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đđ„Ìđ†đ‘đŽ-𝐓𝐈𝐌𝐄𝐒 Salon de massage et des soins Ă©nergĂ©tiques Ă  Brazzaville - Congo. C'est un Institut NÉGRO-AFRICAINS.

NÉGRO-TIMES est une page dĂ©diĂ©e Ă  l'Histoire de l'Afrique, Ă  l'Histoire des Noirs AmĂ©ricains, et prĂ©sentant des documentaires ayant un lien avec l'Afrique mais aussi des films rĂ©alisĂ©s par des cinĂ©astes et vidĂ©astes Africains.

Un garçon offre à sa fiancée une poupée. Elle s'énerve, prend la poupée et la jette dans la rue. Son fiancé arrive et lu...
15/09/2024

Un garçon offre à sa fiancée une poupée. Elle s'énerve, prend la poupée et la jette dans la rue. Son fiancé arrive et lui dit :
- Pourquoi tu as jeté la poupée ?
Elle répond :
- Parce que je n'aime pas ton cadeau.
Lui va dans la rue et ramasse la poupée, quand surgit une voiture qui circulait dans la rue et le renverse, causant ainsi sa mort.
Le jour de l'enterrement, la fiancée en larmes prend la poupée, la serre dans ses bras...
Au moment oĂč elle la serre dans ses bras, la poupĂ©e dit : Veux - tu te marier avec moi ?
Alors elle, impressionnée, laisse tomber la poupée, et de la poche de la poupée tombent 2 alliances.

Moralité de l'histoire : " Aime ce que tu as, avant que la vie t'enseigne à aimer ce que tu as perdu "...

Un jour, en allant dans sa bananeraie, mon ami passa dans notre champ et vint me taquiner. Quelques temps aprÚs son dépa...
26/05/2024

Un jour, en allant dans sa bananeraie, mon ami passa dans notre champ et vint me taquiner. Quelques temps aprĂšs son dĂ©part, alors que j’étais occupĂ© Ă  souffler dans mon kpĂštĂš, je perçus soudain un cri de douleur et de dĂ©tresse. J’interrompis ma mĂ©lodie, serrai mon instrument de musique dans ma main et tendis l’oreille. Le cri se rĂ©pĂ©tait, s’enfait, s’élevait, strident et plein d’angoisse. Je reconnais la voix de mon ami. Je n’eus pas le temps de me demander ce qui se passait; je me laissai tomber de perchoir, pris mon coupe-coupe, saisis l’arc et le carquois de mon ami et courus dans la bananeraie. Je me prĂ©cipitai dans la plantation aprĂšs avoir sautĂ© la haie de nĂ©pals et de ronces oĂč je me dĂ©chirai les jambes.

A une trentaine de pas devant moi, je vis Bossou ligotĂ© des pieds Ă  la tĂȘte par quatre singes. Les bĂȘtes n’avaient pas eu besoin de cordes ; elles s’étaient servis de leur longue queue; deux autres battaient Bossou Ă  coup de queue aussi, tandis que le reste de la troupe, les uns ravageaient la plantation, se chargeaient des grappes de bananes qu’ils arrachaient des rĂ©gimes et partaient Ă  toute vitesse, les autres serrant leur butin contre leur poitrine sautillaient et gambadaient en poussant des cris de joie : ils Ă©taient heureux d’ĂȘtre les maĂźtres d’un homme au point de le battre aprĂšs l’avoir rĂ©duit Ă  l’impuissance.

Olympe BHELY QUENUM , Un piĂšge sans fin.

JournĂ©e internationale pour l’élimination de la violence Ă  l’égard des femmes ♀ : contre ce flĂ©au, notre fondation est p...
25/11/2023

JournĂ©e internationale pour l’élimination de la violence Ă  l’égard des femmes ♀ : contre ce flĂ©au, notre fondation est plus que jamais mobilisĂ©e.

03/11/2023
« Photographier c'est mettre sur la mĂȘme ligne de mire la tĂȘte, l'Ɠil et le coeur. » Henri Cartier-Bresson
20/08/2023

« Photographier c'est mettre sur la mĂȘme ligne de mire la tĂȘte, l'Ɠil et le coeur. »
Henri Cartier-Bresson

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29/04/2023

đŸ‡šđŸ‡©đŸ‡šđŸ‡ŹLes Bakongo

Les Kongos ou Bakongo forment un peuple bantou d'Afrique centrale. On les trouve essentiellement au sud du Gabon (dans les provinces de Ngounié et Nyanga), au sud de la République du Congo (régions du Pool (Mpumbu), Bouenza (Buenza ou Bwenza), Niari (Niadi ou Niari), Lekoumou (Lekumu) et Kouilou (Kwilu ou Kuilu)), au nord de l'Angola (provinces de Uíge (Wizidi), Cabinda (province : Kabinda ) et Zaire (Nzadi)) et dans la province du Kongo central en République démocratique du Congo. Les Kongos sont évalués à plus de 18 millions d'individus.

