Thérapie vibratoire

Thérapie vibratoire Maux divers, surmenage physique, mental et émotionnel, besoin de se ressourcer. Deuils. Insomnies. Une solution efficace.

Le rejet est l’une des blessures les plus profondes de l’âme humaine.Il ne s’agit pas seulement d’un “refus” extérieur.C...
07/10/2025

Le rejet est l’une des blessures les plus profondes de l’âme humaine.
Il ne s’agit pas seulement d’un “refus” extérieur.

C’est un choc qui inscrit, au cœur de l’être, la croyance que “je ne suis pas digne d’exister”.

Cette blessure est souvent invisible aux autres, mais elle agit comme une ombre silencieuse, influençant chaque choix, chaque relation, chaque rêve que l’on ose ou n’ose pas poursuivre.

La psychologue canadienne Lise Bourbeau, dans son livre Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même (2000), décrit le rejet comme la blessure vécue dès les premiers instants de vie, souvent avec le parent du même sexe.

Elle peut survenir avant même la naissance, si l’enfant n’est pas désiré ou si la grossesse est vécue dans un contexte de peur ou de rejet.

En psychanalyse, Donald Winnicott (pédiatre et psychanalyste, 1896-1971) parle de l’importance du holding — l’accueil et le soutien psychique que reçoit le nourrisson. Un manque de holding crée un sentiment d’insécurité fondamentale, pouvant conduire à une personnalité “fuyante” pour éviter la douleur du rejet.

Manifestations dans la vie adulte

Tendance à fuir les situations émotionnelles intenses.

Difficulté à exprimer ses besoins par peur de déranger.

Sentiment persistant de ne pas avoir de place.

Recherche de perfection pour être “acceptable”.

Spiritualement, le rejet coupe l’âme de sa reliance naturelle au monde. On se sent “hors du cercle”, comme si la vie se déroulait ailleurs.

Conséquences sur les relations

Le rejet pousse à l’auto-sabotage relationnel :

On peut fuir l’amour par peur d’être abandonné à nouveau, ou attirer inconsciemment des situations qui confirment notre croyance d’indignité.

C’est une prophétie auto-réalisatrice : plus on fuit, plus on se sent seul.

La guérison
Science et spiritualité

La guérison de la blessure du rejet passe par deux chemins complémentaires :

Côté psychologique

Thérapie de réparentage (reparenting) : méthode développée dans les années 80 par John K. Pollard, qui consiste à devenir pour soi-même le parent bienveillant qu’on n’a pas eu.

Thérapie des schémas de Jeffrey Young (1990) : travailler sur le schéma d’exclusion et d’imperfection.

Thérapie corporelle (somatic experiencing, EFT) pour relâcher la mémoire du rejet dans le corps.

Côté spirituel

Méditations de connexion à l’enfant intérieur.

Cercles de guérison où l’on est vu, accueilli et reconnu sans condition.

Pratiques de gratitude envers la Vie, même pour les expériences de rejet, en les voyant comme un chemin de retour vers soi.

Et si le rejet n’était pas la preuve que tu n’as pas de place…

Mais le rappel que ta place ne peut pas t’être donnée par les autres — elle se revendique, elle s’incarne, elle se vit.

Dans quelles situations de ta vie t’es-tu senti invisible ?

Et que changerait ta vie si tu cessais d’attendre la validation extérieure ?

Le don de soi

26/07/2025
Un amour véritable ne se trouve pas, il se construit.Il ne naît pas de la perfection, mais de l’engagement de deux âmes ...
18/07/2025

Un amour véritable ne se trouve pas, il se construit.
Il ne naît pas de la perfection, mais de l’engagement de deux âmes prêtes à se voir vraiment.

Il se construit avec du respect, de la confiance,
avec des conversations inconfortables qui ouvrent des blessures, et avec des silences qui n’évitent pas, mais qui enveloppent.

Un amour véritable n’est pas une joie constante,
c’est une présence dans les jours difficiles.
C’est la décision de rester quand il serait plus facile de fuir.
C’est regarder l’autre quand les mots manquent,
et malgré tout, se comprendre.

