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Thrombose veineuse - Définition, causes et symptômes de la maladieThromboseUne thrombose, c’est un caillot appelé aussi ...
17/09/2021

Thrombose veineuse - Définition, causes et symptômes de la maladie
Thrombose

Une thrombose, c’est un caillot appelé aussi thrombus se formant dans un vaisseau sanguin et l’obstruant. Le caillot peut se former dans une veine ou dans une artère. On parle alors respectivement de thrombose veineuse (ou phlébite) et de thrombose artérielle.

La complication la plus grave de la thrombose veineuse est l’embolie pulmonaire où le caillot se détache de l’endroit où il s’est formé et migre vers l’artère pulmonaire, pouvant entraîner une mort subite.

Les complications des thromboses artérielles sont l’infarctus du myocarde (crise cardiaque), l’accident vasculaire cérébral ou d’autres accidents vasculaires au niveau par exemple des membres inférieurs ou de l’intestin. Il existe plusieurs traitements permettant de prévenir la formation de thrombus ou de les dissoudre.

Définition de la thrombose

La thrombose se définit par l’obstruction d’une veine ou d’une artère par un thrombus (ou caillot). On distingue deux types de thrombose :

La thrombose veineuse ou phlébite : elle peut être superficielle affectant une veine de surface ou profonde, affectant une veine profonde, notamment au niveau de la cuisse.

La thrombose artérielle obstruant une artère, qui se révèle plus grave si l’artère en cause est la seule à irriguer une zone précise du corps.

Causes de la thrombose

Il existe de multiples facteurs susceptibles d’entraîner une thrombose.

Une thrombose artérielle :
Elle peut être déclenchée par une lésion de la paroi d’une artère entraînant la formation d’un caillot au contact de la zone de l’artère abîmée. C’est ce qui se produit dans l’athérosclérose souvent en cause dans les infarctus ou les accidents vasculaires cérébraux. En cause, des substances toxiques soit pour la paroi des artères, soit pour la coagulation du sang : tabac, conception hormonale…

La thrombose veineuse :
Elle peut être déclenchée par l’injection d’un médicament par voie intraveineuse, un traumatisme, une inflammation, une infection bactérienne, des varices, un cancer, un contraceptif oral... D'autre part, une période créant un ralentissement de la circulation ‒ une position assise répétée et prolongée (long voyage en avion), une blessure, une longue immobilisation (plâtre) ou une intervention chirurgicale ‒ sont des causes fréquemment retrouvées.

Symptômes de la thrombose

Une thrombose veineuse au niveau du membre inférieur se caractérise essentiellement par les manifestations cliniques suivantes :

Douleur dans la zone où se situe la thrombose ;
Durcissement de la zone touchée perçue à la palpation ;
Rougeur, réchauffement si la thrombose est superficielle ;
Coloration bleuâtre ou blanchâtre de la peau en cas de thrombose superficielle ;
Parfois, formation d’un œdème ;
Parfois, peau brillante, tendue.
Dans environ un cas sur deux, la thrombose veineuse profonde n’entraîne aucun signe.

En cas de thrombose artérielle, on peut observer selon la localisation du caillot, des signes très divers :
- Un caillot dans une artère cérébrale entraîne des symptômes d’accident vasculaire cérébral (AVC) très variables selon l’artère touchée.
- En cas de thrombose d’une artère coronaire, des symptômes d’infarctus du myocarde (voir lien vers fiche sur la page symptôme d’IDM)
- En cas de caillot dans une artère des membres inférieurs, ou ischémie aiguë du membre inférieur, on observe une douleur brutale, une disparition du pouls au niveau de la jambe, une pâleur, une froideur…
- En cas de caillot dans les artères irriguant le tube digestif ou ischémie mésentérique, apparaît une forte douleur persistante au niveau de l’abdomen. L’ischémie mésentérique peut aussi être due à une thrombose veineuse.

