Delphine Muller Neurofeedback

Delphine Muller Neurofeedback La thérapie par neurofeedback ! Le neurofeedback peut traiter efficacement de nombreux troubles. Hypnose cognitive et entrainement cérébral par neurofeedback.

Stress post- traumatique, TDHA (trouble de l'attention avec déficit d'attention), burn out (prévention et récupération) , surmenage, attaque de panique, phobie, angoisse, troubles du sommeil et de la vigilance, douleurs chroniques, dépression. Accompagnement au changement d'orientation et/ou de milieu professionnel.

🧠 TDAH ou séquelles d’un traumatisme crânien ?De nombreux adultes consultent pour des problèmes de concentration, d’orga...
25/09/2025

🧠 TDAH ou séquelles d’un traumatisme crânien ?

De nombreux adultes consultent pour des problèmes de concentration, d’organisation ou de régulation émotionnelle.
La question revient souvent : « Est-ce du TDAH ? »

👉 Mais attention : certains traumatismes crâniens (même légers) peuvent générer des symptômes très proches.

TDAH : un trouble du développement

Présent depuis l’enfance (avant 12 ans).

Symptômes persistants dans différents contextes (école, maison, travail).

Ce n’est pas un trouble qui “apparaît” à l’âge adulte.

Traumatisme crânien : un imitateur

Après un accident, on retrouve souvent :

distractibilité,

difficultés exécutives,

impulsivité,

fatigue cognitive,

troubles émotionnels.

➡️ À première vue, cela ressemble beaucoup à un TDAH.

Comment les différencier ?

La chronologie : symptômes depuis toujours = TDAH ; seulement après l’accident = TCC.

Le profil cérébral :

TDAH → déséquilibres diffus (ex. ratio Theta/Beta élevé).

TCC → anomalies plus localisées (ralentissements, asymétries).

Anamnèse + examens (neuropsychologie, EEG/qEEG) indispensables.

Pourquoi c’est crucial ?

Un diagnostic erroné = traitement inadapté, perte de temps, incompréhension du vrai problème.
Le cerveau garde les traces de son histoire : il faut distinguer le développement atypique de la lésion acquise.

✨ En résumé :
Un traumatisme crânien peut “imiter” un TDAH, mais une évaluation rigoureuse permet de faire la différence.

🔖 Avez-vous déjà rencontré cette confusion dans votre pratique ou votre entourage ?

✨ Burnout : quand le cerveau dit stop ✨Le burnout n’est pas « juste de la fatigue ».C’est un cerveau qui s’épuise.🔬 Ce q...
23/09/2025

✨ Burnout : quand le cerveau dit stop ✨

Le burnout n’est pas « juste de la fatigue ».
C’est un cerveau qui s’épuise.

🔬 Ce qui se passe en profondeur :

Trop d’ondes rapides (β) → hypervigilance permanente

Pas assez d’ondes alpha → impossible de récupérer

Sommeil désorganisé → attention et mémoire en chute libre

Système émotionnel à vif → irritabilité, hypersensibilité

⚠️ Les signaux d’alerte :

Réveils nocturnes, fatigue constante

Difficultés à se concentrer

Sensation de « tête pleine »

Émotions à fleur de peau

💡 La psychothérapie aide à comprendre et à mettre des mots.
Mais si l’activité cérébrale reste désorganisée, le risque de rechute est réel.

🎯 Le neurofeedback :
C’est une rééducation neuronale.
Grâce à l’EEG, le cerveau reçoit un feedback en temps réel et réapprend à :
✔️ calmer l’hyperactivité frontale
✔️ restaurer les ondes alpha (repos, clarté, créativité)
✔️ réguler les émotions
✔️ retrouver un sommeil réparateur

🌱 Résultat : un cerveau qui se stabilise, une énergie qui revient, une concentration retrouvée.

Le burnout n’est pas une fatalité.
Le cerveau peut se réorganiser.
Encore faut-il lui donner les bons outils.

👉 Sauvegardez ce post si le sujet vous parle.
👉 Partagez-le à quelqu’un qui traverse peut-être cette étape.

🧠 Neurofeedback et TDAH : la recherche avance aussi chez les tout-petitsLe TDAH se manifeste dès la maternelle. Pourtant...
22/09/2025

🧠 Neurofeedback et TDAH : la recherche avance aussi chez les tout-petits

Le TDAH se manifeste dès la maternelle. Pourtant, avant 6 ans, les options thérapeutiques restent limitées :
👉 Thérapie comportementale parentale en première ligne
👉 Médicaments parfois nécessaires… mais souvent mal tolérés chez les plus jeunes

Bonne nouvelle : la recherche internationale confirme ce que nous observons déjà en clinique.
Une vaste étude multicentrique (NeFAP, 2022) teste le neurofeedback combiné à la thérapie comportementale chez des enfants de 4 à 6 ans nouvellement diagnostiqués TDAH.

