08/11/2025
Je radote, oui-oui, et ceci est un cri de ras le bol, d’impuissance.
Deux problèmes majeurs me préoccupent :
➡️ la mésinformation* du public = les RS et de manière élargie la plupart des médias véhiculent une fausse image du yoga.
* par mésinformation : j’entends le fait que ce qui est dit du yoga au grand public est autre chose que du yoga. C’est comme confondre la mousse au chocolat avec du chocolat fondu. Le yoga moderne n’a plus grand chose à voir avec le yoga de la tradition. Cela me dépite lorsque je vois à quel point le public, (novices, débutants ou bons pratiquants) est attiré par la dimension esthétique du yoga et l’appel du bien-être de surface si trendy. Je me sens perdue à défendre un yoga de la tradition, un vrai yoga quoi. On m’a reproché de péter plus haut que mon cul parce que j’ose dire qu’il y a du low cost yoga et du noble yoga qui se rappelle de ses origines. Ces personnes qui réagissent à mes discours n’ont sûrement pas eu l’occasion de bénéficier d’enseignements honorables de lignées de yogi qui ont traversé la longue histoire du YOGA. Je ne leur en veut pas. J’appelle donc tous les enseignants de yoga (et en particuliers ceux.lles qui ont suivi un YTT de moins de 500h ou la philo est effleurée) à reouvrir certains textes basiques (Gheranda et Siva Samitha, Hatha Yoga Pradipika, Yoga Sutra, Bhagavad Gita, Mahabaratha) et à les étudier puis à les intégrer dans leur vie.
➡️ mon incompétence digitale dans la gestion des RS dont l’origine est le découragement cité plus haut... peu envie de lutter tant j’ai l’impression que ça ne sert a rien, plus d’argent à dépenser parce que mon revenu est trop petit (sachez que je cherche un emploi 40%-50% pour palier au manque d’inscription de mes offres de yoga). Je pense aussi (peut-être que je me trompe) que les pratiquant qui sont attirés par le Noble Yoga de la tradition ne sont pas vraiment sur les réseaux sociaux.
Je cherche donc une solution pour communiquer sur mes offres et j’invoque le dieu Ganesha pour m’orienter dans cette nébuleuse 🕉