Tiphaine Vradis, psychologue FSP

Tiphaine Vradis, psychologue FSP Coach en développement personnel et en parentalité

     ́pressionpostpartum    ́puisementémotionnel
17/09/2023

́pressionpostpartum ́puisementémotionnel

Cet été nous sommes partis un mois à quatre avec quatre bagages à main. Honnêtement, avant de partir j’étais stressée à ...
17/09/2023

Cet été nous sommes partis un mois à quatre avec quatre bagages à main. Honnêtement, avant de partir j’étais stressée à cette idée.
Et puis une fois sur place j’ai adoré.

Je me suis rendu compte que plus j’ai de choses autour de moi plus j’ai de choses à faire, à ranger, à nettoyer.
Plus j’ai de choses autour de moi et plus mon esprit est encombré.
Plus j’ai de choses autour de moi, plus j’ai de distractions et moins je me sens connectée à moi.
Plus j’ai de choses autour de moi, plus je fais et moins je suis.

Parfois je me sens enfermée dans cette société de consommation. Arrêter de consommer, arrêter de posséder me fait peur.
Pourtant c’est ce dont j'ai besoin pour revenir à l’essentiel : sentir mon corps, écouter mon esprit, être attentive à ce qui m'entoure, jouer avec ce que la nature nous offre, être vraiment ensemble.
J'ai besoin de si peu pour être bien, pour être mieux.

Et toi, as-tu aussi peur de manquer ?

🌊

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07/09/2023

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Corfou tu brûles. Avec toi des arbres centenaires, des milliers d'insectes et d'animaux. Corfou tu brûles. Comme tant d'...
27/07/2023

Corfou tu brûles. Avec toi des arbres centenaires, des milliers d'insectes et d'animaux.

Corfou tu brûles. Comme tant d'autres terres ces dernières années. Comme tant d'autres terres ces prochaines années.

Corfou tu brûles et je ressens toute la rage de notre planète qui s'embrase.

Corfou tu brûles. Je récupère tes cendres dans la mer et je pense qu'un jour c'est mon corps qui sera en cendres.

Nous ne sommes que de passage. Quelques années de colocation d'une Terre.

Que souhaitons-nous laisser de notre passage? Que restera-t-il en héritage?

27/07/2023
Quand j’étais petite, j’étais terrifiée par l’échec.Je devais réussir. Du premier coup. Dans tous les domaines. Tout le ...
13/07/2023

Quand j’étais petite, j’étais terrifiée par l’échec.
Je devais réussir. Du premier coup. Dans tous les domaines. Tout le temps.
Il fallait que ce soit parfait, pas seulement pour moi mais pour briller dans les yeux des autres. J’étais terrifiée à l’idée que l’on me juge. Je voulais que personne ne puisse voir mes difficultés, mes failles, mes manquements.
Je voulais tout savoir tout de suite. Je ne supportais pas l’idée de perdre, de me tromper, de tomber.
J’ai appris à faire du vélo toute seule parce que je ne voulais pas que quelqu’un me voit tomber.

Derrière ce besoin de contrôle et de perfection se cachait une estime de soi fragile. Me tromper c’était remettre en question ma valeur. Je n’avais pas raté quelque chose, j’étais une ratée.

Ce besoin de contrôle m’a poursuivi adulte. J’ai longtemps exercé dans un métier où j’étais dans ma zone de confort, où je pouvais être bonne sans effort. Je ne voulais pas de challenge.
J’ai aussi ressenti cette nécessité de tout laisser derrière moi pour recommencer à zéro, comme petite je déchirais une page avec une rature pour tout recommencer. Il fallait que l’histoire soit lisse. Il fallait que je sois parfaite. Jusque dans mes histoires d’amour, quand je ne m’étais pas comportée comme je l’aurais souhaité : j’avais cette envie de partir et de recommencer à zéro avec une autre personne. J’ai perdu beaucoup de temps avec mes exigences. Je me suis souvent dit que je n’étais pas avec la bonne personne. Parce que dans ma tête il y avait une bonne personne. Celle qui allait me correspondre parfaitement et avec qui je serais toujours aimante, calme, enjouée…