Il se forge à travers des moments partagés,
des erreurs reconnues, des blessures qui guérissent ensemble.
Il se construit sans hâte, avec patience,
avec tendresse…
et avec le courage de s’aimer sans cesser d’être soi-même.

Car le véritable amour ne donne pas tout facilement, mais il donne tout, avec vérité. 💗❤️

Je t’aime… mais je me fuis : l’amour en mode sabotageVous l’aimez. De tout votre cœur. De tout ce que vous êtes.Et pourt...
16/06/2025

Je t’aime… mais je me fuis : l’amour en mode sabotage

Vous l’aimez. De tout votre cœur. De tout ce que vous êtes.
Et pourtant… vous vous échappez.

Pas de manière spectaculaire. Pas en claquant la porte.
Mais subtilement. En retenant un mot. En repoussant un élan. En fuyant un regard. En disparaissant un peu, chaque jour.

Vous êtes présent, mais absent.
Engagé, mais sur le qui-vive.
Ou bien c’est l’autre. Qui vous regarde avec tendresse… puis qui recule, sans que vous compreniez pourquoi.

Bienvenue dans l’amour en mode sabotage.

Ce n’est pas une pathologie.
C’est une stratégie.
Inconsciente. Ancrée. Sournoise.

Et elle fait des ravages.

L’amour, ce grand déclencheur

L’amour est un miroir. Mais pas celui des contes.
Il ne reflète pas seulement ce qu’il y a de beau en vous. Il vous met face à vos angles morts. À vos blessures non cicatrisées. À votre manque d’estime. À vos pactes intérieurs.

Aimer réveille.

Et ce réveil, pour beaucoup, fait peur.

Ce n’est pas l’amour qui effraie.
C’est ce qu’il révèle de vous.
Ce qu’il déterre. Ce qu’il oblige à regarder.

L’amour, le vrai, n’est pas un confort.
C’est une alarme douce mais tenace.
Il vient vous chercher là où vous ne vouliez plus descendre.

Alors, forcément, l’instinct se défend.

Je t’aime… mais j’ai peur de m’aimer

C’est peut-être ça, au fond, le point d’origine.

Vous ne vous fuyez pas parce que l’autre vous fait peur.
Vous vous fuyez parce que vous n’avez pas encore appris à vous aimer vraiment.

Pas à aimer vos parts brillantes, ça, vous savez faire.
Mais à aimer vos manques. Vos fragilités. Vos doutes. Vos incohérences.

Vous sabotez parce que vous croyez ne pas mériter ce lien.
Parce que recevoir sans contrôler vous panique.
Parce que vous n’avez jamais appris à recevoir sans devoir, sans compenser, sans prouver.

Alors vous doutez.
Vous testez.
Vous provoquez.

Et si l’autre reste, vous êtes mal à l’aise.
Et s’il part, vous vous sentez abandonné.
C’est sans issue.

À moins de changer de niveau de conscience.

Le drame de la confusion

Dans l’amour-sabotage, vous mélangez tout.

Vous croyez que l’autre vous envahit, alors qu’il vous aime.
Vous croyez que l’amour est une menace, alors que c’est votre cuirasse qui se fissure.
Vous croyez que vous perdez votre liberté, alors que vous commencez à accéder à votre vérité.

Vous confondez dépendance et abandon de soi.
Fusion et présence.
Contrôle et engagement.

Et ce flou intérieur vous pousse à fuir la lumière au moment même où elle entre dans votre vie.

Mais fuir ne vous protège pas

Fuir vous apaise, à court terme.
Mais au fond, vous savez.
Vous savez que vous sabotez quelque chose de rare.
Quelque chose qui pourrait vous ouvrir.
Vous ne fuyez pas l’autre. Vous fuyez l’appel à grandir.

Vous préférez la répétition à la réinvention.
Vous préférez souffrir d’un schéma connu que de vivre une paix inconnue.
Vous préférez l’ancien vous à ce que vous pourriez devenir.