✔️ 274 enfants suivis pendant 36 mois
✔️ 48 séances de neurofeedback ou sham
✔️ Objectif : mesurer l’amélioration des symptômes et le délai avant recours à la médication

Pourquoi c’est prometteur ?
Le neurofeedback agit directement sur les déséquilibres EEG (ratio Theta/Beta, potentiels corticaux lents), et favorise l’autorégulation. C’est exactement ce dont les enfants TDAH ont besoin dès leurs premières années d’apprentissage.

✨ Cette étude ne fait que renforcer une conviction : le neurofeedback est une alternative crédible, scientifiquement évaluée, et respectueuse du développement cérébral des enfants.

👉 Je suis curieuse : que pensez-vous de l’intégration du neurofeedback dès le diagnostic précoce ?

🧠 Stress : une révision du modèle classiquePendant 40 ans, le modèle de Lazarus & Folkman expliquait le stress ainsi :1️...
22/09/2025

🧠 Stress : une révision du modèle classique

Pendant 40 ans, le modèle de Lazarus & Folkman expliquait le stress ainsi :
1️⃣ On évalue cognitivement la situation (menace ou défi ?)
2️⃣ Puis on regarde si on a les ressources pour y faire face.

Mais une étude récente de Patrick Steffen & Travis Anderson (2025) bouscule ce cadre 👇
👉 L’évaluation primaire du stress n’est pas cognitive… mais affective.

En clair : ton corps réagit avant ton mental.
💓 Cœur qui s’accélère
💨 Respiration courte
⚡ Tension musculaire

Ce n’est qu’après que ton cerveau met des mots dessus (“c’est dangereux”, “c’est gérable”).

Pourquoi c’est important ?

Parce que ça change notre façon de comprendre et de gérer le stress :

Penser positif ne suffit pas si le corps reste en alerte.

Les techniques qui régulent l’affect (respiration, pleine conscience, neurofeedback, biofeedback) deviennent essentielles.

On gagne en clarté mentale après avoir calmé la réaction corporelle.

✨ Le message de l’étude : nos émotions précèdent nos pensées.
Le cerveau n’analyse pas dans le vide : il part toujours de ce “signal affectif” initial.

👉 Et toi, quand tu stresses : tu sens d’abord ton corps… ou tes pensées ?

👩‍🏫 “Il n’écoute pas !”Combien de fois entend-on cette phrase à la maison ou à l’école ?Et si ce n’était pas de la mauva...
22/09/2025

👩‍🏫 “Il n’écoute pas !”
Combien de fois entend-on cette phrase à la maison ou à l’école ?
Et si ce n’était pas de la mauvaise volonté… mais simplement la mémoire de travail qui dit “stop” ?

La mémoire de travail, c’est un peu comme la mémoire vive (RAM) d’un ordinateur.
Elle nous permet de garder en tête quelques infos pendant quelques secondes, juste assez pour agir.
👉 Chez un enfant, cette capacité est limitée :

2 éléments à 2 ans,

4 à 5 éléments à 5 ans,

environ 7 vers 11-12 ans.

Quand il y a trop d’infos à la fois, ou trop d’émotion, le cerveau sature. Résultat :

L’enfant décroche.

Il oublie la moitié de la consigne.

Il saute d’une idée à l’autre.

Et on pense qu’il “rêvasse”.

✨ La bonne nouvelle ? On peut l’aider.

5 astuces simples pour alléger la charge mentale d’un enfant

1️⃣ Des consignes courtes : une seule à la fois, ou découpée en petites étapes.
2️⃣ Un support visuel : pictos, liste à cocher, post-it → la mémoire n’a plus besoin de tout porter.
3️⃣ Un minuteur visuel (sablier, Time Timer) : le temps devient concret, plus besoin de le “garder en tête”.
4️⃣ Une phrase clé : “Maintenant je…” → aide l’enfant à se recentrer et à se souvenir de ce qu’il fait.
5️⃣ Un carnet “parking à idées” : quand une pensée parasite arrive, on la note pour plus t**d → on libère de la place.

👉 Ces petits outils ne sont pas seulement pratiques, ils sont neuroprotecteurs : ils soulagent la mémoire de travail et laissent plus d’énergie pour comprendre, raisonner et apprendre.

💡 La prochaine fois qu’un enfant “n’écoute pas”, demandez-vous :
Et si son cerveau faisait simplement de son mieux… avec l’espace dont il dispose ?