Populations à risque

Les thromboses veineuses touchent environ 1 personne sur 1 000, 3 personnes sur 1 000 chez les patients âgés de plus de 80 ans (surtout les hommes). Le facteur héréditaire est parfois mis en cause chez des personnes souffrant de troubles de la coagulation.

Facteurs de risques

Tabagisme ;
Obésité ;
Diabète ;
Hypercholestérolémie ;
Sédentarité ;
Insuffisance cardiaque ;
Contraceptifs oraux oestro-progestatifs (pilules) ;
Certains cancers (pancréas, thorax) ;
Certaines interventions chirurgicales ;
Certains médicaments (corticoïdes, traitement hormonal de substitution) ;
Circulation sanguine ralentie (stase veineuse) ;
Troubles de la coagulation ;
Période de repos ou d’immobilisation prolongée ;
Long voyage.
Diagnostic de la thrombose
Plusieurs examens d’imagerie médicale permettent de diagnostiquer une thrombose : artériographie (exploration des artères), phlébographie (exploration des veines), échographie doppler. Les analyses sanguines mettent en évidence la présence de D-dimères, substance qui révèle la formation d’un caillot.

Traitement de la thrombose

Le traitement à suivre dépend avant tout du type de thrombose.

La thrombose veineuse des membres inférieurs est la plus fréquente. Son traitement est bien connu.
En cas de thrombose veineuse superficielle des membres inférieurs, le repos et la prise de médicaments destinés à apaiser les douleurs sont parfois suffisants. Les injections d'anticoagulants (héparine) sont pratiquées s’il existe un risque de thrombose veineuse profonde ou d’extension de la thrombose.

En cas de thrombose veineuse profonde des membres inférieurs, le traitement de base repose sur l’injection d’anticoagulants de la famille de l’héparine tous les jours afin d’éviter l’extension et la migration du caillot. Par la suite, d’autres types d’anticoagulants disponibles sous forme de comprimé prennent le relai. Lorsque la thrombose entraîne une obstruction sévère, l’équipe médicale peut avoir recours aux fibrinolytiques, médicaments dont l’action est de dissoudre le caillot.

Une contention élastique est indispensable dès que possible. Il s’agit de bas ou de collants comprimant les veines des jambes, à porter au maximum pour éviter les complications des phlébites. Cette contention doit être ensuite portée pendant au mois 2 ans après la phlébite.

Dans certains cas particuliers, notamment en cas de phlébites récidivantes entraînant un important risque d’embolies pulmonaires à répétition, la pose d’un filtre cave peut être envisagée. Il s’agit d’un filtre inséré dans la veine cave, veine qui draine les membres inférieurs. Ce filtre a pour but de bloquer le caillot avant qu’il n’arrive aux artères pulmonaires, ce qui permet d’éviter l’embolie pulmonaire parfois très grave.

En cas de thromboses artérielles, leur traitement dépend du lieu de la thrombose. Ce qui compte, c’est la rapidité du traitement, en particulier pour les Infarctus et accidents vasculaires cérébraux. En effet, la zone irriguée par l’artère bouchée s’abime, voire se détruit au fil des heures si elle n’est plus irriguée. L’urgence consiste donc à déboucher l’artère afin de préserver les facultés de fonctionnement, notamment du cœur et du cerveau.

En cas d’infarctus, le traitement consiste à utiliser le plus rapidement possible un fibrinolytique, médicament permettant de dissoudre le caillot qui bouche une artère du cœur. D’autres traitements sont mis en place pour protéger le cœur et éviter les complications et récidives. En cas d’accident vasculaire cérébral dû à une thrombose artérielle, le traitement consiste aussi à avoir recours à un fibrinolytique dès que possible.

Et pour les autres thromboses, le traitement est adapté à la localisation de la thrombose.

Prévention de la thrombose

Prévention des thromboses veineuses des membres inférieurs (les plus fréquentes des phlébites).