C’est humain.
Mais ce n’est pas votre vérité.

D’où vient ce sabotage ?

Il vient de loin.
D’un manque de sécurité affective.
D’un amour reçu sous condition.
D’un parent émotionnellement absent, ou trop présent.
D’un besoin de contrôler pour survivre.
Ou simplement d’un choc passé qui a ancré une conclusion fausse : “L’amour, c’est dangereux.”

Alors vous vous êtes blindé.
Vous avez appris à anticiper, à analyser, à détourner l’intensité.
Et aujourd’hui, vous vous retrouvez face à l’amour… incapable de l’accueillir pleinement.

Pas parce que vous ne le voulez pas.
Mais parce que votre système nerveux ne sait pas encore comment faire.

Une vérité difficile à entendre

Il faut du courage pour le reconnaître.
Du courage pour dire : “C’est moi qui fuis.”
Pas parce que l’autre est toxique.
Pas parce qu’il y a une faute.
Mais parce que j’ai peur de vivre ce lien pleinement.

Ce n’est pas une faute. C’est une clé.
Une faille devenue une voie.

Le sabotage est un appel.
Un appel à revisiter votre manière d’aimer.
À remettre à plat vos croyances.
À choisir d’arrêter de jouer petit.

Ce n’est pas l’amour qui guérit, c’est la conscience

L’amour ne suffit pas.
Il faut la conscience.
Le regard honnête sur soi.
Le désir de se libérer de ses vieux mécanismes.
Le choix, répété, d’ouvrir là où l’on voulait fermer.

Ce travail n’est pas théorique.
Il est vécu. Il se fait dans le corps, dans la relation, dans l’instant.

Cela demande de ralentir.
D’écouter.
De ne pas fuir ce que l’on ressent.
Et parfois, de demander de l’aide.

Mais surtout : cela demande de s’engager envers soi-même.

L’amour, ce chemin spirituel radical

Ceux qui pensent que l’amour est juste un sentiment agréable se trompent.

Aimer vraiment, c’est entrer dans un processus initiatique.
C’est laisser tomber les masques.
C’est se regarder nu.
C’est apprendre à se tenir face à l’autre… sans déguisement, sans performance.

Aimer, c’est accepter de ne plus pouvoir tricher.

C’est une voie d’éveil.
Une voie exigeante, déroutante, mais profondément libératrice.

À condition de ne plus fuir.

Ce que vous pouvez faire, dès aujourd’hui

Voici quelques questions puissantes à vous poser :

• Dans quel(s) moment(s) ai-je tendance à fuir, saboter ou me replier ?

• Qu’est-ce que je redoute, profondément, si je m’ouvre totalement à l’amour ?

• Quelle croyance ai-je héritée sur l’amour qui n’est plus vraie aujourd’hui ?

• Quelle est ma responsabilité dans la qualité du lien que je nourris ?

Vous n’avez pas besoin d’avoir toutes les réponses.
Mais poser ces questions, c’est déjà sortir du mode automatique.

Vous pouvez aimer… sans vous fuir

Vous n’êtes pas vos mécanismes.
Vous n’êtes pas votre peur.
Vous n’êtes pas votre passé.

Vous êtes bien plus vaste que vos stratégies de survie.

Et l’amour, le vrai, n’est pas une menace.
C’est un feu qui éclaire, pas un feu qui brûle.
Mais pour en faire l’expérience, vous devez rester là. Présent. Honnête. Vivant.

Même quand c’est inconfortable.
Même quand c’est vertigineux.

C’est là que commence l’amour adulte.
L’amour éveillé.
Celui qui ne cherche pas à vous sauver, mais à vous révéler.

Et si vous vous reconnaissez dans ces lignes… sachez une chose : rien n’est figé. Le sabotage n’est pas une fatalité. C’est une invitation. Une porte. À vous de décider si vous souhaitez enfin l’ouvrir.

