fis remarquer que nous avons cru être UN parce que nous parlons tous la même langue et qu'à 99,8%, nous mangions tous le manioc mais cela ne constitue pas la véritable UNITE. J'ai appuyé mon observation en disant que nous sommes un peuple de JUXTAPOSES et depuis 125 ans, rien ne fut réellement initié ni par la coloniale et encore moins par les Centrafricains depuis 1958 pour que nous passions de la juxtaposition à l'intégration.
Comment en sommes-nous arrivés là ? Que faire pour s'en sortir ? Ces réflexions méritent d'être poussées à l'extrême.
J'ai souvent dit que Bangui est l'avenir de la RCA. Non pas parce que c'est la capitale administrative et principale ville du pays mais parce qu'elle est le miroir de tous nos problèmes, le reflet de nos travers. Si nous voulons comprendre la RCA, nous pouvons la comprendre à travers Bangui. Si nous voulons trouver des solutions aux maux du Centrafrique, Bangui se révèle être le meilleur laboratoire.
En effet, on ne peut pas trouver meilleur endroit en Centrafrique pour consolider la Théorie de la Juxtaposition que Bangui.
La carte qui suit est extraite de « Rivalités ethniques et guerre urbaine au cœur de l'Afrique – Bangui (1996-2001) (1). Elle indique clairement que Bangui, en dehors d'une petite bande (avenue Boganda et avenue de France) qui fait moins de 5 km² sur une agglomération d'environ 120 km², l'occupation du sol Banguissois n'est pas ethniquement homogène.
Les gens de la forêt et du fleuve au Sud, les gens de la savane au Nord, une véritable bombe à retardement, ce qu'Emmanuel Chauvin nomme : « configuration pré conflictuelle ». Jusqu'en 1946, il fallait un laissez-passer pour entrer à Bangui. Puis le développement ségrégué par l'expansion spatiale et démographique de la ville vint consolider son fondement pré conflictuel par une arrivée massive de personnes dans les années 50 et 60. On disait à l'époque exode rural.
Les événements de 1996 et 2001 permirent d'opérer un nettoyage ethnique de certains quartiers de sorte qu'il y a des latitudes à Bangui que certains n'osent plus franchir dans le cadre d'une installation. Le Nord fut « désudiser » et le Sud fut « dénordiser ».
Le traumatisme est là, il est bien réel. J'avais un tonton Gbaya qui habitait un quartier du sud. Il a vécu toute sa vie, ses enfants y sont nés et sont pour moi des frères et des sœurs. À la faveur des événements de 1996, sa maison fut rayée de la carte et il dut se résigner à émigrer vers un quartier ethniquement compatible.
Un oncle qui habitait à quelques hectomètres de la barrière du PK12 et qui possédait une ferme sur la route de Damara, dut lui aussi se résigner à descendre vers le sud, voyant sa maison réduite en cendre et sa ferme restituée à la nature.
Moi-même je dus quitter SICA 1 où nous habitions à quelques pas de la direction générale de la gendarmerie et du siège du ministère de la défense nationale peu de temps après le déclenchement de la 3ème mutinerie et avoir eu la visite d'hommes en armes car soupçonné de sympathie mutine.
Un retour en arrière nous permet de fixer dans le temps, les origines ségréguées de Bangui.
Jean DRESCH, 1946 : « Bangui est une ville assez extraordinaire qui répond mal aux définitions traditionnelles. Les urbanistes prévoient qu'elle occupera la colline. On devine en effet le parti qu'ils en pourraient tirer pour l'aménagement des quartiers résidentiels. Mais elle n'est encore occupée que par des singes et par des panthères qui parfois se hasardent dans les rues de la ville. La ville blanche de Bangui vit dans l'avenir qui, du reste, parait assuré...
La population de Noirs est déjà imposante, puisqu'on dénombrait plus de 25 000 individus à la fin de 1945. Mais la répartition des indigènes n'est pas moins curieuse et incertaine. Bangui ne compte pas de gros villages groupés. Seize agglomérations, souvent désignées par le nom du chef de canton ou de quartier se dispersent dans le périmètre urbain. Certaines ne sont souvent que de vrais villages de ruraux intégrés dans la ville. Aucune n'est complètement coupée de la vie rurale...Ainsi la ville blanche s'entoure, à distance respectueuse, d'une série de villages. Il y en avait un autre tout près, sur l'emplacement de la future gare ; on l'a fait déménager, bien que certains de ses habitants aient construit en dur. Mais un village d'"évolués" et d'ouvriers est en cours de construction, au sud du terrain d'aviation. Les cases sont en dur et soignées...
Curieuse ville, en somme, semi-rurale encore, puisqu'elle contient non seulement des planteurs blancs, mais aussi et surtout des agriculteurs noirs qui ne sont pas "détribalisés".