Pratiquer une activité physique régulière ;
Porter des bas de contention si l’on a des varices ;
Se faire opérer des varices ;
Éviter le surpoids ;
Éviter la contraception orale s’il existe d’autres risques ;
Éviter les immobilisations prolongées. Par exemple, en cas de voyage en avion, pratiquer des flexions-extensions des pieds afin de stimuler la circulation dans les veines, boire beaucoup d’eau pour éviter la déshydratation, porter des bas de contention pendant le voyage ;
Le traitement par antiagrégant plaquettaire comme l’aspirine peut être utile sur conseil du médecin ;
Explorer et soigner les pieds avec des semelles orthopédiques si nécessaires. Les pieds plats ou trop creux diminuant l’efficacité de la marche pour stimuler la circulation sanguine.
Prévention des thromboses artérielles

La prévention des thromboses artérielles, c’est ce qui contribue à préserver un bon état de toutes les artères du corps. Aussi s’agit-il de la prévention de l’infarctus du myocarde et de la prévention des accidents vasculaires cérébraux. La prévention se résume à :

Éviter le surpoids ;
Bien soigner un diabète ;
Pratiquer de l’exercice physique ;
Manger équilibré, peu sucré, peu gras ;
Manger beaucoup de fruits et légumes ;
Ne pas fumer ;
Éviter la contraception orale s’il existe d’autres risques ;
Et pour les personnes ayant déjà subi une thrombose artérielle, prendre le traitement médical préventif qui diminue considérablement le risque de récidive.
Approches complémentaires de la thrombose
Plusieurs plantes se révèleront efficaces pour favoriser la circulation veineuse sanguine. On pourra notamment pendre sous forme de gélules ou de tisanes : de la vigne rouge (feuilles), du marron d’Inde (écorce), du ginkgo biloba (feuilles), du fragon (racine). Ces plantes peuvent être prises sur de longues périodes.

Sources: https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=thrombose



01/09/2021

Si la santé du monde n'est plus sûr, il vaut mieux savoir résister aux maladies !
Débarrassons-nous des toxines dans le sang et renforçons nos défenses immunitaires avec le Chitosan !

Le chitosan, bien plus qu’un aimant anti-graisse - TraitementsPosté dans :le 10 décembre 2015En Asie, il y a déjà plusie...
03/08/2021

Le chitosan, bien plus qu’un aimant anti-graisse - Traitements

Posté dans :
le 10 décembre 2015

En Asie, il y a déjà plusieurs siècles, les Coréens et les Japonais faisaient sécher des coquilles de calmars et les réduisaient en poudre pour les appliquer sur leurs blessures. Traditionnellement, ce remède était particulièrement répandu en Corée du Nord. Cette poudre de carapace de crustacés, le chitosan (prononcez kitozané), est aussi utilisée depuis fort longtemps au Japon pour soigner les problèmes gastriques, car il a la capacité de développer un gel protecteur dans l’estomac. Découvert en France à la fin du 17e siècle, le chitosan a été breveté dans les années 1930 sous le nom de chitine. De nos jours, le chitosan est utilisé dans les produits cosmétiques, les textiles, mais aussi dans les produits diététiques.
Un piège à graisses

Comme il renferme des copolymères de glucosamine, les propriétés du chitosan sont similaires à celles de la cellulose. Le chitosan agit comme un gel dans l’estomac lorsqu’on l’ingère. Il se dépose sur les parois de l’estomac et, lorsqu’il entre en contact avec les lipides, il emprisonne les graisses, parfois jusqu’à 15 fois son poids de matière graisseuse. Le mélange des lipides avec le chitosan, empêche alors celles-ci de se diffuser dans l’organisme. Le chitosan est évacué par les voies naturelles et avec lui, les graisses qu’il a récoltées. Voilà donc la raison pour laquelle on l’utilise communément comme un complément alimentaire qui aide à la perte de poids.

D'autres propriétés souvent ignorées

Pourtant, si le chitosan est connu bien souvent seulement pour ses propriétés mange-graisse, il a de nombreuses autres vertus scientifiquement prouvées et qui vont bien au-delà de la simple aide à la perte de poids.