La dernière fois que j’ai eu cette sensation de vouloir tout recommencer c’était à la naissance de mon fils. Il est né en détresse respiratoire. Dès que j’ai pu sortir de la salle d’accouchement, on m’a mise sur une chaise roulante et je suis entrée dans la salle de réanimation. Je l’ai vu pour la première fois. Il était bleu, mou, inerte. Des personnes en blouse blanche s’affairaient autour de lui.
« C’est pas ça que je voulais ! Je veux recommencer. Je veux un autre accouchement. Une autre naissance. Un autre bébé.
Un autre bébé? Attends. Comment je peux penser ça ? Je suis f***e. Je suis déjà une mauvaise mère. »

Non. J’étais juste terrifiée.
Aujourd’hui je repense à tout ça avec une infinité de compassion envers moi-même. Je prends dans mes bras cette petite fille honteuse que j’étais. Je soutiens cette femme terrifiée qui voulait tout contrôler parce qu’elle pensait que c’était le seul moyen d’être aimée et d’être heureuse.
Aujourd’hui je ne recommencerais rien car c’est en perdant le contrôle que je me suis trouvée. C’est en lâchant la perfection que j’ai commencé à aimer vraiment. Aimer totalement. Moi-même et les autres. Et je chéris toutes les imperfections, les ratures et les éclaboussures que m’offre la vie. Mon fils m’a donné l’opportunité d’évoluer beaucoup plus vite et loin que je ne l’aurais jamais imaginé.

Aujourd’hui je sais que je suis humaine, faite d’or et de boue, capable du meilleur comme du pire. Je ne contrôle rien de ce qui m’arrive mais je suis aux commandes de tout ce qui se passe en moi.
J’ai le droit à l’erreur. Et plus je me trompe, plus je sais qui je suis et où je vais.

01/05/2023

La moitié du temps que nous passerons sur cette Terre nous vivrons des émotions désagréables et l’autre moitié des émoti...
23/03/2023

La moitié du temps que nous passerons sur cette Terre nous vivrons des émotions désagréables et l’autre moitié des émotions agréables.
C’est pareil pour tout le monde, que nous soyons instruit ou analphabète, privilégié ou pauvre.
Personne n’échappe à la souffrance. Chaque vie a ses automnes, ses hivers, ses printemps et ses étés.

Être en hiver ne veut pas dire qu’il y a quelque chose qui ne va pas chez nous. Être en hiver c’est précéder le printemps. Être en hiver est nécessaire pour accueillir du renouveau.

Trop souvent nous résistons à la vie, nous voulons la contrôler. En nageant à contre-courant, balloté(e)s par les vagues, nous buvons la tasse et nous épuisons.

C’est pour cette raison que savoir écouter ce qui se passe dans notre corps et notre tête est si essentiel. En nous connectant à nous-même nous apprenons à surfer sur les vagues de la vie : comprendre quand concentrer son énergie et quand se laisser porter, trouver son équilibre.
Tomber ne nous fait plus peur car nous savons nous relever.

Notre pouvoir est d’incarner véritablement qui nous sommes et comment vivre notre vie, avec ses saisons, ses joies et ses peines.
C’est un pouvoir immense.

L’amour c’est tout : le carburant, le point de départ et la destination.C’est si essentiel, pourtant savons-nous aimer v...
14/02/2023

L’amour c’est tout : le carburant, le point de départ et la destination.

C’est si essentiel, pourtant savons-nous aimer vraiment ? Savons-nous donner tout notre cœur ?
L’amour n’attend pas de voir ce que l’autre a à offrir, s’il est fiable ou s’il a fait les courses. Aimer vraiment c’est arrêter de vouloir changer l’autre. Arrêter de croire qu’il devrait penser comme nous. Arrêter de croire qu’il devrait combler nos besoins. Arrêter de croire qu’il devrait.

L’amour c’est arrêter de compter les points et se mettre à donner totalement, à aimer avec les failles, les imperfections, les différences. L’amour c’est arrêter d’attendre que l’autre se plante pour pouvoir dire « j’avais raison », c’est lâcher les guerres incessantes et faire la paix. Faire la paix avec l’autre et faire la paix avec soi.

