Nadège Chevassus - Hypnose thérapeutique

Nadège Chevassus - Hypnose thérapeutique ✻Hypnose: Performance et équilibre émotionnel (sport, périnatalité, anxiété...)
♡Créatrice de Birthwhisperers
➠Séances Genève & visios

Pourquoi avons-nous un train de re**rd par rapport aux pays anglo-saxons où elle fait souvent partie de l’équipe qui enc...
19/06/2025

Pourquoi avons-nous un train de re**rd par rapport aux pays anglo-saxons où elle fait souvent partie de l’équipe qui encadre le sportif?
Manque d’information ? Scepticisme quant à son efficacité ? Réticence à explorer le mental autant que le physique ?

En France, l’hypnose est encore fortement associée au spectacle, à des pratiques ésotériques voire au charlatanisme.
Je pense que cela tient essentiellement à un manque d’information.
Je ne compte plus les clients qui sont venus au cabinet avec des appréhensions:
-“Est-ce vous pouvez me faire faire quelque chose que je ne veux pas faire?”
-“Et si je vous révèle quelque chose que je ne veux pas dire?”
-”Est-ce que je peux rester coincé dans un état d’hypnose?”
Et même si cela évolue (je le constate au fil des ans), l’ancienne image reste bien présente.

Les Etats-Unis, le Canada ou l’Australie semblent avoir une culture du coaching mental plus développée. L’hypnose y trouve facilement sa place.
L’objectif dans le sport, c’est la performance.
Ce qui permet de performer, on le teste. Si ça fonctionne (et si c’est légal 😉), on l’implémente. Point!

On connait pourtant l’importance de la préparation mentale dans le sport. Les sportifs font de plus en plus appel à des coachs mentaux, à des psychologues du sport.
Alors quid de l’hypnose?
C’est dommage car cette approche peut être un soutien extraordinaire pour le sportif.

Après, je reste convaincue que le thérapeute qui vous convient pourrait utiliser n’importe quel outil. Que ce qui compte, c’est ce qu’il se passe dans le lien thérapeutique.
Mais quand même… j’utilise l’hypnose avec chaque client et je suis encore régulièrement bluffée par ce qui peut se passer en séance.

Aujourd’hui, c’était mammographie.Un contrôle préventif.Je ne fais jamais trop la fière pendant cet examen.Parce qu’un j...
03/06/2025

Aujourd’hui, c’était mammographie.
Un contrôle préventif.
Je ne fais jamais trop la fière pendant cet examen.
Parce qu’un jour, il y a très longtemps, pendant une mammographie, je me suis fait agresser.

Un récit qui parle de sidération, de cet état qui fait qu’on ne peut pas bouger, pas en parler, pas porter plainte.
Et de la manière dont cela peut remonter.

Et si l’hypnose n’était pas seulement un outil pour "aller mieux", mais aussi pour aller plus loin ?On pense souvent à l...
25/05/2025

Et si l’hypnose n’était pas seulement un outil pour "aller mieux", mais aussi pour aller plus loin ?
On pense souvent à l’hypnose pour traverser une difficulté : stress, insomnies, anxiété, phobies…
Mais c’est aussi un véritable outil de développement personnel.

La plupart de mes clients viennent quand ils rencontrent des difficultés qu’ils ne parviennent pas à dépasser seuls.

Mais certains viennent alors qu’ils se sentent plutôt bien dans leur vie par envie/besoin d’évoluer.
Cela s’inscrit souvent dans une volonté de développement personnel, spirituel, un besoin de grandir ou simplement de se découvrir en profondeur.

En général, je les vois de temps en temps quand ils ressentent le besoin de passer un cap.

J’aime bien ces séances plus philosophico-spirituelles, où l’on explore des questions plus existentielles 🙂

Elles permettent souvent de se reconnecter à ce qui fait sens et d’aller un peu plus près de notre être.

Et vous ? Vous l’utilisez pour quoi, l’hypnose ? 🌱

Ce jour-là, en séance, j’ai eu les larmes aux yeux. Et c’était ok. Je te raconte…
22/05/2025

Ce jour-là, en séance, j’ai eu les larmes aux yeux. Et c’était ok. Je te raconte…

"Je n'ai pas ma place dans cette équipe","Je ne sais pas gérer la pression","J’ai toujours du mal dans ce type de course...
19/05/2025

"Je n'ai pas ma place dans cette équipe",
"Je ne sais pas gérer la pression",
"J’ai toujours du mal dans ce type de course",
"Je ne suis pas à la hauteur de mes coéquipiers".

Tu reconnais ces pensées ? Sais-tu qu’elles ont un vrai impact sur ta performance?
Ces pensées négatives et automatiques te disent que tu n’es pas assez bon ou que tu ne mérites pas de réussir. Elles surgissent souvent dans des moments de stress, après une défaite, ou quand tu te sens jugé.