• Chitosan et hypertension : Le Professeur François-André Allaert, créateur et titulaire de la Chaire d’Evaluation des Allégations de Santé à l’ESC Dijon, a créé le CEN Biotech il y une vingtaine d’années où il mène des recherches et fait des études cliniques sur les effets des aliments sur notre organisme. En 2006, le Professeur Allaert a présenté ses conclusions sur le chitosan à l’European Society of Hypertension, qui démontrent que l’association de sel (NaCl) et de chitosan aurait des effets positifs chez les personnes souffrant d’hypertension artérielle.

• Chitosan et cholestérol : En Mai 2003, une étude publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition, rapporte qu’après une étude en double aveugle sur un échantillon de patients ayant du cholestérol, ceux qui avaient pris du chitosan avaient vu leur taux de cholestérol total et de mauvais cholestérol (LDL) baisser de façon importante. De plus, il élèverait le niveau de HDL, le bon cholestérol.

• Chitosan et fonction hépatique : En activant la fonction hépatique, le chitosan renforce la vitalité de l’aldéhyde déshydrogénase dont le foie a besoin pour bien fonctionner. Une étude espagnole publiée en 2010 indique que le chitosan pourrait favoriser la production des anticorps du virus de l’hépatite B. De bons résultats ont été observés pour l’hépatite aigüe et chronique et pour le foie alcoolique.

• Chitosan et transit intestinal : Aide à stimuler les fonctions immunitaires et règle le transit intestinal. Le chitosan protège également contre le cancer du gros intestin et d´autres affections qui touchent l´appareil digestif. En se liant aux graisses et aux acides biliaires, il produit un effet positif sur le transit intestinal en ramollissant les selles et en facilitant leur transit par des processus naturels. De plus, il permet l’élimination des métaux lourds stockés dans le colon.

• Chitosan et métaux lourds : Comme l'explique le futur ingénieur Maxime Lemonde, étudiant au Département de génie chimique et de génie biotechnologique de l'Université de Sherbrooke, Canada, la chitine s'avère «le polymère "bio" le plus abondant sur terre après la cellulose et « l'absorbant naturel par excellence pour capter les métaux lourds en solution dans l'eau, qu'elle soit salée ou non».

• Chitosan et cancer : Des recherches prometteuses sont en cours dans le domaine du cancer car une étude Sino-Américaine, publiée en Mai dernier, indique que le chitosan lié à des microparticules pourrait empêcher la reproduction des cellules cancéreuses.

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Soignez-vous ! ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé

https://www.soignez-vous.com/traitements/le-chitosan-bien-plus-qu-un-aimant-anti-graisse

13/06/2021

Cessez de souffrir des maladies opportunistes et aidez vos proches à vivre longtemps à vos côtés !
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📣ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL, QU'EST-CE C'EST ?📣Un accident vasculaire cérébral (AVC) ou attaque cérébrale, est une déf...
29/04/2021

📣ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL, QU'EST-CE C'EST ?📣

Un accident vasculaire cérébral (AVC) ou attaque cérébrale, est une défaillance de la circulation du sang qui affecte une région plus ou moins importante du cerveau. Il survient à la suite de l’obstruction ou de la rupture d’un vaisseau sanguin et provoque la mort des cellules nerveuses, qui sont privées d’oxygène et des éléments nutritifs essentiels à leurs fonctions. Chez la majorité des gens, il n’y a pas de signe précurseur d’une crise. Toutefois, plusieurs facteurs de risque peuvent être surveillés.

Les AVC ont des conséquences très variables. Plus de la moitié des gens en gardent des séquelles. Environ 1 individu sur 10 récupère complètement.

La gravité des séquelles dépend de la région du cerveau atteinte et des fonctions qu’elle contrôle. Plus la région privée d’oxygène est grande, plus les séquelles risquent d’être importantes. À la suite d’un AVC, certaines personnes auront de la difficulté à parler ou à écrire (aphasie) et des problèmes de mémoire. Elles pourront aussi être atteintes d’une paralysie plus ou moins importante du corps.

