Delphine Muller Neurofeedback

Delphine Muller Neurofeedback La thérapie par neurofeedback ! Le neurofeedback peut traiter efficacement de nombreux troubles. Hypnose cognitive et entrainement cérébral par neurofeedback.

Stress post- traumatique, TDHA (trouble de l'attention avec déficit d'attention), burn out (prévention et récupération) , surmenage, attaque de panique, phobie, angoisse, troubles du sommeil et de la vigilance, douleurs chroniques, dépression. Accompagnement au changement d'orientation et/ou de milieu professionnel.

🧠 Nouvelle série : « Et pour les proches, c’est comment ? »🎙️ Interview  #2 – Avant le diagnosticSous-thème : “Elle oubl...
08/08/2025

🧠 Nouvelle série : « Et pour les proches, c’est comment ? »
🎙️ Interview #2 – Avant le diagnostic
Sous-thème : “Elle oublie tout… Est-ce qu’elle s’en fiche de moi ?”

Quand une personne qu’on aime oublie sans arrêt,
on finit par croire qu’elle n’en a rien à faire.
C’est ce qu’a longtemps pensé ce conjoint, avant de comprendre…

DM :
Tu vivais comment ses oublis ?

Le conjoint :
Elle oubliait des choses importantes pour moi.
Je lui parlais d’un sujet personnel, elle n’en reparlait jamais.
Je lui donnais une date de dîner chez mes parents…
et elle prenait un autre rendez-vous.
Elle devait réserver un week-end à deux : oublié.
Elle avait promis de venir me chercher à l’aéroport : oubli aussi.

Et elle disait :
“Oups… j’ai zappé, désolée !”
Mais avec le sourire. Comme si ce n’était pas grave.

Alors moi je pensais :
👉 Elle ne m’écoute pas.
👉 Elle se fout de moi.
👉 Je ne compte pas.

Et plus elle oubliait, plus je m’éloignais.

🔍 Ce que je ne savais pas à l’époque :
Ce n’était pas de la mauvaise volonté.
C’était un TDAH.
Un trouble de l’attention.
Un défaut d’ancrage de l’information dans le cerveau.

Elle ne retenait pas.
Et comme elle ne retenait pas, elle n’oubliait pas vraiment…
Parce que ça n’avait même pas été codé.

💥 Mais pour moi, c’était une blessure.
Parce que dans un couple, l’oubli répété, ça blesse.
Ça donne l’impression d’être invisible.

🧠 Le TDAH chez l’adulte – et surtout chez les femmes – est souvent invisible.
Masqué par l’énergie, l’humour, l’agitation.
Mais les proches en souffrent aussi. En silence.

🔜 Prochain épisode : “Chaque remarque tournait à la dispute…”

💬 Tu vis ça avec ton/ta partenaire ?
Tu te reconnais ?
Raconte-moi.
📍 www.mullerdelphine.com

🧠 Nouvelle série : « Et pour les proches, c’est comment ? »🎙️ Interview  #1 – Avant le diagnosticSous-thème : “Elle est ...
07/08/2025

🧠 Nouvelle série : « Et pour les proches, c’est comment ? »

🎙️ Interview #1 – Avant le diagnostic
Sous-thème : “Elle est brillante. Mais épuisante. Et je ne comprenais pas pourquoi.”

On parle souvent du TDAH chez l’enfant.
Parfois chez l’adulte.
Mais rarement de ce que vivent les proches au quotidien.

👉 Cette série donne la parole aux partenaires, familles, amis…

On commence par le couple.
📌 Que vit-on quand on partage sa vie avec une personne TDAH… sans le savoir ?

DM :
Tu te souviens de vos débuts ?

Le conjoint :
Elle était… électrisante.
Créative, vive, drôle. Mais impossible à canaliser.
Elle lançait 3 projets par jour, organisait un week-end, oubliait de manger, puis parlait sans fin d’une idée à 2h du matin.
Elle faisait rire tout le monde… mais je restais seul à gérer derrière.

Elle disait : « Je réponds à un mail »,
et deux heures plus t**d, elle gérait 10 choses à la fois.
Moi, j’attendais. Encore.