L’amour c’est faire le choix d’aimer, car ça n’est qu’une question de choix. Et quand il y a un conflit, se poser la question : « Qu’est-ce qui m’énerve comme ça ? Pourquoi ça me met dans un tel état ? Quel est l’enjeu derrière ce conflit ? Est-ce que je veux être heureux ou avoir raison ? ».
C’est tellement facile de voir ce qui dérange, de mettre le doigt dessus et de blâmer l’autre.
Et si on reconnaissait qu’il n’est que le miroir de quelque chose qui nous fait mal à l’intérieur de nous ?
Et si on regardait ce qui est beau, ce qui fonctionne, ce qui nous plaît, ce que l’autre apporte et illumine de sa présence jour après jour, mois après mois, année après année ?
Et si on aimait mieux, avec plus de force et de liberté ?
Et si on aimait parce que ça nous fait du bien de mettre de la douceur et de la lumière à l’intérieur de nous. Car détrompez-vous : si aimer est un cadeau, c’est avant tout un cadeau que l’on se fait à soi, car c’est celui qui aime qui ressent l’amour.

Il n’y aura jamais trop d’amour : aimons notre partenaire de vie, nos enfants, nos parents, nos frères et sœurs, nos amis, nos collègues, ceux que nous croisons un instant et même ceux qui ne nous aiment pas.
Ça change tout.

31/01/2023

Les émotions sont au cœur de mon travail de psychologue, elles sont à la base de tout comportement humain pourtant nous ...
12/01/2023

Les émotions sont au cœur de mon travail de psychologue, elles sont à la base de tout comportement humain pourtant nous les comprenons encore mal.

Nos émotions nous informent sur notre état interne, chaque émotion a une fonction et répond à un besoin.
Pour reprendre la métaphore de Thomas d’Ansembourg : les émotions sont comme les témoins du tableau de bord d’une voiture qui s’allument en fonction de la satisfaction ou non de nos besoins. Si nous ignorons les témoins, nous risquons l’accident ou la panne. Si nous ignorons les émotions, il y a le risque qu’elles s’accumulent et qu’elles explosent à un moment donné sur la mauvaise personne au mauvais moment. Elles peuvent aussi imploser à l’intérieur de nous et nous déprimer ou nous procurer des douleurs.

Ainsi, chaque émotion joue un rôle essentiel dans notre vie et demande à être accueillie et écoutée pour guider nos actions. En cela, il n’existe pas d’émotions positives ou négatives à proprement parler, c’est le sens que l’on va donner à l’émotion qui en fera quelque chose d’agréable ou de désagréable.

Le problème c’est que personne ne nous a appris à vivre nos émotions. Ce que nous avons appris c'est à mettre un couvercle dessus pour les étouffer. Ce que nous avons appris c'est qu’il y a des bonnes émotions, acceptables et positives, et des mauvaises émotions, qu'il ne faut ni ressentir, ni exprimer.

Pourtant l'expérience humaine est faite à moitié de ces émotions inacceptables, moches, indésirables : colère, honte, jalousie, rage, dégoût, ennui etc.
Ne pouvant pas les exprimer nous sommes devenus des expert(e)s en stratégie pour éviter de penser et de ressentir.

Trop de Netflix, de TV, de jeux, de réseaux, de nourriture, d'alcool, de travail, d'achats... Ca te parle?

Petit mantra à l'approche des fêtes :J'ai le droit de ne pas dépenser un salaire en décorations, nourriture et cadeaux.J...
20/12/2022

Petit mantra à l'approche des fêtes :

J'ai le droit de ne pas dépenser un salaire en décorations, nourriture et cadeaux.
J'ai le droit de déléguer, de faire simple et de ne pas cuisiner.
J'ai le droit de prendre soin de moi, de me reposer et de refuser des invitations sans "bonne raison".
J'ai le droit de célébrer avec les personnes que j'aime sincèrement, qu'elles fassent partie de ma famille ou non.
Rien n'est obligatoire. Faites ce qui vous fait plaisir. Soyez vrai. Aimez.