🔔 LES SIGNES D'AVC, UNE URGENCE MÉDICALE

Lorsque les cellules nerveuses sont privées d’oxygène, ne serait-ce que pendant quelques minutes, elles meurent; elles ne se régénéreront pas. Aussi, plus les délais entre l’AVC et la prise en charge médicale sont courts, plus le risque de séquelle grave s’amenuise.

Quels que soient les dommages causés par la privation d’oxygène, le cerveau a une certaine capacité d’adaptation. Des cellules nerveuses saines réussissent parfois à prendre la relève des cellules mortes si elles sont stimulées par divers exercices.

🔔 CAUSES

L’athérosclérose, c’est-à-dire la formation de plaques de lipides sur la paroi des vaisseaux sanguins, est l’une des principales causes de l’accident vasculaire cérébral. L’hypertension artérielle est aussi un facteur de risque important. Avec le temps, la pression anormale exercée par le sang sur la paroi des vaisseaux sanguins peut provoquer leur rupture. La rupture d’une artère du cerveau peut être facilitée par la présence d’un anévrisme. L’anévrisme est un gonflement d’une petite section d’une artère, en raison d’une faiblesse de la paroi.

Il n’est pas toujours possible de déterminer la cause exacte d’un AVC. Il est important, cependant, que les médecins la recherchent en procédant à divers examens afin de réduire le risque de récidive.

🔔 PRÉVALENCE

Grâce aux avancées en matière de prévention, la prévalence des AVC a considérablement diminué au cours des dernières décennies. Depuis les années 1990, elle semble toutefois se stabiliser.

Encore aujourd’hui, au Canada, plus de 50 000 personnes subissent un AVC chaque année et environ 14 000 en meurent. Si les AVC sont plus rares que les crises cardiaques, ils représentent tout de même la troisième cause de mortalité au pays et sont un facteur important d’incapacités.

Les trois quarts des AVC surviennent chez des gens âgés de 65 ans et plus. Au Canada et en Amérique du Nord, en général, ils touchent plus les femmes que les hommes. De jeunes enfants peuvent aussi en souffrir, mais cela se produit rarement.
🔔 TYPES

On distingue 3 types d’accidents vasculaires cérébraux : les 2 premiers sont causés par le blocage d’une artère cérébrale (accident ischémique). Ils sont les plus fréquents et représentent environ 80 % des AVC. Le troisième est causé par une hémorragie cérébrale (accident hémorragique) :

📌 LA THROMBOSE CÉRÉBRALE

Elle représente de 40 % à 50 % des cas. Elle se produit quand un caillot sanguin se forme dans une artère cérébrale, sur une plaque de lipides (athérosclérose);

📌 L’EMBOLIE CÉRÉBRALE

Elle représente environ 30 % des cas. Comme dans le cas de la thrombose, une artère cérébrale est bloquée. Cependant, ici, le caillot qui bloque l’artère s’est formé ailleurs et a été transporté par la circulation sanguine. Il provient souvent du coeur ou d’une artère carotide (dans le cou);

📌 L’HÉMORRAGIE CÉRÉBRALE

Elle représente environ 20 % des cas, mais c’est la forme d’AVC la plus grave. Souvent causée par une hypertension de longue date, elle peut aussi résulter de la rupture d’une artère du cerveau, là où se situe un anévrisme.
En plus de priver une partie du cerveau d’oxygène, l’hémorragie détruit d’autres cellules en exerçant de la pression sur les tissus. Elle peut se produire au centre ou à la périphérie du cerveau, tout juste sous l’enveloppe crânienne.
Parmi les autres causes, plus rares, d’hémorragies cérébrales figurent les crises d’hypertension, une hémorragie dans une tumeur cérébrale et des problèmes de coagulation sanguine.
Il peut arriver que l’obstruction d’une artère cérébrale ne soit que temporaire et qu’elle se résorbe naturellement, sans laisser de séquelles. On appelle ce phénomène accident ischémique transitoire (AIT) ou mini-AVC. Le diagnostic est confirmé par une IRM. Les symptômes sont les mêmes que ceux d’un « vrai » AVC mais ils disparaissent en moins d’une heure. Un mini-AVC est un signal d’alarme à prendre au sérieux : il peut être suivi d’une attaque cérébrale parfois plus grave au cours des 48 heures suivantes. Il est donc important de consulter un médecin au plus tôt.