Puis sont venues les disputes.
Les explosions pour une chaussette.
Les larmes sans raison.
J’ai pensé à un trouble bipolaire. Mais elle n’était jamais “down”.
Juste en surchauffe. Constamment.

Je me suis demandé si elle faisait exprès.
Puis j’ai douté de moi.
Et j’ai commencé à m’éteindre.

🔍 Ce que je ne savais pas encore ?
Qu’elle avait un TDAH.
Que son cerveau ne s’arrêtait jamais.
Qu’elle ne voulait pas m’oublier…
Elle n’y arrivait pas.

💬 Le TDAH chez l’adulte, surtout chez les femmes, est souvent invisible.
Derrière l’énergie, la fatigue. Derrière l’humour, l’effondrement.

🔜 Prochain épisode :
“Elle oublie tout… est-ce qu’elle s’en fiche ?”

💌 Tu vis ça ?
Raconte-moi.
📍 En savoir plus : www.mullerdelphine.com

🧠 TDAH : quand le cerveau ne traite pas l’information comme les autresQuand on pense au TDAH, on imagine souvent un enfa...
07/08/2025

🧠 TDAH : quand le cerveau ne traite pas l’information comme les autres

Quand on pense au TDAH, on imagine souvent un enfant hyperactif, qui court partout, interrompt, grimpe sur les meubles…
Mais l’hyperactivité n’est qu’un symptôme possible — pas une obligation.

➡️ Le vrai cœur du TDAH, c’est une difficulté à réguler l’attention, la motivation et les impulsions.

Certaines personnes sont agitées.
Mais d’autres sont simplement rêveuses, lentes, dans la lune, facilement distraites — sans jamais être « turbulentes ».

Le TDAH est un trouble du développement du cerveau, qui impacte :
🔹 l’attention
🔹 la motivation
🔹 la gestion du temps
🔹 le contrôle des émotions et des impulsions

Il ne s’agit ni d’un manque de volonté, ni d’un défaut d’éducation.
C’est un fonctionnement cérébral différent.

🧠 Les neurosciences ont montré :
✔️ Un ret**d de maturation cérébrale de 2 à 5 ans dans certaines zones
✔️ Un circuit de la motivation altéré : difficile de maintenir l’effort sans retour immédiat
✔️ Un besoin de stimulation rapide, variée et engageante

🎮 Ce n’est donc pas un hasard si certains peuvent rester concentrés des heures sur une activité passionnante… et décrocher en 2 minutes devant une tâche répétitive.

🔁 Ce que cela change ?
On peut adapter notre approche :
✅ Valoriser les tâches engageantes
✅ Structurer le temps autrement
✅ Utiliser des renforcements visibles
✅ Et, dans certains cas, recourir au neurofeedback, pour entraîner le cerveau à mieux s’autoréguler.

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🧠💊 Ritaline chez l’adulte : soulagement immédiat ou régulation durable ?Selon un article paru dans 20 minutes Suisse, pl...
06/08/2025

🧠💊 Ritaline chez l’adulte : soulagement immédiat ou régulation durable ?

Selon un article paru dans 20 minutes Suisse, plus de 92 000 personnes ont reçu une prescription de Ritaline en 2023, dont un nombre croissant d’adultes.
Une tendance inquiétante. Car derrière le soulagement rapide… se cache parfois une impasse neurofonctionnelle.

Le méthylphénidate stimule artificiellement les circuits dopaminergiques. Cela améliore temporairement la concentration. Mais à long terme, cela peut aussi :

❗ réduire la flexibilité mentale
❗ freiner la créativité
❗ entraîner une rigidité cognitive
❗ perturber les réseaux du mode par défaut (pensée divergente, intuition, recul)

Et les effets secondaires classiques s’ajoutent :
😵 insomnies, perte d’appétit, palpitations, irritabilité, effet rebond…

🌿 Il existe pourtant une autre voie.
Plus exigeante. Plus lente. Mais neuroplastique et durable.