Crucifix en alliage de cuivre du xviie siÚcle (République démocratique du Congo)
Des preuves archéologiques ont été trouvées à Tchissanga (actuellement en République du Congo), un site datant d'environ 600 avant JC. Cependant, le site ne prouve pas quel groupe ethnique résidait à cette époque . Le peuple Kongo s'était installé dans la région bien avant le cinquiÚme siÚcle de notre Úre, avait créé une société qui utilisait les ressources diverses et riches de la région et avait développé des méthodes d'agriculture . Selon James Denbow, la complexité sociale avait probablement été atteinte au deuxiÚme siÚcle de notre Úre .

Selon Vansina, de petits royaumes et des principautĂ©s Kongo sont apparus dans la rĂ©gion actuelle vers 1200 de notre Ăšre, mais l'histoire documentĂ©e Ă©crite de cette pĂ©riode du peuple Kongo, si elle existe, n'a pas survĂ©cu Ă  l'Ăšre moderne. Une description dĂ©taillĂ©e et abondante du peuple Kongo qui vivait prĂšs des ports atlantiques de la rĂ©gion, en tant que culture, langue et infrastructure sophistiquĂ©es, apparaĂźt au xve siĂšcle, Ă©crite par les explorateurs portugais . Les travaux anthropologiques ultĂ©rieurs sur les Kongos proviennent des Ă©crivains de l'Ă©poque coloniale, en particulier des Français et des Belges (Loango, Vungu et la vallĂ©e du Niari), mais ils sont eux aussi limitĂ©s et ne couvrent pas de maniĂšre exhaustive l'ensemble du peuple Kongo . De la poterie datĂ©e entre 2155 et 2035 bp, 420 BC – AD 130 avait Ă©tĂ© trouvĂ© Ă  Ngovo (actuellement dans le Kongo central) et datĂ©e de bien avant, entre 2500-2400 bp Ă  Tchissanga (actuellement en RĂ©publique du Congo). D’aprĂšs Koen Bostoen: L’ancĂȘtre commun du groupe Kikongo a au moins 2 000 ans et il a Ă©mergĂ© non loin du Pool Malebo oĂč se trouvent actuellement les capitales de Kinshasa et Brazzaville. et La premiĂšre expansion du groupe Kikongo vers la cĂŽte Atlantique est le corollaire de la premiĂšre colonisation de la rĂ©gion par des populations bantouphones qui ont descendu le fleuve Congo au moins plus d’un millĂ©naire avant que le royaume ne commence Ă  Ă©merger.

D’aprĂšs les traditions orales recueillies, avant la crĂ©ation de Kongo dia Ntotila, il y aurait eu Kongo dia NtĂ©tĂ© (aussi connu sous le nom de Kongo dia Tuku; le Kongo des origines), Ă  la suite de l’éclatement du Kongo dia NtĂ©tĂ© il y aurait eu la crĂ©ation d’autres royaumes et une migration sous forme spirale (forme qui rappelle le coquillage Kodia (coquille d’escargot)) des Kongos. Toujours d’aprĂšs ces traditions orales pour les Kongos le premier Homme serait Mahungu (ou Mawungu, Mavungu) (au dĂ©part un ĂȘtre mi-homme, mi-femme puis plus t**d cet ĂȘtre se scinda en deux, en homme et en femme), Ma Nguunu (ou Ngunu) serait aussi un des ancĂȘtres des Kongos et Kongo dia Ntotila aurait Ă©tĂ© créé bien avant 1390 et 1200. On dĂ©couvre aussi le mythe de la femme aux neuf seins.

Selon Vansina, les preuves suggĂšrent que le peuple Kongo Ă©tait avancĂ© dans sa culture et ses systĂšmes sociopolitiques avec de multiples royaumes bien avant que les Portugais atteignirent les cĂŽtes du fleuve Nzadi (en langue Kongo Nzadi veut dire fleuve ; le nom Zaire (en français ZaĂŻre) est nĂ© d'une mauvaise comprĂ©hension ou prononciation des portugais) sous la conduite de Diogo CĂŁo en 1482 . À l’arrivĂ©e des Portugais, le royaume Kongo Ă©tait Ă  son apogĂ©e grĂące Ă  la culture de l’igname, le traitement du fer et l’échange de houes contre de l'ivoire avec les peuples de l’intĂ©rieur.

Les Bakongo Ă©tablirent des relations diplomatiques, qui prĂ©voyaient Ă©galement l'envoi d'une dĂ©lĂ©gation Ă  la cour royale du Portugal en 1485. Les relations d’abord Ă©galitaires se transformĂšrent en une mainmise des Portugais. Dans un esprit de modernisation, les dirigeants kongo acceptĂšrent le christianisme des missionnaires europĂ©ens. Cela comportait Ă©galement l'adoption des mƓurs et style de vie portugais, ce qui dĂ©plut Ă  une grande partie du peuple. Il en rĂ©sulta des tensions entre les chrĂ©tiens et les adeptes des religions kongo. Qui plus est, dans les annĂ©es 1450, un prophĂšte, Ne-Buela Muanda, prĂ©dit l'arrivĂ©e des portugais et la mise en esclavage physique et spirituel de beaucoup de Bakongo.