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Le saviez-vous ?Les recherches, les études et les innovations avec le Chitosane sont variées et le monde scientifique s'...
28/04/2021

Le saviez-vous ?

Les recherches, les études et les innovations avec le Chitosane sont variées et le monde scientifique s'y intéressent continuellement.
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GLUCOSAMINE📌Description de la glucosamineLa glucosamine est fabriquée par l'organisme à partir du glucose et de la gluta...
17/04/2021

GLUCOSAMINE

📌Description de la glucosamine

La glucosamine est fabriquée par l'organisme à partir du glucose et de la glutamine, un acide aminé.
La glucosamine ainsi produite joue un rôle crucial dans le maintien de l'intégrité du cartilage de toutes les articulations.
Lorsque le processus de fabrication de la glucosamine se dérègle, les cartilages se mettent à dégénérer et l'arthrose s'installe.

On ne sait pas encore comment la glucosamine agit exactement et la recherche se poursuit.
Elle augmenterait l'action lubrifiante du liquide synovial et ralentirait la dégradation du cartilage.
De plus, des essais indiquent qu’elle peut avoir un effet bénéfique sur différents marqueurs de la santé des os et des cartilages.

La glucosamine du commerce est synthétisée en laboratoire à partir de 💥la chitine extraite de la carapace des crustacés (crevettes, langoustines, crabes, homards).💥 Elle se présente généralement sous la forme de sulfate de glucosamine, mais on en trouve également sous la forme de chlorhydrate de glucosamine.
Jusqu'à présent, la très grande majorité des études a été menée avec du sulfate de glucosamine et celles qui ont utilisé du chlorhydrate n’ont pas été concluantes en ce qui concerne les symptômes de l’arthrose.

Le sulfate de glucosamine est un médicament d’ordonnance dans de nombreux pays. Aux États-Unis et au Canada, il est considéré comme un supplément alimentaire.

📌Historique de la glucosamine

En 1969, des médecins allemands faisaient état, pour la première fois, de l'utilisation clinique de la glucosamine pour traiter des patients souffrant d'arthrose.
La substance thérapeutique était alors injectée directement dans les articulations atteintes ou administrée par voie intraveineuse ou intramusculaire.
À la fin des années 1970, une firme italienne (Rotta Research Laboratorium) a mis au point des comprimés de sulfate de glucosamine, ce qui facilitait l'administration de cette substance.

D'abord très populaire en Europe, la glucosamine a gagné les faveurs du public nord-américain et japonais. Les ventes mondiales étaient estimées à 2 milliards $ en 2008 (dont environ 872 millions aux États-Unis et 300 millions au Japon).

📌Recherches sur la glucosamine

La grande majorité des études a porté sur l'arthrose du genou, quelques-unes sur l'arthrose de la hanche.

📌 Arthrose.

La glucosamine a fait l'objet de plusieurs méta-analyses et synthèses concluant à son efficacité pour soulager les symptômes de l'arthrose légère à modérée.
Certains auteurs ont souligné que les essais menés avec le produit sur ordonnance commercialisé en Europe (DONA®, Rottapharm-Maddaus) ont donné des résultats supérieurs à ceux des suppléments offerts en vente libre.

📌 Controverse.

Une méta-analyse publiée dans le prestigieux British Medical Journal (BMJ) en septembre 2010 a fait les manchettes. Les chercheurs, qui se sont penchés sur les résultats de 10 essais cliniques (3 803 patients en tout), ont conclu que ni la glucosamine ni la chondroïtine n’ont d’effet bénéfique sur les symptômes d’arthrose de la hanche et du genou. Plusieurs chercheurs ont critiqué les méthodes d’analyse et de sélection des études utilisées par les auteurs.