🧠 Le cerveau peut réapprendre à s’autoréguler.
📊 Par une évaluation EEG rigoureuse.
🔁 Et grâce au neurofeedback, une méthode qui entraîne le cerveau à retrouver stabilité, attention et souplesse.

🚧 Deux chemins s’offrent à nous.
L’un est rapide, mais risque d’aplatir ce qui fait notre richesse cognitive.
L’autre demande de l’engagement… mais permet une vraie transformation cérébrale.

Ne confondons pas performance immédiate et santé neurofonctionnelle.

🧠 Et si on entraînait le cerveau… plutôt que de le médicamenter ?C’est la question posée par une étude clinique espagnol...
06/08/2025

🧠 Et si on entraînait le cerveau… plutôt que de le médicamenter ?

C’est la question posée par une étude clinique espagnole comparant deux approches face au TDAH chez l’enfant :
🔹 D’un côté, la Ritaline (méthylphénidate),
🔹 De l’autre, le neurofeedback — un entraînement cérébral par EEG.

👉 Résultat ?
Les deux groupes ont vu leurs symptômes diminuer…
Mais le groupe neurofeedback a aussi montré :
✔️ une meilleure concentration,
✔️ de meilleures fonctions exécutives,
✔️ une progression scolaire notable…
Sans effets secondaires.

Et surtout : des changements cérébraux mesurables à l’EEG.
Autrement dit : leur cerveau a réellement appris à mieux fonctionner.

🎯 Le message est clair :
Le TDAH n’est pas qu’un déséquilibre à corriger.
C’est aussi une opportunité de rééduquer le cerveau, en s’appuyant sur sa plasticité.

📍 Dans mon cabinet à Genève, je propose une évaluation EEG individualisée pour identifier :

les profils attentionnels,

les zones de déséquilibre (theta/beta, asymétries frontales…),

et mettre en place un accompagnement ciblé par neurofeedback.

Parce qu’un cerveau qu’on comprend est un cerveau qu’on peut aider.
Et parce qu’un enfant concentré peut (enfin) apprendre sereinement.

🔗 Plus d’infos : www.mullerdelphine.com

🧠 Pourquoi poser un diagnostic de TDAH à l’âge adulte ? Et en quoi cela change la donne en neurofeedback ?Beaucoup d’adu...
06/08/2025

🧠 Pourquoi poser un diagnostic de TDAH à l’âge adulte ? Et en quoi cela change la donne en neurofeedback ?

Beaucoup d’adultes arrivent en consultation avec un sentiment d’épuisement, d’incompréhension, et surtout cette impression d’avoir toujours dû lutter pour « fonctionner normalement ».

Le diagnostic TDAH à l’âge adulte, ce n’est ni une excuse, ni une étiquette. C’est une clé de lecture.
Il permet de relire toute une vie avec un autre regard :
✔️ un cerveau « toujours allumé »
✔️ des difficultés à se concentrer
✔️ une instabilité de parcours
✔️ une hypersensibilité émotionnelle
✔️ une procrastination paralysante malgré un fort potentiel

👉 Le TDAH n’est pas un trouble acquis. C’est une configuration neurodéveloppementale : le cerveau s’est structuré autrement dès l’enfance… et continue de fonctionner ainsi à l’âge adulte.

🎯 Pourquoi ce diagnostic est-il si utile en neurofeedback ?

Parce qu’il permet d’ajuster finement l’accompagnement.
Un cerveau TDAH demande :
🔁 plus de répétitions,
🎯 des protocoles EEG personnalisés,
⚙️ une prise en compte des troubles associés : anxiété, sommeil, trauma, etc.

🔧 Et surtout, il ouvre la voie à des actions concrètes :
🌿 structuration de l’environnement
🧘‍♀️ régulation émotionnelle
⏰ adaptation des rythmes
🧠 entraînement cérébral ciblé

💡 Le diagnostic n’est pas une fin.
C’est un point de départ pour mieux se comprendre, cesser de se juger… et commencer à s’ajuster.

📍Une évaluation neurofonctionnelle peut déjà vous offrir de précieux repères sur le fonctionnement de votre cerveau.