Comme ce sportif qui, à la fin de sa course, nous disait : "Je suis nul, je ne fais que de la m....." (après un effort intense et l’adrénaline à son max).

Comment te freinent-elles ?
Quand tu crois que tu n’es pas capable ou que tu ne mérites pas, tu te mets des barrières. Tu n’utilises pas pleinement tes ressources, et tu t’empêches d’aller plus loin. Cela fait toute la différence entre abandonner ou continuer, surtout dans ces moments clés où tu es sur le point de lâcher.

Pistes pour les surmonter:

Identifie-les : Qu’est-ce que tu te dis quand tu as un doute ? À quel moment ces pensées apparaissent-elles ? Prends le temps de les repérer.

Comprends d’où elles viennent : Depuis quand sont-elles là ? Viennent-elles d’une expérience passée, d’un échec ou d’un jugement extérieur ?
Remets-les en question : Pourquoi ces pensées sont-elles vraies à tes yeux ? Sont-elles fondées ou juste des projections de peur ? Qu’est-ce qui se cache derrière ?

Change de perspective : Comment peux-tu les recadrer ?

N’oublie pas : tous les athlètes, même ceux de haut niveau, ont des croyances limitantes. Tout le monde en a en réalité.
L’essentiel, c’est de reprendre le contrôle des pensées qui te limitent et de ne pas leur laisser le pouvoir de définir ce que tu es capable d’accomplir.

Il arrive souvent qu’un consultant s’excuse de pleurer, de se mettre en colère, ou simplement de ressentir une émotion… ...
18/05/2025

Il arrive souvent qu’un consultant s’excuse de pleurer, de se mettre en colère, ou simplement de ressentir une émotion… trop visible.
Comme si c’était déplacé. Comme s’il fallait les cacher.
Il tente de retenir ses larmes, de ravaler sa colère.

Pourtant, les émotions sont au cœur du travail en hypnose.
Elles sont notre fil rouge, ce qui nous permet de remonter à leur origine, de sentir s’il y a eu un changement intérieur pendant la séance.
Elles disent quelque chose que les mots seuls ne suffisent pas toujours à exprimer.
Le corps ne ment pas.

Beaucoup ont appris à les taire, à les retenir :
– par éducation ("sois fort", "arrête de pleurer" ou en observant des adultes qui ne montraient rien — "chez moi, on ne pleurait pas")
– par protection ("si je montre ce que je ressens, je vais être rejeté·e")
– ou comme stratégie de survie, parce que c’était le seul moyen de tenir.

Mais en hypnose, il n’y a plus de filtre.
On touche aux émotions brutes. On les vit. Et c’est une bonne chose.

Je dis souvent qu’un pansement peut être utile, le temps de se stabiliser. Mais pour guérir, il faut bien, un jour, aller soigner la plaie.

Alors non, vous ne dérangez pas quand vous pleurez, criez, ou riez nerveusement.
Et non, vous n’avez pas à vous excuser.
C’est précisément là que quelque chose commence à bouger.

👉 Une histoire qui parle de bien plus que de poids… Lis le carrousel.
15/05/2025

👉 Une histoire qui parle de bien plus que de poids… Lis le carrousel.

À l’approche d’un deuxième accouchement, quand le premier n’a pas été bien vécu, certaines peurs peuvent resurgir et nou...
14/05/2025

À l’approche d’un deuxième accouchement, quand le premier n’a pas été bien vécu, certaines peurs peuvent resurgir et nous surprendre.
Même quand on pensait avoir tourné la page.

👉 Fais glisser pour en savoir plus.

Derrière la maîtrise, l’excellence, l’envie de toujours faire mieux… se cachent parfois des angoisses profondes : 👉 La p...
08/05/2025

Derrière la maîtrise, l’excellence, l’envie de toujours faire mieux… se cachent parfois des angoisses profondes :
👉 La peur de ne pas être à la hauteur
👉 Le sentiment de ne pas mériter l’amour
👉 L’angoisse de ne pas être vu ni reconnu pour ce que l’on est

Ce n’est pas forcément de l’ambition.

Cela peut être une quête inconsciente d’amour et de sécurité.
Quand ces besoins fondamentaux n’ont pas été nourris, quand l’amour semblait conditionné à la réussite, la performance devient une stratégie de survie. Une forme de suradaptation. Un moyen de rester debout, psychiquement.

La suradaptation est décrite dans les théories de l’attachement comme une réponse aux environnements où les besoins émotionnels de base n’ont pas été accueillis.
Et cette angoisse existentielle — ne pas être aimé pour soi-même — est au cœur des approches existentielles, comme celles d’Irvin Yalom ou de Rollo May.

Une de mes clientes en est un exemple éclairant :
Petite, elle faisait tout pour attirer l’attention de ses parents, qui, désireux de lui assurer un avenir sécurisé, la poussaient à performer. Elle était sans cesse comparée à ceux qui « réussissaient mieux ».
À chaque succès, elle entendait qu’elle pouvait encore faire plus.