Réserve de main-d'œuvre pour la ville future...
Attirés à la fois par le fleuve et par la colline, les blancs se sont établis d'abord sur la berge, ombragée par de vénérables manguiers, le long de ce qu'on appelle le port, digne de ce nom seulement depuis qu'un quai, pendant la guerre, a été aménagé. Au-dessus, des rues en damiers grimpent, toujours bordées de manguiers, sur les pentes inférieures de la colline factoreries et cases administratives sont du vieux type colonial. Mais à partir de la place du marché, la ville s'est étendue dans trois directions : le long du fleuve vers l'aval, vers les marais où conflue la M'Poko où s'esquisse un quartier portuaire et industriel, aux abords de la future gare du Bangui-Tchad, le long de la route de M'Baïki où se sont établis quelques petits planteurs blancs, enfin au contact de la colline et de la plaine où se succèdent missions, hôpital, logements, locaux administratifs, cité de l'aviation, tous bâtiments qui n'ont plus rien de colonial...
Quant à la population indigène, elle se répartit dans seize agglomérations qui se dispersent dans le périmètre urbain. En contournant la colline, on rencontre d'abord, en amont de la mission Saint-Paul, un groupe de villages nouvellement installés et occupés par des pêcheurs et cultivateurs appartenant aux races avoisinantes, Sangho à N'Zengué, Yakoma à Gremboutou, Banziri à Sao [entendez : Sayo], auxquels se mêlent des employés. Vers le Nord, après de petits "quartiers" où résident des boys ou des prostituées attirées par le camp militaire, le village de N'Garsoué est un village de paysans N'Drè englobé dans la ville.
Kaïmba et Boy-Rabé sont deux agglomérations jointives, peuplées d'anciens tirailleurs et de Baka-Mandjia. A la pointe du périmètre urbain, Bafio et Magoambala sont peuplés de Baya et de Mandjia, tous plus ou moins agriculteurs. Les villages situés au-delà du terrain d'aviation sont, au contraire, des villages de commerçants et artisans, étrangers au pays et musulmans, villages jointifs installés là sur plan en damiers, tandis que les autres s'aménagent au gré des occupants : Sénégalais à Ibrahim Sow, Bornouan à Mustapha, Haoussa à Mamadou-M'Baiki, concessions bien closes qui rappellent le Soudan et l'Islam contrastent avec les cases de leurs voisins, Banda de Malimaka, Sara d'Assana, anciens gardes de Yakété… » (2)
A la lumière de son passé lointain et récent, on peut affirmer que Bangui, deuxième chef-lieu du territoire du Haut Oubangui puis capitale du Centrafrique, loin d'être un carrefour cosmopolite est une juxtaposition de ghettos dont la matrice principale est l'ethnie et la région.
Ce qui lui donne un caractère conflictuel permanent. Les événements de 1996/1997 et 2001 en sont la parfaite illustration. À ceux-là, est venu s'ajouter le ghetto confessionnel par la stigmatisation à tort ou à raison du KM5 et l'amalgame crée par les hommes de Nourredine et Assimeh entre les habitants de Boyrabe et Bozizé.
Comment rendre homogène la mosaïque humaine de Bangui. Comment créer la cohésion sociale. En réponse à ces questions, j'avais depuis 2003 plaidé pour un transfert de la capitale de Bangui à Bambari. Cette solution, à court ou moyen terme n'est pas envisageable vu l'état actuel de la RCA. Précisons que ce projet de transfert n'est pas seulement un acte spatial et administratif mais intégré dans un projet global que j'avais nommé PGASM pour Processus Global d'Amélioration des Situations Concrètes de nos Masses.
Aujourd'hui le défi principal auquel Bangui est confronté est celui de la sécurité. La cohésion de ses populations est un aspect primordial. Ne pas l'intégrer dans ce processus de stabilisation, c'est préparer les conditions de la prochaine flagellation, c'est consolider les tranchées.
L'avenir de Bangui et sa sécurisation passent par l'éradication du principal ghetto refuge Banguissois qu'est la TRIBU. Non pas comme lien social mais comme socle de développement urbain.
Clément De-Boutet M'bamba
Post-scriptum : En remplaçant Bangui par RCA, le contenu de cette tribune demeure inchangé.
1: Rivalités ethniques et guerre urbaine au cœur de l'Afrique – Bangui (1996-2001). Enjeux, 2009, 40, p. 30-38.
2: Jean Dresch, Villes congolaises -Etudes de géographie urbaine et sociale- repris par Marcel Soret in Bangui : études socio-démographique de l'habitat, Tome 1, Caractères et Structures, pages 28-29, ORSTOM, Bangui-Brazzaville, Mai-Juillet 1961.
Villes congolaises : Étude de géographie urbaine et sociale, Jean DRESCH, La R***e de géographie humaine et d'ethnologie – Paris, ISSN 1141-2119, ZDB-ID 2087753. Vol 1.1948,3,p. 3-24