🔗 En savoir plus : www.mullerdelphine.com

🧠 Quand tu dis juste : « On en reparle plus t**d »…Et qu’il le vit comme une DÉCLARATION DE GUERRE.Non, ce n’est pas de ...
31/07/2025

🧠 Quand tu dis juste : « On en reparle plus t**d »…
Et qu’il le vit comme une DÉCLARATION DE GUERRE.

Non, ce n’est pas de la mauvaise volonté.
Ce n’est pas « faire une scène pour rien ».
C’est souvent une manifestation bien réelle de ce qu’on appelle la RSD – Rejection Sensitive Dysphoria.

👉 Ce terme décrit une hypersensibilité au rejet, fréquente chez les personnes vivant avec un TDAH.
Une petite remarque, un report de conversation, un ton un peu sec… et le cerveau s’emballe.

🎬 Ce qui se passe en coulisse :
L’amygdale (le centre de l’alerte émotionnelle) s’active comme si un danger vital menaçait le lien affectif.
Il peut alors exploser, se refermer, ou s’auto-dévaloriser en boucle.
Et pendant ce temps, toi tu ne comprends plus rien.

💡 Alors on fait quoi ?

✅ On ne minimise pas sa réaction.
« Tu t’emballes pour rien » = ça aggrave.

✅ On clarifie l’intention.
« Je suis juste fatigué, pas fâché. Ce n’est pas contre toi. »

✅ On nomme la dynamique.
« Je crois que ton cerveau a entendu un rejet. Moi je voulais juste dire qu’on en reparle demain. »

✅ On apprend à faire pause.
Oui, même quand on n’a rien compris.
Parce qu’avec la RSD, la logique viendra plus t**d… quand le système nerveux aura dégonflé.

🙋‍♂️ Et si c’était lui, et pas elle ?

La RSD touche aussi les hommes TDAH — souvent masquée par l’humour, la fuite, l’agressivité, ou l’auto-sabotage.
Ce n’est pas de la fragilité. C’est un système d’alerte hypersensible…
qui mérite d’être compris, apprivoisé, et régulé.

🧠 Et ça se travaille.
Neurofeedback, psychoéducation, stratégies de régulation : il y a des outils. Et surtout, il y a de l’espoir.

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🧠 Et si vos troubles d’attention, de concentration ou de régulation émotionnelle venaient… d’un traumatisme crânien anci...
29/07/2025

🧠 Et si vos troubles d’attention, de concentration ou de régulation émotionnelle venaient… d’un traumatisme crânien ancien ?

On parle souvent de stress ou d’anxiété. Mais on oublie parfois un facteur discret et fréquent : le traumatisme crânien léger.

Et non, pas besoin d’un coma ou d’un accident grave.

➡️ Une chute à vélo, un choc en ski, une commotion passée inaperçue… peuvent suffire à ralentir durablement le fonctionnement du cortex cérébral, la zone clé pour l’attention, les émotions et le traitement cognitif.

🔍 Ce que révèle souvent l’évaluation EEG :

▪️ Basses fréquences (delta, theta) dominantes : un cerveau comme « en veille ».
▪️ Hypoactivation du cortex frontal : difficulté à rester concentré, à réguler ses émotions, à prendre des décisions.

Ce profil passe souvent inaperçu dans les suivis classiques, car le cerveau, lui, se souvient… même quand la mémoire ne suit pas.

🎯 Bonne nouvelle : ça se régule.
Avec le neurofeedback, on relance l’activité corticale, on entraîne le cerveau à sortir du ralentissement, et les effets sont souvent très positifs :

👉 plus de clarté mentale
👉 meilleure concentration
👉 émotions stabilisées

🔁 Avant de penser « TDAH » ou « anxiété chronique », pensons traumatisme crânien léger.
Et surtout, écoutons ce que dit le cerveau.

📊 Il laisse des traces. Et il peut les transformer.

📍 Plus d’infos sur : www.mullerdelphine.com

🧠 “Le TDAH, tout le monde a un peu ça, non ?”C’est une phrase que j’entends souvent. Et je comprends pourquoi elle circu...
28/07/2025

🧠 “Le TDAH, tout le monde a un peu ça, non ?”
C’est une phrase que j’entends souvent. Et je comprends pourquoi elle circule.

👉 Oui, les symptômes du TDAH — comme l’inattention, l’agitation mentale ou l’impulsivité — sont présents dans la population générale.
👉 Oui, beaucoup de personnes se reconnaissent dans ces traits, sans être diagnostiquées TDAH.

Mais ce que cette affirmation oublie, c’est le degré de sévérité, la fréquence, et surtout l’impact fonctionnel.
C’est là que le TDAH devient un trouble clinique : quand ces symptômes deviennent envahissants, chroniques, et interfèrent avec la vie personnelle, professionnelle, scolaire ou sociale.

📚 Une étude néerlandaise (Li et al., 2021, Radboud University) le montre très bien :
➡️ Près de 5 000 adultes ont été interrogés. Beaucoup rapportaient des symptômes d’inattention ou d’impulsivité.
➡️ Mais chez la plupart, ces symptômes étaient présents à des niveaux faibles ou modérés, sans retentissement majeur.
➡️ Seule une minorité atteignait un seuil compatible avec un TDAH clinique.

💡 Cette étude explique pourquoi on peut avoir l’impression qu’il y a “trop de diagnostics” :
Ce n’est pas qu’on invente le trouble.
C’est que les symptômes du TDAH existent sur un spectre, et deviennent pathologiques quand leur intensité dépasse la capacité d’adaptation de la personne.

🎯 En neurofeedback, je vois la différence tous les jours :

Certains patients sont distraits ou sensibles, mais s’adaptent bien.

D’autres vivent un brouillard attentionnel constant, une hyperactivation émotionnelle épuisante, ou une incapacité à structurer leurs actions, malgré de gros efforts.
Ce sont ces profils-là qui relèvent d’un TDAH à prendre en charge.

Conclusion ?
✅ Oui, les symptômes du TDAH peuvent se retrouver chez tout le monde.
❗Mais non, le TDAH n’est pas “banal”. Ce qui fait la différence, c’est l’intensité, la persistance, et l’impact sur la qualité de vie.



📖 Référence : Li et al. (2021), ADHD symptoms in the adult general population
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🧠 L’optimisme se lit dans le cerveau. Littéralement.Une étude relayée par BioSource Software révèle un fait surprenant :...
28/07/2025

🧠 L’optimisme se lit dans le cerveau. Littéralement.

Une étude relayée par BioSource Software révèle un fait surprenant : les personnes optimistes ont une activité cérébrale similaire lorsqu’elles imaginent leur futur.
Cette activité se concentre dans une zone clé : le cortex préfrontal médian, impliqué dans la planification, l’anticipation et la régulation émotionnelle.

📍Ce qu’on observe :

Les optimistes activent les mêmes zones cérébrales quand ils pensent à leur avenir.

Ils font une différence nette entre les bons et les mauvais scénarios.

Ils prennent plus de distance émotionnelle face aux scénarios négatifs.

À l’inverse, les profils plus pessimistes montrent une activité cérébrale plus dispersée, moins organisée.

🎯 En neurofeedback, ces zones sont souvent ciblées quand on travaille sur l’anxiété, le stress ou la projection dans l’avenir.
Certains cerveaux peinent à imaginer le futur autrement que sous tension. D’autres activent systématiquement des réponses émotionnelles disproportionnées.
La bonne nouvelle ? Tout cela peut s’entraîner.

🧠 Le cerveau a cette incroyable capacité à se réorganiser. À créer de nouvelles connexions. À stabiliser certains réseaux.
Et à retrouver une forme d’équilibre émotionnel.

👉 Et si entraîner son cerveau, c’était aussi une façon de cultiver l’optimisme ?

🔗 Lien vers l’étude en bio.

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🧠 Le TDAH n’est pas né avec TikTok.Ce trouble neurodéveloppemental, souvent mal compris, est décrit depuis plus d’un siè...
28/07/2025

🧠 Le TDAH n’est pas né avec TikTok.

Ce trouble neurodéveloppemental, souvent mal compris, est décrit depuis plus d’un siècle. Son histoire commence bien avant les diagnostics modernes.

🎩 1798 : Alexander Crichton décrit déjà des enfants “incapables de maintenir leur attention”.
📖 1845 : le psychiatre Heinrich Hoffmann crée Philippe-qui-gigote, un enfant incapable de rester assis. Une première BD clinique ?

🧪 1902 : Sir George Still observe des enfants impulsifs et inattentifs… sans ret**d mental. Il évoque une origine biologique.

💣 Années 1920 : on parle de “brain damage syndrome”. L’hyperkinésie devient un terme médical.

💊 1937 : Charles Bradley prescrit une amphétamine à des enfants hyperactifs. Ils se calment. Début de l’aventure médicamenteuse.

📚 1972 : Virginia Douglas recentre le débat sur l’attention et l’impulsivité, toujours au cœur du diagnostic actuel.

🧬 Années 80-90 : L’IRM cérébrale révèle des anomalies dans le cortex préfrontal. Le TDAH devient un trouble neurologique reconnu.

🧩 Aujourd’hui, on sait que ce n’est ni un caprice, ni une invention moderne. Le TDAH est souvent héréditaire, implique une dérégulation dopaminergique et un cerveau qui, parfois, tourne un peu trop vite.

🎯 À retenir ?
Le TDAH a une histoire, une base neurobiologique solide, et il mérite mieux que des jugements à l’emporte-pièce.
Oui, certains enfants gigotent toujours… mais maintenant, on sait pourquoi.

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🧠 Un électroencéphalogramme (EEG) peut sauver un patient d’un diagnostic psychiatrique erronéUn article de BioSource Sof...
21/07/2025

🧠 Un électroencéphalogramme (EEG) peut sauver un patient d’un diagnostic psychiatrique erroné

Un article de BioSource Software (How Antipsychotics Affect the EEG) présente un cas clinique aussi éclairant qu’interpellant.

📍 Un homme de 28 ans reçoit un diagnostic de schizophrénie.
💊 Trois antipsychotiques successifs sont prescrits (rispéridone, olanzapine, aripiprazole). Aucun effet positif. Effets secondaires marqués.
📈 L’EEG (électroencéphalogramme) révèle un ralentissement généralisé, avec dominance des ondes lentes (delta et thêta), une faible activité alpha et une cohérence corticale perturbée.

Or, ce profil est incompatible avec une psychose primaire.

💡 Le clinicien oriente l’investigation vers une origine neurologique. Un diagnostic de neuroborréliose (forme neurologique de la maladie de Lyme) est posé.
➡️ Traitement antibiotique + protocole de neurofeedback ➝ disparition des symptômes psychiatriques.

🎯 À retenir :

✔️ L’électroencéphalogramme ne sert pas qu’à détecter l’épilepsie : il peut orienter un diagnostic différentiel majeur.
✔️ Un ralentissement EEG diffus peut signaler une encéphalopathie, une atteinte métabolique ou infectieuse, et non un trouble psychiatrique.
✔️ Certains antipsychotiques, notamment de 1ʳᵉ et 2ᵉ génération, induisent eux-mêmes un ralentissement EEG.
➡️ Lorsqu’un tel ralentissement est déjà présent avant traitement ou persiste de manière marquée, il doit inciter à rechercher une cause organique.
✔️ L’interprétation fine d’un EEG peut éviter des traitements inadaptés… et redonner à un patient sa véritable trajectoire de soin.

👩‍⚕️ Un EEG ne remplace pas le jugement clinique. Mais dans certains cas, il l’éclaire avec une puissance remarquable.

💬 Vous arrive-t-il d’intégrer l’EEG dans vos démarches cliniques ? Avez-vous déjà été confronté à un écart entre un diagnostic psychiatrique et les données neurophysiologiques ?
Vos retours m’intéressent.

📍 Plus d’informations : www.mullerdelphine.com

Adresse

Route De Malagnou 4
Geneva
1208

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