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Rachel Clavien - Hypnose et therapies, Geneva (2025)

22/06/2025

Et si tes rêves ne t’aidaient pas à te reposer… mais à continuer à stresser ?

Les rêves dysphoriques sont des rêves très réalistes qui te laissent épuisé.e au réveil. Tu rêves que tu rates ton train, que tu ne retrouves plus ton sac, que ton ordi bug au moment de rendre ton mémoire... Il y règne une tension constante.

Ces rêves arrivent souvent pendant les phases de sommeil paradoxal. Ton cerveau y rejoue les émotions fortes de la journée — surtout celles que tu n’as pas digérées. Résultat : au lieu de te reposer, tu continues à gérer mentalement. Et ton anxiété grimpe.

Quand tu dors, ton cerveau continue de traiter les émotions que tu as vécues dans la journée, en particulier celles que tu n’as pas eu le temps ou la possibilité de digérer consciemment (ex. : stress, conflits, peur, frustration, honte…).

Un rêve dysphorique arrive souvent quand :
• tu es resté·e tendu·e toute la journée sans "relâcher la pression"
• tu as refoulé des émotions ou évité un problème
• tu vis une période de surcharge émotionnelle (séparation, examens, etc.)

Du coup, ton cerveau se met à rejouer ces tensions pendant la nuit, comme s’il tentait de résoudre quelque chose.
Mais au lieu d’un apaisement, cela crée des rêves chargés d’angoisse ou de malaise. Tu ne te reposes pas vraiment. Tu "travailles émotionnellement" pendant ton sommeil.

⚠️ En cas de stress prolongé (travail, séparation, décisions difficiles…), ces rêves deviennent plus fréquents. On se couche tendu.e, on dort mal, on se réveille fatigué.e… et on repart pour une journée sous pression.

💡 Bonne nouvelle : il est possible de les apaiser.
→ Écris ce qui te pèse avant de dormir.
→ Respire lentement, sans écran, avant de te coucher.
→ Crée une routine mentale apaisante (visualisation, scan corporel…).
→ Et si le stress persiste, ose en parler.

Si même la nuit t’épuise, c’est qu’il est temps de changer quelque chose. N’oublie pas qu’un sommeil sain, c’est celui qui aide à récupérer. 🌙

09/06/2025

Tu arrives au bout... la session d'exas touche presque à sa fin.
Mais il en reste encore quelques-uns, tu es fatigué·e, stressé·e, et tu en as marre.
C’est normal. Mais ce n'est pas encore terminé, ne lâche pas ! Tu as tenu bon jusque-là.

Savais-tu que la différence entre ceux qui réussissent et ceux qui baissent les bras,
c’est ce qu’ils se répètent intérieurement dans cette dernière ligne droite ?

📌Ton cerveau ne fait pas la différence entre le fictif et le réel !

Ce n’est pas un slogan de développement personnel, c’est de la neuropsychologie !

Quand tu visualises ta réussite — la feuille d’examen rendue avec fierté, la note qui tombe, la légèreté après la dernière épreuve — ton cerveau réagit comme si c’était vrai.
Il se met en mode action, motivation et concentration pour t’aider à réussir.

📌Pourquoi ? Parce que quand tu imagines une scène de réussite, ton cerveau active presque les mêmes zones que si tu étais en train de la vivre vraiment : celles liées à l’attention, à la mémoire, aux émotions et aux mouvements. Il s’entraîne en quelque sorte, comme si tu faisais une répétition mentale. Résultat : tu es plus prêt·e au moment réel.

Autrement dit : ce que tu penses influence ce que tu es capable de faire.
Ce que tu t’imagines prépare ton cerveau à réussir.

Alors oui, c’est dur. Mais tout est possible ! Remplace le stress par une phrase puissante. Dis-toi : « Je suis prêt.e. Je gère. Je réussis. »

Tu n’as pas tenu tout ce temps pour abandonner maintenant.
Fatigué.e, oui. Mais capable !
Le sprint final, c’est maintenant. Tu es à 2 doigts de la ligne d’arrivée.

💡Astuce : avant chaque révision, prends une minute pour fermer les yeux, respirer profondément et t’imaginer en train de réussir.
Ton cerveau s’en souviendra.