Pendant longtemps j’ai pensé que mon rôle de maman serait de montrer la voie à mes enfants. Voilà, le chemin est par là....
06/12/2022

Pendant longtemps j’ai pensé que mon rôle de maman serait de montrer la voie à mes enfants.
Voilà, le chemin est par là. Attention à la branche, lève les pieds. Heureusement que je t’ai mis tes bottes.
Et plus j’avance dans ma vie, plus je comprends qu’ils ne marchent pas dans mes pas… Leur chemin est différent. Il ne va pas dans la même direction. Il n’a pas les mêmes obstacles. Parfois nous trébuchons sur les mêmes pierres mais ils se relèvent plus vite que moi, trouvent des solutions que je ne comprends pas toujours et qui s’avèrent souvent plus efficaces.
Plus j’avance dans la vie, moins je souhaite marcher devant eux. Mon rôle, c’est d’être derrière eux. Mon rôle c’est qu’ils avancent dans leur direction en sachant qu’ils peuvent se retourner et trouver mon regard, ma présence, mon amour.
Je les suis. Parfois ils changent de chemin, retournent sur leurs pas, rampent, sautent, courent. Je reste à portée de vue.

Nous ne sommes pas censés débroussailler le chemin de nos enfants. Ce n’est pas notre rôle de leur rendre la vie facile. En leur montrant où nous voulons qu’ils aillent nous les empêchons de devenir qui ils sont. En leur évitant les douleurs, les échecs, les difficultés, nous les empêchons de grandir, d’expérimenter, de trouver leurs propres solutions, de réussir et d’aller plus loin.
Laissons-les faire leurs expériences et soyons là pour les aider à se relever s’ils en ont besoin. Ouvrons nos yeux et notre cœur à la nouvelle voie qu’ils nous montrent sur notre propre route. Elle est souvent plus rapide et lumineuse.

Grâce aux coaching et aux outils de Programmation Neuro Linguistique que j'utilise, vous pouvez apprendre à créer ce sen...
26/11/2022

Grâce aux coaching et aux outils de Programmation Neuro Linguistique que j'utilise, vous pouvez apprendre à créer ce sentiment de bonheur quand vous le souhaitez.
C'est un incroyable cadeau à s'offrir.

Il n’y a pas d’endroit sur cette Terre où vous serez en sécurité, quel que soit l’argent que vous avez, quelles que soie...
26/11/2022

Il n’y a pas d’endroit sur cette Terre où vous serez en sécurité, quel que soit l’argent que vous avez, quelles que soient les garanties que vous chercherez à obtenir. Tout peut s’arrêter demain.

Il n’y a pas d’endroit sur cette Terre où vous pourrez empêcher qu’il arrive quelque chose à votre enfant. Vous pouvez avoir l’illusion de le protéger : en le surveillant, en restant derrière lui à anticiper ses moindres mouvements au parc, en l’empêchant d’aller seul à l’école, en lui interdisant de sortir, de dormir chez un ami, en lisant ses messages privés...

J’entends déjà les : « Oui mais tout dépend de son âge ! ».
C’est vrai, il y a un âge pour tout. Pourtant, ce que je vois dans ma pratique quotidienne, c’est que nous les sous-estimons beaucoup, longtemps et de plus en plus. C’est un fait : ils grandissent vite et c’est parfois difficile à accepter.

« Je veux seulement le protéger ».
Craindre le pire, s’angoisser, imaginer des scénarios catastrophiques, s’évertuer à être une mère parfaite c’est se donner l’illusion du contrôle. Vous pourrez peut-être éviter quelques accidents à votre enfant en le gardant le plus possible avec vous, en le restreignant dans ses mouvements et dans sa volonté. Mais à quel prix ?
Au prix de souffrances pour vous, et pour lui.

Imaginez-vous un instant à la place d’un enfant à qui l’on dit : « Je te fais confiance et je fais confiance à la vie ».
Imaginez-vous maintenant à la place d’un enfant à qui on dit : « Tu es trop petit, tu ne peux pas faire ça, le monde est trop dangereux ».

Les dangers existent et nous avons le devoir de les protéger, mais nous oublions trop souvent que vivre c’est prendre le risque de souffrir et de mourir. Mettre un enfant au monde c’est prendre le risque de le voir souffrir et mourir. Et toutes les stratégies que nous mettrons en place n’y pourront rien changer.