Pourquoi les hommes, en général, sont obsédés par les femmes ?L’idée que "les hommes sont obsédés par les femmes" revien...
15/06/2025

Pourquoi les hommes, en général, sont obsédés par les femmes ?

L’idée que "les hommes sont obsédés par les femmes" revient souvent dans les conversations, parfois avec ironie, parfois avec inquiétude. Derrière ce cliché se cache une réalité plus complexe, façonnée par la biologie, la psychologie, la culture… et parfois, par la relation intime que l’homme a eue avec sa mère dans l’enfance.

Dans cet article, je vous propose de plonger plus en profondeur dans ce phénomène, pour en comprendre les racines et, surtout, entrevoir des pistes de transformation.

1. LE CORPS ET LES INSTINCTS : UNE BASE BIOLOGIQUE

Sur le plan biologique, l’attirance sexuelle est un moteur fondamental de l’évolution. Le désir masculin, en particulier, est généralement plus constant et visuellement stimulé. En cause ? La testostérone, hormone liée à la libido, au besoin de compétition et à l’envie de séduire.

Cela ne veut pas dire que les hommes sont "esclaves" de leurs hormones, mais qu’une part de leur comportement est influencée par des mécanismes anciens liés à la reproduction.

2. LE DÉSIR DE PLAIRE : ENTRE ESTIME DE SOI ET VALIDATION

Sur le plan psychologique, plaire à une femme peut donner à certains hommes le sentiment d’exister, de valoir quelque chose. Notamment si leur estime d’eux-mêmes dépend fortement du regard extérieur.

Dans ce cas, la femme n’est plus seulement une personne, mais une source de reconnaissance, un miroir affectif. L’enjeu n’est plus la rencontre, mais la confirmation de sa propre valeur.

3. LA MÈRE, L’ORIGINE DE TOUTES LES FEMMES ?

La première figure féminine qu’un homme rencontre, c’est sa mère. Cette relation fondatrice laisse des traces inconscientes.

Si la relation a été sécurisante (mère présente, stable, bienveillante), l’homme aura plus de facilité à établir des liens affectifs sains. Si, au contraire, l’attachement était insécurisant (mère absente, imprévisible, envahissante ou distante), cela peut créer des dépendances, des peurs de l’abandon, ou une quête affective quasi obsessionnelle.

Dans une perspective psychanalytique, Freud évoquait le complexe d’Œdipe, cette phase où le jeune garçon développe un attachement inconscient pour sa mère. Si cette étape n’est pas dépassée, l’adulte peut rester enfermé dans une recherche confuse : vouloir retrouver, à travers les femmes, quelque chose de cette première relation — tendresse, reconnaissance, fusion.

4. LE POIDS DES IMAGES CULTURELLES

Publicité, cinéma, réseaux sociaux : les femmes sont omniprésentes sous forme d’images idéalisées, souvent sexualisées.

Cette hyperexposition façonne les imaginaires masculins. La femme devient, parfois, un objet de désir plus qu’un sujet autonome. Dans certains milieux, savoir "conquérir" une femme est même présenté comme un signe de virilité ou de réussite.

Résultat ? Une course au charme, à la performance ou à la séduction, où la femme est perçue comme un trophée, un enjeu de statut.

5. HÉRITAGE PATRIARCAL ET RAPPORTS DE POUVOIR

Historiquement, dans de nombreuses sociétés patriarcales, les femmes ont été considérées comme des possessions, des récompenses ou des signes de pouvoir.

Même si les mentalités évoluent, ces représentations persistent. Séduire une femme peut alors, inconsciemment, être vécu non pas comme une rencontre d’égal à égal, mais comme un acte de domination symbolique.

6. UNE OBSESSION… PAS SI NATURELLE QUE ÇA

Il est opportun de rappeler que cette "obsession" n’est ni universelle, ni naturelle. Elle est souvent le résultat :

• d’un désir mal compris ou mal canalisé,

• de blessures affectives non résolues,

• d’un besoin d’amour mal exprimé,

• et d’une culture qui valorise davantage la conquête que la connexion.