Selon le Dr Paul Lépine, omnipraticien à Québec, cette méta-analyse comporte en effet plusieurs failles qui rendent ses conclusions critiquables : « Les auteurs ont exclu 46 des 56 études retracées. Ils ont privilégié les mesures de réduction de la perception de la douleur totale, plutôt que les mesures de réduction de la perception de la douleur de l'articulation touchée et de la douleur à la marche, qui sont les douleurs typiques de l'arthrose. Ils ont mélangé toutes les formes de glucosamine, même si plusieurs s'entendent pour dire que le sulfate de glucosamine est plus efficace. Ils ont inclus les études sur l'arthrose de la hanche, qui sont essentiellement négatives. Ils ont pris comme mesure d'efficacité la mesure de la distance articulaire entre 2 os, une mesure qui ne change qu’à long terme, mais ont inclus des études aussi courtes que 4 semaines. De cela, ils concluent qu'on ne doit plus recommander la glucosamine et la chondroïtine aux patients, même s'ils admettent la complète sécurité de ces suppléments. Difficile de ne pas être très critique de cette analyse. »

Parmi les essais non concluants, on compte l’étude GAIT (2006, voir encadré ci-dessous), ainsi qu’une étude portant sur des patients atteints d’arthrose de la hanche (2008). Cependant, la grande majorité des essais indiquent que le sulfate deglucosamine soulage les symptômes de l'arthrose légère à modérée (douleur, mobilité restreinte), sans avoir les effets indésirables des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

À noter également que, malgré les essais non concluants, les plus récentes recommandations de l’Osteoarthritis Research Society International (OARSI), publiées en avril 2010, incluent toujours la glucosamine dans les traitements pouvant être utiles aux personnes souffrant d’arthrose du genou ou de la hanche.

L'étude GAIT (Glucosamine/Chondroitin Arthritis Intervention Trial), financée par les National Institutes of Health des États-Unis, parue en février 2006, a donné des résultats non concluants après 24 semaines de traitement. Certains experts ont cependant mis les conclusions de cet essai en perspective, soulignant l’importance de l’effet du placebo et la performance à peine supérieure du célécoxib (Celebrex, le plus populaire des anti-inflammatoires non stéroïdiens d’ordonnance). Voir notre nouvelle Glucosamine : une étude ne fait pas foi de tout pour en savoir plus à ce sujet.

En août 2010, d’autres résultats de l’étude GAIT ont été publiés. Les chercheurs ont continué de comparer les effets de 4 traitements différents à ceux d’un placebo sur 662 sujets atteints d’arthrose au genou : glucosamine (1 500 mg/jour), chondroïtine (1 200 mg/jour), un mélange des 2 substances (aux mêmes dosages) et célécoxib (Celebrex 200 mg/jour). Comparés au placebo, aucun des traitements n’a obtenu un effet statistiquement ou cliniquement significatif en ce qui concerne la douleur et la mobilité de l’articulation. Jean-Yves Dionne, pharmacien, explique pourquoi ces résultats peuvent être faussés : « Lorsqu’on regarde le graphique résumant l’évolution de l’effet des différents traitements dans cette étude, on voit très bien qu’à partir de la 12e semaine, l’amélioration plafonne. C’est souvent ce qui arrive au cours d’une étude de longue durée portant sur un symptôme comme la douleur. Si un participant n'est pas soulagé après une douzaine de semaines, il va se douter qu’il fait partie du groupe placebo et va commencer à utiliser d’autres produits pour se traiter. Cela fausse les résultats du groupe placebo et tous les traitements testés se retrouvent presque à égalité. »

📌 Efficacité probable: Ralentir l’évolution de l’arthrose.