🧠 Émotion : quand le corps et l’esprit se disputent la vedetteEn 1962, deux chercheurs, Schachter & Singer, ont proposé ...
19/09/2025

🧠 Émotion : quand le corps et l’esprit se disputent la vedette

En 1962, deux chercheurs, Schachter & Singer, ont proposé une idée simple :
👉 Une émotion = le corps qui réagit (par exemple le cœur qui bat) + le cerveau qui donne une étiquette (“j’ai peur”, “je suis amoureux”, “je suis stressé”).

Autrement dit : « Mon cœur bat… est-ce de la peur, de l’amour ou juste trop de café ? »

🔍 Mais aujourd’hui, la recherche en neurosciences montre que c’est plus compliqué :

Les réactions du corps ne sont pas toutes les mêmes : la peur, la joie ou la colère n’activent pas exactement les mêmes circuits.

Le cerveau émotionnel (notamment l’amygdale) réagit parfois avant même qu’on ait le temps d’y penser.

Le corps et l’esprit se répondent en boucle : ce que l’on ressent influence ce que l’on pense… et inversement.

Certaines émotions comme la sérénité ou la mélancolie n’impliquent pas de fortes réactions physiques.

Enfin, la culture et les mots que nous utilisons façonnent aussi la façon dont nous ressentons nos émotions.

💡 Ce que ça change dans la pratique (et notamment en neurofeedback) :

Apprendre à mieux sentir ce qui se passe dans son corps (interoception) aide à mieux se réguler.

Reconnaître les réactions automatiques permet de comprendre pourquoi on réagit trop fort à certains déclencheurs.

Travailler à la fois sur le corps et sur les pensées ouvre de vraies possibilités de transformation.

✨ Mon avis : la théorie d’origine reste utile pour expliquer les bases, mais aujourd’hui on sait que l’émotion, c’est un vrai dialogue permanent entre le corps, l’esprit… et même la culture.

👉 Et vous, vos émotions viennent-elles d’abord de votre corps ou de l’histoire que vous vous racontez ?

🔍 Étudiants, santé mentale et technologie : une étude pionnière à Kent State UniversitySaviez-vous que près de 60 % des ...
19/09/2025

🔍 Étudiants, santé mentale et technologie : une étude pionnière à Kent State University

Saviez-vous que près de 60 % des étudiants universitaires aux États-Unis répondent aujourd’hui aux critères d’un trouble psychiatrique ? La pandémie n’a fait qu’accentuer une crise déjà bien installée.

Pour y répondre, la Kent State University a lancé une étude d’une ampleur inédite : le Student Life Study.
➡️ Objectif : suivre 10 000 étudiants pendant leur parcours universitaire (et même après), afin de mieux comprendre les facteurs de risque et de protection en santé mentale.

Ce qui rend cette étude unique :
📱 utilisation du smartphone et de capteurs portables (sommeil, activité, stress, interactions sociales)
🧬 collecte combinée de données biologiques, cognitives et institutionnelles (notes, services de santé, habitudes de vie)
🎯 mise en place d’interventions numériques personnalisées comme des applications de régulation émotionnelle ou de soutien académique
🤝 collaboration entre chercheurs, cliniciens et administration pour adapter les politiques universitaires en temps réel

Au-delà des résultats attendus, ce projet ouvre une voie nouvelle : celle de la médecine de précision appliquée à la santé mentale des jeunes adultes, à grande échelle et avec des outils déjà intégrés à leur quotidien.

👉 Une initiative qui pourrait inspirer d’autres universités, y compris en Europe, pour mieux soutenir leurs étudiants face aux défis d’aujourd’hui.

✨ TDAH et fonctions exécutives : comprendre pour mieux aider ✨Quand on vit avec un enfant TDAH, on remarque vite que le ...
18/09/2025

✨ TDAH et fonctions exécutives : comprendre pour mieux aider ✨

Quand on vit avec un enfant TDAH, on remarque vite que le problème n’est pas seulement l’attention ou l’agitation. Ce sont surtout les fonctions exécutives, logées dans le cortex frontal, qui posent défi. Ces fonctions sont comme le « chef d’orchestre » du cerveau : elles freinent les impulsions, lancent l’action, organisent les tâches et aident à s’adapter. Or, chez le TDAH, ce cortex frontal est souvent en hypoactivation, avec un ret**d de maturation. Résultat : l’enfant n’a pas encore les mêmes ressources qu’un autre du même âge.

🔹 Impulsivité : parler sans attendre, agir trop vite.
👉 Astuces : instaurer un signal discret (« stop »), utiliser le langage intérieur (« j’attends »), jouer à des jeux où il faut patienter.