7. VERS DES RELATIONS PLUS LIBRES

Bonne nouvelle : rien de tout cela n’est figé.

En prenant conscience de ses schémas, en travaillant sur ses blessures (seul ou accompagné), en changeant son rapport à soi-même, un homme peut se libérer de cette obsession.

Il peut alors rencontrer la femme comme une personne, et non comme une solution à son vide intérieur.

En conclusion

L’attirance n’est pas un problème. Le désir n’est pas une faute. Mais quand le rapport aux femmes devient une fixation, une dépendance ou un besoin compulsif, il vaut la peine de s’interroger.

Et peut-être, de faire ce chemin intérieur qui permet de passer de la quête à la rencontre. De l’obsession… à la relation.

Quand tu te rends compte que tu es dans le mauvais train,descendre à la première gare, c’est un acte de lucidité et de c...
13/06/2025

Quand tu te rends compte que tu es dans le mauvais train,
descendre à la première gare, c’est un acte de lucidité et de courage.

Plus tu attends, plus tu t’enfonces dans un trajet qui ne te mène nulle part,
ou pire, qui t’éloigne de ce que tu veux vraiment.

Ce n’est pas juste une question de temps gaspillé,
c’est aussi l’énergie mentale et émotionnelle que tu investis dans une direction qui ne te correspond pas.

Chaque minute passée à continuer,
c’est un poids supplémentaire que tu devras porter quand viendra le moment de faire demi-tour.

Le problème, c’est qu’on s’accroche souvent par peur ou par orgueil.

On se dit : "J’ai déjà fait tout ce chemin, je ne peux pas reculer maintenant."

Mais si tu es sur la mauvaise voie,
continuer, c’est aggraver la situation.

Le retour sera toujours plus long et plus difficile si tu t’entêtes.

Descendre à la première occasion,
c’est comprendre que revenir sur tes pas n’est pas un échec,
mais une façon de reprendre le contrôle.

Ce n’est pas une faiblesse,
c’est une force.

Il faut parfois savoir arrêter, couper court,
pour éviter de perdre encore plus.

Et puis, descendre, c’est aussi se donner une chance.

Une chance de réorienter ton parcours,
de trouver une nouvelle direction,
un nouveau train qui t’amènera là où tu veux vraiment aller.

Ce n’est pas facile, parce que la peur de l’inconnu est toujours là.

Quand tu descends, tu es sur le quai,
et tu ne sais pas encore quel sera le prochain train, ni quand il arrivera.

Mais rester dans le mauvais train par peur d’être perdu,
c’est accepter de te condamner à un voyage sans sens.

Il y a aussi cette idée que plus tu mets de temps à descendre,
plus tu compromets ce qui compte vraiment.

Ce "coût" dont on parle,
ce n’est pas seulement le temps ou l’effort nécessaire pour revenir en arrière,
c’est aussi ce que tu sacrifies en restant.

Tes rêves, tes valeurs, ton bien-être :
tout ça s’éloigne à mesure que tu persistes dans une direction qui ne te correspond pas.

Chaque gare que tu laisses passer,
c’est une occasion manquée de te réorienter,
de reprendre ta liberté.

Alors oui, il faut du courage pour descendre.

Il faut accepter d’admettre que tu t’es trompé,
que tu as fait un choix qui n’était pas le bon.

Mais c’est ça, avancer dans la vie :
reconnaître quand tu es sur la mauvaise voie,
et avoir la force de changer de cap.

Le prix à payer pour continuer dans l’erreur
est toujours plus élevé que celui de corriger le tir.

Et au final, le vrai gaspillage,
ce n’est pas de descendre,
c’est de rester assis dans un train qui ne va nulle part.