Et si tu doutes, visualise-toi ayant réussi : et ton cerveau est déjà en train de te mener vers ce succès.

01/06/2025

Ambre a 42 ans.
Elle vient me voir pour un trauma lié à l’école et aux examens. Il lui arrive régulièrement de refaire le même rêve : elle est à l’école, sèche le cours de maths tout le trimestre. Puis elle réalise que c’est la période des exas. Elle ne connaît rien au sujet. Ou alors, elle ne trouve pas la salle ou l’étage le jour du test. C’est la panique ! Au réveil, elle se demande pourquoi elle rêve encore de ça.

🪁 En hypnose, on a travaillé sur ce que ce rêve ravivait : surcharge mentale, pression, sensation d’être toujours « à la bourre ».

Une image est venue à Ambre : elle était sur une plage, à l’intérieur de son cerveau, allongée sur une chaise longue et avait planté un grand parasol. C’était sa manière de se sentir en sécurité, de filtrer le trop-plein, de se protéger du stress, de la pression.

Aujourd’hui, si le rêve revient, elle ne le subit plus. Ce rêve n’est pas anodin quand on grandit dans une famille où la réussite scolaire est survalorisée et les émotions peu exprimées. Le stress de l’échec peut s’imprimer comme un danger réel. Et se rejouer des années plus t**d, comme un vieux programme resté actif.

👉 En pleine période d’exas, rappelons-le : une éval ne doit pas devenir une blessure.
Si tu sens que ce stress prend trop de place, l’hypnose ou l’EMDR peuvent aider à désactiver ce signal, remettre du calme là où il y avait de l’alerte.

25/05/2025

En plein exa, tu bloques... Tout s’efface... Tu regardes ta feuille, le prof… mais plus rien.

Trou de mémoire ? Angoisse de la page blanche ?
Pas de panique, cela arrive, c’est normal. Ton cerveau ne te trahit pas : il déclenche un réflexe de protection face au stress. Il passe en mode alerte : mémoire en veille, pensée figée, langage bloqué.

Et bonne nouvelle : tu peux sortir de ce blocage.

Voici comment relancer ton cerveau quand il gèle sous pression :
1. Respiration 4-6-8 (2 fois suffit) → Inspire 4 sec – retiens 6 – expire 8 → tu coupes le mode panique.
2. Bouge ton corps (même discrètement) → un petit mouvement (doigts, épaules, nuque, jambes) envoie un signal de sécurité à ton cerveau. Résultat ? Tu désactives l’alerte, tu rends la mémoire et le langage à nouveau accessibles.

C’est un reset mental corporel. Réel et rapide.

 Si cela arrive durant un écrit :
→ Écris un mot-clé, pour amorcer.
→ Reformule la question avec tes mots, comme si tu l’expliquais à quelqu’un.
→ Trace une flèche, une phrase incomplète… mais mets ton cerveau en mouvement.

 Si cela arrive durant un oral :
→ Regarde sur le côté 2 secondes (ça montre que tu réfléchis).
→ Reformule la question à voix haute.
→ Lance-toi avec ce que tu sais, même si ce n’est pas “la bonne réponse”.
→ Et surtout, respire et ralentis : ça te rassure toi... et ton cerveau.

On ne contrôle pas toujours le stress.

Mais on peut apprendre à le canaliser en remettant le corps en mouvement, pour le faire sortir de son mode de survie.

Enregistre ce post pour le relire juste avant ton prochain exa ! Et courage pour tes exas 🍀

18/05/2025

TDAH après 60 ans : quand le médecin refuse le bilan

De plus en plus d’adultes découvrent, souvent à travers l’autodiagnostic, qu’ils pourraient être concernés par un TDAH. Peut-être que ton père ou ton grand-père se sent concerné ? Tu pourrais relire son attitude sous un nouvel angle : agitation mentale, oublis, procrastination, impulsivité, découragement face aux tâches simples. Peut-être que ces signes ont toujours été là, mais jamais été repérés comme un TDAH. Parfois, on connaît tellement bien la personne, qu’on ne voit même pas ce qu’on a sous le nez !

Imagine que ton père ou grand-père en parlerait à son généraliste, espérant une validation sur ce qu’il a vécu toute sa vie sans jamais le comprendre.