Alors vivons à 100%, libérons-nous de nos angoisses qui nous restreignent et empêchent nos enfants de prendre confiance en eux. Il est possible de souffrir moins, d’accepter notre impuissance et de vivre le présent avec plus de joie.

18/10/2022

Exprimer qui on est vraiment, sans vouloir plaire à tout le monde, c'est attirer à nous des personnes qui nous ressemblent et qui nous aiment dans notre entièreté.

La comparaison est de plus en plus présente dans notre société. Nous comparons tout : nos corps, nos revenus, la taille ...
18/10/2022

La comparaison est de plus en plus présente dans notre société. Nous comparons tout : nos corps, nos revenus, la taille de notre maison, le nombre de like sur nos photos, les stades de développement de nos enfants, leurs notes… Et nous en tirons des conclusions.
Les réseaux sociaux sont le reflet de cette envie de se comparer. Et même s’il existe de plus en plus de posts à contre-courant qui prônent la vraie vie, la plupart de gens préfèrent mettre une photo de leurs enfants souriants, dans leur intérieur rangé, en train de faire une activité Montessori plutôt que malades, en pyjama, devant la télévision avec des jouets qui traînent en arrière-plan.

Le problème, c’est que tous les jours je rencontre des personnes qui se demandent pourquoi elles n’y arrivent pas.
Pourquoi je ne parviens pas à être aussi heureux/se que les autres ?
Pourquoi je me sens aussi submergé(e) de choses à faire ?
Pourquoi je ressens souvent de la tristesse ou de la colère ?
Pourquoi je n’ai pas encore de travail, de mari/de femme, d’enfant, de maison etc. ?
Pourquoi il semble que rien ne soit fluide dans mon couple ?
Pourquoi je crie alors que je m’étais juré(e) de ne plus le faire?
Pourquoi mes week-ends en famille sont aussi épuisants ?

Alors une bonne fois pour toutes : tout est normal. Rien ne cloche chez vous.
Se comparer aux autres est humain. Mais gardons à l’esprit que nous n’avons aucune idée de ce qui se cache réellement derrière une carte postale de vacances ou une photo de famille souriante. Gardons à l’esprit que ce que les autres montrent d’eux ne veut souvent pas dire grand-chose d’eux, et encore moins de nous. Gardons à l’esprit que nous sommes tous uniques et que nos trajectoires ne sont pas censées être linéaires et se ressembler. Gardons à l’esprit que chaque être humain vit des émotions désagréables la moitié du temps et des émotions agréables l’autre moitié du temps.
Et travaillons à partager plus souvent nos doutes et nos difficultés. Cela libère celui qui en parle et celui qui écoute. Et nous sommes tellement plus forts ensemble.

Aux parents d’aujourd’hui.A qui on explique comment ils devraient éduquer leurs enfants. A qui on dit qu’ils ne sont pas...
18/10/2022

Aux parents d’aujourd’hui.
A qui on explique comment ils devraient éduquer leurs enfants.
A qui on dit qu’ils ne sont pas assez positifs ni bienveillants a priori.
Ceux qui entendent qu’ils devraient lire, se former, suivre une méthode ou une pédagogie.
Ceux qui sont lassés des jugements, des injonctions et des recettes miracles qui ne marchent pas (« oui mais c’est de votre faute vous n’avez pas appliqué toutes les recommandations… »).
Vous êtes assez.
Vous n’avez pas besoin de vous changer. Ecoutez-vous, prenez en compte vos propres besoins. Suivez votre intuition. Trouvez du soutien si nécessaire.
Nous avons tous besoin d’aide parfois.
Par moments seulement pour nous libérer du poids de la culpabilité des « il faut, tu dois » et oser être le parent imparfait qui vibre à l’intérieur de nous.
Par moments pour débloquer une situation douloureuse avec notre enfant.
Par moments pour modifier un comportement qui ne nous convient pas.
Ou encore pour réfléchir au parent que nous aimerions être.
Prenez soin de vous, c’est le plus beau cadeau que vous puissiez faire à vos enfants.

Adresse

Chêne-Bougeries

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Mittwoch 09:00 - 12:00
Donnerstag 14:00 - 19:00
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