Tu sais ce qui est fascinant dans les relations humaines ? Ce magnétisme inexplicable qui t'attire parfois vers des pers...
02/06/2025

Tu sais ce qui est fascinant dans les relations humaines ? Ce magnétisme inexplicable qui t'attire parfois vers des personnes qui, au fond, ne sont pas bonnes pour toi. Ce n'est pas juste une histoire de hasard ou de mauvaise chance. Il y a un mécanisme bien précis derrière ces attirances toxiques, un jeu de rôles qui se répète tant que tu n'en prends pas conscience. Si tu es une personne qui donne sans compter, qui met les besoins des autres avant les siens, il y a de fortes chances que tu sois tombé(e) dans les filets d'une personnalité narcissique. Et ce n'est pas parce que tu es faible, mais parce que tu as appris que l'amour se gagne en s'oubliant soi-même.

Le problème, c'est que cette dynamique est une impasse.

Tu donnes, tu attends de la reconnaissance, mais elle ne vient jamais. Pire encore, plus tu te plies en quatre pour l'autre, plus il ou elle en demande. Un narcissique ne cherche pas à aimer, il cherche à contrôler. Il se nourrit de ton besoin d'être aimé(e), il sait exactement quels mots utiliser pour te faire espérer, puis te faire douter. Un jour, il te met sur un piédestal, le lendemain, il te fait sentir insignifiant(e).

C'est une drogue. Un cycle. Un piège. Et toi, tu restes, en croyant que si tu donnes encore plus, l'amour viendra enfin. Mais la vérité, c'est que ce n'est pas de l'amour. C'est une dépendance. Une illusion créée par ton propre manque d'amour pour toi-même. Parce que si tu t'aimais vraiment, si tu reconnaissais ta valeur, tu ne tolérerais jamais d'être traité(e) comme ça. Tu ne chercherais pas à sauver quelqu'un qui ne veut pas être sauvé. Tu comprendrais que ce n'est pas ton rôle de réparer un cœur brisé qui ne bat que pour lui-même. Et surtout, tu réaliserais que ce n'est pas en t'oubliant que tu mérites l'amour, mais en t'affirmant.

Sortir de ce schéma, c'est un combat. Ce n'est pas juste une décision, c'est une reconstruction. Parce que ces relations t'ont fait croire que tu n'es rien sans l'autre, que ton bonheur dépend de la validation de quelqu'un qui ne t'a jamais réellement vu(e). Mais c'est faux. Tu es entier (e), complet(e), avec ou sans lui (elle). Tu n'as pas besoin d'un amour à sens unique, tu mérites une relation où on te choisit autant que tu choisis l'autre.

Le jour où tu briseras cette dynamique, où tu apprendras à mettre tes limites, quelque chose changera en toi. Tu ne seras plus cette personne qui supplie pour des miettes d'affection. Tu deviendras quelqu'un qui sait ce qu'il veut et qui ne tolère plus l'inacceptable. Et c'est là que tu attireras autre chose. Un amour qui ne te demande pas de te sacrifier, mais qui t'accepte pour ce que tu es. Un amour qui se construit au lieu de détruire. Parce qu'au fond, ce n'est pas l'autre qu'il faut changer, c'est toi qu'il faut retrouver. Tu es la personne qui peut briser ce cercle, qui peut réapprendre à s'aimer, qui peut choisir une histoire différente. Alors, la vraie question, c'est: es-tu prêt(e) à t'aimer assez pour ne plus jamais accepter moins que ce que tu mérites.

L’ocytocine… Vous connaissez ?C’est ce qu’on appelle l’hormone de l’attachement émotionnel.Un simple câlin peut suffire ...
01/06/2025

L’ocytocine… Vous connaissez ?

C’est ce qu’on appelle l’hormone de l’attachement émotionnel.

Un simple câlin peut suffire à la libérer dans notre corps. Mais elle est aussi déclenchée par un regard doux, une parole rassurante, une pensée amoureuse, ou le contact avec une personne qu’on aime profondément. Lorsque l’ocytocine est libérée, elle agit comme un baume apaisant : le cœur s’ouvre, le stress baisse, la confiance monte. En un mot : on se sent bien.

Mais pourquoi est-ce si important d’en parler aujourd’hui ?