Et imagine que, contre toute attente, le médecin réponde :

"Ce n’est pas un trouble grave"
"À votre âge, ce n’est plus la peine"
"Ce type de bilan coûte cher pour peu de bénéfice"

Et l’orientation vers un bilan neuropsy serait refusée, malgré une souffrance bien réelle.

Les conséquences sont importantes :

• Incompréhension de l’entourage : « Tu ne m’écoutes jamais ! », « Tu ne retiens rien ! », « Tu coupes toujours la parole ! », etc.
• Manque d’estime de soi, avec un sentiment d’échec ou d’incompréhension de soi.
• Ret**ds de prise en charge, notamment pour les troubles associés (anxiété, dépression, addictions, démence) et accès restreint aux soins et thérapies adaptées.

Que faire ?

Tu peux l’aider à :
1. Documenter ses symptômes : noter les signes persistants, leur impact sur la vie quotidienne et leur ancienneté.
2. Présenter des sources médicales fiables : articles scientifiques ou recommandations (ex. :recommandations cliniques in R***e Médicale Suisse, DSM-5, CIM-10).
3. Demander un 2e avis : certains psy ou neuropsy peuvent initier le bilan sans passer par le généraliste ( ! non remboursé dans ce cas).
4. S’appuyer sur des associations spécialisées, pouvant soutenir la démarche.

Le TDAH ne disparaît pas avec l’âge. Il est temps que les professionnels le reconnaissent à tout moment de la vie et s’y forment.

11/05/2025

Dans les rêves, les WC symbolisent le besoin d’éliminer ce qui encombre : émotions refoulées, situations pesantes, etc. Ils renvoient aussi à l’intimité, aux limites personnelles et à notre rapport à ce qui est acceptable ou non.

Myrielle me confie un rêve étrange, mais rtuffé de symboles. Elle souhaite que nous l’analysions, car, lors de son réveil, ce rêve l’a vraiment interpelée.

Elle assiste à une réunion de travail, accueillie par deux de ses supérieurs hiérarchiques.
La salle est en sous-sol, mais très lumineuse, grâce à de grandes baies vitrées.
Tout semble normal… jusqu’à ce qu’elle découvre que les sièges sont en réalité des cabinets de WC.
Les collègues s’assoient sans y prêter attention. Elle, en revanche, ressent une gêne.

🔍 Que nous dit ce rêve ?
• Le sous-sol lumineux : symbole d’éléments inconscients qui remontent à la surface, éclairés par le travail sur soi.
• Les WC comme sièges : confusion entre vie professionnelle et sphère intime, où certaines situations sont perçues comme invasives ou inappropriées.
• Le malaise de Myrielle : prise de conscience que ce qui semble « normal » pour d’autres ne l’est pas pour elle.

Depuis quelques mois, Myrielle a entamé une démarche thérapeutique pour poser ses limites dans le cadre professionnel. Ce rêve apparaît comme une validation intérieure : elle voit désormais ce qu’elle ne veut plus accepter.
________________________________________
💬 Et toi, as-tu déjà rêvé de WC ? Partage ton rêve...

04/05/2025

Si les vacances pointent à l’horizon, il reste d’abord une étape clé : les examens !

Que tu sois élève au CO, apprenti, étudiant au collège, à l'école de comm ou à l'ECG, il est temps de te préparer sérieusement.
Et si tu es en année de Matu ou de CFC, l’aventure sera de taille :
- semestrielles, PQ, TPP, TPI, TPA
- examens écrits
- examens oraux
Plusieurs semaines d’effort intense.

Ta réussite ne dépendra pas d’un coup de boost sur la fin... mais de ton endurance. Cette période d’exas, ce n’est pas un sprint, c’est un marathon.
Et comme tout bon marathonien, pense à ton énergie, ton rythme, ton mental avant même de franchir la ligne de départ.

💡 Comment te préparer pour tenir jusqu’au bout :

→ Trouve ton rythme dès maintenant.
Organise tes révisions comme un entraînement : pas besoin de 10h /jour pour finir épuisé à mi-parcours.
Alterne entre journée intense et journée plus légère pour garder ton énergie.
→ Fais du sommeil ton meilleur allié.
Commence à récupérer avant les examens. Ce qui fera la différence, c'est ton niveau de repos accumulé.
Dors assez, régulièrement, et offre à ton cerveau de vraies pauses.
→ Soigne ton énergie avec ce que tu manges.
Mange simple, digeste et nourrissant : fruits, oléagineux, féculents complets, protéines.
Évite les montagnes russes du sucre, les litres de café... et les aliments gras qui amplifient le stress.

💡 Pendant les examens :

→ Célèbre chaque petite victoire.
Après chaque épreuve, prends un instant pour te féliciter, même si ce n’était pas parfait.
Fais une liste des examens passés et coche-les au fur et à mesure : chaque ✔️, c’est une étape de plus vers la ligne d’arrivée.
→ Prends le temps de souffler.
Après chaque exa, offre-toi 30 min pour décompresser (sport, musique, exercices de relaxation).
→ Concentre-toi sur toi-même.
Ignore ce que les autres racontent ou prétendent avoir réussi.
Comme dans un marathon, l’important n’est pas d'aller vite, mais de tenir jusqu’au bout.

27/04/2025

“J’ai une sorte de barrière en métal au niveau du haut du thorax. Et des fils dans ma tête, comme une pelote de laine emmêlée.”
Léna, 15 ans, est en fin de scolarité obligatoire et doit faire un choix important pour la suite. Et cela la bloque ! À tel point, qu’elle déprime, s’isole et ne va plus en cours.
Cette barrière, elle n’est pas là pour rien.
Elle l’aide à ne pas bouger, à rester figée quand quelque chose fait peur, ou est perçu comme un danger. C’est une protection.
Mais lorsque la barrière est fermée, ça bloque, évidemment ! Ça crée un méli-mélo de pensée, comme une pelote de laine emmêlée dans la tête.
Alors en séance, on a choisi d’ouvrir la barrière. Mais pas de la supprimer, c’était trop anxiogène.
Petit à petit, Léna a réussi à ouvrir la barrière et à remettre la pelote en ordre.
Elle a choisi de garder la barrière, par précaution…
Nous avons travaillé en EMDR et par taping sur les angoisses ayant créé ces images, de sorte à les apaiser.
Léna est parvenue à supprimer les angoisses, et à apaiser le ressenti dans son corps de sorte à intégrer ce changement.
Depuis lors, Léna se sent plus calme, plus sécure et a pu reprendre le chemin de l’école.
Elle a également réussi à faire son choix pour la suite de sa scolarité.

Merci Léna, pour ta confiance et ton magnifique travail. 💞

20/04/2025

Dorénavant, dans les posts « Trucs, astuces et techniques » (code couleur, vert canard foncé), tu trouveras des micro-outils pour prendre soin de ta santé mentale, un petit pas à la fois.

Besoin de courage ? de te remonter le moral ? de calmer ton mental ? ou juste d’un petit coup de boost ?

Essaie une phrase thérapeutique, sous la forme d’un mantra personnel. Il s’agit de construire une phrase courte, formulée positivement, à répéter une dizaine de fois plusieurs fois par jour.

Voici quelques exemples :

🌺Aujourd'hui est une belle journée et tout se passera bien.
🌺Tous les jours, à tous points de vue je vais mieux, de mieux en mieux.
🌺Après la nuit, le jour revient toujours.
🌺Je peux ralentir, même si tout s’accélère autour de moi.
🌺Je n’ai pas besoin de savoir la suite pour avancer.
🌺Un petit pas, c’est déjà un pas.
🌺Je n’ai pas besoin d’aller vite. Juste d’avancer.
🌺Ça va passer. Comme toujours.
🌺Ce n’est pas facile, mais je vais mieux, de mieux en mieux.
🌺Je fais de mon mieux, et c’est déjà beaucoup.

11/04/2025

Le TDAH vu par ton chat

Ton chat est là. Il observe ton TDAH tous les jours, du haut de sa litière et de sa dignité féline.
Tu crois qu’il dort 18 heures par jour ? Faux. Il te surveille. Et franchement… c’est un spectacle permanent.
Un jour, tu te lances dans la lithothérapie et t’achètes un stock de pierres comme si tu allais ouvrir une boutique… Deux semaines plus t**d, pfffffff, les pierres prennent la poussière à côté des produits pour faire des savons maison (projet abandonné aussi, évidemment).
Tu quittes une pièce en laissant la lumière allumée, ton café chaud, ton téléphone, et parfois même… ton chat.
Tu oublies tes rendez-vous, ou alors t’en mets trois à la même heure parce que, visiblement, tu crois avoir le don d’ubiquité.
Tu écris des to-do lists, puis tu les oublies.
Tu changes tes mots de passe toutes les deux semaines, mais tu oublies aussitôt lesquels sont les bons.
Et puis il y a l’administratif…
Les factures ouvertes, refermées, posées quelque part.
Les courriers à répondre, les emails à traiter, les papiers « à remplir un jour »… et les impôts, cette chose floue qui semble toujours arriver par surprise.
Mais malgré tout ça, ton chat continue à t’observer, à ronronner… et il t’aime exactement comme tu es. Même quand tu oublies que tu lui as déjà donné des croquettes.
*en hommage à mes copines C. et S.

04/04/2025

✨ Chaque nuit, notre cerveau, en rêvant, invente des histoires étranges, souvent oubliées dès le réveil. Cet oubli n’a rien d’un hasard : c’est un mécanisme naturel qui permet à notre esprit de faire le tri, de préserver notre équilibre mental et d’éviter d’être submergé par un trop-plein d’informations (inutiles).

Ce phénomène soulève aussi une question fascinante : même si nos rêves disparaissent de notre mémoire consciente, laissent-ils une trace quelque part, influençant nos émotions ou nos idées sans qu’on s’en aperçoive ?

Ici, je t’explique pourquoi cet oubli est essentiel et ce qu’il dit de notre fonctionnement cérébral :

• Un stockage fragile de la mémoire des rêves
• Un tri neuronal pour éviter la surcharge
• Un flou sensoriel qui rend les rêves difficiles à ancrer
• Une protection contre la confusion avec la réalité

Et toi, tu fais partie de celles et ceux qui oublient tout… ou de celles et ceux qui gardent en tête les rêves marquants ?

👇 Partage ton expérience en commentaire.

28/03/2025

Être étudiant, c’est jongler en permanence entre cours, révisions, vie sociale, sommeil et parfois un petit job. Pas toujours simple de trouver une bonne organisation pour tout concilier.

Les meilleurs étudiants ne sont pas ceux qui bossent non-stop, mais ceux qui savent où et quand lâcher du lest. Refuser une sortie ou dire non à une charge mentale inutile, c’est un investissement, pas un échec.

Pourquoi on a toujours l’impression d’avoir encore plein de trucs à faire ?
L’effet Zeigarnik montre que notre cerveau est obsédé par ce qui n’est pas fini.
Résultat ? Un sentiment permanent de "ne jamais en faire assez". Sauf que personne ne gère tout à 100 %, et ce n’est pas ce que tu dois faire.

Des astuces pour tenir le coup :
💡Le "non stratégique" : refuser une sortie afin d'éviter de se sentir submergé.e par une charge de travail imminente.
💡La visualisation positive : célébrer mentalement chaque petite tâche (vider ses mails, faire une machine, réviser 10 min) pour un shot de dopamine.
💡Le reset hypnotique : 3 minutes de respiration + visualisation positive = effet sieste express.
💡Le boost express : un appel ou un vocal à un.e pote qui comprend ta galère. Parfois, juste entendre "je te comprends" suffit à alléger la charge mentale.
💡La méthode 1% : avancer un tout petit peu sur une tâche (1 min de rangement, 2 mails envoyés) évite la procrastination extrême.
💡Le rituel de transition : un café en terrasse, une playlist, une promenade avant de réviser ou après le boulot pour éviter l’effet "tout se mélange".
💡Les pauses : faire une pause AVANT d’être épuisé.e. Sinon, c’est votre cerveau qui vous mettra en off spontanément.

Le vrai défi ? Accepter que certaines périodes seront plus axées études, d’autres plus perso. Et que c’est OK.

👉 Et toi ? Quelle est ton astuce pour garder la tête hors de l’eau ? Partage en commentaire ! 👇

Rachel Clavien - Hypnose et therapies

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