🔹 Activation : se mettre en route semble une montagne.
👉 Astuces : fractionner les tâches, utiliser des rappels visuels, travailler avec un minuteur de 10 minutes puis pause.

🔹 Organisation : cahiers perdus, devoirs oubliés.
👉 Astuces : codes couleurs, check-lists simples la veille, apprendre à estimer le temps nécessaire pour une tâche.

🔹 Flexibilité : difficulté à changer de plan.
👉 Astuces : prévenir avant une transition, proposer des jeux de rôle ou varier les modalités d’apprentissage.

🌱 Bonne nouvelle : le cerveau peut s’entraîner. Les stratégies éducatives aident, mais il existe aussi le neurofeedback EEG : un entraînement direct du cerveau qui permet d’activer le cortex frontal, de mieux réguler l’attention et de stabiliser l’impulsivité.

👉 Moins de jugements, plus d’outils. C’est ainsi que nous devenons de vrais alliés de leur réussite.

🧠 TDAH & ChatGPT : une nouvelle façon d’apprendreUn enfant ou un étudiant TDAH peut apprendre aussi vite qu’un autre.Le ...
16/09/2025

🧠 TDAH & ChatGPT : une nouvelle façon d’apprendre

Un enfant ou un étudiant TDAH peut apprendre aussi vite qu’un autre.
Le problème n’est pas l’intelligence. Le problème, c’est que le cerveau TDAH n’encode pas l’information avec un support classique.

👉 La clé, c’est poser des questions.
Et ChatGPT est l’outil parfait pour ça.

Comment faire ?

1️⃣ Découpez le cours en petites parties (4 pages max).
2️⃣ Demandez à ChatGPT de le réécrire de façon claire, fluide et logique.
3️⃣ Lisez le texte et posez des questions, même très simples :
🔹 “Qui est Henri IV ?”
🔹 “Qu’est-ce qu’un atome ?”
🔹 “Explique-moi avec une métaphore.”

C’est ce processus qui permet l’encodage.
Une fois que l’enfant a compris, l’information reste.

Astuce organisation

Enregistrez chaque conversation en la renommant (“Histoire – 14/09 – Henri IV”).

Pour chaque cours, vous aurez un chat dédié avec :
✔️ le cours enrichi,
✔️ la fiche adaptée TDAH,
✔️ la possibilité de lancer un examen blanc où ChatGPT commence par des questions simples puis augmente la difficulté.

Bonus

Vous pouvez préparer un chapitre avant le cours. Le cerveau TDAH arrive alors en classe avec une base claire → l’enseignant ne fait que renforcer la mémoire par rappel.

✨ 80 % de l’apprentissage TDAH, c’est apprendre à poser les bonnes questions.
Le reste ? Répéter, dessiner, réciter… et cette fois, ça reste.

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🤯 Mal de tête ou migraine ?Tout le monde a déjà eu mal à la tête… mais derrière ce mot se cachent deux réalités très dif...
14/09/2025

🤯 Mal de tête ou migraine ?

Tout le monde a déjà eu mal à la tête… mais derrière ce mot se cachent deux réalités très différentes 👇

🎯 Céphalée de tension

Une douleur diffuse, des deux côtés, comme un étau autour du crâne.
➖ Intensité : légère à modérée.
➖ Déclencheurs : stress, écrans, posture.
➖ Rarement de nausées, pas de forte sensibilité au bruit ou à la lumière.

⚡ Migraine

Ici, c’est une vraie tempête.
➖ Douleur pulsatile, souvent d’un seul côté.
➖ Durée : 4 à 72 h.
➖ Symptômes associés : nausées 🤢, hypersensibilité à la lumière 💡 et au bruit 🔊, parfois aura visuelle.
➖ Déclencheurs : hormones, manque de sommeil, certains aliments (fromage, chocolat, vin rouge 🍷).

🧠 Le rôle du neurofeedback

Contrairement aux médicaments qui agissent ponctuellement, le neurofeedback EEG entraîne le cerveau à mieux se réguler :
✨ réduire l’hyperexcitabilité,
✨ calmer l’hypervigilance,
✨ améliorer le sommeil et la qualité de vie.

🌿 Quelques gestes simples pour limiter les crises

🌙 Sommeil régulier
💧 Bien s’hydrater
🍫 Éviter les déclencheurs connus (alcool, chocolat, vin rouge)
🏃 Activité physique douce et régulière
🧘 Respiration, relaxation, étirements du cou
💻 Pauses visuelles toutes les 45 minutes

👉 Céphalée de tension : plutôt mécanique (muscles).
👉 Migraine : neurologique (hyperexcitabilité cérébrale).
Dans les deux cas, le neurofeedback peut être une aide précieuse 🌟.