Les résultats de 2 essais cliniques à long terme (de 3 ans chacun, 414 sujets en tout) indiquent que l'action du sulfate de glucosamine, en plus de ses effets sur les symptômes, peut contribuer à freiner l'évolution de la maladie. Un avantage net sur les AINS, qui ont plutôt tendance à accélérer la progression de l’arthrose. De plus, le suivi des sujets de ces 2 études durant 8 ans indique que ce traitement, même interrompu après 3 ans, peut retarder ou éviter le remplacement chirurgical de l’articulation du genou.

📌Divers

Dans différents autres essais récents, la prise de glucosamine s’est révélée utile pour :

✔️Réduire la douleur et améliorer la mobilité des personnes souffrant de blessures aux cartilages (2 000 mg chlorhydrate durant 12 semaines).

✔️Accélérer la guérison d’athlètes souffrant de blessures au genou (1 500 mg de chlorhydrate pendant 4 semaines).

✔️Réduire la douleur de patient souffrant d’arthrite rhumatoïde (1 500 mg de chlorhydrate pendant 12 semaines).

✔️En revanche, la glucosamine ne serait pas efficace pour soulager l’arthrose lombaire, comme l’indique un essai non concluant publié en 2010, mené en Norvège.

📌Glucosamine et chondroïtine

Deux études à double insu avec placebo indiquent que la prise combinée de chlorhydrate deglucosamine et de sulfate de chondroïtine s’est révélée efficace pour soulager les symptômes de l’arthrose du genou. Après 24 semaines de traitement, les résultats de l’étude américaine de grande envergure mentionnée plus haut (GAIT) allaient dans le même sens, mais seulement dans le cas des sujets atteints de douleurs modérées à graves. Cependant, parmi les 662 sujets qui ont continué à prendre ce traitement durant 2 ans, les résultats n’ont pas été concluants.

📌Précautions

✔️Attention: Diabète.

Une récente synthèse des essais cliniques indique que, contrairement à ce qui a déjà été avancé, la glucosamine n’a aucun effet néfaste sur le taux de sucre dans le sang et la résistance à l’insuline. Pour plus de détails sur l’origine de cette confusion, voir le commentaire du pharmacien Jean-Yves Dionne : www.jydionne.com.

Par ailleurs, sur la base d’un essai in vitro fortement médiatisé en octobre 2010, on a affirmé que la glucosamine pourrait avoir un effet néfaste sur les cellules du pancréas et augmenter le risque de diabète. Dans les faits, la glucosamine est parfaitement sécuritaire aux doses recommandées. Dans cet essai, on était très loin des conditions habituelles chez l’humain. Pour plus d'explications, voir notre nouvelle : La glucosamine est-elle dangereuse pour le pancréas?

✔️Allergie aux crustacés.

Un essai récent a clairement démontré que les suppléments de glucosamine synthétisés à partir de la carapace de crevettes ne présentaient pas de danger pour les personnes allergiques aux crevettes.

✔️Asthme.

En 2002, un cas d'asthme chronique exacerbé par la prise d'un supplément combinant la glucosamine et la chondroïtine a été rapporté, mais le lien de cause à effet n’a pas été établi.

✔️L’usage sécuritaire de la glucosamine chez les femmes enceintes et celles qui allaitent n’est pas établi hors de tout doute.

📌Contre-indications

Éviter durant la grossesse et l'allaitement en raison du manque de données toxicologiques.

📌Effets indésirables

Généralement sans effet indésirable notable, même à raison de 3 000 mg par jour. Une augmentation de la dose de base (1 500 mg par jour) peut cependant entraîner des selles molles. Rarement, malaises gastro-intestinaux.

📌Interactions

✔️Avec des plantes ou des suppléments: Aucune connue.

✔️Avec des médicaments: Les effets de la glucosamine pourraient s'ajouter à ceux des médicaments anticoagulants (Coumadin®, par exemple). Des cas d’interaction ont été rapportés.

https://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=glucosamine_ps

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YOUPOUGON ILT 30L LT 96NGON SUD EST YOP QT BEDIE
Abidjan
225

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