24/06/2025
"Ce qui se passe sur Terre dépasse largement ce que l’on croit voir. Les catastrophes, les dérèglements, les tremblements, les incendies, les vents fous, la montée des eaux, les animaux désorientés, les saisons inversées…
Ce n’est pas seulement une histoire de pollution, d’émissions de gaz ou de surconsommation. Ce que l’humanité nomme “crise climatique” n’est qu’un fragment visible d’un phénomène beaucoup plus vaste.
La planète vit un basculement, un cycle ancien arrive à sa fin, un autre s’apprête à commencer. Comme à chaque grande transition cosmique, les pôles s’inversent, ce n’est pas une théorie, c’est un processus naturel, inscrit dans la mémoire de la Terre.
Déjà vécu, déjà gravé dans les couches profondes de la roche et des océans. Il y a des centaines de milliers d’années, ce phénomène s’est produit, bouleversant la géographie, les champs magnétiques, les formes de vie.
Ce basculement est aussi physique que vibratoire. Ce qui change à la surface de la planète est le reflet d’un réalignement profond de ses structures énergétiques. Le champ magnétique terrestre se déplace, se fragilise, se reconstruit ailleurs.
Ce mouvement agit sur la matière, mais aussi sur la conscience. Rien n’est séparé. Quand le pôle bouge, c’est toute la grille subtile du vivant qui se réorganise.
Ce que nous appelons “réchauffement” n’est pas une anomalie. C’est une conséquence.
Quand les pôles basculent, le noyau terrestre s’agite, les protections naturelles s’amenuisent, le rayonnement solaire pénètre différemment, les courants changent, la lumière agit autrement. Tout l’équilibre vibratoire est reconfiguré.
Ce n’est pas une punition, c’est une mue. La Terre ne se dérègle pas, elle se transforme. Ce qui semble chaos est en réalité un repositionnement, une remise à zéro progressive des forces en jeu.
Mais les médias parlent de dérèglement climatique comme d’un ennemi extérieur. Parce que reconnaître qu’un cycle planétaire profond est en cours obligerait à tout repenser. Ce n’est pas vendeur, ce n’est pas contrôlable, ce n’est pas politique.
Alors on accuse le plastique, le carbone, les comportements humains, ce qui n’est pas faux, mais ce n’est qu’un reflet partiel.
L’humain participe, bien sûr, il intensifie, il accélère. Mais il ne crée pas ce mouvement, il y est pris, lui aussi.
La planète entre dans une zone de réalignement, les pôles bougent, et avec eux, les repères. Ce qui était stable se fissure, ce qui semblait éternel se fragilise, et ce qui était enfoui remonte.
L’humanité ressent ce glissement sans savoir l’expliquer. Il y a de l’angoisse, de la confusion, des tensions croissantes.
Mais tout cela n’est pas une fin, c’est une bascule, une traversée. Une opportunité de transformation intérieure aussi, si elle est saisie.
Comprendre cela, ce n’est pas fuir la réalité, c’est l’élargir. C’est replacer le visible dans un contexte cosmique plus vaste.
C’est reconnaître que la Terre est un être vivant, intelligent, en évolution. Et qu’à chaque grande étape, elle se secoue pour renaître autrement."
Acquario Waterman