💬 Et vous, savez-vous faire la différence entre un « simple » mal de tête et une vraie migraine ?

🎧 Ados en Dolby Surround : mais pourquoi parlent-ils si fort ?Avez-vous déjà remarqué que les ados démarrent leurs conve...
13/09/2025

🎧 Ados en Dolby Surround : mais pourquoi parlent-ils si fort ?

Avez-vous déjà remarqué que les ados démarrent leurs conversations à plein volume ? On dirait qu’ils s’adressent à quelqu’un qui vit au dernier étage de l’immeuble 🏢. On se demande presque :
👉 sont-ils devenus à moitié sourds à force de porter des écouteurs 🎧 ?
👉 ou bien est-ce leur façon “normale” de communiquer ?

En réalité, leur cerveau explique beaucoup de choses. Le système limbique (les émotions ❤️🔥) tourne à plein régime, tandis que le cortex préfrontal (le bouton “volume”, la régulation) est encore en construction 🚧. Résultat : beaucoup d’intensité… mais pas beaucoup de filtre.

Ajoutons à cela un facteur très simple : les ados passent leurs journées dans le brouhaha permanent des couloirs, des classes, des transports 🚌. Pour se faire entendre dans ce vacarme, ils apprennent à pousser leur voix plus fort. Et cette habitude sonore ne s’éteint pas automatiquement une fois la porte de la maison franchie.

Enfin, il faut aussi le dire : élever la voix déclenche une petite dose de dopamine 🍒, la molécule du plaisir. Parler fort, ça énergise, ça soude le groupe, ça fait du bien. D’où ces conversations qui ressemblent parfois plus à un concert improvisé 🎤 qu’à un dialogue de salon.

Alors non, vos ados ne complotent pas pour ruiner vos tympans 🙉. Ils sont simplement en train d’apprendre à gérer un cerveau en pleine transformation. Patience : avec les années, l’autorégulation s’affine, et le volume sonore finit par redescendre à un niveau compatible avec la paix domestique.

Et vous, dites-moi : à la maison, vos ados discutent… ou ils crient ? 😅

🧠 On me demande souvent : « Le neurofeedback, c’est quoi ? À quoi ça sert ? »✨ Le cerveau est un peu comme un orchestre....
12/09/2025

🧠 On me demande souvent : « Le neurofeedback, c’est quoi ? À quoi ça sert ? »

✨ Le cerveau est un peu comme un orchestre.
Les structures profondes comme l’amygdale (peur, émotions) et l’hippocampe (mémoire) jouent en arrière-plan.
Au-dessus, le cortex — une couche de neurones — dirige les fonctions cognitives : attention, concentration, mémorisation, régulation émotionnelle.

Quand l’activité électrique des neurones est bien régulée, tout est fluide : on se concentre, on mémorise, on dort bien.
Mais quand elle est déséquilibrée (trop lente, trop rapide, mal coordonnée), cela se traduit par de l’anxiété, de la dépression, des troubles de l’attention, de l’hypervigilance ou des problèmes de sommeil.

✨ Le neurofeedback commence par une évaluation : grâce à un électroencéphalogramme (EEG), on enregistre l’activité cérébrale et on identifie les déséquilibres liés aux fonctions cognitives.

Puis vient l’entraînement : la personne porte des capteurs et regarde un écran. Chaque fois que son cerveau adopte l’activité recherchée, elle reçoit un feedback positif (l’image s’éclaire, le son se stabilise). Petit à petit, le cerveau apprend à se réguler.

✨ Pourquoi ça marche ? Parce que le cerveau apprend grâce au feedback. Fermer la main est facile : on la voit et on la sent. Réguler ses neurones ? Impossible sans retour. Le neurofeedback rend cette activité visible. Et grâce à la plasticité, le cerveau ajuste son fonctionnement.

✨ Résultats :
✔ meilleure attention et concentration
✔ régulation de l’anxiété et du stress
✔ sommeil amélioré
✔ équilibre émotionnel renforcé
✔ regain d’énergie et créativité

En résumé : le neurofeedback est un entraînement cérébral fondé sur les neurosciences, qui aide le cerveau à retrouver un meilleur équilibre.

Adresse

Route De Malagnou 4
Geneva
1208

Öffnungszeiten

Montag 08:00 - 20:00
Dienstag 08:00 - 20:00
Mittwoch 08:00 - 20:00
Donnerstag 08:00 - 20:00
Freitag 08:00 - 20:00
Samstag 08:00 - 20:00

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