AprĂšs 1500, les Portugais demandaient des esclaves. Les Portugais installĂ©s Ă  Sao TomĂ©-et-Principe avaient besoin de main-d'Ɠuvre esclave pour leurs plantations de canne Ă  sucre et ils ont d'abord achetĂ© de la main-d'Ɠuvre (des prisonniers de guerre et des criminels). Peu aprĂšs, les portugais avec la complicitĂ© de certains Kongos (cf. : lettre du roi Kongo Alphonse Ier) ont commencĂ© Ă  kidnapper des citoyens libres et exemptĂ©s de la sociĂ©tĂ© Kongo et aprĂšs 1514, ils ont provoquĂ© des campagnes militaires dans les rĂ©gions africaines voisines pour plus obtenir de la main-d'Ɠuvre esclave . De plus les portugais comptaient aussi sur la Christianisation pour asservir le peuple Kongo, le sel connu avant l’arrivĂ©e des portugais Ă©tait distribuĂ© dans des villages Kongos par des missionnaires occidentaux pour asservir. Les raids d'esclaves et le volume du commerce d'ĂȘtres humains rĂ©duits en esclavage ont augmentĂ© par la suite et dans les annĂ©es 1560, plus de 7 000 esclaves par an Ă©taient capturĂ©s et exportĂ©s par les commerçants portugais vers les AmĂ©riques. Le peuple Kongo et les peuples voisins ont ripostĂ© par des violences et des attaques; les Kongos ont Ă©galement créé des chansons pour s’avertir de l’arrivĂ©e des portugais, une des chansons connues est « Malele » (Traduction: « Malheur » ou « MalĂ©diction », chanson prĂ©sente parmi les 17 chansons Kongos chantĂ©es par la famille Massembo de la Guadeloupe lors du Grap a Kongo ). En 1568 Mbanza-Kongo a Ă©tĂ© pris par les Yakas; Le royaume du Kongo ne retrouva jamais sa grandeur passĂ©e et les annĂ©es suivantes virent les Bakongo se battre alternativement contre et avec les Portugais et les NĂ©erlandais pour finalement ĂȘtre colonisĂ©s en 1885 . Au xxe siĂšcle, un parti politique kongo, l'Alliance des Bakongo (ABAKO) ainsi que les communautĂ©s Kimbanguiste (Simon Kimbangu) jouĂšrent un rĂŽle important dans l'indĂ©pendance de la RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo en 1960. Les Kongos jouĂšrent aussi un rĂŽle important dans l’indĂ©pendance de la RĂ©publique du Congo (L’Amicale des originaires de l'Afrique-Équatoriale française, Matswanisme ou Matsuanisme ou encore Matsouanisme (AndrĂ© Matswa ou Matsua), UDDIA, PPC) ainsi que celle de l'Angola (FNLA, MLEC, TokoĂŻsme (SimĂŁo Toko ou Toco), FLEC, CAUNC, ALLIAMA).

Le royaume levait des impĂŽts, Ă©tablissait le travail obligatoire de ses citoyens pour financer sa stabilitĂ© sociale. En effet, la prise en charge de la frange la moins favorisĂ©e de la sociĂ©tĂ© Ă©tait le devoir principal du roi. Le roi pouvait ĂȘtre un homme comme une femme. Lorsque c'Ă©tait un homme, son Ă©pouse Ă©tait la premiĂšre dame du pays, et pouvait choisir et rĂ©pudier son mari, le destituer, lever l'armĂ©e, etc.

Les jours de travail étaient réglementés, de sorte qu'un jour de repos tous les sept jours était accordé à chaque personne, mais par roulement selon les provinces et les clans. La semaine Kongo est constituée de quatre jours, le mois de 28, et on compte quatre jours de repos par mois (un tous les sept jours).

Contrairement Ă  nombre de sociĂ©tĂ©s non-africaines de la mĂȘme Ă©poque, le systĂšme social Ă©tait plus favorable aux moins nantis, dans la mesure oĂč :

les propriétaires de terrains, les employeurs et toute la classe aisée devaient prendre en charge les plus démunis, sous peine de déshonneur. Par exemple, il était obligatoire qu'un employeur fasse travailler ses employés le matin et leur laisse l'aprÚs-midi pour produire pour leur famille et leur bien personnel ;
tout manquement pouvait s'accompagner de discrédit social.

Quant au roi, il Ă©tait le responsable de toutes ces franges de la sociĂ©tĂ©. Il Ă©tait Ă©lu par un groupe de gouverneurs, habituellement des chefs de parties importantes et par la suite par les officiels portugais. Les villes Ă©taient gĂ©nĂ©ralement dirigĂ©es par des chefs de village, devant qui ils Ă©taient responsables. Tous les membres du gouvernement Ă©taient investis dans leurs fonctions sous des conditions de compĂ©tence, de respect des mƓurs et avec l'aval des autoritĂ©s spirituelles.

Source/Koen Bostoen et Inge Brinkman, The Kongo Kingdom: The Origins, Dynamics and Cosmopolitan Culture of an African Polity, Cambridge University Press, 2018

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