Parce que dans nos relations d’adultes, nos réactions – qu’on le veuille ou non – sont fortement conditionnées par ce que nous avons vécu dans l’enfance. Ce que nous avons reçu (ou non) comme douceur, attention, réconfort influence profondément la manière dont nous gérons aujourd’hui les tensions, les conflits, ou simplement la fatigue émotionnelle du quotidien.

Prenons quelques exemples :

Un ami qui se plaint constamment,

Un chien qui aboie sans arrêt,

Des collègues qui nous manquent de respect,

Nos enfants qui râlent du matin au soir…

Face à ces situations, réagissons-nous avec calme, empathie, amour ?
Ou bien est-ce notre réseau de stress qui s’active en premier, nous plongeant dans l’irritation, les cris, voire l’explosion de colère ou de violence verbale ?

La clé se trouve dans notre passé.

Si, enfants, lors de nos tempêtes émotionnelles, nous avons été entourés, écoutés, rassurés avec amour, alors notre cerveau a associé ces moments difficiles à une production d’ocytocine. Et ce mécanisme est resté en mémoire.
Résultat ? Adulte, notre réflexe naturel face au stress d’autrui est de rester calme, d’offrir du soutien, de la chaleur humaine. Nous savons, instinctivement, que la bienveillance guérit.

Mais si, au contraire, nous avons été ignorés, rabaissés, rejetés, ou même brutalisés durant notre enfance, alors notre cerveau n’a pas enregistré cette association entre réconfort et crise.
Ce système hormonal de l’amour ne s’est pas construit. Il reste sous-développé, voire inhibé.

Et cela change tout.
Parce que dans ce cas, à l’âge adulte, nous ne produisons presque pas d’ocytocine face aux tensions. Au lieu de réagir avec tendresse, nous réagissons par l’agacement, l’impatience, voire la violence.
Et ainsi, sans le vouloir, nous transmettons ce schéma de stress à nos propres enfants, comme nos parents l’ont transmis à leur tour.

Mais rien n’est figé.

La bonne nouvelle, c’est que le cerveau est plastique. Il peut apprendre, se reprogrammer, évoluer.
C’est pourquoi il est essentiel de prendre conscience de nos automatismes, de nos déclencheurs, de notre héritage émotionnel.
Et de décider, chaque jour, de faire un pas vers un autre modèle : celui du cœur ouvert, de la câlinothérapie, de la présence bienveillante.

Oui, cela demande de l’attention.
Oui, cela nécessite parfois de prendre une grande respiration au lieu de crier.
Mais chaque effort dans cette direction est une victoire silencieuse mais puissante.

Aimons. Écoutons. Accueillons.

Même (et surtout) quand c’est difficile.
Car c’est dans ces instants que le pouvoir de l’ocytocine peut tout changer.

Ne joue jamais à des jeux avec une femme qui n’a pas peur d’être seule.Voici ce que tu ne réalises peut-être pas… Elle a...
30/05/2025

Ne joue jamais à des jeux avec une femme qui n’a pas peur d’être seule.
Voici ce que tu ne réalises peut-être pas… Elle a déjà affronté des nuits sans main réconfortante. Elle a survécu à des journées entières sans que personne ne prenne de ses nouvelles, sans réponse à ses messages, sans aide pour alléger son fardeau. Elle a appris à essuyer ses propres larmes, à résoudre ses propres problèmes, et à bâtir sa propre paix.

Une femme qui n’a pas peur de la solitude ne tolère pas les miettes. Elle ne se contente pas d’inconstance, de signaux contradictoires ou d’un amour à moitié donné. Elle est passée par le feu et en est sortie plus forte. Elle a compris que sa solitude valait mieux que le chaos déguisé en compagnie.

Tu ne peux pas la manipuler avec ton silence. Tu ne peux pas l’appâter avec de l’affection temporaire. Tu ne peux pas la retenir avec des promesses brisées. Parce qu’elle a appris à apprécier sa propre compagnie. Elle a construit une vie qui ne dépend pas de la validation d’autrui. Elle n’a pas besoin d’un homme pour se sentir complète… elle l’est déjà.