04/09/2019

ON AURAIT TOUT VU ET ENTENDU EN CENTRAFRIQUE SANS VÉRITABLEMENT VOULOIR CHANGER LES CHOSES... QUE ZIGUELE NOUS DISE LA VERITE !!!

CALAVI , CITÉ ARCONVILLE LE 4 SEPTEMBRE ,

PATHÉTISME DE VOTRE SULTAN.

MR LE PRÉSIDENT DU MLPC , MR LE PREMIER MINISTRE MARTIN ZIGUÉLÉ ......

En vous écoutant srucupulesement.... Je retient des mots.... Je vous cite "Esclavage moderne , Justice , réduction de la capacité militaire des belligérants , Une population de l''houam-Pende au abois , un accord de paix bafoué.... Etc... Et j' en passe..."

Que dire ? D'une intervention radiophonique d'un leader d'un des plus grands Parti le MLPC de la République Centrafricaine.....

C'est pathétiquement insurportable , voilà de la moquerie au peuple de Centrafrique... De l'hypocrisie pure et simple... Je dirait de surcroît du mépris , méprisant...

Voilà un homme que les circonstances tribales ont amenés en politique.... Assureur de son état qui a eu une réussite professionnelle plus ou moins louable en Afrique de l'ouest....

Qui en Étant Premier Ministre deu Centrafrique à été la colonne vertébrale d'une cabale pour le massacre de compatriotes qui avaient pour seul tord l'appartennance à une ethnie...

Qui dans son rôle de chef de gouvernement a été complice de la venue de force étrangères dans un contrat de mercenariat pour combattre dans sa nation la RCA contre son propre peuple...

Voila un homme au moment où ces mêmes mercenaires de la SELEKA qu'il vilipende aujourd'hui en les traitant de tous les noms d'oiseaux qui déclarait que l'arrivée de cette SELEKA est une bonne chose pour le pays....

Voilà le même homme qui aujourd'hui regarde en chiens de faïence ces amis d'hier et demande justice.....

Mais dans ce pays la République Centrafricaine on se fout de qui ? De quoi ?...

Mr le Président Ziguélé Martin... Dans la vie d'un homme... Il arrive des moments où il faut savoir se taire , pour garder le peu de dignité qu'il nous reste aux yeux de son peuple , des populations souffrante et dans leurs isolements...

Car c'est celà aussi être un homme d'État dans la substance même du mot...

Dans les pays développés où les personnages publiques ont un minimum d'intégrité , de morale , d'humanisme , de sincérité intellectuel , d'amour de leur pays...

Ces hommes d''États se retirent de la vie publique , rentre dans une piété pour que le Régulateur du ciel et de la terre veuille bien les pardonnez de leurs errements..

Mr Le Président Martin Ziguélé , il est temps de vous chercher un couvent expiatoire et d' y rester jusqu'au dernier jour.

Dit en tout amour , en toute sincérité , en toute logique , et avec du bon sens.

Bien respectueusement , modestement et humblement.

Adalla-Picra de Nguereyo
Eric-Olivier Anicet Dominique.

SAR LE SULTAN DE RAFAÏ.

Adresse

Hirondelhrd@yahoo. Fr
Bangui

Téléphone

+23672504953

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Groupe Hirondelle publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager