Delphine Muller Neurofeedback

Delphine Muller Neurofeedback La thérapie par neurofeedback ! Le neurofeedback peut traiter efficacement de nombreux troubles. Hypnose cognitive et entrainement cérébral par neurofeedback.

Stress post- traumatique, TDHA (trouble de l'attention avec déficit d'attention), burn out (prévention et récupération) , surmenage, attaque de panique, phobie, angoisse, troubles du sommeil et de la vigilance, douleurs chroniques, dépression. Accompagnement au changement d'orientation et/ou de milieu professionnel.

🧠 Le TDAH n’est pas né avec TikTok.Ce trouble neurodéveloppemental, souvent mal compris, est décrit depuis plus d’un siè...
28/07/2025

🧠 Le TDAH n’est pas né avec TikTok.

Ce trouble neurodéveloppemental, souvent mal compris, est décrit depuis plus d’un siècle. Son histoire commence bien avant les diagnostics modernes.

🎩 1798 : Alexander Crichton décrit déjà des enfants “incapables de maintenir leur attention”.
📖 1845 : le psychiatre Heinrich Hoffmann crée Philippe-qui-gigote, un enfant incapable de rester assis. Une première BD clinique ?

🧪 1902 : Sir George Still observe des enfants impulsifs et inattentifs… sans re**rd mental. Il évoque une origine biologique.

💣 Années 1920 : on parle de “brain damage syndrome”. L’hyperkinésie devient un terme médical.

💊 1937 : Charles Bradley prescrit une amphétamine à des enfants hyperactifs. Ils se calment. Début de l’aventure médicamenteuse.

📚 1972 : Virginia Douglas recentre le débat sur l’attention et l’impulsivité, toujours au cœur du diagnostic actuel.

🧬 Années 80-90 : L’IRM cérébrale révèle des anomalies dans le cortex préfrontal. Le TDAH devient un trouble neurologique reconnu.

🧩 Aujourd’hui, on sait que ce n’est ni un caprice, ni une invention moderne. Le TDAH est souvent héréditaire, implique une dérégulation dopaminergique et un cerveau qui, parfois, tourne un peu trop vite.

🎯 À retenir ?
Le TDAH a une histoire, une base neurobiologique solide, et il mérite mieux que des jugements à l’emporte-pièce.
Oui, certains enfants gigotent toujours… mais maintenant, on sait pourquoi.

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🧠 Un électroencéphalogramme (EEG) peut sauver un patient d’un diagnostic psychiatrique erronéUn article de BioSource Sof...
21/07/2025

🧠 Un électroencéphalogramme (EEG) peut sauver un patient d’un diagnostic psychiatrique erroné

Un article de BioSource Software (How Antipsychotics Affect the EEG) présente un cas clinique aussi éclairant qu’interpellant.

📍 Un homme de 28 ans reçoit un diagnostic de schizophrénie.
💊 Trois antipsychotiques successifs sont prescrits (rispéridone, olanzapine, aripiprazole). Aucun effet positif. Effets secondaires marqués.
📈 L’EEG (électroencéphalogramme) révèle un ralentissement généralisé, avec dominance des ondes lentes (delta et thêta), une faible activité alpha et une cohérence corticale perturbée.

Or, ce profil est incompatible avec une psychose primaire.

💡 Le clinicien oriente l’investigation vers une origine neurologique. Un diagnostic de neuroborréliose (forme neurologique de la maladie de Lyme) est posé.
➡️ Traitement antibiotique + protocole de neurofeedback ➝ disparition des symptômes psychiatriques.

🎯 À retenir :

✔️ L’électroencéphalogramme ne sert pas qu’à détecter l’épilepsie : il peut orienter un diagnostic différentiel majeur.
✔️ Un ralentissement EEG diffus peut signaler une encéphalopathie, une atteinte métabolique ou infectieuse, et non un trouble psychiatrique.
✔️ Certains antipsychotiques, notamment de 1ʳᵉ et 2ᵉ génération, induisent eux-mêmes un ralentissement EEG.
➡️ Lorsqu’un tel ralentissement est déjà présent avant traitement ou persiste de manière marquée, il doit inciter à rechercher une cause organique.
✔️ L’interprétation fine d’un EEG peut éviter des traitements inadaptés… et redonner à un patient sa véritable trajectoire de soin.

👩‍⚕️ Un EEG ne remplace pas le jugement clinique. Mais dans certains cas, il l’éclaire avec une puissance remarquable.

💬 Vous arrive-t-il d’intégrer l’EEG dans vos démarches cliniques ? Avez-vous déjà été confronté à un écart entre un diagnostic psychiatrique et les données neurophysiologiques ?
Vos retours m’intéressent.

📍 Plus d’informations : www.mullerdelphine.com

🧠 Comment dire non à son ado… sans finir par dire oui ?(Version été, liberté, et sorties à répétition)L’ado a réussi son...
21/07/2025

🧠 Comment dire non à son ado… sans finir par dire oui ?
(Version été, liberté, et sorties à répétition)

L’ado a réussi son année.
15 messages non lus en 2 minutes.
Une seule obsession : sortir.

Pas une fois. Pas deux.
Mais tous les soirs.

Parce que “c’est les vacances”, “tout le monde sort”, “je gère” et “t’inquiète”.

En tant que parent, comment poser une limite sans bloquer la relation ?
Comment dire non… sans créer un huis clos émotionnel ?

Voici 5 stratégies fines et applicables pour négocier avec fermeté et souplesse :

1. Fixer un cadre souple… mais visible.

“Trois sorties dans la semaine, à vous de choisir lesquelles.”
L’ado perçoit une marge de liberté, mais dans un périmètre clair.
On évite la négociation au cas par cas qui vire au tribunal chaque soir.

2. Faire de la sortie un échange, pas un dû.

“Oui pour ce soir… si demain vous assurez le repas ou vous aidez votre petit frère.”
Cela introduit la logique du donnant-donnant.
Ce n’est pas une punition. C’est un apprentissage du lien et de la responsabilité.

3. Activer le cortex… par la question.

“Qu’est-ce que vous feriez à ma place ?”
On ne cherche pas une réponse parfaite, mais une étincelle de perspective.
C’est souvent plus efficace qu’un long discours.

4. Garder un point fixe dans la semaine.

“Le dimanche soir, on mange tous ensemble. C’est non négociable.”
Même en été, même en short.
Un repère stable dans un planning flottant : ça rassure plus que ça n’en a l’air.

5. Éviter les faux deals.

“Ok mais c’est la dernière fois.”
Fausse promesse, vraie perte de crédibilité.
Mieux vaut un cadre flexible assumé qu’un ultimatum jamais tenu.

📌 À retenir :
Dire non, ce n’est pas brimer.
C’est offrir un cadre.
Un espace de confiance, où les règles ne sont pas là pour restreindre, mais pour structurer.

Et un jour, ils diront merci.
(Enfin… peut-être.)

🔗 Pour en savoir plus sur l’accompagnement parental et le neurofeedback :
👉 www.mullerdelphine.com

🧠 Autisme : 4 profils différents, 4 trajectoires uniquesNon, l’autisme n’est pas un simple « spectre ».C’est une constel...
19/07/2025

🧠 Autisme : 4 profils différents, 4 trajectoires uniques

Non, l’autisme n’est pas un simple « spectre ».
C’est une constellation de profils, avec des origines, des manifestations et des besoins très différents.

Une grande étude publiée en 2025 (Nature Genetics, projet SPARK) a identifié 4 sous-types cliniques distincts de l’autisme.
Une vraie avancée pour une prise en charge plus précise et plus humaine 💡

Voici un aperçu ⬇️

🔹 1. Challenges sociaux et comportementaux
Difficultés dans les interactions, comportements répétitifs, mais développement moteur/langagier préservé.
👉 Comorbidités fréquentes : anxiété, TDAH, dépression.

🔸 2. Re**rd de développement
Re**rds précoces (langage, motricité), mais peu de troubles du comportement.
👉 Profil souvent silencieux… et trop peu repéré.

🟢 3. Challenges modérés
Traits autistiques discrets, développement global proche de la norme.
👉 Un profil souvent sous-diagnostiqué, mais qui bénéficie grandement d’un accompagnement ciblé.

🟣 4. Largement impactés
Difficultés globales (communication, apprentissages, régulation émotionnelle).
👉 Souvent associés à des mutations génétiques plus lourdes.

✨ Comprendre ces profils, c’est mieux accompagner.
✨ Mieux écouter, c’est déjà soigner.
✨ Mieux adapter, c’est respecter la neurodiversité.

🔗 Étude complète en bio
📷 Voir le visuel pour les 4 profils
🌐 En savoir plus : www.mullerdelphine.com

🧠 TDAH chez l’adulte : mieux comprendre les sous-types pour mieux accompagnerOn croit souvent que le TDAH appartient à l...
19/07/2025

🧠 TDAH chez l’adulte : mieux comprendre les sous-types pour mieux accompagner

On croit souvent que le TDAH appartient à l’enfance. En réalité, il persiste fréquemment à l’âge adulte, prenant des formes plus subtiles… parfois confondues avec de l’anxiété, de la dépression ou des troubles de la personnalité.

Une étude italienne (Salvi et al., 2019) menée auprès de 60 adultes diagnostiqués TDAH a identifié 3 profils cliniques distincts, chacun avec ses particularités.

📊 Répartition des sous-types :
🔁 70 % combiné (inattention + impulsivité/hyperactivité)
💤 18 % inattentif (désorganisation, lenteur mentale, oublis)
⚡ 8 % hyperactif/impulsif (agitation, réactions excessives, tensions relationnelles)

🔍 Quelques constats cliniques :
➡️ Le sous-type combiné est le plus sévère et le plus handicapant au quotidien.
➡️ Le profil hyperactif/impulsif est plus souvent féminin — ce qui interroge sur le biais de repérage : les femmes seraient repérées plus t**d, uniquement quand les symptômes deviennent visibles.
➡️ Le TDAH inattentif passe souvent inaperçu plus longtemps : les patient·es évoquent une fatigue cognitive chronique, une lenteur, des oublis, sans forcément se plaindre d’agitation.

📉 Un point commun à tous : une qualité de vie altérée, en particulier dans la projection de soi, la confiance, et les relations.

✅ Identifier le sous-type, c’est ouvrir la porte à un accompagnement plus juste, mieux ciblé, plus efficace.

🧠 Vous accompagnez des adultes TDAH ? Ou vous vous reconnaissez dans un de ces profils ? Parlons-en.

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🎒 TDAH & choix d’école : comment éviter les faux pas ?Trouver une école pour un enfant avec un TDAH, ce n’est pas juste ...
19/07/2025

🎒 TDAH & choix d’école : comment éviter les faux pas ?

Trouver une école pour un enfant avec un TDAH, ce n’est pas juste une inscription. C’est un engagement sur son équilibre émotionnel, ses apprentissages, sa confiance en lui… et parfois la sérénité de toute la famille.

Et pourtant, beaucoup de parents me disent :
« On a visité plusieurs écoles, mais on ne sait toujours pas quoi choisir. »

👉 C’est normal.
Parce que le fonctionnement d’un cerveau TDAH ne se devine ni dans une plaquette d’établissement, ni dans le discours d’un directeur.

Ce qu’il faut chercher, c’est un environnement compatible avec un fonctionnement neuro-atypique, pas juste une école réputée.

🔎 5 questions clés à poser avant toute inscription :

1️⃣ Combien d’élèves par classe ?
➡️ Moins de bruit = moins de fatigue cognitive.

2️⃣ Quelles adaptations sont possibles ?
➡️ Temps supplémentaire ? Évaluations orales ? Pauses ? C’est la base.

3️⃣ Comment les comportements sont-ils encadrés ?
➡️ Punition ou cadre bienveillant et cohérent ?

4️⃣ Quelle place pour les parents ?
➡️ Partenaire ou simple spectateur ?

5️⃣ Votre enfant rentre-t-il en se sentant compétent ?
➡️ Pas sage. Compétent. La nuance est essentielle.

👣 En tant que neuropraticienne, je propose des entretiens d’orientation personnalisés pour :

✔️ comprendre les besoins réels de votre enfant,
✔️ décrypter les signaux faibles lors des visites,
✔️ décider en conscience, à partir du cerveau… pas de la peur.

📩 Envie d’en parler ? Écrivez-moi en MP.
🌐 Plus d’infos : www.mullerdelphine.com

🧠 TDAH et été : du lâcher-prise… oui, mais de la discipline… OBLIGATOIRE.Cela fait plusieurs posts que j’insiste sur ce ...
14/07/2025

🧠 TDAH et été : du lâcher-prise… oui, mais de la discipline… OBLIGATOIRE.

Cela fait plusieurs posts que j’insiste sur ce sujet.
Parce que l’été, pour les enfants TDAH… c’est souvent un cauchemar neurologique déguisé en farniente familial.

🎮 Cadre qui vole en éclats,
📱 écrans sans limite,
⏰ horaires éclatés,
😵‍💫 régulation émotionnelle en chute libre…
Et à la rentrée, je retrouve des enfants en neurofeedback totalement déréglés.

💣 Résultat ? Trois mois à tenter de rattraper les dégâts.
Et on arrive en décembre avec l’impression de recommencer l’année depuis zéro.

📌 Alors je vais être honnête :
Oui, je comprends les parents.
Vous êtes épuisés. Vous aussi, vous avez besoin de vacances. De calme. De décompression.
Mais par pitié, ne lâchez pas tout.

Parce que ce qui est semé l’été… mûrit en septembre.
Et un été structuré, même un peu, permet une rentrée en bon état neurologique.
Pas une rentrée version jet lag comme s’il revenait de Los Angeles avec 9 heures de décalage dans le cortex préfrontal.

💡 Rappel : un cerveau TDAH a 2 à 5 ans de re**rd dans la maturation des fonctions exécutives.
Donc non, il ne peut pas “gérer tout seul”.
Et non, vous n’êtes pas trop strict·e si vous gardez un cadre.
Vous êtes simplement en train de faire son job de cortex, le temps qu’il arrive à maturité.

🎯 Votre rôle ?
Devenir le cerveau de secours : celui qui régule, anticipe, organise, temporise.

👀 Cela peut paraître lourd.
Mais c’est ce qui fait toute la différence entre un été qui désorganise… et un été qui aide réellement à grandir.

📌 Dans mon prochain post, je vous donnerai des repères simples pour un été plus serein — pour vous comme pour votre enfant.

Et vous, que mettez-vous (ou pas) en place pendant les vacances pour éviter la descente aux enfers de septembre ?



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🧠 TDAH et adolescence : suis-je trop strict·e… ou pas assez ?« Tu devrais le laisser se débrouiller. »« À son âge, il po...
09/07/2025

🧠 TDAH et adolescence : suis-je trop strict·e… ou pas assez ?

« Tu devrais le laisser se débrouiller. »
« À son âge, il pourrait gérer ses devoirs tout seul. »
« Tu contrôles trop, lâche un peu. »

➡️ Quand on est parent d’un ado avec un TDAH, ces remarques font douter.
Mais on oublie souvent que le cerveau TDAH accuse un re**rd de 2 à 5 ans dans la maturation des fonctions exécutives :
planification, organisation, gestion du temps, priorisation…

👉 Ce n’est pas qu’il ne veut pas. C’est qu’il ne peut pas encore.
Et la solution, c’est vous, parent :
vous devenez le cerveau de secours, celui qui structure, planifie, rappelle, cadre… le temps que ses circuits arrivent à maturité.

💡 Ce n’est ni du contrôle excessif, ni de la faiblesse : c’est une adaptation juste à un fonctionnement neurologique différent.

📌 Prochain post : comment poser un cadre efficace… sans étouffer.


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🧠 Neurofeedback & TDAH : et si on élargissait le cadre thérapeutique ?Cela fait plus de 20 ans que les médicaments psych...
09/07/2025

🧠 Neurofeedback & TDAH : et si on élargissait le cadre thérapeutique ?

Cela fait plus de 20 ans que les médicaments psychostimulants occupent la première place dans la prise en charge du TDAH.
Mais aujourd’hui, une question revient de plus en plus souvent, dans mon cabinet comme dans les études scientifiques :

👉 Peut-on aider autrement un cerveau qui a du mal à se réguler ?

📌 Je ne suis pas anti-médication. Elle peut, dans certains cas, être utile, transitoire, nécessaire.
Mais je suis convaincue qu’elle ne peut plus être considérée comme l’unique réponse à un fonctionnement neurologique atypique.

De plus en plus de familles me disent :

« Mon enfant a des effets secondaires… »

« Il ne veut plus prendre son traitement. »

« Il se sent éteint, ou au contraire surexcité. »

« J’aimerais qu’il apprenne à mieux se connaître, à se réguler, à se concentrer par lui-même. »

Et c’est exactement ce que propose le neurofeedback :
🌱 un entraînement progressif, basé sur l’EEG, pour aider le cerveau à retrouver un équilibre attentionnel naturel, sans effet chimique externe.

Ce que je pense ?

✔️ Le neurofeedback est une voie en expansion — et elle est fondée.
✔️ Il ne s’agit pas d’opposer, mais de compléter intelligemment.
✔️ Ce qui est en train d’émerger, c’est un changement de paradigme :
➡️ Mieux comprendre le cerveau,
➡️ Respecter son rythme,
➡️ Et sortir du modèle “symptôme = médicament”.



💬 Et vous, en tant que parents, professionnels ou personnes concernées :

Quelle a été votre expérience ?

Avez-vous déjà envisagé (ou testé) le neurofeedback ?

Pensez-vous que la médication est encore la seule option sérieuse aujourd’hui ?

Vos retours m’intéressent.



👩‍⚕️ Delphine Muller
Neuropraticienne en neurofeedback – Genève
🌐 www.mullerdelphine.com

🧠 AVANT LE PSY, IL Y A LE PARENT.Chaque semaine, je vois des enfants en séance.Mais ce que je vois surtout, c’est ça :👉 ...
07/07/2025

🧠 AVANT LE PSY, IL Y A LE PARENT.

Chaque semaine, je vois des enfants en séance.
Mais ce que je vois surtout, c’est ça :
👉 Quand un parent change, l’enfant change.

Non, ce n’est pas « leur faute ».
Mais leur présence, leur façon d’aimer, de réguler, de réparer…
c’est la base de tout.

Le cerveau d’un enfant se régule par co-régulation.
Un parent calme, c’est un cerveau d’enfant qui peut se calmer aussi.

💡 3 gestes qui changent tout :

1️⃣ Respirer avant d’agir.
Le parent est le chef d’orchestre émotionnel.

2️⃣ Mettre des mots sur les émotions.
« Tu es frustré ? » = j’aide son cerveau à penser au lieu de réagir.

3️⃣ Réparer.
Pas besoin d’être parfait. Juste présent, sincère, humain.

🎧 Le neurofeedback aide, bien sûr.
Mais vous êtes déjà un thérapeute invisible,
chaque fois que vous choisissez la patience, l’écoute, ou juste… un câlin.

✨ Le parent est la météo intérieure de l’enfant.
Et ça, c’est puissant. 🌱

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🎯 Et si on arrêtait de penser que le neurofeedback, c’est juste “intéressant” ?Il est temps de (re)lire les classiques.👉...
06/07/2025

🎯 Et si on arrêtait de penser que le neurofeedback, c’est juste “intéressant” ?

Il est temps de (re)lire les classiques.
👉 En 2015, Lubar et ses collègues publiaient un article fondamental :
📄 Neurofeedback in application to the ADHD spectrum

Ce texte n’est pas un plaidoyer militant. C’est une r***e rigoureuse des résultats cliniques, des fondements théoriques et des pistes futures pour l’application du neurofeedback dans le spectre TDAH.
Et ce qu’il nous dit, c’est clair :
✔️ Oui, le neurofeedback est efficace.
✔️ Oui, ses effets sont durables.
✔️ Et non, il ne s’agit pas d’un effet placebo vaguement décoré.

🧠 Il repose sur des modulations cérébrales mesurables, des protocoles ciblés, et une logique qui s’inscrit dans la neuroplasticité.

Aujourd’hui, la recherche a évolué, mais cet article reste une brique essentielle pour comprendre pourquoi et comment le neurofeedback s’intègre dans une prise en charge globale et personnalisée du TDAH.

💬 À lire, à transmettre, à discuter :
👉 https://www.academia.edu/81763085/Neurofeedback_in_application_to_the_ADHD_spectrum

📍 Pour en savoir plus sur mon approche clinique :
www.mullerdelphine.com

🧠 Neurofeedback ou Ritaline® pour aider un enfant TDAH ?Une étude passionnante a comparé deux approches :➡️ Entraînement...
03/07/2025

🧠 Neurofeedback ou Ritaline® pour aider un enfant TDAH ?

Une étude passionnante a comparé deux approches :
➡️ Entraînement du cerveau par neurofeedback (NF)
➡️ Traitement médicamenteux par méthylphénidate (Ritaline®, Concerta®…)

👦 23 enfants entre 7 et 14 ans ont été suivis pendant 6 mois.

🎯 Résultat ?
✔️ Les deux groupes ont vu leurs symptômes diminuer (inattention, agitation)
✨ Mais seul le groupe NF a progressé… sur le plan scolaire
📈 Et les effets du NF ont duré dans le temps

🔍 Mais comment ça marche ?

Le neurofeedback aide le cerveau à s’autoréguler.
Grâce à des capteurs EEG, l’enfant apprend à moduler son activité cérébrale en temps réel.

Le protocole utilisé cible :
• les ondes thêta (liées à la distraction)
• et les bêta (liées à la concentration)

🧠 C’est un entraînement des zones cérébrales qui gèrent l’attention, la régulation émotionnelle, les fonctions exécutives.

💊 Contrairement aux médicaments, le NF n’agit pas de l’extérieur. Il entraîne le cerveau à mieux fonctionner.
Et ça change tout.

📌 Ce que ça change pour les familles :
• Une approche non médicamenteuse, durable, bien tolérée
• Des bénéfices sur l’attention… et les apprentissages
• Une prise en charge personnalisée, centrée sur le cerveau réel de l’enfant



💬 En tant que neuropraticienne, je suis convaincue qu’un cerveau qu’on écoute… peut apprendre à mieux fonctionner.

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Adresse

Eaux-Vives

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