Lors de nos séances, elle a pris conscience de la croyance profonde qui s’était ancrée en elle :
👉 « Pour être digne d’intérêt, il faut performer, en faire toujours plus. »

Elle a entamé un travail en hypnose, en parallèle d’un suivi psychothérapeutique, pour sortir de ce schéma épuisant. Elle apprend peu à peu à construire une estime d’elle-même stable, indépendante de la validation extérieure.
Et cela prend du temps — parce qu’il ne s’agit pas seulement de changer un comportement, mais de réparer une blessure profonde.

L’hypnose, intégrée dans une démarche thérapeutique, permet d’aller à la rencontre de ces schémas intérieurs.
Parce qu’on peut exister sans avoir à prouver constamment sa valeur.

Le corps ne ment pas.Laisse-moi te raconter l’histoire de ce jeune sportif qui enchaînait les blessures: genou, cheville...
05/05/2025

Le corps ne ment pas.
Laisse-moi te raconter l’histoire de ce jeune sportif qui enchaînait les blessures: genou, cheville, poignet etc… A chaque fois qu'il revenait de blessure, très peu de temps après, il se blessait à nouveau.
Parfois on se raconte des histoires. On se dit qu’on n’a pas de chance, qu’on va encaisser, revenir plus fort, on se dit que ça va, on y croit presque. Mais le corps lui ne ment pas.
Quand on se blesse 4 fois de suite, ce n’est peut être pas que de la malchance. C’est peut être médical (manque de récupération, problème physique, carences nutritionnelles…) et il faut explorer cela.
S’il n’y a rien, il peut y avoir une cause inconsciente.
Dans le cas de ce sportif, en explorant cela ensemble, nous avons mis à jour l’immense pression qu'il se mettait, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur de décevoir ses proches… et ce mécanisme inconscient: mieux vaut se blesser que risquer d’échouer.
Cela peut sembler étrange mais c’est ainsi que fonctionnent nos mécanismes de défense pour éviter une souffrance qui pourrait être encore plus grande.
Or ce sport était sa passion et là, au fond, il avait perdu l'envie de jouer.
Nous avons concentré notre travail sur le plaisir de jouer. Pour que la pression retombe et qu’il retrouve ce qui le faisait vibrer indépendamment des résultats.
Parfois le mental pousse mais le corps freine. Nous nous mentons à nous-même, nous sommes dans le déni, nous ne voulons/pouvons par voir ce qui se joue au fond. Et on peut avoir besoin d’un coup de pouce pour comprendre ces mécanismes inconscient et revenir à soi, à son désir profond, à ce qui fait sens.

« Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. » — Carl Gustav Jun...
01/05/2025

« Ce n'est pas en regardant la lumière qu'on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. » — Carl Gustav Jung​.

Dans notre quête de bien-être et d'équilibre, nous avons tendance à fuir nos parts d'ombre. Nous le faisons d’ailleurs le plus souvent sans en avoir conscience. Notre système a mis en place depuis longtemps toute une série de stratégies inconscientes pour ne surtout pas y aller. Certaines stratégies sont subtiles, brillantes, elles visent à maintenir un équilibre.
C’est pourtant en se confrontant à ces aspects refoulés de nous-mêmes que nous pouvons véritablement évoluer et accéder à une forme de plénitude.​
Régulièrement, mes clients me disent “je ne veux plus être triste/en colère/jalouse”, “je ne veux plus ressentir cela”, et alors qu’ils tentent de fuir “cela” à tout prix, je les invite à y aller. Je les encourage à le traverser, comme une vague, pas seul, progressivement, en étant accompagné, par moi, par un autre thérapeute, par un psychothérapeute parfois et par ce sur quoi ils peuvent s’appuyer dans leur vie. Car développer des stratégies pour moins ressentir, c’est un peu mettre un pansement sur une plaie dont la cause est toujours là. Et au fond, sous le pansement, elle continue de nous ronger. Nous mettons 2, 5, 10 pansements dessus, mais elle est toujours là tant qu’elle n’a pas été traversée.

« Chacun porte une ombre, et moins elle est incarnée dans la vie consciente de l'individu, plus elle est noire et dense. » — Carl Gustav Jung​.

Se confronter à son ombre demande du courage. Cela implique d'accepter ses faiblesses, ses peurs et ses blessures. Mais c'est aussi le point de bascule, l’opportunité de transformation.
“C'est en acceptant notre obscurité que nous pouvons véritablement briller”. - Carl Jung.

Et si on arrêtait de dire aux femmes que leurs symptômes sont "normaux"?     #ɢɪʀʟᴘᴏᴡᴇʀ  💪 🌼
29/04/2025

Et si on arrêtait de dire aux femmes que leurs symptômes sont "normaux"?

#ɢɪʀʟᴘᴏᴡᴇʀ 💪 🌼

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