Alors, quand tu joues avec elle, tu ne la rends pas confuse. Tu lui montres simplement que tu n’es pas prêt pour le genre d’amour qu’elle est prête à offrir. Et dès qu’elle sent que tu perds son temps, elle ne va ni discuter, ni supplier, ni courir après toi… Elle partira simplement, en silence et avec grâce, vers la paix qu’elle a construite pour elle-même.

Une femme qui n’a pas peur d’être seule est une femme que tu ne contrôleras jamais. Elle aime par choix, pas par nécessité. Et si tu n’ajoutes rien à sa vie, elle n’aura aucun mal à t’en retirer.

Alors ne joue pas à des jeux avec une femme qui a déjà appris à se tenir debout toute seule… car elle n’hésitera jamais à le refaire.

Un homme brisé te punira de l’avoir aimé.Non pas parce que ton amour était une erreur,mais parce que tu as mis en lumièr...
24/05/2025

Un homme brisé te punira de l’avoir aimé.
Non pas parce que ton amour était une erreur,
mais parce que tu as mis en lumière tout ce qu’il fuyait.

Ta douceur réveillera ses blessures enfouies.
Ta patience lui renverra le reflet de son sentiment d’indignité.
Ta lumière deviendra insoutenable pour celui
qui n’a jamais appris à recevoir la chaleur sans méfiance.

Il te repoussera…
Puis t’en voudra d’être partie.
Il confondra le chaos avec l’alchimie,
le silence avec la sécurité.
Et chaque fois que tu chercheras à le remplir de ton amour,
il te fera sentir que tu es trop :
trop présente, trop exigeante, trop… vivante.

Non parce que tu l’es réellement,
mais parce qu’il ne sait pas comment être suffisant.

Tu finiras par te réduire, te questionner,
attendre désespérément que l’amour répare
ce que le traumatisme a bâti.
Mais l’amour ne guérit pas celui
qui n’a pas choisi de guérir.

L’amour ne sauve pas celui
qui s’est juré de saboter tout ce qui est bon.

Un homme brisé verra tes limites comme des offenses.
Ton honnêteté comme une agression.
Tes soins comme une tentative de contrôle.
Et pendant tout ce temps,
tu te noieras dans la confusion,
tentant de décrypter un comportement
que tu n’as jamais été chargée de réparer.

Soyons en conscients…Les câlins manquent en ce moment.L'humanité se dirige dans une impasse très précaire sur les vraies...
14/04/2025

Soyons en conscients…
Les câlins manquent en ce moment.
L'humanité se dirige dans une impasse très précaire sur les vraies valeurs...

L'étreinte devrait être prescrite par les médecins car il y a un pouvoir de guérison dans l'étreinte que nous ne connaissons pas encore.*

Les câlins guérissent la haine.
L'étreinte guérit les ressentiments, l'étreinte guérit le courage et les malentendus.
L' étreinte guérit la fatigue et guérit la tristesse.

Quand on embrasse, on lâche des amarres, on perd en quelques instants les choses qui nous ont fait perdre notre calme. L' étreinte nous donne la paix dans l'âme.

Quand nous embrassons, nous arrêtons d'être sur la défensive et laissons l'autre approcher de notre cœur, les bras s'ouvrent et les cœurs se blottissent d'une manière unique...!

Il n'y a rien de tel qu'un câlin, un câlin de ′′je t'aime", un câlin de ′′heureusement que tu es là", un câlin de ′′aidez-moi"...! Un câlin de ′′à bientôt", un câlin de ′′pardonnez-moi′′ et de ′′je te pardonne", un câlin de ′′à quel point tu m'as manqué", câlins...

Quand nous embrassons nous sommes plus de deux, nous sommes de la famille !

Nous sommes accessibles, nous sommes des rêves possibles...!

Et si on se traitait avec gratitude, douceur et tendresse...

* L' étreinte devrait, oui, être prescrite par les médecins, car elle rajeunit l'âme et le corps(...).

Adresse

Route Du Village 19
Maracon
1613

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