01/11/2025
Utiliser son monde émotionnel, son insécurité comme une boussole (signal d'alarme, information), pour diriger sa vie vers plus de satisfaction et de sécurité !
Atelier les15 et 16 novembre, à Sion! https://maguelone.notion.site/insecurite
𝗟’𝗶𝗻𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝗳𝗳𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲, 𝗰𝗲 𝗻’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝘂𝗻 𝗯𝘂𝗴. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝘂𝘀𝘀𝗼𝗹𝗲.
Tu ressens un émotion, une sensation désagréable. Ça te stresse, ça t’agace, ça t’angoisse. Tu as l’impression que quelque chose cloche dans la relation — et ton premier réflexe, c’est souvent : « Il/elle me fait me sentir comme ça. » Mais en fait, non. Ce que tu vis là, ce n’est pas une preuve que l’autre a fait quelque chose ; c’est un signal. Une alerte interne. Une info sur TOI.
L’insécurité affective, ce n’est pas un bug à corriger. 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝘂𝘀𝘀𝗼𝗹𝗲. Elle te montre un virage que tu as manqué dans l’écoute de toi-même. Chaque fois qu’elle se manifeste, elle te dit : « Eh, y’a un besoin pas reconnu ici. Une peur qu’on n’a pas entendue. Une limite que t’as peut-être laissé franchir sans t’en rendre compte. »
Et non, elle ne te parle pas de l’autre. Elle parle de toi. De ce que tu ressens, de ce que tu veux, de ce que t’as besoin d’ajuster pour rester fidèle à toi-même. Et si tu apprenais à l’écouter au lieu de la faire taire ? Elle devient ton GPS intérieur. Pas pour te protéger à tout prix — mais pour t’aider à rester en lien avec toi.
𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀, 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗼𝗻 𝗳𝗮𝗶𝘁 ?
Quand l’insécurité pointe le bout de son nez, voilà ce qu’on peut essayer :
1. 𝗢𝗻 𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘀𝗲, 𝗱𝗲̀𝘀 𝗾𝘂’𝗼𝗻 𝗽𝗲𝘂𝘁. Pas besoin d’un grand cérémonial. Juste un moment à soi, pour entendre ce qui gronde à l’intérieur.
2. 𝗢𝗻 𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮̀. Les sensations physiques, les émotions, les images floues. On ne les analyse pas tout de suite : on les laisse exister.
3. 𝗢𝗻 𝗹𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗶𝗿𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘀𝗮 𝗰𝘂𝗶𝘀𝗶𝗻𝗲 (il aime bien la nuit...).On attend que les mots remontent à la surface. Et quand ils arrivent, on peut enfin capter : « Ah… voilà ce que me dit mon insécurité. »
4. 𝗘𝘁 𝗹𝗮̀, 𝗼𝗻 𝘁𝗿𝗮𝗱𝘂𝗶𝘁. Est-ce que c’est un vieux vécu qui ressurgit ? Une limite qu’on n’a pas posée ? Un besoin resté dans l’ombre ? On met des mots clairs, concrets. Et on prend une décision en conscience.
5. 𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗼𝗻 𝗻’𝘆 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝘀𝗲𝘂𝗹… 𝗼𝗻 𝘃𝗮 𝗰𝗵𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗶𝗱𝗲. Parce que c’est humain. Et que c’est souvent plus rapide, plus doux, et plus clair à plusieurs.
✨ 𝗘𝗻𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗹𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗿 𝘁𝗼𝗻 𝗶𝗻𝘀𝗲́𝗰𝘂𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝘁𝗲 𝗽𝗶𝗹𝗼𝘁𝗲𝗿 𝗲𝗻 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 ?
En présentiel, les 15 et 16 novembre, à Sion en Suisse, un atelier de 2 jours pour apprendre à faire de ton insécurité une alliée. https://maguelone.notion.site/insecurite